15 Janvier 2025 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
Page 1 |
|
![]() |
SOLIERS |
|
|
Canton de Bourguébus |
|||
|
|||
|
|||
Ce
malheureux s'est réfugié à St-Sylvain, et par les soins de M.
Hamelin, notaire et maire au dit lieu, il a été transféré chez un médecin,
où il va être traité avec les ménagements qu'exige sa position. On
ne connaît pas encore le vrai motif qui a pu l'engager å mettre fin à
ses jours, cet homme vivait isolé, et ne parait nullement atteint d'aliénation
mentale. On espère que les soins de M. Goubin, médecin, ne seront pas infructueux. (Le Journal de Caen et de la Normandie)
Juin
1861
-
Sur la demande de M. le préfet da Calvados.
-
Par décision du 19 de ce mois, M. le
ministre de l'instruction publique et des cultes a bien voulu accorder
des secours aux communes
ci-après : 1°
Commune de Soliers, pour l'aider à payer la dépense de
restauration du presbytère.
800 fr. 2°
Commune de Marolles, pour
l'aider à reconstruire son presbytère, 2 000 fr. 3°
Commune de Gonneville-sur-Mer, pour l'aider à réparer son
église, 1 500 fr 4°
Commune d'Esquay-sur-Seulles, pour l'aider à réparer le clocher
de son église, 1 200 fr. 5°
Commune de Heurtevent, pour l'aider à réparer son église,
1 400 fr. 6°
Commune de Guéron, pour l'aider à réparer son église,
1 500 fr. 7°
Commune d'Audrieu, pour l'aider à restaurer son église,
3 000 fr. 8°
Commune de Quétiéville, pour l'aider à réparer son église et
à reconstruire son presbytère,
4 000 fr. 9°
Commune de St-Germain-la-Blanche-Herbe, pour l'aider à payer la
dépense de consolidation de son église, 3
000 fr. 10°
Commune d'Ouffières, pour l'aider à payer la dépense de
restauration de son église et de réparation de son presbytère,
1 500 fr. 11°
Commune de Lisores, pour l'aider à payer la dépense
d'acquisition d'un presbytère,
1,000 fr. 12°
Commune de Montpinçon, pour l'aider à payer la dépense de
construction d'un presbytère,
1 500 fr. 13° Commune de Saint-Louet-sur-Seulles, pour l'aider à construire un presbytère, 2 500 fr. ( L’Ordre et la Liberté )
Juillet 1861 - Un arrêté. - Par arrêté du 11 courant, M. le préfet du Calvados a nommé MM. Coulibœuf, instituteur suppléant à Cesny-aux-Vignes, Groult, instituteur suppléant à Soliers, et Piéplu, instituteur suppléant à Anisy, instituteurs publics. les
deux premiers, à partir du 1er janvier 1861, et le
troisième, à partir du 15 mars de la même année. ( L’Ordre et la
Liberté )
Mai 1862 - Un incendie. - Le 1er de ce mois, un commencement d'incendie s'est manifesté au domicile du sieur Castel (Pierre), aubergiste à Soliers. Vers
neuf heures du soir, la femme Castel ayant eu besoin de monter dans sa
chambre pour prendre quelques pièces de monnaie dans une armoire,
accrocha son chandelier La perte, qui est couverte par une assurance, est estimée à 320 fr. (l’Ordre et la Liberté)
Mars
1864 - Tribunal correctionnel de
Caen. - Présidence de
M. Lentaigne, Vice-président M. O. Lanfran de Panthou, substitut de M.
le procureur impérial, occupant le siège du ministère public.
Juillet
1864 -
Par arrêté du 2 juillet.
- M.
le préfet du Calvados a nommé M. Adolphe Viel maire de la commune de
Soliers, en remplacement de M. Graperon. (l’Ordre et la Liberté)
Mars
1867 -
Le printemps en avance. -
La végétation est tellement avancé dans notre contrée que les
abricotiers sont
en fleurs. D'ici huit jours au plus, les poiriers et les guiguiers vont
épanouir leurs boutons nombreux cette année. Si la fin de l'hiver et
le commencement du printemps sont favorables, il y aura une récolte
abondante. L'herbe pousse...... Les gros bœufs reparaissent...... Les dindes s'en vont avec les gras jours.
Mai
1867 -
Le printemps. -
Hosanna!!!... Ou
en d'autres termes, pour ceux de mes lecteurs qui ne comprennent pas le
patois ! Quelle
chance !!!... Le
joli mois de mai vient enfin de prendre dans un des douze compartiments
du zodiaque, la place qui lui est assignée depuis un temps immémorial. Il
a même fait son entrée parmi nous, escorté de 24 degrés de chaleur. Pour
un printemps avancé, celui-là peut se flatter de l'être... il tient
sans doute à marcher sur les brisées de son siècle. De
cette température franchement exceptionnelle, il a surgi des
phénomènes sont nombre.
Juin
1867 -
Réparation des édifices religieux. -
Voici la liste des communes du Calvados auxquelles M. le ministre
des cultes vient d'accorder des secours, pour aider aux réparations de
leurs édifices religieux : 300
fr.à Tracy-sur-Mer ; 400 fr. à Saint-Sylvain ; 400 fr. à
Soliers ; 300 fr. à Reviers ; 400 fr. à Putot-en-Bessin ; 400 fr.
à Saint-Pierre-Azif ; 500 fr. à Saint-Ouen-le-Houx ; 300 fr. Orbois ;
500 fr. à Moulines ; 800 fr. à Saint-Martin-de-Fresnay ; 500 fr. à La
Lande-sur-Drôme ; 300 fr. à Les Iles-Bardel ; 200 fr. à Grandcamp ;
1000 fr. à Croissanville ;400 fr. à Cairon ; 500 fr. à Bures ; 400
fr. à Beuvron ; 300 fr. à Bény-Bocage ; 500 fr. à
Saint-André-d'Hébertot ; 300 fr. à Saint-Aignan-de-Cramesnil ; 200
fr. à Saint-Vaast ;500 fr. à Ver ; 4000 fr. à Saint-Pair et
Saint-Laurent-du-Mont ; 5000 fr. à Touques.
Décembre
1868 -
Un incendie.
- Il y a
quelques jours, un enfant de quatre ans et demi a mis le feu à une
maison de Soliers (canton de Bourguébus), en jouant avec des
allumettes chimiques. Tous les habitants sont venus avec empressement au
lieu du sinistre. M.
Tabar, conseiller municipal, déjà mentionné pour acte de dévouement,
il y a cinq ans, dans un incendie à Bourguébus, s'est
particulièrement distingué cette fois. Grâce à son intelligence, à
l'habile direction qu'il a donné aux travaux, une partie de la maison a
échappé à la destruction.
Décembre
1897 -
Écrasé sous sa voiture.
-
Le
sieur
Émile Mario, 16 ans, domestique à Soliers, chez le sieur Castebled, en
voulant sauter d'une voiture de pommes sur laquelle
il était monté, est tombé sous une roue qui lui a broyé la tête. La
mort a été instantanés. (source B. N.)
Avril 1900 - Chute mortelle. - Le sieur Achille Salles, 61 ans, charpentier, demeurant, à Soliers, travaillait à la charpente d'un bâtiment, quai des Abattoirs, à Caen. Par suite d'un faux mouvement, le malheureux tomba sur le sol d'une hauteur de deux mètres et dans sa chute se fit des blessures qui ont amené la mort. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1901 - Agressions. - On nous écrit de Fontenay-le-Pesnel, près Tilly, que le sieur Chatel, 65 ans, serait mort des coups que lui auraient portés le soir, sur la rouie, deux individus restés inconnus. On dit qu'un richard de l'endroit aurait refusé une botte de paille pour y déposer la victime de cette lâche et inqualifiable agression. —
Ces jours-ci, deux jeunes gens de Soliers, près Caen, qui filetaient
aux alouettes, ont été attaqués par deux individus, fileteurs aussi,
qui, sans motif, se ruèrent sur eux, les assommèrent
à moitié à coups de bâton et s'emparèrent de leur filet.
(Source : Le Bonhomme
Février
1904 - Des noces d'or.
- Les époux Urbain Dennebey, entourés de leurs enfants et
petits-enfants, ont célébré leurs noces d'or en l'église de Soliers.
Août
1917 -
Coup de couteau.
- Une
querelle
s'était
élevée
l'autre
jour
entre
un Algérien
et la
femme
tenant
la cantine
italienne
sur les
chantiers
des travaux
du chemin
de fer
minier.
La dispute
menaçant
de dégénérer
en lutte.
l'Algérien,
ayant
sorti
son couteau,
et la
tenancière s’étant
emparée
d'une
hachette
pour
se défendre,
on alla
chercher
le maire
de
Soliers,
M. Duvelleroy,
mais
celui-ci
ne parvenant
pas seul
à rétablir
la paix,
appela
à l'aide
le facteur
de Bourguébus.
M. Albert
Marie,
qui passait,
juste
au même
instant,
et tandis
que ce
dernier
s'approchait
pour
prêter
main-forte,
l'Algérien
lui porta
en se
retournant
un violent
coup
de couteau
qui l'atteignit
au ventre.
Le blessé
dut
être
transporté
immédiatement
à l'hôpital
de
Caen.
Décembre
1920 -
Singulier incendie.
- En revenant
en voilure d'Aunay-sur-Odon, MM. Alfred Dumont et Eugène Aumont,
cultivateurs à Soliers, canton de Bourguébus, s'aperçurent que leur
chaufferette avait communiqué le feu à leur voiture. Ils eurent à
peine le temps de descendre que déjà les flammes atteignaient bâche
et leurs vêtements. M. Dumont a eu les jambes grièvement brûlées.
Les dégâts sont assez importants. La voilure était assurée.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1931 - les aides aux jeunes filles. - Dots attribuées en 1930 aux jeunes filles de familles nombreuses. La Commission départementale, chargée de l’attribution des dots y a donc eu à se prononcer pour cinquante attributions sur soixante et onze dossiers constitués. Soliers.
— Mlle Guérin Solange, âgée de 22 ans, est la jeune d'une famille
de 8 enfants dont 6 sont encore vivants. Le père est décédé, la
mère est journalière. De bons renseignements ont été recueillis sur
la candidate, qui est journalière agricole. Elle a contracté mariage,
le 30 décembre dernier, avec
M. Lejeune, ouvrier
agricole.
Janvier 1932 - Arbre de Noël. - Après des offices religieusement suivis, les paroissiens de Soliers se sont réunis le jour de Noël dans un local gracieusement prêté par le sympathique M. Roger Villeroy. Assistaient à cette fête de famille, M. le curé entouré de M. le Maire, de M. l'adjoint et de l'élite de la paroisse. Le
programme de cette fête, un peu trop chargé, fut rendu par les enfants
des écoles, pour les uns fort bien, pour les autres dans la note du
jour, avec beaucoup de « bonne volonté ».
Puis ce fut le dépouillement d'un bel arbre de Noël et la distribution
tant désirée de nombreuses gâteries ! (Source : Le Moniteur du
Calvados)
Mars
1938 -
Nécrologie. - Nous
apprenons avec regret la mort de
M.
l’abbé Edmond Benoist, curé de Soliers, décédé à l'âge de 63 ans après une longue maladie. On
se souvient que M. l'abbé Benoist avait organisé de grandes fêtes à Soliers en
l'honneur du cardinal Touchet, né en cette paroisse, et qu'il avait été à cette occasion,
élevé à la
dignité de chanoine d'Orléans.
Nous présentons à sa famille l'expression de nos sincères condoléances. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Janvier 1940 - Arrêté, un rat d'église avoue dix cambriolages. - Nos lecteurs n'ont pas oublié les nombreux cambriolages d'église que nous avons signalé dans la région. Leur
auteur vient
d'être arrêté
en plein
travail à
Soliers, par
les gendarmes
de Moult
qui, dans la
circonstance, ont
fait preuve
d'une intelligente
activité. Dans
la matinée
d'hier, ces
gendarmes, en
tournée de
surveillance,
aperçurent dans
les environs
de Soliers
un individu
dont le
signalement leur
sembla correspondre
en tous
points à
celui de
l'auteur soupçonné
des cambriolages
commis dans
les églises
de Bretteville-l'Orgueilleuse,
Rots, Venoix,
etc… et
qui était
activement
recherché par
toutes les
brigades
de la
région. Pincé
ainsi en
flagrant délit,
l'individu, un
nommé Jaulin,
né à
Paris le
11 octobre
1887, ne
put évidemment
nier l'évidence,
mais il
prétendit en
être à
son coup
d'essai et
philosophiquement
ajouta « Pour
une première
fois, je
n'ai vraiment
pas de
change. Je
vais payer
pour tous...
» Un deuxième interrogatoire beaucoup plus serré devait l'amener à avouer alors qu'il était bien l'auteur des cambriolages commis dans les églises de Bretteville-l'Orgueilleuse, Rots, Venoix, Rocquancourt, Bernières-sur-Mer, Langrune-sur-Mer, Sannerville, Banville, Feugerolles-sur-Orne et tout naturellement Soliers. L'heure tardive à laquelle ces aveux ont été obtenus n'a pas permis aux gendarmes de déférer Jaulin au Parquet de Caen. Ce sera fait aujourd'hui Jeudi.
Janvier
1940 -
Le
cambrioleur arrêté avoue de nouveaux méfaits.
-
Un
nouvel interrogatoire
qu'a
fait
subir
à Fernand
Jaulin,
le chef
Douché,
de la
brigade
de Moult,
a amené
le malfaiteur
à passer
des aveux
plus
complets.
C’est ainsi qu’à la liste que nous
avons
publiée
hier,
il faut
ajouter
le cambriolage
des églises
de Colombelles
et de
Verson,
cette
dernière
deux
fois
visitée
et pillée.
Janvier
1943 -
Les voleurs de bestiaux.
- A
Soliers, dans un parc du hameau de Four, deux superbes bœufs
appartenant à M. Vermes Bertin, cultivateur, ont été tués et - Précisons à ce sujet que des voleurs de bestiaux viennent d'être condamnés respectivement à 10 ans et 7 ans de travaux forcés par le Tribunal spécial de Douai. (Bonhomme Normand)
Janvier 1943 - L'heureux effet de la Relève. - Le Ministère de l'Information communique « La Presse a en son temps publié les noms des prisonniers rapatriés au titre de la Relève. Toutefois, une liste exacte de ceux-ci est à la disposition des personnes ayant besoin de renseignements au bureau du Délégué Départemental du Ministère de l’Information, Préfecture du Calvados. Il est particulièrement intéressant de faire savoir que le chiffre de ces retours pour le département est actuellement de 417. Il y a lieu d'ajouter que la cadence de ces retours sera maintenue jusqu'à fin février. Voici donc des résultats concrets de la politique du Maréchal et du Président Laval, qu'apprécieront les familles de ceux qui sont de retour parmi nous ». Dimanche dernier, en gare de Compiègne, arrivait un nouveau convoi comprenant 1 147 prisonniers libertés par la Relève. Parmi ceux-ci s'en trouvaient 26 habitant notre région, qui furent accueillis, lundi, en gare de Caen, par diverses personnalités et une délégation de camarades libérés. Ils devaient ensuite trouver, au Centre d'Accueil du Lycée Malherbe, un copieux déjeuner, lui-même suivi d'une manifestation de sympathie. Parmi ces rentrants, qui proviennent des stalags XA, XB et XC, se trouvaient : MM. Paul Buffard, de St-Germain-du-Crioult ; Jacques François, de Pierrefitte-en-Cinglais ; Marcel Porée, de Juaye-Mondaye ; Eugène Corblin, des Monceaux, par Lisieux ; Léon Hardel, de Neuilly-la-Forêt ; André Chivet, de Lisieux ; Marcel, de Juaye-Mondaye ; Henri Baudry, de Soliers ; Théophile Leroy, de Pierrefitte-en-Cinglais ; Jules Bisson, de St-Germain-du-Pert ; Paul Grenier, de Meulles ; Gaston Jean-Pierre, de Crévecœur-en-Auge ; Eugène Maupas, de Trouville ; Émile Rocher, de Vignats ; Joseph Saint, de Grand-Mesnil ; Robert Aubrée, de Dozulé ; René Hubert, de Manerbe ; Paul Lebreton, de Tourville-sur-Odon, et Joseph Dodolin, d'Airan. Deux
nouveaux convois ont ramené à Caen, mardi et mercredi, une quarantaine
de prisonniers. (Bonhomme Normand)
Avril
1945 -
Bravo ! - Les cultivateurs de Soliers bénéficiaires de la prime de soudure de
juillet 1943 ont renoncé à la totalité de cette prime, soit 8 000
francs, au profit du Comité d’Entr’aide aux prisonniers de la commune. (Source
: Le Bonhomme
Libre)
Septembre
1945 -
Un
attelage saute sur une mine. -
Une
mine a fait explosion
au passage de trois chevaux attelés à une herse, appartenant à M.
Bertin Vermés, cultivateur à Soliers. Le conducteur, un prisonnier
allemand est sorti indemne de l’accident. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Août
1947 -
Un charretier écrasé par son attelage.
–
Un prisonnier de guerre, Fritz Gutte, employé au service de M.
Vermès, agriculteur à Soliers, conduisait à la gare de
Août 1947 - Le temps qu’il a fait. – Voilà au moins des « postvisions » qui n’amèneront aucun sourire sur les lèvres des habituels détracteurs de la météorologie et que nous garantissons avec les savants observateurs de la station de l’O.N.M. de Vire. Le Bocage n’a pas été épargné par la canicule. Durant la semaine particulièrement chaude du 11 au 18 août, on a enregistré 28, 27, 32, 33, 34, 35, 30 et 31 degrés. La
température 35° enregistrée la samedi 16 août constitue le record de
l’année. La hauteur de l’eau tombée au cours de l’orage de l’après-midi
de ce jour s’est élevée à 325 mm., la plus forte dose enregistrée
en 24 heures depuis le 1er février 1946, date de remise en
service de la station. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Novembre
1947 -
Un chauffard écrase une fillette.
- Samedi, vers 18
heures, entre Soliers et Grentheville, un camion qui roulait à vive
allure a renversé la jeune Hélène Aveline, 11 ans. Le véhicule
après avoir parcouru une cinquantaine de mètres dans
un champ, reprit la route et disparut. L’enfant a été transportée
dans un état grave à l’hôpital de
Caen. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Juillet 1948 - Pincé ! - Samson Joseph, employé au service de M. Louis Péau, cultivateur à Soliers, a profité que ce dernier était en traitement à l'hôpital pour lui voler de l'engrais, du blé, de l'orge et du pétrole. Interrogé
par les gendarmes de Moult, Samson a reconnu ces méfaits. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Septembre 1948 - Le feu dans une porcherie. - Un incendie provoqué par un fourneau servant à préparer la nourriture des animaux à causé d’importants dégâts dans la porcherie de M. Vermès, cultivateur à Solier. Les
pompiers de Caen se sont rendus maîtres du sinistre. Un porc de 120 kg
à péri dans les flammes. (Source : Le Bonhomme Libre)
Avril
1949 -
Le moteur a fait étincelle.
-
Un moteur électrique servant à actionner une pompe installée
en bordure de la voie publique, sur l'emplacement d'une maison
sinistrée, a été dérobé au préjudice de M. Bertin Vermès,
cultivateur à Soliers. Une enquête est ouverte. (Source : Le
Bonhomme Libre) |
|||
|
|||
|
|||
SOLIERS (Calvados) - Villa Normande |
|||
|
|||
SOLIERS (Calvados) - Le Château |
|||
|
|||
SOLIERS (Calvados) - Le Château |
|||
|
|||
SOLIERS (Calvados) |
|||
|
|||
SOLIERS (Calvados) - Vue Aérienne |
|||
![]() |
|
||
SOLIERS (Calvados) - Vue Aérienne |
|||
Commentaires
et informations : Facebook
-
@ |
|||
|
|
|
|
|