.. Mars 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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PRESLES

Canton de Vassy

Les habitants de la commune sont des Preslois, Presloises


Mars 1845   -  Nouvelles locales.   -   Une femme de Presles est morte mardi, atteinte d'hydrophobie.

Il y a trois mois environ cette femme avait été mordue à la main par un chien. Elle négligea alors de se faire traiter, ne pensant pas que cet animal put être enragé, et elle avait oublié cet accident, lorsque, il y a quinze jours, les médecins appelés pour lui donner des soins reconnurent chez elle des symptômes de l'affreuse maladie à laquelle elle a succombé. (source : L’Indicateur de Bayeux)  

 

Mai 1850   -   Cour d’Assises du Calvados.   -  Présidence de M. le conseiller Regnault. Séance du 3 Mai.

A la St-Michel dernière, le nommé Georges Roger entra en qualité de batteur en grange chez le sieur Sicot, cultivateur à Presles. 

Ce dernier crut s'apercevoir que son journalier lui dérobait fréquemment du blé, il prit le parti de l'observer et bientôt il acquit la certitude que, dans les nuits des 10, 11 et 15 février dernier, Roger s'était introduit dans la grange pour, voler du grain. Le 16 du même mois, on trouva même, au milieu des gerbes, sa poche remplie de blé, quelques personnes se cachèrent dans la grange et, quand il vint vers la soirée pour chercher son butin, il fut surpris, en flagrant délit, et n'eut que le temps de s'enfuir précipitamment, mais il avait été reconnu et il n'a pu nier cette tentative. Il a également avoué les vols des 11 et 15 février. Il subira 4 ans de prison (cire. attén.). (Source :  Le Journal de Honfleur)

 

Août 1854   -   Nouvelles locales.   -  L'Empereur et L'Impératrice, viennent d'accorder, dans le département du Calvados, savoir : 200 fr. à la commune de Pierres, canton de Vassy ; 200 fr. à l'église de Presle, même canton ; 150 fr à l'église d'Annebecq, canton de Saint-Sever ; 200 fr. pour l'école des filles de Vassy ; 200 fr. à l'église de Saint-Lambert, canton d'Harcourt. LL. MM. ont, en outre, accordé des médailles d'encouragement aux meilleurs ouvrier, des fabriques de Vire. (Source : Le Journal de Honfleur)

 

Mars 1867   -   Une donation.    -   Par décret impérial, le trésorier de la fabrique de l'église de Presles est autorisé à accepter la donation faite à cet établissement par le sieur Louis Desmortreux, et consistant en une rente annuelle et perpétuel de 117 francs.  

 

Septembre 1869   -   Fait divers.   -   Dimanche, vers 7 heures 1/2 du soir, un incendie dont la cause est inconnue, a réduit en cendres, dans la commune de Presles, hameau de la Bertrandière, un bâtiment d'environ 32 mètres, servant à usage de maison manable, grange, grenier, étable et pressoir, appartenant à un sieur Lepetit.

La perte approximative, pour le propriétaire, est de 8.900 fr. Le sieur Lepetit était assuré à la compagnie l'ancienne Mutuelle, de Caen, pour 3.300 fr.

Les pertes éprouvées par le sieur Germain, fermier, s'élèvent à 5.850 fr. Il était assuré à la première compagnie d'assurances Mutuelles Mobilières, pour 8.500 fr.

 

Août 1871   -  Fait divers.   -   Le 8 de ce mois, vers 2 heures du soir, le nommé Victor Anne, âgé de 41 ans, cultivateur à Presles, a été pressé entre un arbre et les brancards de sa voiture, qui lui ont écrasé la poitrine. Ce malheureux est mort le même jour.

 

Janvier 1879  -  Construction d’écoles en 1878.  -   Pour le Calvados, 25 constructions nouvelles dans 22 communes, dans l’arrondissement de Vire : Courson, école de filles ; Presles, école de garçons ; Mesnil-Auzouf, 2 écoles.

 

Avril 1879   -  Secours.  -  Ont été accordés par le Gouvernement : A Démouville, pour construction d'école, 800 fr.  -  A Ussy, pour restauration de l'église et du presbytère, 1 800 fr.  -  A Montviette, pour réparation au presbytère, 1 000 fr.  - A Presles, pour construction d'une école de garçons, 1 400 fr.

 

Juillet 1885  -  Un curé qui n'aime pas les pleurs.  -  Ces jour-ci, à Presles, canton de Vassy, décédait, en donnant le jour à un enfant, la dame X...., très aimée dans le pays. Aussi, la douleur des siens et de ses amis était telle qu'ils ne purent retenir leurs sanglots dans l'église. 

Cela déplut au curé, qui leur dit sévèrement qu'on pouvait bien regretter sans pleurer tout haut.

Nous ferons remarquer à ce prêtre que les enterrements, qui mettent de l'argent dans sa poche, peuvent être pour lui 

 fêtes ; mais que ça ne saurait en être une pour les parents et amis sincères des défunts, surtout lorsqu'ils sont, comme la dame X...., dignes d'être estimés et regrettés de tous.

 

Juillet 1885  -  Un curé qui n’aime pas les pleurs.  -  Ces jours-ci, à Presles, canton de Vassy, décédait, en donnant le jour à un enfant, la dame X..., très aimée dans le pays. Aussi, la  douleur des siens et de ses amis était telle qu'ils ne purent retenir leurs sanglots dans l'église. Ça déplut au curé, qui leur dit sévèrement qu'on pouvait bien regretter sans pleurer tout haut. 

Nous ferons remarquer à ce prêtre que les enterrements, qui mettent de l'argent dans sa poche, peuvent être pour lui des fêtes, mais que ça ne saurait en être une pour les parents et amis sincères des défunts surtout lorsqu'ils sont, comme la dame X..., dignes d'être estimés et regrettés de tous.  

 

Janvier 1888  -  Crime ou accident.  -  Le cadavre du nommé Louis Leteinturier, 70 ans, journalier à Presles, a été trouvé, la semaine dernière, près du cimetière de Chênedollé. Le juge de paix de Vassy a été appelé, puis le corps a été transporté à Vire pour qu'on en fasse l’autopsie. On a constaté que le corps portait la trace de nombreuses contusions. L'autopsie n'a pas été décisive, aussi les uns prétendent-ils que Leteinturier, qui avait-été vu ivre, serait mort d'une congestion, d'autres présument qu'on a profité de son état pour tuer, par vengeance, le malheureux journalier.  

 

Juillet 1888  -  Gare au mari.  -   Une femme Haye, demeurant à Presles, arrondissement de Vire, témoignait dans un procès contre sa voisine, la femme Perrette, âgée de 44 ans. Depuis ce jour, celle-ci en voulait à mort à la femme Haye. Dernièrement, sans motif, comme la femme Haye se baissait pour emporter un fagot, la fille Perrette l'a assommée à coups de plat de bêche. « Tape, tape, Albertine, lui disait sa mère, je la tiens. » Et en disant cela elle bourrait de mousse la bouche de la pauvre femme Haye, pour l'empêcher de crier. La femme Perrette a été condamnée à 1 mois, sa fille à 10 jours. Cette fille n'est âgée que de 16 ans et cependant elle est sur le point de se marier... Gare au mari.  

 

Septembre 1890  -  Charivari.  -  La semaine dernière, à la suite de certaines histoires, un charivari a été donné pendant trois soirs au curé de Presles par des jeunes gens de la commune, armés de cornes, de fouets, de chaudrons et autres instruments. Le curé a tiré le troisième soir plusieurs coups de revolver par sa fenêtre, et les tapageurs ne sont pas revenus. Procès-verbal a été dressé contre plusieurs de ces charivariseurs, qui ont affirmé qu'ils ne figuraient pas dans l'orchestre.  

 

Octobre 1890  -  Les voleurs de bestiaux.  -  La semaine dernière, à Presles, une jument de 200 fr., appartenant au sieur Lepetit, a été volée dans un herbage.  

Décembre 1890  -  Voleurs de bestiaux.  -  Les vols de bestiaux deviennent de plus en plus fréquents. La dame Virginie Poupion, cultivatrice à Presles, a eu un bœuf enlevé estimé 240 francs. L'auteur de ce méfait est jusqu'ici resté inconnu.  

 

Janvier 1898  -  Suicide.  -  Le domestique du sieur Leteinturier, cultivateur à Presles, a tenté de se pendre dans une propriété qu'il exploitait à Burcy, près Vassy, pour le compte de son maître. On l'en a empêché. Le lendemain il recommençait, et cette fois il réussissait. Les causes de ce suicide sont inconnues. (source, le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1899   -   Noyée.   -  La veuve Lemasson, née Joséphine Delamarre, 55 ans, demeurant à Presles, canton de Vassy, a été trouvée noyée dans une mare, près de son habitation.

C'est son fils qui, ne la voyant pas rentrer, se mit à sa recherche et la découvrit. La mort paraît due à un accident. (source, le Bonhomme Normand)

 

Octobre 1900   -   Suicides.  -   On a trouvé pendu à une poutre, dans son étable, le sieur Émile Chanu, 51 ans, cultivateur à Presles, canton de Vassy. Depuis le décès de sa femme arrivé il y a deux ans, le désespéré était devenu triste et c'est le chagrin qui l'a poussé à se donner la mort. 

— La dame Julie Philippine, veuve Jean-Baptiste Le Barbey, 63 ans, cultivatrice à la Bazoque, près Balleroy, s'est pendue. On en ignore la cause. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Mai 1904  -   Accident mortel.   -   Un marin de Honfleur, le sieur Louis Désiré, 49 ans, est tombé sur le treuil de son bateau, « La Surprise » n° 5, pendant une manœuvre. Il s'est blessé grièvement et a succombé presque aussitôt. 

— La dame Desmonts, cultivatrice à Presles, canton de Vassy, a trouvé, le matin, son mari mort sur son lit. Une heure avant, il lui avait encore adressé la parole.

— Un propriétaire de Lasson, canton de Creully, le sieur Adolphe Lacour, 68 ans, était venu voir son fils au Syndicat agricole, rue Auber. Le soir, en attelant son cheval dans la cour, il s'affaissa soudain. Un médecin appelé ne put que constater la mort, attribuée aux suites d'une chute grave faite par le sieur Lacour, l'an dernier.

— Un marin-pêcheur de Honfleur, Amand Lamy, 49 ans, venant de rentrer de la mer, halait son bateau, lorsqu'il s'est subitement affaissé sur la jetée de l'Ouest. On lui a porté secours, mais il avait succombé aussitôt à une hémorragie cérébrale.  (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1904  -   Les temps.   -   La lune rousse, commencée le 15 avril, prendra fin le 15 mai. Jusque là, elle n'a pas été trop mauvaise, on redoute les saints de glace, 11, 12 et 13 mai. 

Les hannetons sont en abondance cette année et les pommiers promettent, ce qui justifie le vieux dicton normand : année de hannetons, année de pommes. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1913  -  Enfant brûlé vif.  -  La semaine dernière, vers 4 heures du soir, un gentil bébé de 15 mois, Théodore Bachelot, dont les parents sont cultivateurs au village de Cavigneaux, est tombé dans un  chaudron rempli d'eau bouillante et a été grièvement brûlé sur tout le corps. Malgré tous les soins dont il a été entouré, le pauvre petit est mort le lendemain, à 3 heures du matin. Quelques instants avant l'accident le bébé jouait avec sa maman et c'est en rentrant dans la maison qu'il est tombé dans le chaudron.  

 

Avril 1916  -  Mort pour la France.  -  M. Albert Sicot, de Presles, est décédé à l’hôpital de Compiègne, le 18 mars 1916, des suites de ses blessures, à l’age de 37 ans.

 

Mars 1918  -  Mort accidentelle.  -  Le 28 février, le jeune Lepesant René, âgé de 12 ans, allait faire boire sa jument dans la rivière l'Allière, près du pont de la Mulotière, lorsqu'il aperçut un homme étendu dans l'eau. Il fit part de sa découverte M. Legris, cantonniers, qui travaillait à proximité. Ce dernier vint prévenir M. Courval, adjoint au maire, et tous les deux retirèrent le cadavre, qui fut reconnu pour être celui du soldat Duval Constant, du 119e régiment territorial, en permission agricole.

Arrivé chez son père le 19 février, pour une période de 23 jours, Duval était gai et rien chez lui n'annonçait des idées moroses. 

Comme son père n'avait pas de travail pour l'occuper suffisamment, il partait le 27 février travailler chez M. Decaen, village de la Canterie, il emportait un faucillon et une hache, qui furent retrouvés sur le talus de la route, près du parapet du pont. On ne remarqua sur le cadavre aucune trace de lutte et rien n'avait été soustrait.

M. le docteur Germont, de Vassy vint examiner le cadavre et conclut à une mort accidentelle. Duval, âgé de 41 ans, était veuf et laisse trois enfants, âgés de 16, 14 et 6 ans. 

 

Septembre 1918  -  Mort pour la France.  -  M. Eugène Amand, soldat d'infanterie de la classe 1917, est tombé au champ d'honneur, au cours des combats de juillet. Nos condoléances à sa famille.

 

Février 1924  -  Une femme peu commode.  Le 9 courant vers 17 heures, M. Morel, cultivateur à Presles, revenait de chercher ses bestiaux pour les rentrer à la ferme lorsque en passant devant la. maison de Mme Montier, celle-ci l'insulta, puis, il reçut sur l'épaule gauche un violent coup de bâton et sur la joue droite une retentissante gifle. Il a porté plainte.

 

Janvier 1932   -   Le feu dans une ferme.   -    Vendredi vers 20 heures, le feu éclatait dans la commune de Presles, au village de Carignant, dans un cellier appartenant à M. Picard. Le bâtiment long d'une quarantaine de mètres et couvert en chaume, offrait à l'incendie un aliment facile. Il fallut toute la diligence des pompiers de Vassy, accourus en hâte sur les lieux sous les ordres du sergent Calbris, bientôt suppléé par le lieutenant Courvalet, pour venir à bout du sinistre.

Vers minuit, tout danger était écarté et l'on avait pu non seulement protéger les bâtiments d'habitation de la ferme situés à quelques mètres, mais sauver du bâtiment sinistré treize tonneaux de cidre, un pressoir et de nombreux instruments agricoles.

Les dégâts sont néanmoins, importants. Ils sont couverts par une assurance. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Janvier 1932   -   Imprudence d’un domestique.   -   Hier, nous avons relaté l'incendie qui a détruit un corps de bâtiment exploité à Prestes, village Carignant, par M. Bachelot Alzire, âgé de 53 ans, et appartenant à M. Picard, demeurant boulevard Beauséjour, à Paris.

Ce sinistre est dû à l'imprudence du jeune Dumont Albert, âgé de 17 ans, domestique du sinistré, M. Bachelot.

Vendredi, vers 20 h. 15, le jeune Dumont alluma une lanterne dite « tempête » et s'en fut dans un pressoir où se trouvait sa bicyclette qu'il voulait, réparer. Mais, comme la lumière de la lanterne ne donnait pas suffisamment de clarté, eut l'imprudence de soulever l'un des carreaux qui protègent la flamme de l'appareil. Et ce fut à ce moment que, rapide comme l'éclair, le feu se communiqua à des huiles et à des essences répandues — en faible quantité il est vrai — mais suffisante pour donner naissance à un foyer d'incendie sur le sol du pressoir. En un clin d'œil, l'imprudent domestique fut environné de flammes. Il appela au secours. M. et Mme Bachelot et leurs enfants se précipitèrent pour éteindre le commencement d'incendie. Des voisins accoururent. Les pompiers de Vassy furent alertés.

Mais il était trop tard ; tout le bâtiment ne fut bientôt qu'un immense brasier, et Ie feu dévorant détruisit en quelques heures foin, paille, grains, fruit d'une année de travail. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Avril 1937  -  Pendu à une barrière.  -  Un inconnu a été découvert pendu à la barrière de M. Lechevallier, au lieu dit « Les Bertheries-en-Presles », sur le bord de la route 55. 

Il s'agit, semble-t-il, d'un ouvrier agricole venant de la direction de Vire, pont de Vaudry, et remarqué par son allure pressée. 

Entre 6 heures et 7 heures, une fillette apeurée, se rendant à l'école de Presles, l'aurait aperçu, se débattant encore. 

De nombreux cultivateurs, facteurs et autres, sont venus vainement car les lieux sans identifier ce cadavre, porteur seulement d'une clef, à l'exception d'aucun papier. 

Un nommé Louis Alexandre, 53 ans, cultivateur à la ferme du Mesnil-Alémault, canton de Condé, est disparu depuis lundi soir de son domicile. 

Son signalement répondant au cadavre de l'inconnu découvert à Presles, la famille du disparu a été prévenue. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1940   -   Brûlée vive !   -  A Presles, deux habitantes, inquiètes de ne plus voir leur voisine, Mme Veuve Marie Prunier, 66 ans, cultivatrice, se rendirent chez elle. Un affreux spectacle les y attendait. Le cadavre carbonisé de la sexagénaire gisait dans la cour. On suppose que dans la nuit précédente, la pauvre femme, qui veillait une bête malade, est venue à un moment se réchauffer près de la cheminée de la cuisine. Elle a dû s'endormir là et pendant son sommeil, le feu s'est communiqué à ses vêtements. Réveillée, soudain, Mme Prunier dû sortir en criant, mais ses cris ne furent pas entendus et, torche vivante, la malheureuse s'affaissa sur le sol, où elle expira dans d'atroces souffrances. Cette fin tragique a causé un vif émoi dans la région.  

 

Mai 1946  -  Une mine explose.  -  Alors qu’ils procédaient à Presles, au déminage d’un herbage appartenant à M. Victor Lemasson, deux prisonniers allemands ont sauté sur un engin et ont été tués. (source : Le Bonhomme Libre)

 

Novembre 1947  -    Un pompiers grièvement blessé au cours d’un incendie.  -   Un incendie, provoqué par l’imprudence d’un commis qui s’éclairait avec une lampe à carbure, a causé 300 000 francs de dégâts dans une dépendance à usage de grange et d’écurie de la ferme exploité à Presles, par M. Vengeons, village de la Mulotière. Le bétail a été sauvé. 

Arrivés rapidement sur lieux, les pompiers de Vassy combattirent énergiquement, à l’aide de leur nouveau matériel, le sinistre, qui embrasait la toiture. Au cours des opérations , l’adjudant Hée est tombé d’une hauteur de 4 mètres et a dû être transporté à l’hôpital de Flers. On craint une fracture d’une vertèbre.   (source : Le Bonhomme Libre)

PRESLES.  -  La Cave.

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