Février
1848 -
Cour d'assise s du Calvados.
- Le nommé
Pierre Caron, âgé de 36 ans, journalier, né à Blangy, demeurant à
Fierville, accusé de vol au préjudice de la veuve Leproux, propriétaire
aux Parcs fontaines, a été condamné à cinq ans de travaux forcés,
sans exposition. (source : Journal de Honfleur)
Février
1853 - Réunion de communes.
- Les communes de Fierville et des Parcs-Fontaines ont été
réunies le 26 février 1853, et la commune porte depuis le nom de
Fierville-les-Parcs.
Mai
1854 - Incendies. -
Les journaux des localités voisines contiennent encore le récit
de plusieurs incendies : Le 25 avril, le feu s'est déclaré en la commune
de Fierville-les-Parcs, arrondissement de Pont-l’Évêque. Un bâtiment
qui se composait de cuisine, chambre à coucher, cave et étable a été
prèsque entièrement détruit.
On
évalue à 1 200 fr. la perte de l'immeuble, qui était assuré. On a pu
sauver une partie du mobilier. Ce sinistre parait avoir été le résultat
de la malveillance : la justice serait sur la trace du coupable. .
(source Le Journal de Honfleur)
Août
1856 - Conseil d’Arrondissement. -
Session de 1856. Séance du 30 juillet 1856.
Érection
de l'église des Parcs-Fontaines en succursale, y compris Fierville.
- Le Conseil considérant que ces deux communes réunies en une seule,
sous le nom de Fierville-les-Parcs, demandent aujourd’hui à être
érigée en succursale.
Considérant
que ces deux fractions de commune possède chacune une église ; mais que
celle placée sur l’ancien territoire des Parcs-Fontaines est en
meilleur état et placée dans un endroit plus convenable et d’un accès
plus facile, que d’ailleurs le conseil municipal avec les plus hauts
imposés de cette dernière commune ont voté un impôt extraordinaire
pour l’achat d’un presbytère, à des conditions avantageuses qui
militent en faveur de Fierville.
Émet
le vœu que l’ancienne église des Parcs-Fontaines, soit érigée en
succursale, et
que celle de Fierville y soit réunie. (Source : Le journal de
Honfleur)
Février
1870 - Fait
divers.
- Jacques
Borel, 67 ans, propriétaire-cultivateur, né à Blangy, demeurant à
Fierville-les-Parcs. 5 fr. d'amende. Usage sur sa voiture d'une plaque
portant un domicile faux ou supposé.
Avril
1870 -
Fait divers.
- Le mois
dernier, une battue a eu lieu dans le bois de Fierville-les-Parcs. Après
trois quarts d'heure de chasse, un sanglier du poids de 70 kilog., a été
tué par le sieur Deschamps, demeurant à Manneville. Le dimanche suivant,
plusieurs des chasseurs assistaient à un banquet donné par l'un des
richards du pays, auquel le sanglier tué avait été offert. On ne s'est
séparé que fort avant dans la soirée, et dans un état de gaité, qui
n'eût pas permis aux plus intrépides des chasseurs, d'ajuster et de
toucher une pièce de gibier quelque grosse qu'elle fût.
Janvier
1871 -
Fait divers.
- Une femme qui est
entrée dans sa 101e anée le 28 juillet dernier, est
décédée le 2 de ce mois à Fierville-la-Campagne, arrondissement de
Falaise. Jusqu'à son dernier moment, elle â conservé toutes ses
facultés intellectuelles.
Avril
1879 -
Demande de subvention. -
Le Conseil général, considérant
que les demandes de subvention sur les fonds de l'État, pour travaux aux
églises et aux presbytères, a été établi conformément à l'article 2
de la loi du 10 août 1871, en tenant compte de l'urgence de ces travaux,
ainsi que des charges et des ressources des communes. Prie M. le
Ministre de vouloir bien accorder aux communes les subventions demandées
pour travaux aux églises et aux presbytères, à Fierville-les-Parcs, travaux
à l'église. Montant de la dépense 5 100 fr. déficit : 1 500 fr.
Juin
1880
- Mort accidentelle. -
Jeudi, le sieur François L'Homme, âgé de 65 ans, cultivateur à
Fierville-les-Parcs, marié et père de trois enfants, est tombé
accidentellement de dessus sa voiture au moment où il voulait
relever une bourrée. Dans sa chute, ce malheureux s'est fracturé le
crâne et la mort a été presque instantanée.
Juin
1898 -
Encore un assassinat. –
Le sieur Constant
Hinfray, 62ans, charpentier, vivant seul dans une maison isolée à
Fierville-les-Parcs, canton de Blangy, a été trouvé assassiné d'un
coup de fusil au cœur, dans son jardin, devant la porte de son
habitation.
D'après
l'enquête, Hinfray aurait fait la noce samedi soir avec plusieurs
individus dont l'un nommé Jules Mesnard, 19 ans, domestique à Fierville.
Cet individu sur lequel pèsent les plus graves présomptions a disparu :
il avait volé la veille le fusil de son maître et plusieurs
cartouches.
La
victime a été surprise pendant son sommeil. C'est en se levant, à
l'appel de l'assassin, qu'il a reçu la mort au moment où il allait
ouvrir.
Dans
la même nuit, Jules Michel, journalier à Fierville-les-Parcs, a été
victime d'une tentative de meurtre commise sur sa personne et à l'aide
d'un coup de fusil dont la charge l'aurait effleuré.
Une
femme aurait fait rencontre de Mesnard et, sur son refus de lui serrer la
main, il lui aurait dit : « Ah ! vous refusez de me donner la main !
Vous avez de la chance d'être une femme, sans ça il y aurait encore de
quoi, dans mon fusil, pour vous trouer la peau ».
—
Enfin, un veau à l'herbage, au Mesnil-sur-Blangy, dans une propriété
appartenant à M. de Malhortie, maire de Tourville, a reçu également,
dans la même nuit, une quarantaine de chevrotines provenant d'un coup de
fusil.
(source le Moniteur du Calvados)
Juin
1898 -
Un alcoolique assassin. –
Jules Mesnard,
l'assassin du malheureux Anfray, charpentier, était domestique chez M.
Bellière, cultivateur à Fierville-les-Parcs. Celui-ci avait toute
confiance dans son domestique et lui laissait la garde de la maison quand
il allait au marché de Lisieux. Mesnard en profitait pour descendre à la
cave et y prendre du cidre et de l'eau-de-vie qu'il buvait toujours en
compagnie. C'est ce qui est arrivé le jour du crime. Mesnard et quatre
individus de la localité en prirent tant que, le soir, ils n'avaient plus
leur raison, Mesnard surtout. C'est alors qu'il s'empara du fusil de son
maître et se rendit au domicile du malheureux Anfray qui était couché
et le tua d'un coup de fusil
lorsqu'il ouvrit la porte. Mesnard était ivre.
C'est
donc sous l'empire de la boisson qu'il a tué Anfray, et a tiré sur le
sieur Michel qui passait sur la route de Mesnil-sur-Blangy. On ne
s'explique pas le mobile du crime, car ni le vol, ni la vengeance ne
peuvent être supposés. Mesnard est un sournois, faisant la bête, il est
méchant et brutal. On raconte qu'il aurait frappé une femme du pays avec
une fourche américaine et aurait, à la suite d'une légère
discussion, menacé son père de son couteau, grand ouvert.
Après
le crime, Mesnard n'a cessé de marcher, vivant de charité. Il est allé
à Trouville et, de là, à Honfleur. Il a été arrêté, vendredi soir,
à Norolles, après une longue course, par les sieurs Duval et
Renier, qui l'ont conduit à Lisieux, d'où il a été dirigé sur
Pont-l'Evêque. Il a raconté que, se trouvant gris, il s'était emparé
du fusil de son maître et de dix cartouches, puis qu'il s'était rendu
dans une maison voisine où il avait tué un individu qu'il ne connaissait
que depuis deux jours, avec lequel il n'avait jamais rien eu, et qu'il
n'avait certes pas l'intention de voler. Il ne se rappelle pas avoir tiré
un coup de fusil sur une autre personne. Il se souvient seulement avoir
déchargé son fusil sur une vache.
Mesnard
était chaussé de souliers et coiffé d'un chapeau qu'on lui avait
donnés à St-Julien-sur-Calonne et à Surville. Il
était mort de faim. Pour tout bagage, l'assassin avait dans ses poches un
livre de messe, un couteau et une tabatière. Il a caché le fusil, mais
il ne se souvient pas où. (source le Moniteur du Calvados)
Juin
1898 -
Réservistes et territoriaux.
–
Les réservistes
et territoriaux d'infanterie, convoqués pour accomplir une période
d'instruction en 1898, sont invités à retirer dans la première
quinzaine de juin leurs ordres d'appel qui sont déposés à la
gendarmerie de leur résidence. (source
le Moniteur du Calvados)
Novembre
1899 -
Blessure affreuse. - La dame Goubet, 67 ans, demeurant à Fierville-les-Parcs,
près Blangy-le-Château, est tombée si malheureusement en sortant, le
soir, d'un herbage sur un chemin désert qu'elle s'est cassé une jambe
au-dessus de la cheville.
La
malheureuse a dû se traîner sur les genoux jusqu'à son domicile,
éloigné de plus d'un kilomètre. Pendant le trajet, la blessure s'était
aggravée, le tibia brisé avait perforé les chairs. (source le Moniteur
du Calvados)
Novembre
1901 - Suicides. -
Le sieur Pierre
Enguehard, 65 ans, cultivateur à Saint-Martin-des-Besaces, arrondissement
de Vire, s'est pendu dans un hangar isolé. Le sieur Enguehard, qui avait
déjà tenté de se suicider, il y a une quinzaine de jours, à l'aide
d'un fusil, avait quitté son domicile le matin sans dire où il allait.
C'est en ne le voyant pas revenir pour dîner que sa servante et le sieur
Jamet se sont mis à sa recherche.
—
Le sieur Colette, 49 ans, a été trouvé pendu à un pommier dans un
herbage de Fierville-les-Parcs, près Blangy, Colette, par suite de
douleurs, ne pouvant plus travailler, se trouvait dans la plus
grande misère, voilà pourquoi il s'est donné la mort. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Mai
1919 -
Une pèche interdite. - Gustave
Riquier, 19 ans, né à Quetteville, demeurant à Fierville-les-Parcs, et
Joseph Hours, 23 ans, né à Norolles, demeurant au Breuil-en-Auge.
ont péché à la main dans un ruisseau
dont le cours avait été détourné. Poursuivis par l'Administration des
Eaux et Forêts. Ils sont condamnés chacun à 30 francs d'amende.
Mai
1927 - Les méfaits
de l'orage. - Avec les
premières chaleurs sont arrivés les premiers orages. D'une façon
générale, ces pluies violentes ont fait le plus grand bien aux cultures
mais certains accidents, causés par la foudre sont à déplorer :
À
Fierville-les-Parcs, canton de Blangy-le-Château, un bœuf et une vache
prête à vêler, appartenant M. Goulley, ont été tués.
De
même à Fontenay-le-Pesnel ou une vache, à M. Pieplu, a été
foudroyée.
Tout
près de là, à Tilly-sur-seulles, le fluide est tombé sur le bureau de
poste, interrompant les communications téléphoniques.
A
Argences, il est tombé en 20 minutes 41 millimètres d'eau ce qui, de
mémoire d'homme, ne s'était jamais vu. Aussi, par suite de
l'insuffisance des égouts, les rues ont-elles été un moment
transformées en torrents et de nombreux rez-de-chaussée inondés.
Enfin,
à Pont-l'évêque, un poteau télégraphique, route de Lisieux, a été
sectionné par la foudre qui est également tombée sur le garage Even,
rue d'Alençon, où les dégâts ont été purement matériels.
Août
1927 -
L'Amérique humide. - L'autre
nuit, Mme David ménagère à Fierville-les-Parcs, était réveillée par
un bruit terrible, une auto, enfonçant porte et devanture, était entrée
dans sa remise. Quant au chauffeur, complètement ivre, il insulta Mme
David et Laurent.
Il
s'agit du valet de chambre de M.Schiff, villa « Val Fleury »,
à Hennequeville, l'américain Frederick Thomas, qui, profitant de
l'absence de son patron, avait pris l'auto pour faire un tour, il n'avait
ni permis, ni pièces d'identité.
Le
préjudice de Mme David est de 3500 francs.
Août
1932 -
De mal en pis. -
En voulant sauver son chien qui allait être écrasé par une auto,
Mme veuve Constant Leverrier, 52 ans, secrétaire de mairie à
Fierville-les-Parcs, canton de Blangy-le-Château, a été heurtée par la
voiture conduite par M. Firmin Morin, cultivateur à Saint-Sylvain, et
traînée sur une dizaine de mètres.
Mme
Leverrier a eu la jambe droite fracturée et une épaule contusionnée.
(Bonhomme Normand)
Septembre
1932 -
Le dévouement honoré.
- 81
ans d'âge, 66 ans secrétaire de mairie, 31 ans maire, tels sont, très
résumés, les titres vraiment exceptionnels de M. Ernest Boisbluche,
toujours adjoint à Fierville-les-Parcs et doyen des secrétaires de
mairie du Calvados. A ces litres, il convient d'en ajouter d'autres, aussi
précieux : la fidélité normande, le désintéressement, la bonté,
l'amour persistant du travail.
En
l'honneur de cet exemplaire aïeul, les plus hautes personnalités du
département étaient réunies, l'autre matin, par temps frais et clair,
sous un vieux pommier, près de la vieille église, célèbre pour son
retable. Tour autour, la population au grand complet, drapeaux et
oriflammes sortis.
Le
premier, M. Deshayes, maire, conseiller d'arrondissement et organisateur
de la fête, chanta le los du bon ancêtre et lui remit un bronze
souvenir, offert par souscription publique. Puis ce fut le préfet qui
accrocha, sur la poitrine de M. Boisbluche, les palmes académiques,
confuse, sans doute, de récompenser de si longs mérites. Enfin. M.
Chéron souligna éloquemment la leçon de cette belle vie, toute
consacrée au bien public.
Un
arrêt à la mairie, et l'on se rendit à l'auberge du Dauphin, au
Breuil-en-Auge où, après un remarquable banquet normand, les discours
reprirent. Encensé de nouveau par le maire, le sous-préfet. le juge de
paix, le curé et le président du Conseil Général, M. Boisbluche, aussi
robuste et souple qu'un bois vert, remercia dans une charmante allocution,
nécessairement très applaudie. Ainsi se termina cette émouvante
journée, ou furent glorifiés, comme il convenait, les vertus fécondes
du paysan de France. (Bonhomme Normand)
Novembre
1936 - Un
motocycliste est tué.
-
A
la nuit tombante un motocycliste, Gaston Guillouet, âgé de 51 ans,
ouvrier électricien à la Centrale Electrique de la Goulaffre.
revenait de Pont-l'Evèque à son domicile. Le passage à niveau
était fermé mais Guillouet, assez pressé, ouvrit le portillon et
poussant sa machine à la main, se mit en devoir de traverser la voie.
Le
chef de gare qui se trouvait à ce moment sur le quai, voyant le danger,
cria à l'imprudent motocycliste : « Attention, voilà le train ! ».
Hélas ! Guillouet ne prit pas garde à l'avertissement qu'il n'entendit
sans doute pas et traversa.
A
ce moment, une motrice faisant le service des marchandises entre Lisieux
et Honfleur arriva sur lui. Le malheureux fut happé par la machine et
traîné sur une quinzaine de mètres.
Les
personnes présentes se précipitèrent, à son secours, mais son corps,
horriblement déchiqueté, fut trouvé, à
quelque vingt mètres du passage à niveau, une plaie béante au
sommet du crâne d'où s'échappait de la matière cérébrale permit à
MM. les docteurs Maurin et Bureau, de Pont-l'Evêque, mandés en toute
hâte, de conclure à une mort instantanée.
Quant
à la motocyclette, elle fut projetée sur le talus à 40 mètres du
cadavre.
(Source : Le Moniteur du
Calvados)
Août
1937 -
Un hangar détruit par le feu.
- Un
incendie a détruit un hangar de la ferme exploitée par M. Louis Bourdon,
cultivateur à Fierville-Ia-Campagne, ainsi que le matériel qu'il
renfermait. Les dégâts s'élèvent à 3 000 francs. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1938 -
Deux arrestations.
- L'autre
matin, M. Robert Bouffay, 43 ans, cultivateur à Bray-la-Campagne,
constatait qu'au cours de la nuit des malfaiteurs s'étaient introduits
dans un pigeonnier lui appartenant et avaient fait main-basse sur une
douzaine de pigeons.
La
gendarmerie, prévenue, porta ses soupçons sur l'un des employés de M.
Bouffay. René Durel, 23 ans, de fort mauvaise réputation. S’étant
rendus chez la mère de Durel, à Fierville-la-Campagne, les gendarmes
découvrirent dans l'âtre d'une cheminée la carcasse d'un pigeon.
Plusieurs autres volailles furent trouvées dans une armoire.
Interrogé,
Durel passa bientôt des aveux et déclara qu'il avait commis le vol en
compagnie d'un camarade, Paul James, 30 ans, journalier, demeurant
également à Fierville. James, questionné à son tour, reconnut les
faits. Les deux malfaiteurs ont été arrêtés.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Mars
1938 -
De nouveaux monuments historiques.
- Des
monuments viennent d'être classés dans diverses communes du Calvados. Ce
sont, à Bernières-sur-Mer, les pavillons du XVIIe
siècle du château ; à Saint-André-sur-Orne, le chœur de
l'église ; à Sept-Vents, dans l'ancien prieuré bénédictin de
Saint-Laurent, le retable de l'ancienne chapelle et une statue au-dessus
de la porte d'entrée ; à Tierceville, dans l'église paroissiale, les
fonts baptismaux ; à Longues-sur-Mer, dans l'église, une statue du XVIe siècle
; à Ver-sur-Mer, dans l'église, un bas-relief du XIVe
siècle; à Fierville-les-Parcs, dans l'église, un retable et deux
bois sculptés ; à Blainville, dans l'église, un retable et deux statues
; à Bénouville, dans l'église, le tabernacle ; à Vaux-sur-Seulles,
dans l'église, une toile de Jean Restout. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Mai
1938 - Encore
un bois en feu. - Par
suite d'une imprudence — malheureusement trop fréquente à l'heure
actuelle — le feu s'est déclaré, dans un bois appartenant à M.
Vivien, de Lisieux, un hectare et demi a été ravagé. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Septembre
1945 -
Adduction d'eau pour besoins agricoles, hygiène rurale.
-
Toute commune doit avoir une adduction d'eau potable. Des points
d'eau pour besoins agricoles doivent être établis partout où il est
nécessaire.
L'hygiène
rurale nécessite l'installation de bains douches communaux, de terrains
de sports, de dispensaires de consultations de nourrissons, de gouttes de
lait dans toute agglomération
de plus de 1 000 habitants. Les locaux scolaires devront
répondre aux données de l'hygiène moderne.
Septembre
1945 -
Arrêt du train de la halte de Fierville-les-Parcs.
-
Le conseil général du Calvados émet le vœu que le train 2 307
partant de Lisieux à 18 H 35 s'arrête chaque jour à la Halte de
Fierville-les-Parcs afin de permettre aux habitants de cette commune, de
la commune chef-lieu de canton de Blangy-le-Chateau, ainsi que de cinq
autres communes voisines de rentrer à leur foyer à une heure convenable
dans la période d'hiver où les jours sont courts et les routes
mauvaises.
Octobre
1946 -
Une heureuse amélioration. -
Alerté
par les usagers du chemin de fer des gares du Breuil-en-Auge et de
Fierville-les-Parcs désireux de voir un train s’arrêter au début de l’après-midi
dans la direction de Lisieux, avec retour vers la fin de la journée, M.
Caplan, conseiller général est intervenu prés de la S.N.C.F. L’horaire
va paraître prochainement. Il serait question de 14 h. aller et 17 h. 30
retour. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Novembre
1947 -
A nous la liberté !
- Deux prisonniers boches « transformés »
employés chez Mlle Marthe Heuzey, cultivatrice à Fierville-les-Parcs,
dérobaient du beurre et de la crème qu’ils vendaient ou donnaient à
diverses personnes du Breuil-en-Auge. Les receleurs comparaîtront en
correctionnelle en même temps que leurs bienfaiteurs. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Août
1949 -
Un camion auto tombe dans la Touques. - Ébloui
par le soleil le chauffeur d'un camion de l'usine de l'Électricité de
France, à Pont-l'Évêque, qui franchissait un pont de la Touques à
Fierville-les-Parcs, a jeté son véhicule contre le parapet en bois de
l'ouvrage.
La voiture a fait une chute de plusieurs mètres dans la rivière. Son
conducteur s'en est tiré avec des blessures légères. ( Le Bonhomme
Libre )
Septembre
1950 -
Un télescopage à Fierville-les-Parcs.
-
Surpris par l'arrêt
brusque d'un camion d'une entreprise d'Ivry qui le précédait, un
automobiliste, M. Pierre Jung, 39 ans, éleveur à Sainte-Gauburge (Orne)
a jeté sa voiture contre l'arrière du lourd véhicule.
Quatre
personnes ont été blessées, elles ont reçu à l'hôpital de Pont-l’Évêque
les soins que nécessitait leur état. (Le Bonhomme Libre)
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