1er Avril 2025

  EUN SYIELLE D'HISTOUÈRE D'CALVADOS   

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PIERRES

Canton de Vassy

Les habitants de la commune sont des Pétruviens, Pétruviennes

Novembre 1831    -    Cour d'Assises du Calvados.   -   Le sieur Gosselin, propriétaire dans la commune de Pierres, ayant plusieurs ouvriers à coucher, dans la nuit du 18 au 19 juin dernier, changea ses moutons de bergerie afin de loger ces ouvrier à leur place. Le nommé Gilles Leroyer, dit Livry qui couchait également dans la ferme du sieur Gosselin, emmena, dans la nuit, cinq moutons, et les conduisit à Ondefontaine chez son frère, auquel il dit qu'il les avait achetés à Vassy.

Au matin, le sieur Gosselin s'apercevant de l'absence d'une partie de son troupeau, se mit à la recherche, et, à la trace des moutons, avec l'aide des indications qu'il obtint, et des soupçons qu'il avait conçus, il retrouva son voleur. Leroyer prétendit avoir trouvé ces moutons dans un chemin vicinal où ils s'étaient égarés, excuse dont la déclaration de son frère et la propre conduite de l'accusé démontrait clairement la fausseté.

Le jury l'ayant déclaré coupable de vol, mais sans la circonstance aggravante de nuit, la cour a condamné Leroyer à 15 mois d'emprisonnement.  (Le Pilote du Calvados)

 

Mars 1841   -   Nouvelles locales.  -   M. de Corday, ancien officier supérieur de cavalerie à l'armée de Condé, ex-député du Calvados sous la restauration, vient de décéder à son château de Pierres, près Vire, à l'âge de 70 ans. (Source  : L’indicateur de Bayeux)

 

Août 1854   -   Nouvelles locales.   -  L'Empereur et L'Impératrice, viennent d'accorder, dans le département du Calvados, savoir : 200 fr. à la commune de Pierres, canton de Vassy ; 200 fr. à l'église de Presle, même canton ; 150 fr à l'église d'Annebecq, canton de Saint-Sever ; 200 fr. pour l'école des filles de Vassy ; 200 fr. à l'église de Saint-Lambert, canton d'Harcourt.

LL. MM. ont, en outre, accordé des médailles d'encouragement aux meilleurs ouvrier, des fabriques de Vire. (Source : Le Journal de Honfleur)

 

Août 1867   -   L'Exposition universelle.   -    21 départements ont envoyé leurs instituteurs à Paris, à l'occasion de l'Exposition universelle, ces MM. sont répartis entre les trois lycées Louis-le-Grand, Saint-Louis et Napoléon.

Les instituteurs du Calvados habitent le lycée Louis-le-Grand.

L'Empereur et l'Impératrice ont reçu lundi dernier tous les instituteurs en ce moment à Paris.

En tête du cortège marchaient ceux du Calvados, représentés par MM. Douétil, instituteur à Vire ; Cauvin, chef à Bayeux ; Delarue, à St-Sever ; Barbier, à Castillon-en-Auge ; Biron, à St-Pierre-sur-Dives ; Castel, à Harcourt ; Briens, à Coulonces ; Harang, à Pierres, et quelques autres dont les noms n'échappent.

L'Empereur et l'Impératrice ont reçu ces députation avec des paroles de bienveillance et d'encouragement, qui ont porté à son comble l'enthousiasme des assistants privilégiés.  

 

Février 1869   -   La tempête.   -    La tempête qui sévit depuis dimanche dans notre contrée à redoublé de violence pendant la nuit de lundi. Le vent soufflait avec fureur, et il est à craindre que des sinistres aient eu lieu sur nos côtes.

Mardi, pendant que les vents étaient déchaînés sur notre contrée, une noce se célébrait à P..... (la ville ???)

Au plus fort de la bourrasque, alors qu’on se rendait au festin, pour sceller davantage les préliminaires du con ungo, un terrible coup de vent tourbillonna en enlevant la mariée, qui tenait ouvert son parapluie, d'une envergure passablement envahissante... Cette force de résistance, faisant parachute, suffit pour enlever la promise de la place qu'elle occupait.

Grand émoi, on le comprend, quand on aperçoit cette aéronaute improvisée s'enlever de la place qu'elle tenait en tête du cortège, pour de là être lancée à l'arrière de la cavalcade villageoise, ou naturellement se trouvait le mari nouvellement promu.

On a eu à regretter qu'une perte purement matérielle, celle du chapeau du marié..., sur lequel madame son épouse était tombée de tout le poids de sa vertu et de sa jeunesse..... Malheureusement pour le chapeau elle était très vertueuse !!!!!

Sauf cette accident qui prouve qu'on est quelquefois heureux d'être coiffé....., le repas et la noce ont eu lieu avec tout l'entrain et le bon appétit qu'on possède à la campagne.  

 

Octobre 1880  -  Du danger de trop boire.  -  Mercredi, on fêtait un mariage dans la commune de Pierres, canton de Vassy. Un mendiant, qui passait dans le pays, alla demander l’aumône, à cette occasion et fut bien accueilli. On le fit entrer à la cuisine et on lui servit à boire et à manger à discrétion. Après avoir pris un café trop arrosé, le bonhomme continua  sa route. Quelques instants après on le trouva dans le plant de M. Vautier, le corps complètement glacé. M.Vautier transporta chez lui le pauvre vieux et essaya de le réchauffer, mais malgré les soins les plus empressés, le mendiant est mort quelques heures après cet accident. On a trouvé sur lui une somme de cinquante francs et des papiers indiquant que c'était un nommé Piel, âgé de 79 ans, originaire du département des Côtes-du-Nord.

 

Décembre 1881  -  Un Aimable qui ne l’est pas.  -  Lemonnier, journalier à Pierres, qui s'appelle Aimable, a joliment volé son nom. Il y a quelques semaines, cet aimable farceur avait chassé sa vieille mère de son domicile. L'autre soir, étant gris, il s'arma d'une hache et d'une fourche, et brisa les carreaux et les encadrements d'une fenêtre, chez le sieur Dufay. Interrogé par la gendarmerie, l'aimable Lemonnier n'a pas nié, il a seulement prétendu qu'il ne se rappelait absolument rien de ce qui s'était passé, et il a déploré amèrement la perte de sa fourche. Il a été condamné à 3 mois d'emprisonnement et 55 francs d'amende.

 

Juillet 1882  -  Phénomène.  -  A Pierres, canton de Vassy, une vache a mis bas. la semaine dernière, un veau à 8 pattes. Ce veau a vécu une heure.  

 

Février 1883  -  La fin d’un charivari. –  La semaine dernière, à Pierres, on faisait un charivari au sieur Sicot, accusé par la rumeur publique d'avoir des tête-à-tête avec une voisine. Sicot, furieux, a pris son fusil et fait feu. Un des concertants a été blessé à la main. Il faudra peut-être l'amputer.  

 

Juillet 1883  -  Les orages.    La semaine dernière,. un orage avec grêle a dévasté les communes de Pierres, Le Theil, Éstry et Montchamps. La grêle atteignait la grosseur des oeufs  de poules. Les blés, le sarrasin, les pommes et toutes les récoltes en général sont perdus. Beaucoup de cultivateurs ont été obligés de labourer leur sarrasin et d'ensemencer à nouveau. Le château de Pierres a eu 260 carreaux cassés, celui du Theil, 60 carreaux.

 

Juin 1891  -  Incendie.  -  A Pierres, un incendie a détruit plusieurs bâtiments de la ferme exploitée par les sieurs Buot père et fils et appartenant à Mme de Saint-Germain. Perles, 3 000 fr. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1893  -  Écrasé.  -  Le sieur Aimable Gosselin, cultivateur à Lassy, revenait de Viessoix avec un tonneau de cidre qu'il amenait à Lassy. Près du bourg de Pierres, Gosselin, qui conduisait l'attelage, se retourna pour avertir son compagnon de serrer moins fort la mécanique de la voiture. En faisant cette observation, Gosselin tomba si malheureusement que la roue de la voiture lui passa sur la poitrine. La mort fut instantanée. On croit que la chute a été causée par la rupture d'un anévrisme. Gosselin, qui était très estimé, laisse, une veuve et deux jeunes enfants.  (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1893  -  Préjugé stupide.   Des habitants de Pierres, arrondissement de Vire, aperçurent la dame Marie Marguerite, 50 ans, propriétaire, suspendue par le cou, à une poutre dans sa maison. Ils se gardèrent bien de la dépendre, et, obéissant à un absurde préjugé qu'on ne peut déraciner dans les campagnes, se contentèrent d'envoyer chercher les gendarmes de Vassy. Ceux-ci arrivèrent longtemps après, et ils eurent beau couper la corde, la pendue était bien morte. On ne sait à quelle cause attribuer ce suicide. Rien dans la conduite de la dame Marguerite ne pouvait faire prévoir un tel genre de mort. 

— Comment voulez-vous qu'il en soit autrement quand les agents de l'autorité eux-mêmes encouragent ces préjugés stupides. Voici d'après l'un de nos correspondants ce qui se serait passé tout récemment à Ifs : un gaillard, fatigué de vivre, prit une corde, se la passa au cou et se pendit. Sa femme, s'apercevant de son absence, courut à sa recherche et, le voyant ainsi suspendisse mit à crier : « Au secours». Plusieurs voisins étant accourus, deux, dirent : « Allons chercher les autorités», un troisième, heureusement, coupa la corde, et une heure après le dépendu prenait l'air dans son courtil. Mais voilà le comble, les représentants de l'autorité ont gourmandé celui qui avait coupé la corde en déclarant sérieusement que l'autorité avait seule ce droit. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Novembre 1893  -  Chronique judiciaire.  -   Élie Hébert, 33 ans, épicier à Pierres, 2 journées de travail, violences légères. 

—  Gustave Durand, 21 ans, maçon à Rully, 30 fr., coups et blessures. 

—  Armand Jouenne, 21 ans, cultivateur à Rully, 6 jours, vol. 

—  Arsène LouveL, 29 ans, journalier à Ste-Marie-Laumont, 24 heures, coups. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1895  -  Encore un qui aurait mieux fait de se faire.  -  Un de ces soirs, le sieur Victor Onfray 42 ans, propriétaire à Pierres, canton de Vassy, se rendait en voiture à Estry. N’ayant pas de lanterne, il faillit passer sur une noce qui se trouvait sur la route. Les gens de noce se mirent à le Iutiner, sans le frapper cependant.

Néanmoins, le sieur Onfray crut devoir porter plainte à la gendarmerie. Il doit le regretter, car procès-verbal pour défaut d’éclairage lui a été dressé. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1897  -  Un charivari qui tourne mal.  -  Nous ne sommes pas partisans des charivaris. Cet manifestations bruyantes finissent toujours mal. C'est dire que nous n'approuvons pas les charivaris organisés ces temps derniers contre leur curé : par les paroissiens de St-Martin-Don commune du Bocage. Mais, nous approuvons encore moins les actes, de brutalité dont se sont rendus coupables les amis du curé vis-à-vis de quelques charivariseurs. Trois de ces soutiens de l'autel seraient tombés à coups de bâton sur le sieur Paramé et l'auraient frappé au point que le médecin, appelé à le soigner, a des craintes pour les jours du blessé. 

Tout cela n'arriverait pas si l'évêque, sous prétexte qu'il ne sait que faire des prêtres dont on a à se plaindre, ne les maintenait pas quand même dans leur paroisse, au risque de provoquer des scènes du genre de celles qui ont ensanglanté la commune de Saint-Martin-Don.  

— Dans le même Bocage, à Pierres, on charivarise aussi. Mais, comme auprès du presbytère habite un couple sur lequel il y a passablement à redire, on se demande si le charivari a lieu à l'intention du presbytère ou s'il est dirigé contre le couple voisin. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1899  -  Vol qualifié.   -   Joseph Haupaix, 30 ans, ; Victor Honoré, 20 ans, et la fille, Joséphine Murris, 39 ans, habitaient à Caen, mais parcouraient les campagnes voisines pour marauder et voler. Tous ont été condamnés plusieurs fois pour vol. L'acte, d'accusation leur reproche notamment des vols commis avec escalade et effraction à la Bigne, à Pierres, à Maizet, à Maltot, etc….. Pendant que les deux hommes volaient, la fille faisait le guet. 

Ils ont été condamnés : Haupaix à 5 ans de travaux forcés, Honoré à 4 ans de prison, et la fille Murris à 2 ans de la même peine. Défenseurs. : Mes  Roger, Tardif et Capronnier. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1913  -  La foudre  - Hier au cours de l'orage, la foudre a détruit un bâtiment à Viessoix. Ce bâtiment situé aux confins de la commune de Pierres se composait d'une maison d'habitation, d'une étable et d'une grange, le tout appartenant à M. de Coupigny et occupé par M. Thomasse, cultivateur. Le petit domestique de ce dernier, réveillés en sursaut par la commotion qu'il ressentit, vit son lit entouré d'étincelles. Il n'eut que le temps de sortir, car en quelques-uns instants cette partie du bâtiment devint la proie des flammes. M. Thomasse et sa famille aidé de ses voisins se mirent avec courage à faire la  part du feu. En démolissant en partie du toit en chaume, ils réussirent à préserver la maison d'habitation. Les récoltes, fourrages, et leur provision de cidre ont été détruits.

 

Avril 1915   -   Incendies.   -    De bâtiments divers à la dame Villeroy, propriétaire à Pierres. Pertes : 8.000 fr. Assuré.

-       D'un bâtiment à usage de fonderie de suif à M. Bouey, à Livarot, Pertes : 800 fr. Non assuré. (Bonhomme Normand)

 

Octobre 1918  -  Mort pour la France.  -  M. Alcide Lebeau, Agé de vingt-neuf ans, est mort dans un hôpital des Basses-Pyrénées des suites de blessures reçues sur le champ de bataille. Nos condoléances à sa famille.

 

Mars 1920  -  Incendiaire arrêtée.   -   On vient d'arrêter à Pierres, près Vassy, une femme Marie, 45 ans, inculpée d'avoir mis le feu à la ferme exploitée par la veuve Lemagnen. Après avoir reconnu le crime qu'on lui reproche, la femme Marie aurait ajouté, paraît-il, qu'elle ne regrettait qu'une chose : « n'avoir pu griller la personne qui habitait la maison ». On l'a écrouée à Vire. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1923   -   Traîné par un cheval.   -   En voulant monter sur un jeune cheval, Camille Fortin, 20 ans, domestique à Pierres, canton de Vassy, a fait un faux mouvement et est resté le pied embarrassé dans un trait. Le cheval, effrayé, l'a traîné environ pendant 500 mètres, lui occasionnant de sérieuses blessures. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1931   -   Certificat d’études primaires.   -  23 inscrits, 22 présents, 21 admis.
Garçons - Vassy-bourg :
Louis Bigeay, bien ; Gaston Ducret, bien ; Lucien Hébert, très bien, reçu premier du canton ; René Le Gallou, bien, reçu 2e du canton.
Estry :
Georges Delamare, Noël Romain, bien.
Pierres : Albert Gesnouin, Roger Jambin.
Filles - Vassy-bourg :
Lucienne Chérel ; Thérèse Duguay, bien, reçue 2e du canton ; Madeleine Leconte.
Burcy :
Lucile Leconte.
Bérnières-le-Patry :
Renée Lefèvre, bien, reçue première du canton.
Chênedollé :
Marguerite Sallot.
Estry : Madeleine Rohée.
Le Theil :
Georgette Cailly ; Alice Dagobert.
Montchamp : Thérèse Léonard, bien.
Diplômes d’éducation physique.
Lucien Hébert (Vassy-bourg) et Mlle Renée Lefèvre
(Bernières-le-Patry).

 

Février 1936  -  Emblavures de printemps.  -   Les pluies abondantes de l'hiver ont empêché la fin normale des emblavures d'automne. En quelques endroits, certaines pièces seront à  refaire. Les agriculteurs devront se procurer, comme semences, des variétés de blé d'origine française, susceptibles d'être utilisées en février et mars.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Février 1936  -  Le verglas.  -   Ce matin, nos concitoyens ont eu la: désagréable surprise de trouver rues et routes enduites d'une couche de verglas, produite par la congélation d'une pluie fine au contact du sol glacé par le vent d'Est. Si les rues du centre, plus abritées, sont devenues plus rapidement praticables à la circulation, les voies des quartiers hauts et les routes, devenues de véritables glissoires, ont été le théâtre d'accidents dont aucun, croyons-nous, n'a été grave. 

Toutefois, en de nombreux endroits, et principalement dans les côtes au profil accentué, les pannes d'auto et de cars se sont multipliées. 

Les tramways ont rendu les plus grands services en permettant aux habitants des quartiers excentriques, de se rendre en ville avec le minimum de risques. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Février 1936  -  Un chat provoque un incendie.  -  Un incendie d'une certaine importance a détruit de fond en combles un corps de bâtiments d'une longueur de 26 mètres sur sept mètres de profondeur, à usage de cuisine, chambre, laiterie, étable, grange et cave. Ce bâtiment qui est situé à Pierres, village d'Avilly, appartenait à M. Leteinturier Aimable, cultivateur, même commune, et était exploité par Mme Lecomte, 73 ans et sa petite-fille.

L'enquête de police n'a pu établir de façon précise la cause du sinistre, d’après les déclarations de Mme Lecomte, un chat aurait été chassé de la maison alors qu'il venait du foyer où il se tenait si près du feu que ses poils avaient été enflammés. S'est-il réfugié dans le grenier à fourrage ? On le présume, car c'est à cet endroit que les premières flammes furent aperçues. Des assurances couvrent locataires et propriétaire. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mars 1937  -  Jolie famille !  -  Le 22 mars, alors que leur mère travaillait en journée chez M. Deux, maréchal-ferrant à Pierres, les jeunes Solange et Adrien Désert, 9 et 7 ans, ont volé chez ce dernier une boite contenant une montre-bracelet en or, une paire de boucles d'oreille or et diamant, ainsi qu'un stylo.

e n'est pas leur premier exploit, puisque ces enfants ont déjà comparu en audience correctionnelle pour vols en octobre 1936. Leur mère est soupçonnée de recel. La gendarmerie enquête. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

Avril 1945  -  Des grenades explosent : deux morts.  -  En manipulant des grenades, MM. Henri Prod’homme, 16 ans, et Maurice Jourdan, 23 ans, de Pierres, ont fait exploser celle-ci. Les deux jeunes gens ont été tués.  (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1946  -  Un énergumène.  -  Furieux d’être congédié par sa patronne, Mme Chaventré, cultivatrice à Pierre, Albert Véron, 31 ans, sans domicile fixe a saisi violemment la fermière aux poignets déclarant qu’il ne partirait pas. Deux autres domestiques, MM. Laignel, 33 ans, et René Asselin, 18 ans, vinrent au secours de Mme Chaventré. Le forcené se retourna contre eux, lacérant les vêtements du premier et blessant le second d’un coup de couteau à la main gauche.

Véron qui serait sujet à des crises nerveuses, put enfin être ligoté et remis aux gendarmes. (Source  : Le Bonhomme Libre)

6.    Pierres (Environs de Vassy)

La Passerelle et la Grotte

PIERRES (Calvados)   -  Le Château
PIERRES  -  Vu du bourg

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