1er Mai 2025 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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MONDRAINVILLE | ||
Canton de Évrecy |
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avaient
été volés la nuit précédente. Après quelques jours de recherches,
il découvrit qu'ils avaient été conduits à Condé chez un sieur
Mallet. Il s'y rendit aussitôt, reconnut ses moutons, et apprit que
celui lui les avait amenés se nommait Anger ou Angée, mais celui-ci,
loin de se représenter, prit la fuite, et s'est soustrait assez
longtemps aux poursuites de la justice. On
informa contre lui à Vire, et, par arrêt du 19 août suivant, la
chambre des mises en accusation le renvoya devant la Cour d'assises pour
y être jugé par contumace. Le
11 avril 1832, une vache fut volée, pendant la nuit, dans une étable dépendant
de la maison d'un sieur Lelibois, cultivateur à Campandré. La porte de
cette étable avait été ouverte à l'aide d'une planche que le
malfaiteur avait arrachée. Lelibois
apprit que sa vache avait été vendue au marché de Caumont.
Il se transporta sur les lieux, et parvint à la retrouver. Les
renseignements qu'il prit lui firent soupçonner que l'auteur du vol
commis à son préjudice devait être le nommé Armand Eugène, dit Angée. Dans
la nuit du 16 au 17 du même mois, une autre vache fut volée dans l'étable
du sieur Pedos, cultivateur à Cahagnes. Vendue le lendemain à la
foire d'Harcourt, elle fut reconnue
entre les mains d'un
sieur Lemonnier, qui venait de l'acheter, et qui déclara la tenir d'un
nommé Armand Eugène, dit Anger. Cet
individu fut arrêté peu de jours après dans la commune de
Mondrainville. Une
nouvelle information eut lieu, et les deux affaires ont été jointes
par ordonnance de M. le président. Armand
Eugène, dit Angée ou Anger, est âgé de 25 ans, il ignore le lieu de
sa naissance, il est enfant naturel, et a été élevé à l'hospice
d'Avranches, il se dit sans domicile. Déclaré coupable sur tous les chefs d'accusation, il a été condamné à huit ans de travaux forces et à l'exposition. (Mémorial du Calvados)
Août
1843 -
Chronique des Assises du Calvados.
- Le deux avril dernier, les nommés Lecouturier et
Lelevé, qui servaient en qualité de domestiques chez M. Macé,
cultivateur à Mondrainville, volèrent de concert une blouse, une
montre en argent et une petite somme de 4 fr. dans le domicile de leur
maître et au préjudice de l'un de leurs camarades, le sieur Héron,
puis quittèrent la maison. Arrivés dans la commune de Lantheuil, ils
entrent dans un cabaret où se trouvaient un mendiant, nommé Hèlain,
en compagnie d'une fille Thomas, sa maîtresse. Lecouturier
et Lelevé furent si indiscrets devant Hélain et la fille Thomas que
ceux-ci les menacèrent d'aller les dénoncer s'ils ne partageaient le
butin qu'il avaient volé dans la matinée ; par ce moyen Hélain
s'empara de la montre, la partie la plus importante du vol. Ce
partage fait, et devenus bons amis, nos voleurs se mirent en train de
dépenser les quatre francs volés. Les bouteilles de cidre se
succédaient lorsque Héron survint dans le cabaret et réclama sa
blouse qui était sur le dos de Lelevé et sa montre dont Hélain
s'était emparé. Une
plainte fut portée le jour même et nos quatre voleurs furent
arrêtés. Ils ont été condamnés, Lecouturier et Lelevé à 13 mois
d'emprisonnement, et Georges Hélain et la fille
Avril 1855 - La fraude sur le lait. - Il n'est pas hors de propos de mentionner que, à la dernière audience du tribunal correctionnel de Caen, un marchand de lait, demeurant à Caen, et un cultivateur de Mondrainville, ont été condamnés pour avoir vendu du lait falsifié par un mélange d'eau. Nous
voulons espérer que ces exemples de répression auront pour excellent
effet de faire disparaître la fraude ; à défaut de la probité
commerciale, la crainte salutaire des peines correctionnelles amènera
le ferme propos ; le lait ne sera plus falsifié, la surveillance
soutenue et la perspective du régime de la prison, sont des pèse-lait
de nature à rassurer les consommateurs. (Source : L’Indicateur
de Bayeux)
Avril
1864 -
Par arrêté du 4 avril.
- M.
le préfet du Calvados a nommé M. Le Bidois, membre du Conseil
municipal, maire de la commune de Mondrainville, en remplacement de M.
Chéruet démissionnaire. (l’Ordre et la Liberté)
Janvier
1867 -
Un incendie.
- Lundi, 14
janvier, vers deux heures de l'après-midi,
un incendie, qui aurait pu avoir des suites terribles, a éclaté au
domicile de M. Cheruet, maître de poste à Mondrainville, canton de
Tilly-sur-Seulles. Voici
les détails que nous avons pu recueillir sur ce sinistre : la servante
de M. Cheruet, ayant eu besoin de s'absenter, n'eut pas la précaution
de couvrir le feu avant son départ. Durant son absence, le feu prit
dans la cheminée, et ce ne fut qu'à son retour que l'on s'aperçut de
ce commencement d'incendie. Immédiatement on appela du secours, mais
malheureusement, sur l'ordre de M. Chéruet, la cheminée fut bouchée
par les deux bouts, ce qui la fit éclater. Aussitôt les flammes se
communiquèrent à un grenier rempli de foin, situé près de la
cheminée. On
s'empressa d'avertir les pompiers de Cheux, qui accoururent en toute
hâte. Ça
n'a été qu'avec beaucoup de peine, et après un long travail, qui n'a
pas duré moins de cinq heures, qu'ils sont parvenus à se rendre
maître du feu. Bien
que l'on ne puisse pas encore préciser le chiffre exact des pertes, il
est cependant évalué approximativement à une somme de 12 000 francs. La
maison d'habitation et une bonne partie des meubles ont été détruits,
le foin a été également brûlé, et sans le dévouement et le courage
dont les pompiers ont fait preuve, tout le corps de bâtiment où se
trouvait encore du blé, de la cameline, etc., serait fatalement devenu
la proie des flammes.
Mars
1867 -
Le printemps en avance. -
La végétation est tellement avancé dans notre contrée que les
abricotiers sont en fleurs. D'ici huit jours au plus, les poiriers et
les guiguiers vont épanouir leurs boutons nombreux cette année. Si la
fin de l'hiver et le commencement du printemps sont favorables, il y
aura une récolte abondante. L'herbe pousse...... Les gros bœufs reparaissent...... Les dindes s'en vont avec les gras jours.
Mars
1867 -
Une décision. -
Par décision du 30 mars, M. le Préfet a autorisé à diriger
des classes d'adultes : M. Yon, instituteur public à Mondrainville ; et
Mme Gripon,
Juin
1875
- Les orages. -
L'orage
qui a éclaté avec tant de violence sur notre ville jeudi soir, s'est
également fait sentir sur différents points du
département. Rappelons
qu'à Caen, venelle Buquet,
le fluide, après avoir en partie détruit un petit pavillon, a suivi la
toiture et a descendu dans la cour voisins le long de la gouttière de
la maison occupée par M. Gall, restaurateur, en face de la
poissonnerie, à trois mètres de hauteur, il a percé le mur en broyant
une pierre, dont on a pas retrouvé de traces, et est entré dans la
cuisine de M. Gall, où il a tordu et fondu les conduits à gaz et
blessé légèrement M. Gall au cou. Dans la quartier, plusieurs enfants
sont tombés au même moment par la force de la commotion, mais sans
avoir aucun mal. La
foudre est également tombée sur la seuil de la porte d'entrée de la
salle d'asile, située place des Petites Boucheries. Les enfants
étaient encore à l'école, la femme Perdrieu, marchande de volailles,
rue Bicoquet, qui entrait en ce moment dans la cour, pour aller chercher
son enfant, a été renversée, et est restée environ 20 minutes sans
connaissance. Sur
la ligne télégraphique de Caen à Creully (territoire de Caen), la
foudre a brisé les fils et endommagé trois poteaux. A
Lisieux,
place du Marché-aux-Chevaux, la foudre a crevé le toit d'une maison,
réduit en morceaux du linge étendu dans le grenier, puis elle est
descendue par la tuyau de la gouttière, qu'elle a crevé à un mètre
vingt environ du sol. La commotion électrique a été si violente
qu'une personne réfugiée sous une porte cochère a été renversée. A
Ouilly-le-Vicomte,
elle est tombée dans la ferme de M. Requier, sur un poirier qu’elle a
partagé en deux, comme l’eut fait une scie. A
l'Abbaye,
elle a pénétré dans la pièce où les jeunes pensionnaires externes
déposent les petits paniers contenant leurs provisions pour le goûter
et la collation, elle a bouleversé les pitances et détérioré les
paniers. Route
de Lisieux à Caen,
vers la milieu de la
côte, la foudre a creusé un trou de soixante à quatre-vingts
centimètres de diamètre,
projetant au loin les cailloux et la terre. A
Mondrainville,
un incendie causé par la
foudre a consumé la
toiture en chaume d'une maison
d'habitation un
pressoir, des objets mobiliers
et pour 200 fr.
de bois de travail appartenant au
sieur Victor Bidel, menuisier. A
Escure-sur-Favières,
vers quatre heures du soir, on a trouvé le cadavre de la femme
Séraphin Porat, veuve Vincent, âgée de 61 ans, journalière en cette
commune, Elle avait été tuée par la foudre.
Août 1878 - Secours. - Le Ministre de Instruction publique vient d'accorder les secours ci-après pour construction ou appropriation des bâtiments scolaires, savoir : Mittois, 3 200 Fr. ; Estry, 3 000 fr. ; Rocquancourt, 2 800 fr. ; Les Oubeaux, 2 700 fr. ; Feuguerolles-sur-Seulles, 1 200 fr. ; Fontaine-Etoupefour, 1 200 fr. ; Sannerville, 700 fr. ; Beaumais, 600 fr. ; St-Marc-d'Ouilly, 530 fr. ; Mondrainville, 400 fr. ; St-Aubin-d'Arquenay, 400 fr.
Avril
1879 -
Répartition de secours pour les bâtiments communaux.
- Le
Conseil répartit entre les communes inscrites ci-après une somme de 13
130 fr. à prélever sur le crédit de- 15 000 fr. porté au budget de
1879 sous le titre : Subvention pour acquisitions, travaux et
réparations d'églises, mairies et autres édifices communaux.
Octobre 1893 - Suicide. - Jeudi, on a trouvé dans l'Odon, à Mondrainville, le cadavre de Jeanne Almyre, née Desmoulins. Cette malheureuse s'adonnait à l'ivrognerie et avait, à plusieurs reprises, manifesté l'intention de se tuer. (Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1898 - Incendies. - De 3 000 bottes de paille de blé et 2 000 d'orge au sieur Antoine, à Mondrainville. Perte, 1 500 fr. — D'un corps de bâtiment au sieur Lemonnier, à St-Germain-de-Tallevende. Perte, 5 800 fr. — D'une meule de paille au sieur Verrier, à St-Sylvain. Perte, 200 fr. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1901 - Indulgence mal placée. - Au mois de février, la cour d'assises du Calvados condamnait Louis Marie dit Guillot, 39 ans, aux travaux forcés à perpétuité, et Gustave Morin, 26 ans, à cinq ans de réclusion, pour avoir, à la sortie de Caen, essayé d'étrangler, pour le voler, le sieur Barette, maçon à Verson. Ces deux individus s'étaient associés avec Ferdinand Dèrobert, 27 ans, marchand de volailles à Mondrainville, condamné à sept ans de réclusion pour vol. Tous les trois s'introduisaient une nuit chez le sieur Delivet, propriétaire à Montilly, et, après l'avoir bâillonné et frappé, lui, enlevaient 200 fr. Ils devaient comparaître devant la cour d'assises de l'Orne, mais, par suite de l'absence de deux témoins, l'affaire a été renvoyée. L'acte d'accusation nous apprend que la peine de travaux forcés à perpétuité prononcée contre Marie avait été réduite à dix ans. Nous serions curieux de connaître les titres de ce brigand à cet acte de clémence. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mars 1912 - Encore les maraudeurs. - des maraudeurs mettaient au pillage l'autre jour, comme nous l'avons relaté, le poulailler de Mme Chauveau, chef de gare à Mondrainville. Pareille aventure est arrivé chez Mme Antoine, cultivatrice en cette même localité ; on lui a dérobé sept ou huit poules pour une valeur d'une trentaine de francs. Mme Antoine soupçonne un individu de Noyers d'être le coupable ; une des servantes de la maison lui aurait ouvert la porte du jardin sans toutefois soupçonné peut-être qu'il vint pour voler mais tout simplement pour lui rendre visite, car ils étaient dans les meilleurs termes le ensemble.
Août 1923 - Trop galant. - Louis Chesnel, 58 ans, journalier à Mondrainville, travaillait dans un champ avec la femme Lacour. Il tint des propos déplacés à cette dernière qui le traita de polisson. Une discussion éclata, et Chesnel serra fortement les poignets de la femme Lacour. Une journée de travail.
Octobre
1926 -
Brebis dévorée.
- M.
Léon
Larue,
cultivateur
à la
ferme
de la
Vallée,
a trouvé
dans
l’herbage
où son
troupeau
était
en pâture,
une de
ses brebis
gisant
prés
de la
barrière.
Elle avait dû être mordue par un chien et M. Larue fut obligé de l'abattre sa perte s'élève 600 fr. Une enquête est ouverte.
Janvier
1930 -
Le feu à la ferme. Un
incendie provoqué par la chute d'une lanterne sur le lit d'un
domestique, a complètement détruit un bâtiment long de trente mètres
et large de huit,
servant d'écurie, de grange et de hangar, dépendant de la ferme de M.
de Pierrepont. La
construction étant couverte, en chaume, le feu prit une rapide
extension, et lorsque les pompiers de Mouen, mandés,, arrivèrent sur
les lieux, ils ne purent que protéger les bâtiments voisins. 50
000 kilos de betteraves, 1 500 bottes de foin, des harnais, etc… ont
été la proie des flammes Les dégâts, atteignant 13 000 francs
environ, sont couverts partiellement par une assurance.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Octobre 1932 - Monuments historiques. - L'église de Mondrainville (XIIIe et XIVe siècles), est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.
Janvier 1937 - Un neurasthénique se noie dans une mare. - On a découvert dans une mare le cadavre d'un journalier, nommé Emilien Trillest, 39 ans, au service de M. Leclerc, au manoir de Colleville. Trillest,
souffrait depuis une dizaine de jours de troubles mentaux, accentués,
et c'est dans un moment de dépression nerveuse qu 'il a mis fin à ses
jours. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Août 1939 - Dans la nuit une automobile renverse deux piétons. – A Mondrainville, vers 21 h. 45, une automobile pilotée par M. Gabriel Picodeau, 45 ans, plombier, demeurant rue du Moulin, 23, à Caen, a renversé deux piétons, M. et Mme Quedeville, du Locheur. Demeurés engagés sous la voiture, les époux Quedeville furent dégagés non sans peine par M. Picodeau. Sérieusement blessés, aux jambes et atteints de multiples contusions, ils ont été transportés à l'hôpital de Caen, après avoir reçu les premiers soins de M. le docteur Hauttement, de Villers-Bocage. L'automobiliste
a déclaré qu'ébloui par les phares d'une voiture roulant dans la
direction opposée à celle qu'il suivait, il n'avait pas aperçut les
victimes. (Source : Le
Moniteur du Calvados)
Mars
1945 -
Les engins de
guerre abandonnées font de nouvelles victimes.
- En
manipulant une grenade sur le bord de la route, trois enfants de
Mondrainville, Guy
Novembre
1947 -
Des récoltes flambent.
- Pour une cause
inconnue, un incendie a détruit, à Mondrainville, deux meules de foin
appartenant à M. Cantelou, cultivateur. Les dégâts s’élèvent à
250 000 francs. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Juin 1948 - Une auto capote à Mondrainville. - Samedi, dans la matinée, une automobile, pilotée par M. Brisson, cultivateur à Saint-Germain-de-Tallevende, dans laquelle avaient pris place Mme Brisson et deux de leurs voisins également cultivateur, M. et Mme Joseph Robert, se dirigeait à bonne allure vers Caen, quand, dans la traversée de Mondrainville, par suite de l’éclatement du pneu arrière gauche du véhicule, la voiture se renversa dans un fossé. Des
témoins se portèrent au secours des occupants. Mme Robert, mère de
sept enfants, avait été tuée sur le coup. Mme Brisson qui se trouvait
à ses côtés, fut assez sérieusement blessée et dut être
transportée d'urgence chez son fils, garagiste à Mondeville. M. Robert
ne partait que des légères blessures au visage et M. Brisson s'en
tirait absolument indemne. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1949 -
Le Calvados à l'honneur.
- Enfin
! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un
nombre imposant de localités de notre département viennent
de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur
martyre au cours des combats pour la libération.
Voici
l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en
espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt
ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les
lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R
: régiment ; D : division. Arrondissement
de Caen
Canton de Tilly-sur-Seulles. - Tilly-sur-Seulles (D) ; Brouay (R) ; Cheux (R) ; Cristot D) ; Fontenay-le-Pesnel (D) ; Grainville-sur-Odon (D) ; Juvigny (R) ; Le Mesnil Patry (R) ; Mondrainville (R) ; Norrey-en-Bessin (R) ; Rots (R) ; Saint Manvieu (R) ; Saint-Vaast-sur-Seulles (R) ; Tessel (R) ; Vendes (R). (Source : Le Bonhomme Libre)
Décembre 1949 - Mondrainville à l’honneur. - En présence de la population réunie au cimetière près de la plaque à la mémoire des morts de 14-18, le colonel Le Bideau, commandant la Subdivision de Caen, a épinglé sur un coussin que lui présenta Mlle Christiane Davout, dont la maman fut tuée au cours des combats de l'été 1944, la Croix de Guerre vaillamment gagnée par la commune. Parmi
les personnalités on notait : MM. Livry-Level, conseiller
général ; Desoil, maire, et les membres du Conseil municipal,
ainsi qu'une délégation de la ville d'Eaubonne, marraine de
Mondrainville. ( Le Bonhomme Libre ) |
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1 Grande Ferme de MONDRAINVILLE | |||
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