1er Août 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS Page 4
REVIERS

Canton de Creully

Les habitants de la commune sont des Revitais et Revitaises


Octobre 1926  -  A la machine à battre.  -  Ces jours derniers, M. Septvaut, cultivateur à Reviers, avait une violente discussion avec 3 ouvriers agricoles, les sieurs Bures, Lainez et Vrard, embauchés pour battre à la machine. Des mots on en vint bientôt à des coups.

M. Septvaut fut plongé par les 3 hommes dans une cuve à demi remplie d'eau, ses agresseurs s'efforcèrent de le maintenir, en appuyant sur la tète. Aux cris poussés par la victime, ils s'efforcèrent de le retirer de la cuve. M. Septvaut a porté plainte, et la gendarmerie procède une enquête.  

 

Juillet  1928  -  Un noyé.  -   Les gendarmes de Creully ont trouvé dans la rivière la Seulles, sur le territoire de la commune d'Amblie, le corps de M. Eugène Vrard, 63 ans, journalier à Reviers qui, étant occupé à faucher des herbes sur les bords de cette rivière a tomber accidentellement.

 

Juillet  1928  -  Une bonne recrue.  -  Il y a quelques jours, M. Frédéric Devaux, 46 ans, cultivateur à Reviers, embauchait comme domestique, un individu qui lui déclara se nommer Gabriel, puis peu après Lucien. Le lendemain matin, revenant de traire ses vaches, M. Devaux constatait la disparition de son domestique, et en même temps, celle d'une somme de 46 fr. 40, d'une photographie d'enfant et d'une paire de lacets enlevés à ses chaussures.
S'étant mis à la recherche du domestique indélicat, M. Devaux le rattrapait à Anisy, mais ne put lui reprendre que la photographie d'enfant. Il put néanmoins s'emparer de son fascicul
e de mobilisation et sut ainsi que son domestique s'appelait en réalité Tirard, et faisait l'objet d'un mandat d'arrêt de M. le juge d'instruction de Caen pour escroquerie et infraction à un arrêté d'interdiction de séjour.
A son retour chez lui, M. Devaux découvrit dans son écurie différents objets d'église, notamment deux étoles, une sonnette, un diurnal noté, un canon d'église, un catéchisme, une paire de sandales et un calot militaire.
Le canon et les étoles appartenaient à l'église de Reviers, Tirard les avait dérobés la veille. Les autres objets ont été saisis par la gendarmerie, qui recherche vivement le nommé Tirard. Tirard les avait dérobés la veille. Les autres objets ont été saisis par la gendarmerie, qui recherche vivement le nommé Tirard. Tirard les avait dérobés la veille. Les autres objets ont été saisis par la gendarmerie, qui recherche vivement le nommé Tirard. Tirard les avait dérobés la veille. Les autres objets ont été saisis par la gendarmerie, qui recherche vivement le nommé Tirard. Tirard les avait dérobés la veille. Les autres objets ont été saisis par la gendarmerie, qui recherche vivement le nommé Tirard.

 

Janvier 1930   -  Police correctionnelle.   -   Affaires de la région.      Bouquerel Edmond, 55 ans, chiffonnier à Reviers, Bouquerel Fernand, 19 ans, journalier, à Reviers, ont brisé une clôture au sieur Quiquemelle.

Le premier, 3 mois, 50 fr., le deuxième, 2 mois, 50 fr. — 500 fr. de dommages-intérêts au sieur Quiquemelle, partie civile.

— Levavasseur Pierre, 25 ans, cultivateur à Baynes, 25 fr. pour coups à Mlle Anne Maria, sa bonne.

— Victoire Eugène, 33 ans, journalier à Crépon étant ivre a exercé des violences sur les sieurs Belhaire et Ozanne. 16 fr. plus 5 fr. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Novembre 1930   -   Un amusement dangereux.  -   Vers midi, deux ouvriers de l'entreprise de travaux publics Chrétien, de Courseulles, MM. Gustave Dérand, 45 ans, demeurant à Graye-sur-Mer, et Alexis Chrétien, 28 ans, domicilié à Bény-sur-Mer, pénétraient pour y déjeuner dans une cabane édifiée dans une carrière voisine de la route de Courseulles à Reviers où ils étaient employés. Dans cette cabane se trouvait un moteur à essence et, renfermés dans un placard, deux kilos de poudre de mine.

Pour s'amuser, les deux hommes eurent la malencontreuse idée de mettre le feu à quelques grains de poudre tombés sur une planche placée à proximité du placard. De hautes flammes s'élevèrent qui atteignirent ce dernier provoquant une explosion. MM. Dérand et Chrétien ont été brûlés au visage et aux mains peu sérieusement, toutefois, la cabane a été détruite.

 

Janvier 1937  -   Un cycliste fait une chute mortelle.  -  Regagnant son domicile, sa journée terminée, M. Louis Queudeville, 47 ans, couvreur, demeurant à Reviers, circulait à bicyclette sur le chemin de G. C. 176, lorsqu'à proximité du pont de la Seulles, il fit une chute à la suite de la rupture de l'une des pièces de sa machine. 

 Relevé par un passant, M. Jean Etienne, le malheureux qui, dans l'accident, avait eu le crane fracturé, fut transporté à son domicile où, malgré les soins des docteurs Quiquemelle, de Conrseulles, et Dimier, de Creully. il est décédé. (Source : Le Moniteur du Calvados) 

 

Mai 1937  -  Deux autos s’accrochent à Reviers.     Un peu avant 20 heures, dimanche soir, M. de Courseulles, propriétaire à Caen, 54, rue de Geôle, revenait de Courseulles, conduisant sa voiture automobile dans laquelle avaient pris place sa femme et cinq de leurs enfants. Il abordait le carrefour de Reviers, où la visibilité est nulle, lorsque déboucha sur sa droite, venant de Reviers, en direction de La Délivrande, une autre auto roulant à vive allure et conduite par M. Mésaise, d'Amfréville.

Les conducteurs ne purent malheureusement empêcher que les deux véhicules de se prissent en écharpe, s'arrachant mutuellement tout un côté de la carrosserie.

L'auto de M. Mésaise monta sur le talus, et alla s'arrêter dans un champ, à environ 50 mètres de l’endroit de l'accident, cependant que la voiture de M. de Courseulles abordait elle aussi le talus mais se retournait avant d'arriver en haut.

Immédiatement, des secours s'organisèrent et les occupants des deux voitures, tous plus ou moins blessés, reçurent le soins du docteur Quiquemelle, qui avait été prévenu en même temps que les gendarmes de La Délivrande.  Les blessés les plus grièvement atteints se trouvaient parmi les occupants de la voiture de M. de Courseulles ; Mme de Courseulles a les deux clavicules cassées en plusieurs endroits. Son jeune fils Michel, après être resté dans le coma pendant plusieurs heures, a repris connaissance, mais souffre d'une violente commotion. On craint, en outre, une fracture du bassin.

M. de Courseulles souffre de contusions multiples et d'une légère blessure à une main.

M. Mésaise a une côte fracturée et sa femme souffre de fortes contusions sur différentes parties du corps.

Nous souhaitons aux blessés un prompt rétablissement. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1937  -  Une nouvelle collision au carrefour de Reviers.     Vers 18 h. 30, une collision s'est produite, au carrefour de Reviers, entre une automobile pilotée par M. Henri Biard, 52 ans, commerçant à Tour-en-Bessin, et un camion des Établissements Lepetit, de Saint-Maclou, conduit par M. René Bazin, 47 ans.

Sous la violence du choc, le camion dérapas, fit un tête-à-queue et se renversa, cependant que l'automobile effectuait deux tours sur elle-même et allait se jeter dans un champ.

Dans l'accident, Mme Biard, qui se trouvait aux côtés de son mari, a été blessée assez grièvement par des éclats de verre, elle a reçu les soins du docteur Quiquemelle, de Courseulles. au domicile duquel elle a été transportée : M. Biard a été blessé au bras gauche. Le chauffeur Bazin est indemne. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Juillet 1938   -   Une belle destruction de fauves.   -   Tout dernièrement, M. Laisné, garde-chef de la Société Saint-Hubert, de Reviers, dont la présidence est si activement assurée par M. Champamaud, a réussi à capturer 14 renards et plusieurs blaireaux. Félicitons-le pour l'habileté dont il a fait preuve. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Mars 1944    -   Fait divers.   -    Deux enfants de Reviers, en jouant avec des allumettes, ont mis le feu à un hangar à M Buon cultivateur à Reviers. 30 à 35 tonnes de lin ont été la proie des flammes ainsi qu un chariot et divers outils agricoles. M. Buon estime sa perte 100 000 francs.

 

Juin 1944  -  Une fillette écrasée par un camion.  -  Vendredi soir, vers 19 heures, la jeune Bernadette Bouchon, âgée de 9 ans, fille du directeur de la Société sucrière du Calvados, qui se promenait à bicyclette avec sa mère, sur la route d’Amblie à Reviers, s’est jetée sur un camion, dans un virage. La mort a été presque instantanée. 

(Source : La Presse Quotidienne Caennaise)

 

Juin 1944  -  Bataille de Normandie.  -  Au sud de Reviers, les chars canadiens subirent des pertes importantes lors de la première journée du débarquement : Juno Beach est le nom de code d'une des principales plages du débarquement allié en Normandie lors de la Seconde Guerre mondiale. Le , la prise de Juno Beach fut assignée à la 3e Division d'infanterie canadienne commandée par le major-général Rodney Keller. Le secteur Mike devant Graye-sur-Mer et Courseulles-sur-Mer devait être contrôlé par la 7e  brigade  appuyée par le 6e régiment blindé canadien. Malgré la mer démontée qui interdisait une mise à l'eau aisée des chars amphibies, quelques chars  purent être mis à terre pour la 7e brigade contrairement à la situation à Bernières-sur-Mer.

L'escadron B des 1st Hussars aida à nettoyer le village de Courseulles avant de percer vers l'intérieur des terres. Au sud de Reviers, cet escadron rencontra un canon de 88 allemand qui réussit à toucher six chars avant d'être mis hors d'usage par le tankiste Léo Gariépy. Dans l'engagement, sept membres d'équipage des Hussars perdirent la vie. À cause de ses pertes, l'escadron dut battre en retraite et retourner sur la plage.

À la fin de la journée suivante, les forces canadiennes, 21 500 hommes (sans compter les pertes), firent leur jonction avec les forces britanniques qui avaient pris Sword Beach. Les pertes canadiennes (morts, blessés, disparus) furent d'environ un millier.

 

Janvier 1945  -  La circulation sur la R.N. 13.   -   Il est rappelé aux cyclistes empruntant la route nationale n° 13 (Cherbourg à Paris), classée route militaire, que la circulation n’y est tolérée qu’à leurs risques et périls. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1945  -  A la Cour de Justice.   -   Présidée par M. Sebire, la Cour de Justice a, au cours de sa quatrième session, jugé quatre nouvelle affaires de dénonciation.

-  Caroline L……., femme R…., 66 ans, de St-Aubin-sur-Mer, accusé d’avoir dénoncé M. Lagarde à la Kommandantur, a été acquittée.

-  Il en a été de même pour Yvonne H….., 17 ans, de Fervaques, poursuivie pour avoir dénoncé le médecin de la localité comme donnant asile à un parachutiste et qui a été considéré comme ayant agi sans discernement.

-  Marcelle B….., femme C…….., 46 ans, ses deux filles Juliette, 22 ans, et Irène, 19 ans, de Reviers, avaient dénoncé à la Kommandantur, M. M….., d’Amblie.  Celui-ci, les voyant  venir, en compagnie d’Allemands, à la fête organisée au profit des prisonniers s’était écrié : « Pas de boches ici ! ». La femme C…….. s’est vue infliger 5 ans de réclusion, et sa fille Juliette, 3 ans de prison, Irène C…….. a été acquittée comme ayant agi sans discernement, elle sera confiée  jusqu’à sa majorité à un établissement d’éducation surveillée. 

-  Georgette L……, veuve S…., 45 ans, débitante, rue Calmette, à Mondeville, avait par sa déposition au procès de quatre français traduits en cour martial, provoqué l’aggravation de la condamnation de ceux-ci, 2 ans d’emprisonnement.  (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Septembre 1945  -  Un tragique accident.  -  Deux cultivateurs les frères Levigneur, âgés de 17 et 29 ans, résidant respectivement à Colomby-sur-Thaon, et à Reviers, trouvèrent une caisse de cheddite au cours d’une partie de chasse, à proximité de Bény-sur-Mer. On pense que les jeunes gens voulurent déplacer la caisse. Toujours est-il qu’une violente  explosion se produisit et que les habitants accourus emportèrent deux cadavres horriblement mutilés. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1945  -  « O ! Canada.   -  Avant de regagner leur patrie, 60 soldats canadiens et 4 officiers du Régiment de la Chaudière, qui participa brillamment aux opérations de débarquement sur nos cotes, sont venus se recueillir auprès des tombes de leurs camarades inhumés au cimetière de Reviers.

A Bernières-sur-Mer, où ils s’arrêtèrent, le maire, M. Min, leur souhaita une fraternelle bienvenue. Nous sommes certain qu’il garderont le meilleur souvenir de l’accueil qui leur fut réservé par la population. On se sépara aux chants de « O ! Canada ! » que suivit « la Marseillaise », unissant ainsi, d’un même cœur, l’amour du « vieux pays » et d’une nation d’Amérique toujours fidèle à ses origines françaises. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1946  -   Un pèlerinage de parlementaires canadiens.  -  Accomplissant un pieux pèlerinage, quatre parlementaires canadiens sont venus se recueillir sur les tombes de leurs compatriotes tombés au cours du débarquement et inhumés dans les cimetières de la cote. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Février 1946  -  Une hospitalité mal récompensée.  -  Dans la nuit de jeudi à vendredi, la semaine dernière, M. Michel, cultivateur à Reviers, donnait l’hospitalité à un jeune homme de sa connaissance, Roland Ferrée, 24 ans, qui prétendit être en panne de voiture. 

Le lendemain M. Michel constatait que son hôte avait disparu, emportant une caissette contenant 100 000 fr. : le malfaiteur avait dédaigné, probablement parce que difficiles à écouler des bijoux représentant une valeur de 200 000 fr. Ferrée, qui faisait déjà l’objet d’un mandat d’arrêt pour insoumission, est activement recherché. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Avril 1946  -  Au feu !  -  1 500 kilogs de foin ont été détruits par le feu dans un bâtiment appartenant au maire de Reviers.

-- Par suite d’un court-circuit, un incendie a pris naissance dans la voiture de M. Lethan, cultivateur à Moult. Le feu s’est communiqué au garage où se trouvait la voiture, puis à la maison d’habitation qui a été presque entièrement détruite malgré l’intervention des voisins. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Mars 1948  -   Inauguration d'une salle des fêtes à Reviers.   -   Dimanche prochain l'Association Familiale Rurale procédera à l'inauguration de sa salle des fêtes. A 14 h., séance récréative avec le concours de la troupe du « Ruisseau qui jase ». Un Bal de nuit clôturera cette journée. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Mars 1948  -      Un imprudent provoque un incendie d'une meule.   -  Un feu que M. Paul Bochard, ouvrier agricole à Reviers, avait allumé pour se chauffer au cours de son travail, a détruit une meule de paille de blé et d'orge appartenant à son patron M. Alphonse Levigneur. Les dégâts s’élèvent à 70 000 francs. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Avril 1948   -   Des truites danoises dans la mue.   -   La société Saint-Hubert, de Reviers, vient d'immerger 6 000 petites truites danoises venant directement du centre de pisciculture d'Acquigny (Eure).

L'immersion a eu lieu d'un bout à l'autre du village, sous le contrôle du Président de la Société, M. Champarnaud, accompagné de M. Roue, maire. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Août 1948   -   Le feu dans une grange.   -   Durant la nuit un incendie qui aurait été provoqué par un échauffement de foin encore humide s'est déclaré dans un bâtiment agricole appartenant à M. Alphonse Levigneur, cultivateur à Reviers.

L'intervention des pompiers de Courseulles a permis de conjurer le fléau. La toiture de la grange a été endommagée. On déplore également la perte de 2 000 bottes de foin et de 80 sacs de toiles. Une réserve de grain a été détériorée par les jets d'eau. Les dégâts seraient de l'ordre de 150 000 francs. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   La délégation canadienne de l'O.N.U., aux plages du débarquement.   -   M. Lionel Chevrier, ministre canadien du transport et chef de la délégation canadienne auprès de l'ONU, accompagné du sénateur Wishart  Robertson et des autres membres de la délégation, a visité, dimanche, les plages de Normandie où les troupes canadiennes débarquèrent le 6 juin 1944.

Le ministre s'est également rendu dans les cimetières militaires canadiens de Reviers (Bény-sur-Mer) et Cintheaux (Bretteville-sur-Laize) où sont inhumés plusieurs milliers de soldats canadiens tombés glorieusement sur le sol de France. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Novembre 1948   -   Les jeux stupides.   -   Saisie d'une plainte de l'Administration des P.T.T. pour bris de 44 isolateurs sur la route de Courseulles à Reviers, la gendarmerie a dressé procès-verbal contre six gamins de cette dernière localité âgés de 12 à 15 ans.

Les parents seront poursuivis comme civilement responsables. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Août 1949   -   Un bébé écrasé par un camion.   -   Vendredi, vers 13 h. 30 un camion de la minoterie Roussel, piloté par M. Guy Jeanne, traversait le bourg de Reviers et suivait la direction Luc-sur-Mer-Saint-Gabriel. Il tenait bien sa droite. Sur sa gauche et dans la même direction circulait un groupe de trois personnes : Jacques Jahouel, 16 ans, accompagné des petits voisins, Jean, 3 ans et demi, Michel, 5 ans, dont le papa manœuvre à la Reconstruction, est en ce moment hospitalisé par suite un accident de travail.
Soudain, le bébé de trois ans et demi abandonna la main de Jacques Jahouel et traversa la route juste au moment où le camion survenait à sa hauteur.
On devait le retrouver sous le camion, la tête sous les roues jumelées gauche du lourd véhicule et complètement écrasée. Le pauvre bambin avait été tué sur le coup à la suite d'un éclatement de la boîte crânienne. ( Le Bonhomme Libre )

 

Février 1950   -   Une intéressante initiative.   -   Les Sociétés de chasse de Banville, Reviers et Bernières, Courseulles présidées par MM. le docteur Bianquis, Champarnaud et Lebreton, qui avaient fait procéder sur leurs terrains à un repeuplement de lièvres d'Alsace, viennent d'enrichir leurs réserves de lièvres importés d'Europe Centrale.

Les nouveaux venus, reproducteurs sélectionnés ont parfaitement supporté le voyage. ( Le Bonhomme Libre )

REVIERS    -   Cimetière Militaire

REVIERS  (Calvados)

 REVIERS   -  Cimetière Militaire Canadien

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