1er Mai 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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MONDRAINVILLE

Canton de Évrecy

Les habitants de la commune sont des Mondrainvillais, Mondrainvillaises


Février 1833    -    Cour d’Assises du Calvados.   -   Le 14 mai 1831 un sieur Onfroy, cultivateur à Viessoix, arrondissement de Vire, s'aperçut que neuf moutons qu'il renfermait dans un petit bâtiment dépendant de son habitation,

avaient été volés la nuit précédente. Après quelques jours de recherches, il découvrit qu'ils avaient été conduits à Condé chez un sieur Mallet. Il s'y rendit aussitôt, reconnut ses moutons, et apprit que celui lui les avait amenés se nommait Anger ou Angée, mais celui-ci, loin de se représenter, prit la fuite, et s'est soustrait assez longtemps aux poursuites de la justice.

On informa contre lui à Vire, et, par arrêt du 19 août suivant, la chambre des mises en accusation le renvoya devant la Cour d'assises pour y être jugé par contumace.

Le 11 avril 1832, une vache fut volée, pendant la nuit, dans une étable dépendant de la maison d'un sieur Lelibois, cultivateur à Campandré. La porte de cette étable avait été ouverte à l'aide d'une planche que le malfaiteur avait arrachée.

Lelibois apprit que sa vache avait été vendue au marché de  Caumont. Il se transporta sur les lieux, et parvint à la retrouver. Les renseignements qu'il prit lui firent soupçonner que l'auteur du vol commis à son préjudice devait être le nommé Armand Eugène, dit Angée.

Dans la nuit du 16 au 17 du même mois, une autre vache fut volée dans l'étable du sieur Pedos, cultivateur à Cahagnes.  Vendue le lendemain à la foire d'Harcourt, elle fut reconnue  entre les mains d'un sieur Lemonnier, qui venait de l'acheter, et qui déclara la tenir d'un nommé Armand Eugène, dit Anger.

Cet individu fut arrêté peu de jours après dans la commune de Mondrainville.

Une nouvelle information eut lieu, et les deux affaires ont été jointes par ordonnance de M. le président.

Armand Eugène, dit Angée ou Anger, est âgé de 25 ans, il ignore le lieu de sa naissance, il est enfant naturel, et a été élevé à l'hospice d'Avranches, il se dit sans domicile.

Déclaré coupable sur tous les chefs d'accusation, il a été condamné à huit ans de travaux forces et à l'exposition. (Mémorial du Calvados)

 

Août 1843   -  Chronique des Assises du Calvados.   -   Le deux avril dernier, les nommés Lecouturier et Lelevé, qui servaient en qualité de domestiques chez M. Macé, cultivateur à Mondrainville, volèrent de concert une blouse, une montre en argent et une petite somme de 4 fr. dans le domicile de leur maître et au préjudice de l'un de leurs camarades, le sieur Héron, puis quittèrent la maison. Arrivés dans la commune de Lantheuil, ils entrent dans un cabaret où se trouvaient un mendiant, nommé Hèlain, en compagnie d'une fille Thomas, sa maîtresse.

Lecouturier et Lelevé furent si indiscrets devant Hélain et la fille Thomas que ceux-ci les menacèrent d'aller les dénoncer s'ils ne partageaient le butin qu'il avaient volé dans la matinée ; par ce moyen Hélain s'empara de la montre, la partie la plus importante du vol.

Ce partage fait, et devenus bons amis, nos voleurs se mirent en train de dépenser les quatre francs volés. Les bouteilles de cidre se succédaient lorsque Héron survint dans le cabaret et réclama sa blouse qui était sur le dos de Lelevé et sa montre dont Hélain s'était emparé.

Une plainte fut portée le jour même et nos quatre voleurs furent arrêtés. Ils ont été condamnés, Lecouturier et Lelevé à 13 mois d'emprisonnement, et Georges Hélain et la fille Thomas à 3 ans de la même peine. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Avril 1855   -  La fraude sur le lait.   -  Il n'est pas hors de propos de mentionner que, à la dernière audience du tribunal correctionnel de Caen, un marchand de lait, demeurant à Caen, et un cultivateur de Mondrainville, ont été condamnés pour avoir vendu du lait falsifié par un mélange d'eau.

Nous voulons espérer que ces exemples de répression auront pour excellent effet de faire disparaître la fraude ; à défaut de la probité commerciale, la crainte salutaire des peines correctionnelles amènera le ferme propos ; le lait ne sera plus falsifié, la surveillance soutenue et la perspective du régime de la prison, sont des pèse-lait de nature à rassurer les consommateurs. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Avril 1864   -   Par arrêté du 4 avril.   -   M. le préfet du Calvados a nommé M. Le Bidois, membre du Conseil municipal, maire de la commune de Mondrainville, en remplacement de M. Chéruet démissionnaire. (l’Ordre et la Liberté)

 

Janvier 1867   -   Un incendie.   -   Lundi, 14 janvier, vers deux heures de l'après-midi, un incendie, qui aurait pu avoir des suites terribles, a éclaté au domicile de M. Cheruet, maître de poste à Mondrainville, canton de Tilly-sur-Seulles.

Voici les détails que nous avons pu recueillir sur ce sinistre : la servante de M. Cheruet, ayant eu besoin de s'absenter, n'eut pas la précaution de couvrir le feu avant son départ. Durant son absence, le feu prit dans la cheminée, et ce ne fut qu'à son retour que l'on s'aperçut de ce commencement d'incendie. Immédiatement on appela du secours, mais malheureusement, sur l'ordre de M. Chéruet, la cheminée fut bouchée par les deux bouts, ce qui la fit éclater. Aussitôt les flammes se communiquèrent à un grenier rempli de foin, situé près de la cheminée.

On s'empressa d'avertir les pompiers de Cheux, qui accoururent en toute hâte.

Ça n'a été qu'avec beaucoup de peine, et après un long travail, qui n'a pas duré moins de cinq heures, qu'ils sont parvenus à se rendre maître du feu.

Bien que l'on ne puisse pas encore préciser le chiffre exact des pertes, il est cependant évalué approximativement à une somme de 12 000 francs.

La maison d'habitation et une bonne partie des meubles ont été détruits, le foin a été également brûlé, et sans le dévouement et le courage dont les pompiers ont fait preuve, tout le corps de bâtiment où se trouvait encore du blé, de la cameline, etc., serait fatalement devenu la proie des flammes.  

 

Mars 1867   -   Le printemps en avance.   -   La végétation est tellement avancé dans notre contrée que les abricotiers sont en fleurs. D'ici huit jours au plus, les poiriers et les guiguiers vont épanouir leurs boutons nombreux cette année. Si la fin de l'hiver et le commencement du printemps sont favorables, il y aura une récolte abondante.

L'herbe pousse...... Les gros bœufs reparaissent...... Les dindes s'en vont avec les gras jours. 

 

Mars 1867   -   Une décision.    -   Par décision du 30 mars, M. le Préfet a autorisé à diriger des classes d'adultes : M. Yon, instituteur public à Mondrainville ; et Mme Gripon, institutrice à Glanville.

 

Juin 1875   -   Les orages.  -  L'orage qui a éclaté avec tant de violence sur notre ville jeudi soir, s'est également fait sentir sur différents points du département. Rappelons qu'à Caen, venelle Buquet, le fluide, après avoir en partie détruit un petit pavillon, a suivi la toiture et a descendu dans la cour voisins le long de la gouttière de la maison occupée par M. Gall,  restaurateur, en face de la poissonnerie, à trois mètres de hauteur, il a percé le mur en broyant une pierre, dont on a pas retrouvé de traces, et est entré dans la cuisine de M. Gall, où il a tordu et fondu les conduits à gaz et blessé légèrement M. Gall au cou. Dans la quartier, plusieurs enfants sont tombés au même moment par la force de la commotion, mais sans avoir aucun mal.

La foudre est également tombée sur la seuil de la porte d'entrée de la salle d'asile, située place des Petites Boucheries. Les enfants étaient encore à l'école, la femme Perdrieu, marchande de volailles, rue Bicoquet, qui entrait en ce moment dans la cour, pour aller chercher son enfant, a été renversée, et est restée environ 20 minutes sans connaissance.

Sur la ligne télégraphique de Caen à Creully (territoire de Caen), la foudre a brisé les fils et endommagé trois poteaux.

A Lisieux, place du Marché-aux-Chevaux, la foudre a crevé le toit d'une maison, réduit en morceaux du linge étendu dans le grenier, puis elle est descendue par la tuyau de la gouttière, qu'elle a crevé à un mètre vingt environ du sol. La commotion électrique a été si violente qu'une personne réfugiée sous une porte cochère a été renversée.

A Ouilly-le-Vicomte, elle est tombée dans la ferme de M. Requier, sur un poirier qu’elle a partagé en deux, comme l’eut fait une scie.

A l'Abbaye, elle a pénétré dans la pièce où les jeunes pensionnaires externes déposent les petits paniers contenant leurs provisions pour le goûter et la collation, elle a bouleversé les pitances et détérioré les paniers.

Route de Lisieux à Caen, vers la milieu de la côte, la foudre a creusé un trou de soixante à quatre-vingts centimètres de diamètre, projetant au loin les cailloux et la terre.

A Mondrainville, un incendie causé par la foudre a consumé la toiture en chaume d'une maison d'habitation un pressoir, des objets mobiliers et pour 200 fr. de bois de travail appartenant au sieur Victor Bidel, menuisier.

A Escure-sur-Favières, vers quatre heures du soir, on a trouvé le cadavre de la femme Séraphin Porat, veuve Vincent, âgée de 61 ans, journalière en cette commune, Elle avait été tuée par la foudre.  

 

Août 1878   -  Secours.  -  Le Ministre de Instruction publique vient d'accorder les secours ci-après pour construction ou appropriation des bâtiments scolaires, savoir : Mittois, 3 200 Fr. ; Estry, 3 000 fr. ; Rocquancourt, 2 800 fr. ; Les Oubeaux, 2 700 fr. ; Feuguerolles-sur-Seulles, 1 200 fr. ; Fontaine-Etoupefour, 1 200 fr. ; Sannerville, 700 fr. ; Beaumais, 600 fr. ; St-Marc-d'Ouilly, 530 fr. ; Mondrainville, 400 fr. ; St-Aubin-d'Arquenay, 400 fr.

 

Avril 1879  -  Répartition de secours pour les bâtiments communaux.  -  Le Conseil répartit entre les communes inscrites ci-après une somme de 13 130 fr. à prélever sur le crédit de- 15 000 fr. porté au budget de 1879 sous le titre : Subvention pour acquisitions, travaux et réparations d'églises, mairies et autres édifices communaux. Mondrainville, travaux aux murs du jardin du presbytère, 250 fr.

 

Octobre 1893  -  Suicide.  -  Jeudi, on a trouvé dans l'Odon, à Mondrainville, le cadavre de Jeanne Almyre, née Desmoulins. Cette malheureuse s'adonnait à l'ivrognerie et avait, à plusieurs reprises, manifesté l'intention de se tuer. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Janvier 1898  -  Incendies.  -  De 3 000 bottes de paille de blé et 2 000 d'orge au sieur Antoine, à Mondrainville. Perte, 1 500 fr. 

    D'un corps de bâtiment au sieur Lemonnier, à St-Germain-de-Tallevende. Perte, 5 800 fr.

    D'une meule de paille au sieur Verrier, à St-Sylvain. Perte, 200 fr. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1901   -   Indulgence mal placée.  -   Au mois de février, la cour d'assises du Calvados condamnait Louis Marie dit Guillot, 39 ans, aux travaux forcés à perpétuité, et Gustave Morin, 26 ans, à cinq ans de réclusion, pour avoir, à la sortie de Caen, essayé d'étrangler, pour le voler, le sieur Barette, maçon à Verson.

Ces deux individus s'étaient associés avec Ferdinand Dèrobert, 27 ans, marchand de volailles à Mondrainville, condamné à sept ans de réclusion pour vol. Tous les trois s'introduisaient une nuit chez le sieur Delivet, propriétaire à Montilly, et, après l'avoir bâillonné et frappé, lui, enlevaient 200 fr. Ils devaient comparaître devant la cour d'assises de l'Orne, mais, par suite  de l'absence de deux témoins, l'affaire a été renvoyée.

L'acte d'accusation nous apprend que la peine de travaux forcés à perpétuité prononcée contre Marie avait été réduite à dix ans. Nous serions curieux de connaître les titres de ce brigand à cet acte de clémence. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mars 1912  -  Encore les maraudeurs. - des maraudeurs mettaient au pillage l'autre jour, comme nous l'avons relaté, le poulailler de Mme Chauveau, chef de gare à Mondrainville. Pareille aventure est arrivé chez Mme Antoine, cultivatrice en cette même localité ; on lui a dérobé sept ou huit poules pour une valeur d'une trentaine de francs. Mme Antoine soupçonne un individu de Noyers d'être le coupable ; une des servantes de la maison lui aurait ouvert la porte du jardin sans toutefois soupçonné peut-être qu'il vint pour voler mais tout simplement  pour lui rendre visite, car ils étaient dans les meilleurs termes le ensemble.

 

Août 1923  -  Trop galant.  -  Louis Chesnel, 58 ans, journalier à Mondrainville, travaillait dans un champ avec la femme Lacour. Il tint des propos déplacés à cette dernière qui le traita de polisson. Une discussion éclata, et Chesnel serra fortement les poignets de la femme Lacour. Une journée de travail.

 

Octobre 1926  -  Brebis dévorée.  -  M. Léon Larue, cultivateur à la ferme de la Vallée, a trouvé dans l’herbage son troupeau était en pâture, une de ses brebis gisant prés de la barrière.

Elle avait être mordue par un chien et M. Larue fut obligé de l'abattre sa perte s'élève 600 fr. Une enquête est ouverte. 

 

Février 1927  -  Hors de la bonne voie.  -  Sur la ligne de Caen à Vire, un train de voyageurs a partiellement déraillé peu après la station de Mondrainville. A cette gare, un employé auraient oublié de cadenasser une aiguille et, par suite de cette omission, trois wagons sont sortis des rails. Un accident fort grave eut été même à craindre sans la prudence du mécanicien. Les voyageurs en ont été quittes pour la peur et quelques bousculades, mais, la voie étant unique, la circulation a été interrompue pendant plusieurs heures.  

 

Janvier 1930   -  Le feu à la ferme.   Un incendie provoqué par la chute d'une lanterne sur le lit d'un domestique, a complètement détruit un bâtiment long de trente mètres et large de huit, servant d'écurie, de grange et de hangar, dépendant de la ferme de M. de Pierrepont.

La construction étant couverte, en chaume, le feu prit une rapide extension, et lorsque les pompiers de Mouen, mandés,, arrivèrent sur les lieux, ils ne purent que protéger les bâtiments voisins.

50 000 kilos de betteraves, 1 500 bottes de foin, des harnais, etc… ont été la proie des flammes Les dégâts, atteignant 13 000 francs environ, sont couverts partiellement par une assurance.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Octobre 1932  -  Monuments historiques.  -  L'église de Mondrainville (XIIIe et XIVe siècles), est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.

 

Janvier 1937  -   Un neurasthénique se noie dans une mare.  -  On a découvert dans une mare le cadavre d'un journalier, nommé Emilien Trillest, 39 ans, au service de M. Leclerc, au manoir de Colleville. 

Trillest, souffrait depuis une dizaine de jours de troubles mentaux, accentués, et c'est dans un moment de dépression nerveuse qu 'il a mis fin à ses jours. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1939  -  Dans la nuit une automobile renverse deux piétons.    A Mondrainville, vers 21 h. 45, une automobile pilotée par M. Gabriel Picodeau, 45 ans, plombier, demeurant rue du Moulin, 23, à Caen, a renversé deux piétons, M. et Mme Quedeville, du Locheur.

Demeurés engagés sous la voiture, les époux Quedeville furent dégagés non sans peine par M. Picodeau. Sérieusement blessés, aux jambes et atteints de multiples contusions, ils ont été transportés à l'hôpital de Caen, après avoir reçu les premiers soins de M. le docteur Hauttement, de Villers-Bocage.

L'automobiliste a déclaré qu'ébloui par les phares d'une voiture roulant dans la direction opposée à celle qu'il suivait, il n'avait pas aperçut les victimes. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mars 1945  -  Les engins de guerre abandonnées font de nouvelles victimes.  -  En manipulant une grenade sur le bord de la route, trois enfants de Mondrainville, Guy Houel, Raymond Ruelle et Simone Marie ont provoqué l’explosion de l’engin. Le jeune Houel a eu la main gauche arraché, ses deux petits camarades ont été également grièvement atteints.  

 

Novembre 1947  -    Des récoltes flambent.  -  Pour une cause inconnue, un incendie a détruit, à Mondrainville, deux meules de foin appartenant à M. Cantelou, cultivateur. Les dégâts s’élèvent à 250 000 francs. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Juin 1948   -   Une auto capote à Mondrainville.   -   Samedi, dans la matinée, une automobile, pilotée par M. Brisson, cultivateur à Saint-Germain-de-Tallevende, dans laquelle avaient pris place Mme Brisson et deux de leurs voisins également cultivateur, M. et Mme Joseph Robert, se dirigeait à bonne allure vers Caen, quand, dans la traversée de Mondrainville, par suite de l’éclatement du pneu arrière gauche du véhicule, la voiture se renversa dans un fossé.

Des témoins se portèrent au secours des occupants. Mme Robert, mère de sept enfants, avait été tuée sur le coup. Mme Brisson qui se trouvait à ses côtés, fut assez sérieusement blessée et dut être transportée d'urgence chez son fils, garagiste à Mondeville. M. Robert ne partait que des légères blessures au visage et M. Brisson s'en tirait absolument indemne. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1949   -   Le Calvados à l'honneur.   -   Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération.

Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme.

Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division.

Arrondissement de Caen

Canton de Tilly-sur-Seulles.  -  Tilly-sur-Seulles (D) ; Brouay (R) ; Cheux (R) ; Cristot D) ; Fontenay-le-Pesnel (D) ; Grainville-sur-Odon (D) ; Juvigny (R) ; Le Mesnil Patry (R) ; Mondrainville (R) ; Norrey-en-Bessin (R) ; Rots (R) ; Saint Manvieu (R) ; Saint-Vaast-sur-Seulles (R) ; Tessel (R) ; Vendes (R). (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Décembre 1949   -   Mondrainville à l’honneur.   -   En présence de la population réunie au cimetière près de la plaque à la mémoire des morts de 14-18, le colonel Le Bideau, commandant la Subdivision de Caen, a épinglé sur un coussin que lui présenta Mlle Christiane Davout, dont la maman fut tuée au cours des combats de l'été 1944, la Croix de Guerre vaillamment gagnée par la commune.

Parmi les personnalités on notait : MM. Livry-Level, conseiller général ; Desoil, maire, et les membres du Conseil municipal, ainsi qu'une délégation de la ville d'Eaubonne, marraine de Mondrainville. ( Le Bonhomme Libre )

1  Grande Ferme de MONDRAINVILLE
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