Septembre
1856 - Cour d’Assises du Calvados. Présidence
de Monsieur Adeline, conseiller. Audience du 11 Août.
Le
12 juin dernier, Hamel (Jean-Baptiste), âgé de 28 ans, sabotier,
profitant de l’absence du sieur Guilard, chez lequel il travaillait en
la commune de Sept-Frères, s’empara de la clef de l'armoire, dont il
connaissait la cachette, ouvrit ce meuble et prit, dans la poche d’un
pantalon, la bourse de son maître, qui contenait 590 fr ; puis, il
referma l’armoire, remit la clef à sa place et se rendit à Caen.
Le
5 juillet dernier, après avoir dépensé jusqu’au dernier sou dans
une maison de prostitution, i! se livra lui-même à la justice, et
révéla le crime dont il s’était rendu coupable. Grâce à
l'admission des circonstances atténuantes, il n’a été condamné qu’à
4 ans d’emprisonnement. (Source : Le journal de Honfleur)
Décembre
1860 - Brûlé vif. -
Le 27 novembre dernier, dans la matinée, les époux Leroy,
propriétaires à Sept-Frères, quittèrent leur domicile pour aller
travailler dans un champ voisin, laissant à la maison, où se trouvait
un poêle allumé, deux de leurs enfants, âgés, l'un de 5 ans 1/2
l'autre de 2 ans 1/2.
Pendant
leur absence, ce dernier s'étant approché du poêle, le feu se
communiqua à ses vêtements, et il fut horriblement brûlé. Le pauvre
enfant est mort le surlendemain. ( L’Ordre et la Liberté)
Avril
1864 - Le
vol de grain. -
Mardi 5 avril,
vers 2 heures du matin, le sieur Hervieu, cultivateur à Sept-Frères,
fut réveillé par les aboiements de son chien, il sortit armé de son
fusil, et, se dirigeant vers son grenier à blé, il aperçut trois
individus qui conduisaient un cheval chargé de trois poches pleines de
grain. Pensant que ce ne pouvait être que le fruit d'un vol commis à
son préjudice, il s'élança à la tête du cheval pour l'arrêter;
mais aussitôt les trois individus se précipitèrent sur lui à coups
de bâton. Il se mit alors sur la défensive en appelant ses domestiques
à son secours, dans la lutte, il reçut au bras gauche un coup de
couteau qui lui fit une énorme blessure par laquelle le sang coulait
abondamment. Il ne cessa pas pour cela de se défendre contre ses
agresseurs, et il le fit avec tant d'énergie, sans pouvoir pourtant
faire usage de son fusil, que deux des voleurs, coupant la sangle du
cheval, jetèrent la charge à bas, s'élancèrent sur la bête et se
sauvèrent à toute bride.
Hervieu
saisit alors le troisième personnage, le terrassa et le maintint à
terre jusqu'à l'arrivée de deux domestiques de M. Saillofest, son
propriétaire. On reconnut alors dans l'individu arrêté un nommé
Guezet, âgé de 36 ans, cultivateur à Courson, canton de St-Sever. Il
convint du vol, sans vouloir toutefois dire comment il s'était
introduit dans le grenier, et désigna comme ses complices les nommés
Savey et Victor Guilbert, demeurant tous deux à Landelles.
La
gendarmerie a procédé à l'arrestation de ces deux individus.
Pendant
que l'on procédait à leur arrestation, le sieur Guezet, qui était
enfermé dans la chambre de sûreté de la brigade de Saint-Sever, a
trouvé moyen de se pendre avec son mouchoir de poche, attaché à un
anneau placé à 1 mètre du sol. Lorsque le gendarme chargé de le
surveiller est entré, Guezet était presque assis par terre, les jambes
en avant, et, malgré les soins empressés de M. Cassin, pharmacien
appelé en l'absence du médecin, il a été impossible de le rappeler
à la vie. (l’Ordre et la Liberté)
Octobre
1867 -
La demande des fermiers.
- Les fermiers
qui avaient demandé des chevaux de l'artillerie pour le service
agricole, ont été autorisés à venir les chercher. Cela a lieu tous
les ans, et la nouvelle n'a d'importance que parce que l'on avait
affirmé un moment qu'il n'en serait pas ainsi en 1867.
Mars
1868
- Une
circulaire. -
M. le Préfet du Calvados vient d'adresser aux maires du
département une circulaire relative à l'échenillage et au
hannetonnage.
Quant
aux hannetons, M. le Préfet dit qu'il insiste d'autant plus pour leur
destruction que suivant les entomologistes, une reproduction
exceptionnelle de ces redoutables coléoptères doit se manifester cette
année.
Avril
1868
- La
récolte. -
Nous recevons du Pays d'Auge les nouvelles les plus rassurantes
sur l'apparence des récoltes.
Les
pommiers sont couverts de bourgeons, et, si le temps est favorable, il y
aura une abondante moisson.
Avril
1890 -
Une fille mère qui tue son enfant.
- La fille Victorine
Houssin, 23 ans, habite avec son père à Sept-Frères, près
Saint-Sever. Elle a une mauvaise réputation comme moralité et elle a
déjà un enfant de cinq ans. La semaine dernière, elle accouchait
l'après-midi d'un enfant du sexe masculin parfaitement constitué. Son,
père, qui est journalier, rentrant de son travail, trouva l'enfant
couché au pied du lit et sa fille accroupie près du nouveau-né. Il
fit coucher sa fille et procéda lui-même au nettoyage du corps de
l'enfant. Trois jours après, le pauvre petit mourut. Les parents et les
voisins crurent que c'était de mort naturelle, mais, le médecin
n'ayant pas voulu donner
le permis d'inhumer, le parquet fit une enquête.
Pressée
de questions, la fille Houssin a fini par avouer que profitant de
l'absence de son père elle avait pincé fortement le nez de son enfant
avec le pouce et le doigt de la main droite, tandis que de la main
gauche elle appuyait sur la lèvre supérieure, comprimait le menton
pour empêcher la bouche de s'ouvrir. Mais elle n'a pas voulu préciser combien
de temps elle avait ainsi tenu le pauvre petit qu'elle ne lâcha que
quand il ne bougea plus. La fille Houssin est d'une nature méchante. La
rumeur publique l'accuse d'avoir il y a quelques années été la cause
de la mort de sa sœur. Celle-ci avait un enfant. Elle fut très malade
de ses couches, et une nuit il se mit à crier,
la fille Houssin refusa
de se lever pour voir ce qu'avait l'enfant, malgrè les nombreux
appels de la malade. Celle-ci, outrée de ce procédé, se leva pieds
nus et alla près du petit. Elle prit froid sur le sol et mourut
le lendemain. L'état de la fille Houssin n'a pas permis de la
transférer immédiatement à la maison d'arrêt de Vire.
Avril
1890 -
L’infanticide de Sept-Frères.
- La
fille Houssin, de Sept-Frères, accusée du crime d'infanticide et qui
avait été laissée provisoirement, à cause de son état de santé,
chez son père, a été transférée à la prison de Vire.
Décembre
1893 - Nouveau
procédé pour nouer des relations.
- Amand
François, 62 ans, ayant fait, à Sept-Frères, connaissance de la jeune
Alexandrine Né, 17 ans,
lui offrit de l'épouser. Elle accepta et le bonhomme alla chez les
parents de sa future où il y fut reçu à bras ouverts.
Pour
monter le trousseau, il acheta de la toile et en fit cadeau, ainsi que
d'une toilette complète, à la jeune Né. Tout allait jusque-là pour
le mieux et l'époque du mariage était même fixée, lorsque, certain
soir, les deux amoureux se prirent de querelle et le vieux Amand essaya
d'étrangler la jeune Né à l'aide d'un mouchoir.
Cette
façon de nouer les relations n'étant pas du goût de la fillette, elle
est allée se plaindre à la gendarmerie de St-Sever qui a dressé
procès-verbal. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Mars
1897 -
Basse vengeance.
- Trois
petits
trous paraissant faits avec une alêne ont été pratiqués au garrot
d'une vache à la veuve Auvray, cultivatrice à Sept-Frères. L'auteur
de cette lâche stupidité n'est malheureusement pas découvert.
(Source : Le Bonhomme
Normand)
Février
1898 -
L’immoralité
à la campagne. -
Le
parquet de St-Lô a fait arrêter le nommé Auguste Lhermite, 43 ans,
cultivateur à Sept-Frères, près Saint-Sever. Lhermite serait mêlé
à une affaire d'excitation de mineures à la débauche et d'outrage
public à la pudeur. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Juillet
1903 - Fillettes mordues par un chien enragé. -
Le chien du sieur Jules Thierry, journalier à Vassy, a
mordu à une main la jeune Marie Madelaine, âgée de 13 ans, dont le
père est cultivateur même commune.
La
jeune Marie Thierry, 12 ans, qui se trouvait près d'elle, prit le chien
par le collier et lui introduisit la main dans la gueule pour lui faire
lâcher prise, à son tour, elle fut mordue, mais très légèrement. Le
sieur Thierry abattit son chien d'un coup de fusil.
L'autopsie
de l'animal a établi qu'il était enragé. La jeune Madelaine a été
conduite à Paris, à l'institut Pasteur.
—
Plusieurs chiens et une truie ont été mordus, à Sept-Frères, près
Saint-Sever, par un chien appartenant au sieur J. Gauquelin, à Aubusson
(Orne). L'animal a été abattu et reconnu atteint de la rage. Tous les
chiens mordus ont été également abattus. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Septembre
1903 - Dans une étable.
- On
a trouvé mort, à Sept-Frères, près Saint-Sever, dans une étable où
il avait été autorisé à passer la nuit, le sieur Michel Benoit, dit
Miche, 70 ans, conducteur de bestiaux à St-Hilaire-du-Harcouët
(Manche). Le malheureux avait
succombé à une congestion pulmonaire. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Décembre
1914 -
Morts glorieuses. -
Sont tombés
au champ d'honneur : le soldat Ernest Lange, du 236e
de ligne, tué à Guise ; le soldat Auguste Guillet, de Jurques ; le
soldat Ernest Javalet, du 5e,
de St-Ouen-des-Besaces, tué au Godat ; Léon Norel, du 4e
zouaves, fils de l'ancien restaurateur du boulevard St-Pierre, tué
près d'Ypres ; Paul
Guezet, du 43e
d'artillerie, et Albert Désert, du 5e,
tous deux de Sept-Frères ; René Le Gout, du 319e,
de Lisieux, tué dans la Marne ; Albert Saucey, du 205e
de Saint-Martin-Don ; le caporal Paul Martin, du 5e,
demeurant 162, rue d'Auge, à Caen, tué dans la Marne ; Joseph Lemitre,
du 136e,
de Viessoix ; le soldat Maurice Lebrun, du 5e,
de Saint-Etienne-la-Thillaye ; le caporal Eugène Lebissonnais,
sergent-major aux pompiers de Caen, tué dans la Somme.
-
Sont morts des suites de leurs blessures : à l'hôpital d'Etampes,
Eugène Robin, du 119e,
dont la famille habite, rue du Marais, à Caen ; à Chalons-sur-Marne,
Camille René, de Coulvain; à l'hôpital Saint-Joseph de Caen, Antoine
Pegon, du 60e
territorial : à Fismes, Edmond Baloud, du 205e,
de Danvou ; au Bourgel-Drancy, Louis Leclercq, du 5e,
de Saint-Ouen-des-Besaces : à l'ambulance de Prouilly, Louis Douet, du
5e,
de Bernières-le-Patry. (Bonhomme Normand)
Mai
1915 - Morts
glorieuses. - Sont
morts pour la patrie : MM. Victor Prieur, de Honfleur, chasseur alpin ;
Henri Allain, de Beaumont-en-Auge, instituteur-adjoint à Deauville ;
Hippolyte Durville, de Sept-Frères.
Décembre
1915 -
Au champ d’honneur.
- M. Léon Tourgès,
caporal au …e d’infanterie colonial a été tué à l’ennemi
le 25 septembre 1915.
Octobre
1916
- Les braves.
- La
médaille militaire a été conférée à MM. Emile Morel, de Sept
Frères ; Maurice Rose, de Mesnil-Germain ; Octave Angot, de Balleroy,
mort au champ d'honneur
; Gustave Narcisse, de Caen, soldat au 74e ; Alphonse Cathrin,
de Caen, soldat au 23e territorial ; Furon, de Tour-en-Bessin,
caporal au 236e d'Infanterie.
Novembre
1916
- Formalités !
-
Comment
se fait-il donc que les familles des braves, morts pour la patrie, aient
tant de peine à recouvrer les sommes trouvées dans les vêlements de
leurs chers défunts ? Un de nos concitoyens, qui a perdu son fils au
front, a toutes les peines du monde à se faire rendre les 329 francs
que le pauvre garçon portait sur lui, restes d'une somme que son père
lui avait remise en partant ? On a pourtant renvoyé ses autres
effets.
Pourquoi
aussi exige-t-on des familles de blessés frappés au champ de bataille,
mais morts seulement plus tard, à l'hôpital, des
droits de succession, alors qu'avec raison on en dispense celles des
tués pendant l'action ? Il y a là des mystères bureaucratiques à
éclaircir.
Février
1917 -
Morts pour la France.
- M.Rohèe Albert,
soldat au ...e Territorial d'infanterie, est tombé au champ d'honneur
devant V.....
M.
Nèel Georges, classe 1917, soldat au ...e d'infanterie, fait prisonnier
en septembre 1914, est décédé le 16 novembre 1916, au Laguet de
prisonniers de guerre, à Limburglahn (Allemagne).
Juillet
1917 - Au champ d'honneur. - Le soldat
Eugène Poupinel, né en 1884, du ....e d'infanterie, a été tué à
l'ennemi le 10 avril 1917 ; le soldat Albert Golbert, du ...e Zouaves, a
été également tué à l'ennemi le 20 avril 1917.
Mars
1941 - Fin
tragique d'un carrier. - En débitant de la pierre dans une carrière à M.
Alphonse Beaufils, entrepreneur à Saint-Aubin-des-Bois, un ouvrier, M.
Pierre Jouaux, 53 ans, de Sept-Frères, a été atteint à la tête par
un bloc de 200 kilos environ, soudain détaché du sommet de la
carrière. Le malheureux a été tué sur le coup.
Janvier
1943
- Faits
divers. -
A
Sept-Frères, M. et Mme
Gaston Huet,
cultivateur au village du Val, avaient mis à fondre une pleine marmite
de graisse. Soudain, le contenu du récipient
pris feu.
Pour
tenter d'éviter l'incendie,
ils
jetèrent deux seaux d'eau sur le feu. Mais les flammes s'accrurent et
atteignirent les époux qui furent grièvement brûlés. Leur état est sérieux.
(Bonhomme
Normand)
Janvier
1945 -
La circulation sur la R.N. 13.
- Il
est rappelé aux cyclistes empruntant la route nationale n° 13
(Cherbourg à Paris), classée route militaire, que la circulation n’y
est tolérée qu’à leurs risques et périls.
(Source : Le Bonhomme
Libre)
Février
1945 -
Procès-verbal a été dressé.
- Contre
Albert Lechevalier, cultivateur à Sept-Frères, pour abatage clandestin
et outrages à agents, la marchandise saisie a été remise au
sanatorium de Saint-Sever.
Contre
Maurice Hodey, cultivateur, et contre Arthur Gournay, garagiste à
Martilly, pour vol et recel de roues de camion appartenant à la
Société des Mines d’Aniche.
Septembre
1945 -
L’heure des comptes.
- La
chambre civiques a infligé les peines ci-après aux individus dont les
noms suivent, pour faits de collaboration :
Dégradation
nationale à vie et interdiction de résider dans le Calvados,
confiscation totale de ses biens à Marc B….., commerçant à La
Délivrande.
Dégradation
nationale à vie et interdiction de résider dans le Calvados à M.
Henri B………, 32 ans, jardinier à Luc-sur-Mer.
Dégradation
nationale à vie et interdiction de résider dans le Calvados à Andrée
M…., femme de ménage à Vaux-sur-Aure.
Dégradation
nationale à vie et interdiction de résider dans le Calvados à
Paulette G……., 26 ans, ménagère à Cricqueville-en-Bessin.
Dégradation
nationale à vie et confiscation des trois quarts de ses biens, à M.
Ferdinand Buhour, cultivateur, à Cresserons.
Dégradation
nationale à vie et interdiction de résider dans le Calvados, à
Suzanne H………., 22 ans, ménagère à Billy.
Vingt
ans de dégradation nationale à vie et confiscation totale de ses biens
à Albert L………., cultivateur à Sept-Frères.
(Source : Le Bonhomme
Libre)
Septembre
1945 -
Elle lisait un roman.
- Au
passage à niveau de la route de Sept-Frères à Saint-Sever, une
carriole conduite par Mlle Fernande Auvray, 20 ans, employée de culture
chez M. Paul, cultivateur à Sept-Frères, s’est rencontrée avec un
train. La locomotive heurta le cheval qui fut arraché des brancards et
tué sur le coup. Projetée sur la voie, Mlle Auvray n’a eu que des
contusions sans gravité.
En
l’absence régulière de la garde-barrière, le service était assuré
par Mlle Jeanne Rivoal : celle-ci a déclaré que se trouvant dans
la guérite, elle était plongée dans la lecture d’un roman et ne
pensait pas au train. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Janvier
1947 -
Un ouvrier agricole tué par un engin de guerre.
– Surprise
de ne pas voir revenir pour le repas de midi son commis, René Turquet,
24 ans, domicilié à Sept-frères, Mme Vve Lechartier, cultivatrice à
Estry, envoya un voisin, M. Oldéric Chauvière, à la recherche du
jeune homme.
Celui-ci
fut découvert étendu sur le sol et ne donnant plus signe de vie. Il
portait à la face des plaies profondes et d’autres blessures aux
mains. Autour du corps, la terre était bouleversée.
On
pense que le jeune homme a été tué par l’explosion d’une grenade
dont on a retrouvé un éclat dans le manche de la hachette à l’aide
de laquelle il travaillait. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Juin
1949 -
Un bébé s'étrangle dans son landau.
-
Travaillant aux champs, Mme Maurice Joubert, 29 ans, cultivatrice
à Sept-Frères, avait emmené avec elle, dans son landau, sa fillette
Yvette, 11 mois. Pour éviter que l'enfant ne tombe, la maman l'avait
attachée par une ceinture de tissu disposée en écharpe.
En
l'absence de Mme Joubert, la pauvre petite ayant tenté de se libérer,
s'est étranglée avec ses liens. (Source : Le Bonhomme Libre)
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