1er Mai 2024 |
UN SIÈCLE D'HISTOIRE
DU CALVADOS |
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MONTPINÇON (Cne d'OUDON) |
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Canton de Mézidon-Canon |
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Cette peine au-dessous de celle qui eut pu leur être infligée, s'ils avaient été traduits en cour d'assises, ne leur a été infligée qu'en considération de leurs bons antécédents et parce que l'un deux est père de cinq enfants en bas âge. ( source : Journal de Honfleur)
Février 1847 - Nouvelles nationales. - Le recensement de la population de la France fait pour 1846, donne un total de 35 400 486 individus, celui fait en 1841 avait donné un total de 34 230 178. Ce
qui donne pour les cinq ans un accroissement de 4 170 308. (
source : Journal de Honfleur)
Juin
1861
-
Sur la demande de M. le préfet da Calvados.
-
Par décision du 19 de ce mois, M. le ministre de
l'instruction publique et des cultes a bien voulu accorder des secours
aux communes ci-après : 1°
Commune de Soliers, pour l'aider à payer la dépense de
restauration du presbytère.
800 fr. 2°
Commune de Marolles, pour l'aider à reconstruire son presbytère,
2 000 fr. 3°
Commune de Gonneville-sur-Mer, pour l'aider à réparer son église,
1 500 fr 4°
Commune d'Esquay-sur-Seulles, pour l'aider à réparer le clocher
de son église, 1 200 fr. 5°
Commune de Heurtevent, pour l'aider à réparer son église,
1 400 fr. 6°
Commune de Guéron, pour l'aider à réparer son église,
1 500 fr. 7°
Commune d'Audrieu, pour l'aider à restaurer son église,
3 000 fr. 8°
Commune de Quétiéville, pour l'aider à réparer son église et
à reconstruire son presbytère,
4 000 fr. 9°
Commune de St-Germain-la-Blanche-Herbe, pour l'aider à payer la
dépense de consolidation de son église, 3
000 fr. 10°
Commune d'Ouffières, pour l'aider à payer la dépense de
restauration de son église et de réparation de son presbytère,
1 500 fr. 11°
Commune de Lisores, pour l'aider à payer la dépense
d'acquisition d'un presbytère,
1,000 fr. 12°
Commune de Montpinçon, pour l'aider à payer la dépense
de construction d'un presbytère,
1 500 fr. 13° Commune de Saint-Louet-sur-Seulles, pour l'aider à construire un presbytère, 2 500 fr. ( L’Ordre et la Liberté )
Juillet
1872 -
Animaux nuisibles.
- Les
sangliers font des ravages à Montpinçon, canton de
Saint-Pierre-sur-Dives, et dans les communes environnantes, aussi
sommes-nous heureux de signaler le fait suivant :
Août 1884 - Incendies. – La semaine dernière, un incendie, dont la cause est inconnue, s'est déclaré dans la forêt de Montpinçon et a consumé environ 2 hectares 50 ares de bois taillis appartenant à M. de Logivière, propriétaire. — A St-Georges-en-Auge, un incendie, dû à l'imprudence de deux enfants, a consumé, mercredi, un bâtiment d'exploitation appartenant à M. Lebroussois. — A Feuguerolles-sur-Orne, un incendie a détruit plusieurs bâtiments appartenant aux sieurs Ledan et Crouan.
Février 1887 - Mort de froid. - Le cadavre de la nommée Désirée Bisson, 37 ans, journalière à Montpinçon, a été trouvée sur un chemin traversant la forêt de Montpinçon. La levés et la constatation du cadavre ont fait connaître que cette femme était morte de froid.
Décembre 1891 - Pauvres petits. - Lundi soir, deux enfants, un garçon de 10 ans et une petite fille de 7 ans, se présentèrent chez une femme, demeurant rue Brette à Falaise, et lui demandèrent de leur indiquer le chemin pour se rendre à la ferme de la Rançonnière, qui se trouve aux environs de Falaise. Apitoyée par leur état, cette dame, les voyant seuls et sans asile, les conduisit à la gendarmerie. Ils furent ensuite menés à l'hospice où on les a réconfortés et soignés. D'après leur récit, leur mère habite à Montpinçon, section des Autels-St-Bazile. Lundi, elle leur dit de partir pour aller trouver leur père qui travaille à la ferme de la Rançonnière, chez un sieur Couvrigny. Les deux pauvres petits marchèrent toute la journée sans rien manger, et, le soir, arrivèrent à Falaise, couverts de boue et exténués. (Source : Le Bonhomme Normand)
Octobre 1894 - Un vieillard entreprenant. - La dame Clémence Prévost demeure à Montpinçon avec son mari, chez son beau-père. Le bonhomme a 80 ans. Sa bru tape dessus. Elle lui donné, selon la situation, des soufflets ou des coups de soufflet. Le bonhomme a porté plainte. La dame s'est excusée en disant : « Chest ly qu'a commencé... Et pis, y m'embête, il est terjoux apreux mé. Il est trop entreprenant… » A 80 ans, le bonhomme ne doit cependant pas être très à craindre. C'est ce qu'a pensé le tribunal de Lisieux, qui a condamné à titre de leçon la femme Prévost à huit jours de prison avec le bénéfice de la loi Bérenger. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1895 - Un
conseiller enragé.
-
Le sieur Honoré Bodé, conseiller municipal à
Montpinçon, est « enragi », quand il a bu un petit coup.
L'autre samedi, il était venu au marché de Falaise où il a trouvé
moyen de se faire dresser trois ou quatre procès-verbaux, sans compter
une rossée qu'il a reçue de deux individus qu'il provoquait en les
Juillet 1897 - Parents veillez. - La petite Juliette Heuzey, 2 ans, domiciliée chez ses parents à Canapville, est tombée dans une mare en jouant avec d'autres enfants et s'est noyée. — A Montpinçon, profitant d'un moment où sa mère était occupée, la petite Blanche Pouclet, 22 mois, est allée jouer près d'une mare où elle est tombée et s'est noyée. C'est le pauvre père qui rentrant de voyage, a trouvé corps de sa petite fille. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1898 - Pris sous un escalier. – Un malfaiteur s'était introduit chez la veuve Malfilatre, à Montpinçon, en pratiquant un trou dans la toiture. Découvert dans un placard, situé sous l'escalier dans la cuisine, il a déclaré se nommer Pierre Larue, 21 ans, journalier, il reconnaît avoir commis plusieurs autres vols et notamment un vol, d'aliments, avec escalade et effraction, chez le sieur Angot, cerclier à Heurtèrent. (Source : Le Bonhomme Normand)
Février 1901 - Chute mortelle. - Georges Cagniard, soldat au 39e de ligne, en garnison à Eu (Seine-Inférieure), dont la famille habite Montpinçon (Calvados), revenait du champ de tir, il était monté sur le cheval attelé au chariot de corvée, lorsque, par suite d'une circonstance inconnue, il est tombé sur le sol, la tête en avant, et s'est tué. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1901 - Le retour de la femme prodigue. - Il y a quelques semaines, la dame L…….., habitant Montpinçon, plantait là son mari et filait avec son domestique. Comme elle emportait une partie de l'avoir conjugal, le mari porta plainte. Ces jours-ci il recevait, du Havre, une lettre de sa femme le priant de venir la chercher. Le sieur L…….. se rendit au Havre et trouva sa femme dans une boutique de marchand de charbon, achetée par son ex-domestique, sans doute, avec ses économies amoureuses. Le charbonnier était absent, lorsqu'il rentra, sa compagne voguait vers les rives de Trouville. La nouvelle lune de miel des époux L…….. n'est pas sans nuages, car, le sieur L…..... ayant porté plainte pour vol, le parquet de Lisieux fait des difficultés pour se dessaisir de l'affaire. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1903 - Triste fin. - A Montpinçon, canton de Saint-Pierre-sur-Dives, on a trouvé, dans un bâtiment servant d'asile aux mendiants, le cadavre du sieur Julien Ribot, 58 ans. Le malheureux venait de sortir de l’hospice d'Argentan. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril
1904 -
Billet de mille francs disparu.
- Un propriétaire de Montpinçon, canton de
Saint-Pierre-sur-Dives, le sieur Gustave Alliot, occupait à son service
une
Juillet
1913
- Mariage sanglant - L'un des frères de la
mariée, ivrogne et querelleur, vient perturber la noce et menace son
père, qui l'abat d'une balle de pistolet. Devant la Cour d'Assises, le
meurtrier déclare qu'il a tiré pour tuer, visant son fils en pleine
poitrine : il est condamné à
mort,
mais les jurés déposent un recours en grâce, que le président
Poincaré signera.
Avril
1913
- Un drame de famille - Depuis quelques
années, M. Aristide Duhomme, 55 ans, propriétaire à Montpinçon,
hameau du Billot, vivait en mauvaise intelligence avec son fils
nommé Robert, âgé de 30 ans, journalier. Robert avait un grand
défaut, il s'adonnait souvent à la boisson. À la suite de
discussions, son père redoutant qu'il ne lui fit un mauvais parti lui
avait formellement interdit l'entrée de la maison paternelle. Mais
Robert ne s'en tint par là et avait promis de rentrer quand bon lui
semblerait. Après avoir fait sa partie habituelle au café Lafontaine
en compagnie de M. Lelièvre maire de la commune et de plusieurs amis,
M. Duhomme, père, rentra à son domicile, soupa et alla se coucher
laissant sa femme seule dans la cuisine. À ce moment le fils arriva et
se prit de querelle avec sa mère. Au
bruit de la discussion, le père se réveilla et descendant de sa
chambre armé d'un pistolet dit "Lefaucheux" déchargea une
balle presque à bout portant sur Robert, qui roula inanimé sur
le sol. Le gendre de M. Duhomme, M. Jean, cultivateur, rentrant à
ce moment de Livarot en voiture, releva la victime et, après l'avoir
conduite chez un docteur de Livarot, le transporta son domicile à
Crouttes (Orne). Le
meurtrier affolé, se rendit aussitôt chez le maire de la commune et se
constitua prisonnier. Le Parquet de Lisieux et les gendarmes de
Saint-Pierre-sur-Dives se sont rendus lundi soir à Montpinçon. M.
Duhomme a été émis aussitôt en état d'arrestation. Les
renseignements recueillis sur le meurtrier sont des meilleurs.
Travailleur infatigable, il était arrivé au bout de longues
années, à se constituer le petit avoir qui le faisait vivre. Il
n'en est pas de même de son fils qui était mal considéré dans le
pays, en raison de sa funeste passion de boire. L'état de la victime
est désespéré. La balle du pistolet, après avoir traversé
l'estomac, est allé se loger dans le foie et à déterminé une
péritonite. L'opération de la laparotomie va être tentée ainsi que
l'extraction de la balle. Ce crime a causé un grand émoi dans la
contrée riante et si paisible de Montpinçon, où le meurtrier était
des mieux considéré.
Juillet 1913 - Une condamnation à mort. - Malgré le réquisitoire modéré du ministère public, le jury s'est montré sévère ; il a répondu affirmativement aux deux questions posées et n'a pas accordé les circonstances atténuantes. Le Président a demandé au premier juré : "Avez-vous bien délibéré sur les circonstances atténuantes ?" Et celui-ci a répondu : " Oui " . En conséquence, la cour a condamné Duhomme à la peine de Mort. Le jury a signé cependant un recours en grâce.
Avril 1920 - Des coups de feu dans la nuit. - Pendant la nuit, des individus restés inconnus ont tiré une dizaine de coups de feu sur la bouillerie de la ferme exploitée par les époux James, à Montpinçon. Le
domestique qui se trouvait, dans ce local, attendit la fin de la
fusillade puis regagna sa chambre d'où il riposta, à coups le fusil
dans la direction d'où semblaient venir les détonations. D'autres
coups de feu lui répondirent. Puis tout retomba dans le calme. On a des
soupçons. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1920 - Noyades accidentelles. - A Montpinçon, canton de Saint-Pierre-sur-Dives, en lavant du linge dans la mare de la ferme de Mme Gruyer, cultivatrice, Mme Frémont, journalière à Notre-Dame-de-Fresnay, est tombée à l'eau et s’est noyée. —
Le matelot Louis Thorel, 53 ans, du canot « Fleur-de-Mai », de
Honfleur, est tombé à la mer et s'est noyé. On a retrouvé son corps
dans l’avant-port de Fécamp. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Novembre 1921 - Une triste fin. - On a découvert, dans un ruisseau à Montpinçon, le cadavre de M. Auguste Lefrançois, 70 ans. On
suppose que le vieillard, peu valide, aura voulu sauter le ruisseau,
profond de 1 mètre 50 à cet endroit et dans lequel pourtant ne coule
que 20 centimètres d'eau. M. Lefrançois s'était assommé sur les
pierres en tombant. Il est demeuré là la tête dans l'eau, et il a
péri asphyxié. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1922 - Un désespéré. - Le cantonnier de Montpinçon, canton de St-Pierre-sur-Dives, André Léopold, s'est pendu à un pommier, près de son habitation. Léopold, qui était alcoolique, avait déjà tenté de se pendre, il y a quelques mois. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril
1923 - Le feu. -
Un incendie a
détruit environ 15 hectares des bruyères de Montpinçon, canton de
St-Pierre-sur-Dives. On dit que ce sinistre, qui est attribué à la
malveillance, aurait été allumé dans le but d'éloigner les chasseurs
de ces parages. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mars
1924
-
Landes en feu.
-
Dans la soirée du 15 courant, un
incendie s'est
déclaré sur
le Montpinçon,
détruisant les
ajoncs et
les bruyères
sur une
étendue de
15 hectares, dont
une partie
dans les
marécages du
Bois de
M. Pontavice.
Octobre 1925 - La guerre au village. - La semaine dernière la gendarmerie était avisée que des batailles se livraient au Billot entre les familles Douai et Marie. Les gendarmes se rendirent sur les lieux et procédèrent à une enquête des plus laborieuses. Les gendarmes dressèrent deux procès-verbaux pour tapage nocturne contre la famille Douai, relevèrent une infraction à l'ivresse contre M. Douai père et établirent un procès-verbal pour coups et violences réciproques contre MM. Douai père et Marie.
Avril 1930 - Une auto dans un fossé. - Le 30 mars, vers 10 heures, l'automobile de M. Gaultier Noë, cultivateur à Notre-Dame-de-Fresnay, passait sur le territoire de la commune de Montpinçon. Elle contenait cinq personnes, lorsqu'en voulant freiner à un moment donné, le conducteur donna sans doute un coup de frein trop brusque. La voiture se retourna et culbuta dans le fossé. Les occupants furent projetés hors de la voiture sur la chaussée. M. Gaultier se releva aussitôt, mais au bout de peu d'instants il tomba sans connaissance et depuis, il est resté sur le coup de la commotion violente qu'il ressentit. M. Laurent Etienne, 27 ans, domestique à Tortisambert, célibataire, qui était assis auprès de lui avant l'accident, resta étendu sur la route, le crâne défoncé, tué sur le coup. Les autres occupants de la voiture, M. Laurent René et sa femme ont, tous les deux, été fortement contusionnés, on ne peut se prononcer sur leur état. Le jeune Gaultier, 7 ans, a une coupure au nez, sans gravité. La voiture est irréparable. Le
docteur Richard, de St-Pierre-sur-Dives, appelé à donner ses soins aux
blessés, les a trouvés dans un état inquiétant. (Source :
Ouest-Eclair)
Avril 1936 - Une série de vols. - R. René Rault, cultivateur à. Montviette, a été victime d'un vol de pièges à loup destinés à détruire les animaux nuisibles. Plusieurs outils ont été également pris à M. Albert Varin, journalier à Montpinçon.
Six poules ont été volées à M. Péronne, gardien d'herbages à Mesnil-Bacley. M. Louis Liégard, maçon, voisin de M. Péronne, a été victime d'un vol de dix poules. M. Émile Dufour, débitant à Condé-sur-Ifs, a eu également la visite des voleurs. Ils ont fracturé un tiroir-caisse contenant une centaine de francs et une quantité de tabacs, cigares et cigarettes. Le tout a été emporté et le préjudice causé est estimé à 200 francs. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Décembre 1937 - N’oubliez pas votre portefeuille sur un marchepied. - Le 4 décembre, M. Cuin Joseph, 45 ans, cultivateur à Tortisambert, était venu chasser à Montpinçon, sur ses propriétés. Le soir, en changeant de vêtements, il avait posé son portefeuille contenant 7 à 8 000 francs sur le marchepied de sa voiture, puis rentra chez lui. C'est alors qu'il s'aperçut de la perte de son portefeuille. II revint sur ses pas et fit de vaines recherches. Le lendemain, il rencontrait, à St-Pierre-sur-Dives, M. Regnouf, maire de Saint-Martin-de-Fresnay, qui lui remettait des papiers provenant de son portefeuille. Il revint sur ses pas trouvés par Mme Breuil Marie, sa gardienne, sur la route. L'enquête de la gendarmerie fit ressortir que cette dame avait bien trouvé ces objets sur la route, mais révéla qu'une dame montée à bicyclette s'était arrêtée à cet endroit peu avant son arrivée et avait examiné les objets. Avait-elle ramassé l'argent ? Son audition ne peut tarder et éclaircira ce point important de l'enquête sur laquelle la plus grande discrétion s'impose. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Décembre 1938 - N’oubliez pas votre portefeuille sur le marchepied. - Le 1 décembre, M. Cuin Joseph, 45 ans, cultivateur à Tortisambert, était venu chasser à Montpinçon, sur ses propriétés. Le soir, en changeant de vêtements, il avait posé son portefeuille contenant 7 à 8 000 francs sur le marchepied de sa voiture, puis rentra chez lui. C'est alors qu'il s'aperçut de la perte de son portefeuille. II revint sur ses pas et fit de vaines recherches. Le lendemain, il rencontrait, à St-Pierre-sur-Dives, M. Regnouf, maire de Saint-Martin-de-Fresnay, qui lui remettait des papiers provenant de son portefeuille. Il revint sur ses pas trouvés par Mme Breuil Marie, sa gardienne, sur la route. L'enquête de la gendarmerie fit ressortir que cette dame avait bien trouvé ces objets sur la route, mais révéla qu'une dame montée à bicyclette s'était arrêtée à cet endroit peu avant son arrivée et avait examiné les objets. Avait-elle ramassé l'argent ? Son audition ne peut tarder et éclaircira ce point important de l'enquête sur laquelle la plus grande discrétion s'impose. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Les
gendarmes informés par la victime ont dressé contravention aux deux
antagonistes pour tapage nocturne et rixe sur la voie publique. ( Le
Bonhomme Libre )
Janvier 1973 - La commune de L'Oudon a été créée par la fusion-association, décrétée le 26 décembre 1972, des communes d'Ammeville (171 habitants en 1968), Berville (160 habitants), Écots (95 habitants), Notre-Dame-de-Fresnay (159 habitants), Garnetot (89 habitants), Grandmesnil (123 habitants), Lieury (242 habitants), Montpinçon (167 habitants), Saint-Martin-de-Fresnay (169 habitants) et Tôtes (125 habitants). Saint-Martin-de-Fresnay est alors désigné chef-lieu de l'association.
Janvier 1990 - Par arrêté le chef-lieu est transféré à la commune de Tôtes, dont l'ancien code INSEE (14697) devient le nouveau code de L'Oudon. |
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MONTPINÇON LE BILLOT |
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MONTPINÇON (Calvados). - Le Billot, Côté Sud |
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CHÂTEAU DE GARNETOT, par MONTPINÇON (Calvados). |
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CHÂTEAU DE GARNETOT, par MONTPINÇON (Calvados). - La Petit Ferme |
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