15 Juin 2024 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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SASSY |
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Canton de Morteaux-Coulibœuf |
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Par
arrêté du 11 juin, M. le préfet a bien voulu répartir dans diverses
communes du département une somme de 5 959 fr. 29 с. Voici,
par arrondissement, les sommes affectées à chaque commune : Arrondissement
de Falaise. Morteaux-Coulibœuf.
- Travaux importants à l'église.
150 fr. Sassy.
- Travaux à l'église. 75
fr. Courcy.
Travaux à l'église. 75
fr. Crocy.
- Travaux à l'église. 75
fr. Jort.
- Travaux à l'église. 50
fr. Norrey.
- Travaux à l'église. 50
fr. Beaumais.
- Travaux à l'église. 150
fr. Saint-Sylvain.
- Construction d'une halle. 150
fr. Louvagny. - Assainissement de l'église. 23 fr. ( L’Ordre et la Liberté )
Octobre 1861 - Un décret impérial du 16 octobre. - Un décret impérial du 16 octobre autorise les communes ci-après à s'imposer extraordinairement en 1862, pour travaux de vicinalité, savoir : 1° La commune de Sassy, 500 fr., représentant environ 10 centimes additionnels. 2°
La commune de Bénouville, 150 fr., représentant environ 3 centimes
additionnels. Un décret impérial du 16 octobre.
( L’Ordre et la Liberté )
Décembre
1869 -
Fait divers.
- Un
violent incendie s'est déclaré mercredi
vers 3 heures de l'après-midi, dans une meule d'avoine appartenant à
M. Gouin, maire de la commune de Sassy. Aux premiers cris d'alarme et au
son du tocsin, plus de 600 personnes étaient accourues pour prêter du
secours, on fut assez heureux pour circonscrire le cercle du feu et
préserver ainsi une autre meule de blé, distante seulement de quelques
mètres du foyer d'incendie. Cet
incendie est dû à la malveillance du sieur Jules-Jean-François
Ponchard, journalier, qui a
été arrêté et est en ce moment écroué à la maison d'arrêt de
Falaise. On suppose que depuis quelque temps cet individu est atteint
d'aliénation mentale.
Décembre
1869 -
Fait divers.
- La poste,
ne pouvant égaler la vitesse de la télégraphié, essaie au moins
d'accroître la rapidité des correspondances. Dans ce but, les facteurs ruraux vont être autorisés à prendre le chemin de fer toutes les fois qu'il conduira aux communes qu'ils ont à desservir, Nous applaudissons franchement à cette mesure, qui apportera une grande célérité dans la correspondance et qui améliorera la situation pénible des facteurs qui desservent la campagne.
Avril
1879 -
Écoles de filles, répartition de secours. - Le Conseil, conformément au rapport de M. le Préfet,
répartit une somme de 2 500 fr. à prendre sur le crédit de 5 000 fr.
inscrit au budget de 1879, pour établissement et entretien d'écoles de
filles. Sassy, 374 habitants, Mme Lautour (Marie), 23 élèves
payantes, 6 gratuites ; 450 fr. de traitement
Juillet 1880 - Un tour surprenant. - Dernièrement, à Sassy. canton de Morteaux-Coulibœuf, un individu, s'adressant à plusieurs personnes sur la place publique, leur dit que pour 21 sous, il allait leur faire voir un tour surprenant. La somme fut donnée par les curieux. Alors, l'individu ramasse les gros sous, met le tout dans sa casquette et veut s'en aller. Le public, vexé, en réfère au garde champêtre, qui saisit la caisse et s'assure de la personne du mauvais farceur qui donne les noms d'un habitant de Falaise avec lequel il n'a rien de commun. Le garde, tenant d'une main la casquette et de l'autre le monsieur aux tours, traverse la foule pour se rendre chez le maire. Tout
d'un coup, l'homme envoie au pauvre garde champêtre un formidable coup
de poing en plein visage et le renverse. Puis prenant son couteau, il
s'écrie : « Le premier qui approche, je le tue. » Personne
n'osant l'arrêter, il a pu se sauver. Pendant la nuit, il a volé un
cheval qu'on a retrouvé le lendemain près
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gare de Coulibœuf, où sans doute L'homme au tour aura pris le
train.
Février 1881 - Morts et accidents. - Sassy n'est pas heureux depuis quelque temps, une femme Canet et une femme Graffey sont mortes subitement, la première est tombée en quittant son repas, quant à la deuxième, elle a été trouvée mourante à son domicile. Un sieur Dieuleveut a été trouvé tombé sur la route de Falaise à Sassy, venant de passer sous la roue de sa voiture, et ayant une jambe fracturée. Dieuleveut s'en revenait de Falaise, porter la bonneterie fabriquée à Sassy dans la semaine. Jeudi,
le sieur Amand Gallet, casseur de pierres, voulant faire prendre une
mine dans un roc de pierre, en soufflant dessus, a reçu la charge en
pleine figure, par un hasard providentiel, il n'a reçu que quelques
contusions sans gravité, il a été également blessé à la main. Un
ouvrier qui travaillait près de cette mine a reçu une pierre dans la
jambe, et a été blessé.
Février 1891 - Coup de couteau. - Une rixe qui eût pu entraîner mort d'homme a éclaté dimanche soir, à Sassy, chez H. Gouin, ferme de la Varenne, entre deux domestiques, les nommés Louis Havenel, 48 ans, et Ernest Guesdon, dit Gambetta, 39 ans. La querelle vint à cause d'un chien, Guesdon, qui avait bu une partie de la soirée, rentra à la ferme quelque peu ivre. Entendant un chien de garde aboyer dans l'étable, il voulut le faire taire, Havenel, qui était couché dans une chambre au-dessus, s'y opposa. Furieux alors, Guesdon monta le trouver dans son lit, et lui administra une volée de coups de poings. Havenel, qui était parvenu à se soulever, riposta et, pour l'éloigner, saisit Guesdon à la gorge. Se voyant maintenu, ce dernier, ivre de boisson et de colère, tira son couteau de sa poche et en porta plusieurs coups très violents au malheureux Havenel qui tomba à la renverse, baigné dans son sang.
Février
1891 -
Le froid et les récoltes .
- Les
dégâts causés aux récoltes par les grands froids de cet hiver ne
peuvent pas encore être appréciés d'une manière certaine. Les
Octobre
1893 -
Jambe cassée. -
Samedi, à
Sassy, le sieur Marie,
propriétaire et conseiller municipal, rentrait de Condé où il avait
mené un tonneau de cidre. En pénétrant dans sa cour, son
cheval s'élança contre la barrière. La voiture fut renversée sur le
sieur Marie qui eut la jambe cassée. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Septembre 1897 - La chasse entravée. - Favorisée par le temps, l'ouverture a été bonne partout. Beaucoup de perdrix, moins de lièvres et très peu de cailles. — MM. les maires de Sassy, Morteaux, Pertheville-Ners, Fresné-la-Mère, Villy, Jort, etc., ont fait publier que la chasse est interdite sur leur territoire, pour tous les étrangers qui n’auraient pas versé, entre les mains du maire, une somme, de 10 francs pour le bureau de bienfaisance. — D'autres maires interdisent la chasse aux personnes qui n'ont pas pris de permis à la mairie de la commune. Si tous les maires en faisaient autant, les pauvres chasseurs, dont les droits sont déjà très restreints, ne sauraient plus où poser le pied. — D'ailleurs, nous ne saurions trop répéter que les maires qui agissent ainsi excèdent leurs pouvoirs et s'exposeraient dans certains cas a être poursuivis comme concussionnaires. Nous sommes convaincus que le préfet ignoré ces faits, sans cela il y aurait certainement mis bon ordre. A
là préfecture du Calvados on a délivré 396 permis de chasse de plus
qu'en 1896 et on a entré moins de gibier. A Caen, en 1896, on a
déclaré, les deux premiers jours, 215 lièvres ; 4 147 perdrix et 363
cailles. En 1897, 180 lièvres ; 4 536 perdrix, 199 cailles. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Juillet
1899 -
Médailles d’honneur agricoles.
-
MM. Emmanuel Bouteloup, à Trouville ; Albert Fourcy, à
Pont-l'Evêque ; Louis Goret, à Sassy ; Louis Querey, à Norolles
; Louis Romain, à Saint-Gabriel. (Source : Le Bonhomme Normand)
Février
1901 -
Concession de Mines. -
Les
demoiselles de Mecflet, domiciliées à Estrées-la-Campagne ; les
sieurs de Mecflet, sous-intendant militaire à Reims ; Pierre Tastemain,
industriel ; Victor Mullois, pharmacien ; Adolphe Pouettre, courtier de
commerce, domiciliés à Caen, sollicitent une concession de mines de
fer sur le territoire de Saint-Germain-le-Vasson, Fontaine-le-Pin,
Grainville-Langannerie, Estrées-la-Campagne, Soumont-St-Quentin,
Ouilly-le-Tesson, Potigny, Bons-Tassilly, Olendon, Epaney, Perrières et
Sassy, arrondissement. de Falaise. (Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre 1901 - Voleur de chevaux. - Léon Lecellier, 25 ans, casseur de pierres à Sassy, arrondissement de Falaise, s'est marié il y a peu de temps et, déjà, il a quitté deux fois sa jeune femme. Se
trouvant à court d'argent pour payer un billet, il avait volé un
cheval de 4 ans au sieur Gouin, cultivateur à Sassy, et était allé le
vendre à la foire de Condé. La bête est estimée Décembre
1901 - Surveillez les nomades.
- Sur
les nombreux vols commis dans le département, un certain nombre sont
constatés après le passage, de nomades en roulotte qui, leur coup
fait, passent les frontières du département. Peut-être qu'en faisant,
des perquisitions, dans leurs roulottes retrouverait-on une partie des
objets volés. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mars 1903 - Morts subites. - Le sieur Constantin Surcouf, 46 ans, cocher, rue de Laplace, à Caen, est mort subitement en lavant sa voiture. — Le sieur Louis Diligeances, 60 ans, régisseur à Sassy, est mort subitement sur le territoire de Maizières, canton de Bretteville-sur-Laize. ( Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre 1903 - Un blessé. - Cellier, âgé de 19 ans, domestique chez M. Levavasseur, cultivateur, revenait le mardi 8 décembre de l'abreuvoir, où il avait conduit les chevaux de son maître, lorsque l'un des animaux lui lança une ruade qui l'étendit sur le sol. Lorsqu'on le releva, on constata qu'il avait la jambe droite fracturée.
Juin 1904 - La dentelle. – On essaie toujours de ressusciter la dentelle morte. On va s'occuper de la faire réapprendre aux enfants dans six départements, dont le nôtre. Chez nous, les écoles désignées sont celles de Fresney-le-Puceux, Luc-sur-Mer, Rots, Ste-Honorine-du-Fay et Sassy. Des maîtresses spéciales enseigneront aux fillettes à manier les bloquets. Deux maisons importantes ont promis des fournitures et se sont engagé a donner du travail aux futures ouvrières. C'est
très bien, mais les dames se décideront-elles à reporter la dentelle
à la main ? Sans cela, il n'y a rien de fait. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Juin 1917 - Le temps qu’il fait. - II a plue le jour de la Saint-Médard et bruiné seulement le jour de la Saint-Barnabé. Cela autorise à la fois nos craintes et nos espérances les orages ne semblent pas avoir trop fait couler les fleurs des pommiers, il y a toujours belle apparence. Au moins, si la on nous mesure le manger, que nous ayons de quoi boire !
Juin
1917 -
Pour la mobilisation civile.
- Tout
homme
de 16 à 60 ans, non présent sous les drapeaux, est tenu de faire sa
déclaration à la mairie de la commune où il se trouvera dans la nuit
du 7 au 8 Juillet.
Juin
1917
- Un drame.
- Mme
Dallemagne, 48 ans, boulangère à Sassy, canton de Morteaux-Coulibœuf,
s'est suicidée en s'asphyxiant avec du charbon. Cette malheureuse femme
souffrait de violents maux de tête, suites d'une fièvre typhoïde.
Déjà, il y a sept ans, elle avait tenté de se suicider, mais on
était arrivé à temps pour la sauver.
Janvier 1921 - Une voiture versée. - Mme veuve Levavasseur, 58 ans, journalière à Sassy, canton de Morteaux-Coulibœuf, alla reconduire à la gare de Jort son fils qui habite près de Livarot, et qui était venu passer les fêtes chez elle. A la gare, le fils Levavasseur reconnut un laitier de la fromagerie de Ernes et lui demanda de ramener sa mère à Sassy, puisqu'il passait devant sa maison. Arrivée en face la mairie de Sassy, la voiture, qui était chargée de 33 channes de lait pleine, tourna de trop court et versa. Le conducteur et Mme Levavasseur furent pris sous le chargement. Les voisins, accourus au bruit, dégagèrent le conducteur, qui était fortement contusionné. Mme Levavasseur, retirée après de sa pénible position, portait aux jambes de douloureuses contusions et on craint des fractures. La malheureuse a été transportée à l'hôpital de Falaise. Le
cheval a été blessé et la voiture brisée. Quant aux 660 litres de
lait, ils se sont répandus sur !a route. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Septembre
1922
- Légion d’Honneur.
- M.
Paul Laurent, conseiller général et maire de Sassy, est nommé
chevalier de la Légion d'honneur. (Source
: Le Bonhomme
Juillet
1923 - Un désespéré.
- Un
journalier de Sassy, canton de Morteaux-Coulibœuf, M. Marguerite, qui
parlait toujours d'en finir avec la vie, s'est pendu à un arbre. Il
était âgé de 42 ans. (Source :
Le Bonhomme
Normand)
Mai
1925 -
Flagrant délit de vol.
- En
octobre,
M. Auguste
Lebret,
cultivateur,
constatait
que des
pommes
de terre
lui avaient
été
dérobées
dans
une maison
inhabitée
et que
depuis,
œufs,
draps,
cidre
et eau-de-vie
(20 litres)
avaient
disparu.
Il
fit changer
les serrures
il y
a une
huitaine
de jours,
mais
le 5
mai,
il était
informé
par le
jeune
Bideault
que quelqu'un
se trouvait
dans
sa maison.
Le jeune
Roland
Lebret,
son fils,
s'y
rendit
et trouva
blotti
derrière
un tonneau
le nommé
Louis
Gontier
qui avait
été
à son
service
en 1923.
Gontier portait un sac contenant une bonbonne de 5 à 6 litres et deux litres en verre. interrogé, Gontier reconnut qu'étant sans ressources, il avait voulu prendre du cidre. Il avait confectionné, pour entrer, un crochet. Il nie les vols de pommes de terre, d'eau-de-vie et de draps. Une perquisition faite à son domicile a amené la découverte de plusieurs objets dont la provenance donnera lieu à une enquête. Gontier a été arrêté. Il a de plus, été gratifié d'un procès-verbal, pour détention de collets.
Avril
1926 -
Un violent incendie détruit une ferme.
- Un
important
incendie
a, pendant
la nuit
complètement
détruit,
à Sassy
de Falaise,
la ferme
d'un
cultivateur
du pays,
M. Roussel. En
un instant,
les bâtiments
d'habitation
et les
communs
furent
la proie
des flammes.
Malgré
les efforts
des habitants
des villages
accourus,
les dégâts
s'élèvent
1 200.000
francs
environ,
non couverts
par assurance.
On croit que le feu a été mis involontairement par un malfaiteur s'introduisant dans une grange, pour y voler du foin.
Avril
1926 -
Grave incendie.
- M.
Olivier, propriétaire
à Maizières,
se rendant
à Vicques, vers
8 h.
30 du
soir en
auto, aperçut
en passant
devant
la ferme
des époux
Roussel, une
vive lueur.
Il donna
aussitôt l'alarme.
Le feu
se développait
dans les
dépendances de
la ferme
et prenait
une grande
extension, on
courut prévenir
les pompiers
d'Ernes qui
arrivèrent
aussitôt et
se mirent en
batterie.
On put
préserver les
bâtiments voisins
et grâce
au secours
de tous
un plus
grand sinistre
put être
évité, mais
un bâtiment,
long de
20 mètres,
large de
8, contenant
6.000 bottes
de paille
et de
foin, diverses
machines, ainsi
que du
mobilier ont
été la
proie des
flammes. L'immeuble appartenait aux malheureux fermiers qui estiment leurs pertes à plus de 150.000 francs. Les gendarmes de Coulibœuf ont ouvert une enquête. Cette incendie pourrait être du à la malveillance. Les incendiaires d'Ernes se réveilleraient-ils : il y a plusieurs années des sinistres fréquents eurent lieu dans cette contrée et faute de preuves l'enquête n'aboutit qu'à un non-lieu.
Juillet 1939 - Un malfaiteur opère à Sassy. – L'ouvrier carrier Joseph Amadori, 39 ans, et son camarade Victor Costa, 33 ans, habitent ensemble un local appartenant à M. Danneville, à Sassy.
Il
y a six semaines, le portefeuille de M. Costa avait déjà été
délesté d'un billet de 100 francs. En même temps que son camarade, M.
Costa a constaté qu'une nouvelle somme de 160 francs lui avait été
dérobée. (Source : Le
Moniteur du Calvados)
Août 1939 - Ayant mis au monde un enfant sans vie, une femme se suicide - Il y a quelques semaines, les époux Van Houete arrivaient à Sassy, chez leur tante, Mme veuve Tolleville, où la femme Van Houete, née Fernande Marguerite, 39 ans, désirait faire ses couches. Elle accoucha le 27 juillet, d'un enfant sans vie. Ce fut un gros chagrin pour les époux, Le mari tomba malade et manifesta l'intention de se donner la mort. Plus taciturne, la femme ne dit pas grand chose, mais avant-hier, pendant que le docteur Lebif donnait des soins à M. Van Houete, couché au rez-de-chaussée, elle descendit à la cave, où elle tenta de se couper la gorge avec un petit couteau de poche. Elle se blessa seulement sans gravité. Alors elle remonta au grenier et se coucha dans une caisse, puis elle se trancha la gorge avec le même couteau. Quand
on la retrouva, elle respirait encore. Sa tante appela, immédiatement
le docteur et le curé de Sassy, mais les secours furent vains. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Février
1945 - Les
prêts aux cultivateurs sinistrés.
- Les cultivateurs
sinistrés des communes de Rouvres, Maizières, Condé-sur-Ifs,
Vieux-Fumé, Magny-la Campagne, Le Bû-sur-Rouvres, Soignolles,
Ouilly-le-Tesson, Ernes, Olendon, Perrières et Sassy qui
désirent obtenir un prêt spécial à moyen terme pour 13 ans avec
intérêt à 1,50 % en vertu de l’ordonnance du 17 octobre 1944,
peuvent s’adresser à M. Robine, maire de Rouvres, président ou à M.
Lesénéchal, notaire à Maizières, secrétaire de la caisse locale de
Rouvres, qui leur donneront tous renseignement.
Février
1946 -
Victime de leurs propres engins.
-
A Sassy, un prisonnier allemand a provoqué l’explosion d’un
engin de guerre en le frappant d’un coup de pioche et a été tué.
Deux autres démineurs ont été grièvement blessés. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Juillet
1946 -
Les gendarmes avaient l’œil.
- Enquêtant
au sujet du vol d’une bicyclette commis au préjudice de M. Gilbert
Perrier, de Sassy, les gendarmes interrogèrent M. Marcel Prunier, 26
ans, cultivateur, et constatèrent que du matériel de guerre était
entreposé dans une dépendance de sa ferme. Dans un autre bâtiment,
ils découvrirent un vélomoteur en mauvais état, une caisse de poudre,
un lot de poudre en baguette, un moteur de moto, cinq guidons, quatre
fourches et six porte-bagages de vélo, un essieu d’auto, deux
chariots, etc…. le tout de fabrication allemande. (Source
: Le Bonhomme Libre) |
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SASSY. - Intérieur de l'Église |
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