UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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FAUGUERNON | ||
Canton de Lisieux |
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Le
24 mai, ils s'introduisirent, à l'aide d'effraction, dans la maison
Deschamps. Les armoires furent soigneusement fouillées et ils ne purent
s'emparer que d'une somme de 18 sous. Les
témoins, dont la déposition a été très explicite aux débats
avaient reconnu Legot et Gibert. Legot a été condamné à dix ans de réclusion : et Gibert en faveur duquel ont été admises des circonstances atténuantes, à 6 ans de la même peine. (source : L’Indicateur de Bayeux)
Août
1843 -
Chronique des Assises du Calvados.
- La
cour d'assises s'est occupée, avant-hier lundi, de l'affaire Boursier,
accusé de meurtre sur la personne du jeune Le Rossignol, de notre
ville. Aussitôt après ce déplorable événement, nous en avons donné
tous les détails, que les débats n'ont fait que reproduire. Le
jury en déclarant Boursier coupable d'homicide volontaire, a écarté
la circonstance de préméditation et admis celle de provocation
résultant de violences et injures graves ; il a en outre reconnu en sa
faveur des circonstances atténuantes. En
conséquence de ce verdict, la cour n'a condamné Boursier qu'à un an
d'emprisonnement et 500 fr. d'amende, minimum de la peine, par
application de l'art. 336 du code pénal. (source : L’Indicateur
de Bayeux)
Mai 1859 - Le loup. - La semaine dernière, un loup a signalé sa présence dans la commune de Norolles (canton de Blangy), en attaquant et blessant grièvement une génisse appartenant à M. Menard, fermier de M. Fournet, au château de Combray, et un jeune taureau appartenant à M. Roulier, propriétaire à Norolles. Pareils faits se sont produits dans une ferme voisine, située sur Fauguernon (canton de Lisieux), exploitée par M. Menard. Les bestiaux ont été poursuivis et une génisse d'un an a eu toute la partie postérieure dévorée. On
croit que l'animal qui a causé ces ravages est une louve, prête à
mettre bas, qui a été chassée dernièrement au Mesnil, et qui,
n'ayant point été atteinte, s'est rabattue dans les bois de Fauguernon.
(Source : Le journal de Honfleur)
Décembre 1866 - Le mauvais temps. - Vendredi dernier, vers dix heures du matin, par une forte pluie et un temps des plus obscurs, un phénomène, heureusement fort rare dans le pays, s'est produit à Fauguernon, canton de Lisieux, aux abords et sur la propriété de M. Fournet, à Cambray. Une
trombe de vent s'est élevée tout à coup et à renversé, dans un
espace de 300 à 400 mètres, tout ce qu'elle a rencontré sur son
passage, une vingtaine de pommiers, nous dit-on, des pans de murs, des
barrières ont été arrachés, brisés, un pressoir et une grange
n'auraient dû leur conservation qu'à cette circonstance qu'ils
étaient remplis des récoltes de l'année et ont offert une résistance
que le vent n'a pu
Janvier 1874 - Une bonne mesure. - Aux termes d'une décision de M. le Préfet, les fournitures scolaires, telles que globes, cartes géographiques, tableaux d'histoire sainte, livres, etc……, seront mises, à l'avenir, en adjudication au chef-lieu de chaque arrondissement, pour être ensuite livrées aux communes qui en feront l'acquisition, soit sur leurs propres ressources, soit au moyen d'allocations.
Janvier
1874
-
Vol de bestiaux. - Dans
la nuit de vendredi à samedi, une vache appartenant au sieur Heurtant
fut volée à Fauguernon. Le voleur, le nommé Edmond Morin, journalier
à Roques, conduisit immédiatement la bête à Bernay et la vendit pour
le prix de 310 fr., elle en valait largement 400, Morin a été arrêté
et condamné par le tribunal correctionnel de Lisieux à 13 mois de
prison. On n'a rien retrouvé sur lui de l'argent reçu, il a déclaré
l'avoir dépensé ou perdu.
Novembre 1874 - Vols dans les églises. - Dans la nuit de mercredi à jeudi, des voleurs se sont introduits dans l'église de Fauguernon. Ils ont pénétré dans l'église en fracturant la grande porte au moyen d'outils de menuisier qu'ils ont trouvés sous le porche. Ils ont brisé la porte de la sacristie et ont fracturé un placard dans lequel était renfermée une somme de 12 fr. environ, produit d'une quête, et qu'ils ont emportée. Pour cause de travaux exécutés au banc de la charité, le tronc de cette confrérie, qui contenait 42 fr., placé habituellement au-dessus de ce banc, avait été changé de place, c'est à cette circonstance, fort heureusement ignorée des malfaiteurs qu'on doit d'avoir retrouvé cette somme intacte. Lundi, vers sept heures, un voleur s'est introduit dans l'église de Roques, a dévalisé les troncs et pris l'argent qu'ils renfermaient. Une femme de la commune, en passant près de l'église, entendit remuer de l'argent et fut avertir plusieurs personnes. On pénétra dans l'église et on trouva en effet l'individu en train de compter son butin. Il a été amené à la maison d'arrêt par le garde champêtre et plusieurs habitants. C'est un nommé Charles Benoist, cet individu est soupçonné d'avoir pris part au vol de l'église d'Ouilly-le-Vicomte. Ses complices sont activement recherchés.
Décembre 1874 - Recensement. - Les maires vont commencer dans toutes les communes le recensement des chevaux, juments et mulets susceptibles d'être utilisés pour les besoins de l'armée. Cette réquisition n'aura jamais lieu que moyennant le paiement d'une indemnité de 900 à 1 600 fr.
Novembre
1880
- Les voleurs d’église.
- Dans
la nuit de mardi à mercredi, des malfaiteur, qui paraissent faire une
tournée de maraudage et de vols, se sont introduits dans l'église de
Fauguernon et ont emporté ce qui était à leur convenance. On
estime que le ou les troncs ne renfermaient pas plus de 20 francs.
Mai 1885 - Légèreté et oubli. - Un Journal Lexovien, raconte que le curé d'une paroisse voisine de Lisieux avait annoncé à ses paroissiens que, lundi soir, il leur donnerait la bénédiction du Saint-Sacrement. A l'heure indiquée le sonneur se met à carillonner. Ne voyant pas arriver le pasteur, il recommença par trois fois ses der lin, der lin ; mais pas de curé !
Septembre 1886 - L’affaire de Fauguernon. - En 1878, le nommé, Auguste Mérieult, de Saint-Martin-de-la-Lieue, était condamné à 10 ans de réclusion pour vols de vaches. La clémence du chef de l'Etat réduisit sa peine à huit ans, et le 14 juillet dernier il sortait de prison. Samedi dernier, vêtu en gros fermier, un bâton à la main, sacoche au dos, il entrait chez le maire de Fauguernon et demandait à lui parler, en disant qu'il venait pour acheter deux poulains. Le maire était au marché, la servante, la nommée Marie Fromage, 2l ans, se trouvait seule. Merieult parut fort contrarié et demanda, un verra de cidre. Comme elle se baissait pour prendre une bouteille dans un buffet, Mérieult lui donna un coup de bâton sur la tête. Elle tomba en poussant un cri. Mérieult se jeta sur elle pour l'étrangler, mais le cri avait été entendu. Le fils du maire, âgé de 15 ans, le sieur Bigué et les domestiques, accoururent, et on, s'empara du bandit, qui avait dans sa sacoche un revolver et un ciseau à froid. Mérieult
venait de Caen, il prétend qu'il est sorti de prison avec un pécule de
1 800 francs.
Décembre 1888 - Étourderie. - Le sieur M..., cultivateur à Fauguernon, était venu au marché de Lisieux y vendre trois porcs. L'un fut enlevé sur-le-champ. L'acheteur des deux autres ne se présentant pas, le sieur M... interpella un cultivateur de Rocques qui passait, en lui disant de venir se livrer des deux cochons qu'il lui avait achetés. Celui-ci répliqua qu'il n'avait rien acheté. Le sieur M….. s'emporta jusqu'à chanter sottise. Un
autre acheteur se présentant, le sieur M…..., lui vendit les deux
cochons. Ils étaient à peine livrés que celui qui les avait
réellement achetés vint pour s'en livrer. Le sieur M…... reconnut un
peu tard son erreur et en fut quitte pour une indemnité de 2 fr.
C'est peu. Une autre fois, son étourderie pourrait lui coûter
plus cher.
Février
1890 -
Un voleur de vaches. -
Dans
la nuit de jeudi à vendredi, une vache a été volée au préjudice du
sieur Ferdinand Fontaine, adjoint au maire de Fauguernon. L'animal se
trouvait, avec cinq ou six autres, dans un herbage dont la porte
n'était pas fermée à clef et qui est contigu à la cour d'habitation.
Le voleur, un nommé Auguste Dupont, se disant fermier du sieur Lavigne,
propriétaire à St-Désir de Lisieux, a été arrêté au moment où il
essayait de vendre la vache sur le marché de Cormeilles (Eure).
Février
1890 -
Sinistre découverte. -
Dimanche,
M. Harou, huissier à Lisieux, était à procéder à la vente du
mobilier d'un sieur Alexandre Levert, 62 ans, cultivateur à Fauguernon.
Lorsque la vente fut presque finie., M. Harou visita les appartements
pour voir s'il ne restait pas d'autres choses à vendre. En entrant dans
un petit grenier, il trouva pendu à une poutre le sieur Levert, disparu
depuis quelques jours. Levert avait le cerveau fêlé, il vivait
séparé de sa femme.
Mars
1890 -
Un consommateur malhonnête.
- Mardi,
un individu se présentait chez le sieur Ferdinand Levillain, aubergiste
à Fauguernon. Une fois installé, cet homme se
Mars
1893 -
Incendie. -
A Fauguernon, incendie
dans un atelier de charronnage, appartenant à M. Bazille Beaslay,
charron. Pertes, 1 800 francs.
(Source : Le Bonhomme
Normand)
Juin
1893 -
Récoltes dans le Calvados.
-
Blé d'hiver, bon ;
seigle, bon ; avoine de printemps, assez bonne ; orge de printemps,
passable ; foin, peu abondant par suite de la sécheresse, pommes,
récolte moyenne sur certains points, presque nulle sur d'autre.
(Source :
Le Bonhomme Normand)
Juin
1893 -
Incendie. -
Dans la nuit de vendredi
à samedi, le sieur Léopold Lafosse, journalier à Fauguernon, s'est
aperçu que sa maison flambait. Il n'a eu que le temps de se sauver avec
sa femme. L'immeuble et une grange voisine, à laquelle le feu s'est
communiqué, ont été entièrement consumés. Pertes, 3 000 fr. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Décembre 1895 - O amour ! amour ! - Ugène Haymet ou l'Aimé, 25 ans, était domestique chez M. Mauger, cultivateur à Fauguernon. Il en profita pour faire la cour à une jeune bobonne de la maison qui, s'il faut en croire les on-dit, n'aurait pas refusé les avances du jeune garçon. Le patron, s'en étant aperçu, renvoya le galant. Celui-ci s'en alla, mais en jurant qu'il reviendrait. Et il est revenu. Était-ce
pour se venger de son maître ? Était-ce pour revoir la bobonne ?
L'histoire ne le dit pas. Ce qu'elle nous apprend, c'est qu'un jour il
pénétra chez M. Mauger et, rencontrant la jeune servante, Aimé voulut
lui prouver qu'il l'aimait toujours. Le patron étant survenu, le galant
se jeta sur lui. Mais M. Mauger est solide et, par deux fois, il fit
baiser la poussière au belliqueux amoureux. Non content de la rossée
qu'il avait flanquée à Haymet, le sieur Mauger porta plainte et le
malheureux galant a été condamné à 4 mois de prison. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Janvier
1897 -
Triste
mort. - Dernièrement,
le sieur Michel Blaise, 66 ans, demandait à coucher à la ferme du
sieur Lenormand, à Fauguernon. On lui indiqua un bâtiment à usage
d'étable. Blaise alla s'y coucher et s'endormît. Dans la nuit, 13
veaux et deux poulains qui étaient dans les cours vinrent se
réfugier dans l'étable. Blaise fut sans doute piétiné par ces
animaux, car, le lendemain matin, le domestique le trouva sans vie, sur
le seuil de l'appartement. Il était presque entièrement nu, les
vêtements en lambeaux et la
Février
1897 -
Mort de misère.
- On
a trouvé mort de misère, à Fauguernon, le sieur Auguste Bruno, 53
ans, domicilié à Lisieux. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Juin 1904 - Incendies. - D'une meule de 1 700 bottes de paille au sieur Louis Viel, à Moulines. Pertes, 600 fr. Assuré. — A Fauguernon, d'un immeuble au sieur Hiaumet, à Lisieux, habité par le sieur Legagneur, journalier. Pertes pour ce dernier, 1 000 fr. Non assuré. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1904 - Le drame de Fauguernon. - Une commune des environs de Lisieux vient d'être le théâtre d'un drame épouvantable. Le sieur Prout, 31 ans, marié et père de famille, tenait un cabaret à Fauguernon. Il buvait beaucoup et, déjà plusieurs fois, il avait donné des signes de folie alcoolique. Lundi dernier, après une violente dispute en déjeunant, il saisit un fusil de chasse et, devant sa fillette de vingt mois et une femme de ménage, il tira, à bout portant, sur sa femme qui eut la tète traversée et tomba morte. Prout se rendit compte alors de son crime ; il essaya de se noyer dans une mare, puis de se faire sauter la cervelle. Une
congestion le terrassa et quand les voisins accoururent au bruit, ils ne
trouvèrent que deux cadavres. Le parquet a été prévenu
immédiatement par le maire. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Juillet 1904 - Après le drame. - C'est par jalousie et par folie alcoolique que Prout, le cabaretier de Fauguernon, près Lisieux, a tué sa femme d'un coup de fusil de chasse, comme nous l'avons dit. La cervelle de la femme Prout était réduite en bouillie, le coup tiré en pleine figure ayant fait balle. La malheureuse se doutait du sort qui l'attendait ; elle en avait parlé à diverses personnes et, la veille encore, elle était venue à Lisieux consulter un avoué pour demander le divorce. Prout l'avait appris et en avait conçu une colère terrible. C'est
bien à une congestion que le meurtrier a succombé, au moment de se
faire sauter la cervelle à son tour, après avoir tenté en vain de se
noyer dans une mare où il y avait trop peu d'eau. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Juin 1915 - Le courrier. - Le travail des champs, c'est la grosse question du jour. Les prairies sont superbes, mais il faut les faucher. La moisson promet, mais il faudra la récolter. Des permissions vont être accordées à certaines catégories de militaires, il est à craindre pourtant que les bras ne manquent. Nous signalons un cas entre cent, c'est celui d'une lectrice qui nous écrit ceci : Ayant
lu, sur votre journal, que le département du Calvados n'aurait pas de
prisonniers de guerre, pour aider les cultivateurs à faire leurs foins
et à rentrer leurs récoltes, je me trouve bien embarrassée. Je
suis à la tête d'une grande exploitation, dépassant cent hectares, et
j'ai, pour tout personnel, un homme âgé déjà. Mon mari est sur le
front, mobilisé depuis le 10 août. J'ai pensé, Monsieur, que vous
pourriez peut-être m'aider à trouver des
personnes cherchant de l'ouvrage. J'occuperais volontiers six ou sept Nous
ne pourrons évidemment pas publier les lettres de ce genre que nous
recevrons et changer ce courrier en tableau de publicité. Si nous avons
donné celle-ci, c'est pour que l'administration et le public sachent
bien que, dans notre contrée, la main d’œuvre va faire défaut, pour
les foins et le mois d'août. Avis aux sans-travail. Il y aura de la besogne
et du pain pour tout le monde.
Septembre 1915 - Une noyade. - A Fauguernon, près Lisieux, un sieur Eugène Gagnet, 51 ans, a été trouvé noyé dans une mare. Ce malheureux était atteint de troubles cérébraux. On ne sait s'il y a eu suicide ou accident. Gagnet vivait séparé de sa femme, il était père de deux enfants.
Septembre
1915
- Ce que nous
mangerons l’an prochain. - C'est
en ce moment que va se décider, en grande partie, le sort de la
prochaine récolte. La question des semailles est une question vitale,
et si, à la rigueur, le premier venu, ou le second, peut ramasser une
gerbe et la battre, lorsqu'il s'agit de préparer la terre et de
l'ensemencer, c'est une autre affaire. A ce sujet, M. Blaisot,
député, a écrit au ministre de l'agriculture, qui lui a répondu. Il
résulte de leur correspondance qu'on va essayer d'accorder des
permissions de labours et de semailles, de préférence à
des cultivateurs. Espérons qu'on y parviendra. Il parait que, pour la
moisson, on envoyait des notaires, des rémouleurs et des professeurs
d'académie. Si ça recommençait pour les semailles, nous serions
exposés, l'an prochain, à récolter des choux rouges au lieu de blé
chicot et à faire de la galette de Sarrazin avec des navets d'hiver.
Septembre
1923
- Coups réciproques.
- M.
Binard Louis,
70 ans,
propriétaire à
Fauguernon, a
porté plainte
contre son
voisin, M.
Grieu Isidore,
74 ans,
propriétaire à
Hermival, pour
coups dont
ce dernier
l'aurait gratifié,
sans aucune
provocation de
sa part.
La dame
Borreniet, domestique
de M.
Grieu, se
serait jointe
à lui et
aurait elle-même
frappé M.
Binard avec
un bâton
et un
bout de
fer.
Mai 1942 - Fait divers. - Une vache malade a été abattue clandestinement, à coups de serpe, à Fauguernon, sur la ferme de M. Francis L............. Les bénéficiaires de cette viande « noire » appartiendraient à la meilleure société de Lisieux : Une intéressante audience correctionnelle en perspective.
Septembre 1946 - Les bandits de Fauguernon ont avoué leur forfait. - Nous avons relaté l’acte de banditisme dont fut victime à la fin du mois dernier Mlle Juliette Auvray, 60 ans, cultivatrice à Fauguernon. Deux
inconnus, revolver au poing, la ligotèrent et la frappèrent puis
quittèrent la ferme en emportant 50 000 fr. en espèces et 20 000 fr.
de titres. Les auteurs présumés de l’agression, Robert Denais, 31
ans, ancien débitant à Fauguernon, et son frère Marcel, 36 ans, ayant
demeuré à Lisieux, furent arrêtés peu après à Paris. Ramenés à
Lisieux, L’initiative
en reviendrait à Marcel Denais. Il est possible que cette affaire
entraîne la révélation d’autres méfaits à l’actif des deux
inculpés. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Mars
1947 - Une manifestation patriotique à Fauguernon.
–
Dimanche, à 10 h., un drapeau sera remis aux anciens combattants
de la commune. Cette cérémonie, présidée par le sous-préfet, sera
suivie de la bénédiction de l’emblème par M. le chanoine Basnel et
d’une messe solennelle. A midi
30, banquet chez M. Hachet. L’après-midi, concours de tir, et le
soir, bal. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Août 1948 - Une descente à la cave. - Céleste Paisant, 55 ans, cantonnier à Fauguernon, a été surpris comme il venait de soutirer 14 litres de cidre dans la cave de M. Raymond Fontaine, 76 ans, herbager au même lieu. Aux gendarmes, il a déclaré avoir bénéficié de la complicité d'un commis de ce dernier, Xavier Morel, 58 ans, qui avait laissé la porte du cellier ouverte pour lui permettre de s'approvisionner. A
son tour, Morel accuse Paisant d'avoir « tapé dans le
tonneau » deux fois par semaine depuis le début de l'année à
raison de 20 litres à chaque visite. (Source : Le Bonhomme Libre) |
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