1er Avril 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

Page 1

SOULANGY

Canton de Falaise 

Les habitants de la commune sont des Solanéains, Solanéaines


1828  -  Soulangy (252 habitants) absorbe Saint-Loup-Canivet (107 habitants) au sud de son territoire.

 

Décembre 1832    -    Une centenaire.   -   Ces jours derniers, une femme nommée Marie-Madelaine Esnault, veuve Pitrou, est morte à Soulangy, commune de notre arrondissement, âgée de cent quatre ans. Elle a conservé sa raison et ses forces jusqu'à son dernier jour. ( Journal de Falaise )

 

Mars 1850   -  Cour d'Assises du Calvados.   -    Audience du 28 février.

— Le 24 août dernier, Olivier, vieillard presque octogénaire, revenant de Falaise à Bons, est accompagné de deux tailleurs de pierre qui, près du pont de Soulangy, le renversent dans un fossé de la route et lui prennent la bourse qu'il portait et dans laquelle il y avait environ 15 fr., son bissac et une bourriche. Ils ont été condamnés, l'un, Louis Haie, à 3 ans d'emprisonnement ; Fournel, son complice, à 5 ans de travaux forcés. (Source : Le Journal de Honfleur)

 

Janvier 1858   -   On lit dans le Journal de Falaise.   -   Dans la nuit du 30 au 31 décembre dernier, des voleurs se sont introduits dans les églises de Soulangy et de Potigny.

La première de ces églises, celle de Soulangy, a eu le bonheur d'échapper à toute spoliation, le desservant de cette commune emportant chaque jour à son presbytère les vases sacrés et autres objets précieux. Les malfaiteurs n'ont pu que fracturer les portes et les fenêtres, que briser un buffet vide, entre les planches duquel on a retrouvé la pointe d'un poignard, qui avait servi à l'ouvrir.

Il n'en est pas de même à Potigny, là, les voleurs, après avoir, à l'aide de soliveaux qu'ils avaient pris dans les environs, forcé l'entrée de la sacristie, ont pénétré dans le lieu saint et soustrait un calice dont la coupe était en argent. Le pied de ce calice étant en cuivre, les malfaiteurs l'ont dédaigné, c'était une proie indigne de leur cupidité. En conséquence, ils l'ont détachée de la coupe, mis en morceaux, et jeté dans le jardin du presbytère.

Ils allaient continuer leur œuvre de spoliation, lorsqu'ils ont entendu un bruit produit par l'arrivée de M. le curé sur les lieux. Ce bruit les a inquiétés, et ils ont immédiatement pris la fuite.

La justice est à la recherche des coupables. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Septembre 1860   -  Par arrêtés de M. le préfet du Calvados, en date du 23 août : 

-  M. Salandre, instituteur à Authie, est nommé instituteur à Soulangy.

-  M. Chapron, instituteur à Christot, passe à Authie.

-  M. Cauvin, instituteur à Anctoville, est chargé provisoirement de la direction de l'école de Sainte Marguerite-des-Loges, en remplacement de M. Sechel.

-  M. Hélie, élève-maître breveté, est nommé instituteur-suppléant à Surrain, en remplacement de M. Ledot.   ( L’Ordre et la Liberté)

 

Septembre 1861   -   Les nominations.   -   Par arrêté préfectoral, ont été nommés :

-       Instituteur public à Soulangy, le sieur Lecoq, instituteur à Bonnœil, en remplacement du sieur James.

-       Instituteur provisoire au Détroit, le sieur Anquetil, actuellement instituteur à Fontenay-le-Pespel, en remplacement du sieur Martin.

-       Instituteur public à Cambes, le sieur Villey, actuellement instituteur à Saint-Paul-du-Vernay, en remplacement du sieur Deslandes.   ( L’Ordre et la Liberté )

 

Septembre 1862   -   Un accident.   -   Le 19 de ce mois, dit le Journal de Falaise, vers 3 heures du soir, le sieur Jules Marie, domestique de M. Crespin, entrepreneur de bâtiments à Falaise, est tombé, sur le territoire de Soulangy, sous les roues d'une voiture qu'il conduisait. Cette voiture, lourdement chargée de pierre de taille, a littéralement broyé le malheureux Marie, qui, transporté à l'hospice de notre ville sur un brancard, y est mort ce matin.

Au moment de l'accident, Marie était assis sur une civière placée devant la roue gauche de sa voiture. C'est en voulant fouetter ses chevaux pour les faire avancer qu'il a perdu l'équilibre et est tombé sur la route.

Marie laisse une veuve et plusieurs enfants, dont la principale ressource était son travail. (l’Ordre et la Liberté)

 

Février 1863   -   Un incendie.   -    Dans la nuit du 25 au 26 janvier, une pauvre femme de 80 ans, Marie Coterel, veuve Noblet, a été asphyxiée dans son domicile à Soulangy, sans que l'on ait pu lui porter aucun secours, par la fumée d'un incendie qu'elle avait elle-même involontairement allumé, en plaçant une chaufferette dans son lit.

C'est le 26, à 4 heures du matin, qu'elle a été trouvée sans vie. Le feu n'avait consumé que quelques effets de literie non assurés et d'une valeur d'environ 100 fr. (l’Ordre et la Liberté)

 

Août 1864   -   Par arrêté en date du 20 août.   -  M. le préfet du Calvados a nommé :

-        Maire de la commune de Soulangy, M. Corneville (François-Alexandre), adjoint, en remplacement de M. de La Mondière, démissionnaire.

-        Adjoint de la même commune, M. Fauvel (Jacques-Henri-Léonard), conseiller municipal. (l’Ordre et la Liberté)

 

Septembre 1893  -  Maraudeurs mal reçus.  -  Pendant plusieurs jours de suite, deux individus, rôdaient pendant la nuit autour du château de St-Loup, commune de Soulangy. Dimanche, le jardinier, sortant du château et traversant le parc, rencontra les deux individus qui se dirigèrent sur lui, il se hâta de rentrer au château. 

Le lendemain, même fait se produisit, mais cette fois le jeune Houssemaine, 17 ans, était armé, il cria : « Qui vive ? Arrêtez ou je fais feu ». Les deux individus avançant quand même sur le jardinier, celui-ci fit feu des deux coups de son fusil. Les deux inconnus prirent la fuite, mais l'un d'eux a dû être atteint, car on a trouvé du sang à l'endroit où ils se trouvaient lorsqu'on a tiré sur eux. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1901   -   Accidents de voitures.  -  Le sieur Péronne, négociant en liquides à Vire, et son commis passaient en voiture à Estry. Effrayé par une voiture de saltimbanques qui stationnait aux abords du bourg, le cheval fit un brusque écart. Les voyageurs furent précipités de la voiture. Le commis s'en est tiré avec des contusions sans gravité. Quant à M. Péronne, il s'est cassé un doigt et fracturé le poignet.

— Le sieur Guelle, 25 ans, journalier à Saon, et la demoiselle Benoist, 18 ans, de Littry, devant se marier prochainement, étaient allés en voiture chercher une horloge chez le sieur Leprieur, bijoutier à Cerisy. Au retour, à un endroit où la route forme une courbe très prononcée, une roue monta sur un petit talus, la voiture versa et les voyageurs furent précipités à terre. Guelle et la demoiselle Benoist s'en tirèrent avec quelques contusions, mais Leprieur eut la jambe cassée au-dessus de la cheville. Les os avaient déchiré les chairs.

— Edmond Raoul, 22 ans, domestique à Falaise, revenait de St-Germain-le-Vasson, conduisant une voiture chargée de blé, à Soulangy, un des chevaux prit peur et le jeune domestique tomba sous les roues de la voiture. Il a eu une fracture de jambe et une fracture de bras, avec de nombreuses contusions.  (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1903  -   Accidents.   -  Le sieur Etienne était occupé à monter, à la gare de Ouistreham, un baril de ciment dans une voiture. Celle-ci basculant soudain, le baril roula sur le malheureux qui tomba sur le sol, assez grièvement blessé.

 — En passant sur un arbre, à Pertheville-Ners, près Falaise, le sieur Azaël Poirier, journalier à St-Pierre-du-Bû, est tombé d'une façon si malheureuse qu'il s'est rompu une jambe.

— Le sieur Victor Vivien, domestique à Falaise, est tombé sous les roues de sa voiture lourdement chargée. Il a eu de graves contusions à l'aine et une fracture du fémur.

— A Soulangy, près Falaise, le sieur Valentin, domestique chez M. Lebailly, s'est fracturé l'épaule en voulant arrêter un cheval emballé attelé à un banneau. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1903  -   L’hiver approche.   -   De nombreux vols d'oies sauvages sont passés très bas au-dessus de Caen, en poussant des cris peu harmonieux. Ces oiseaux migrateurs changent de climat : c'est assurément signe de froid prochain. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1903  -   Destruction des corbeaux.   -   La destruction, à l'aide d'un fusil, des corbeaux, corneilles et pigeons ramiers est autorisée du 1er novembre au 30 juin, sans permis. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1918  -  Découverte d’un cadavre.  -  On a découvert dans le ruisseau « Le Cassis » le cadavre de la femme Simon, journalière chez M. Lehongre, à Soulangy, qui était couché sur le ventre dans la direction du courant, la tête dans la vase. Cette pauvre femme ne jouissait pas de toutes ses facultés.  

 

Novembre 1922   -  Mérite agricole.   -   Mme Letellier, cultivatrice à Soulangy a obtenu la croix du Mérite agricole, accordée aux mères de familles nombreuses, cultivatrices ou ouvrières agricoles, dont les enfants sont demeurés à la terre. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1922   -  Le feu.   -   Après une journée de battage de grains, le feu s'est déclaré dans la paille fraîche, accumulée dans le grenier de Mme veuve Bisson, cultivatrice à Soulangy, canton de Falaise. Les pertes sont estimées à 8 000 francs.

—  Une voiture chargée de paille, à M. Deumesnil, propriétaire à Bourguébus, a été brûlée. Les dégâts de 2 300 francs sont couverts par une assurance. On ignore les causes de ce sinistre.   (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1923   -  Baptiseuses de lait.   -   Deux cultivatrices de la région de Falaise, sont poursuivies pour fraude sur le lait : Mme Eugénie Laignel, femme Lefèvre, cultivatrice à Soulangy, pour avoir écrémé son lait, est condamnée à 10 jours de prison avec sursis et 500 fr. d'amende. Mme Marie-Louise Hudèche, femme Boulais, cultivatrice à Clécy, qui avait mouillé son lait à 18 %, est gratifiée de 8 jours de prison également avec sursis et 50 fr., plus, pour chacune d'elle, l'affichage et l'insertion du jugement. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1923   -   Procédés de chasse.   -    M. Bobot, cultivateur à Lougé-sur-Maire (Orne), faisait l'ouverture de la chasse avec quelques amis. Ils se trouvaient dans un champ en bordure de la route de Saint-Pierre-Canivet à Epaney, lorsqu'ils furent rencontrés par M. Lenoir, 51 ans, journalier et garde-chasse à Soulangy.

Le garde s'avança vers M. Bobot et, le saisissant par la veste, lui demanda son permis. M. Bobot refusa de le présenter et s'en alla retrouver ses amis. Voyant cela, le garde épaula son fusil et tira deux coups sur M. Bobot qui fut blessé à la jambe et à la main. M. Lenoir a été arrêté pour tentative de meurtre et emmené à Falaise. Par la suite, il a été remis en liberté provisoire. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1925  -  Chasse interdite.  -  Mottay Robert, 29 ans, ouvrier d'usine à Soulangy, a été condamnée pour chasse en temps prohibé et destruction d'oiseaux utiles, confiscation de la  carabine, sous contrainte de 25 francs.  

 

Janvier 1928  -  Le mauvais temps. -  Par le vent violent qui souffle depuis plusieurs jours, des toitures ont été mises à mal entre Soulangy et Saint-Pierre-Canivet, un poteau télégraphique a été abattu par l'ouragan.

 

Janvier 1928  -  Une vache furieuse tue son maître.  -  M. Argaillez, cultivateur à Soulangy, était allé samedi dans ses herbages visiter ses bestiaux lorsqu'il fut attaqué par une vache devenue soudain furieuse. Lancé contre un mur par un coup de corne de l'animal, M. Argaillez fut relevé dans état pitoyable et transporté dans une clinique de Caen il reçut les premiers soins. Ramené ensuite à son domicile. Il y est décédé des suites de ces blessures.

 

Juin 1928  -  Les méfaits de l'orage. -  On sait que des orages d'une rare violence se sont abattus la semaine dernière sur la région, provoquant à certains endroits de très sérieux  dégâts. A Soulangy, canton de Falaise, la foudre est tombée sur la ferme de Mme Arjailliez, est descendue par la cheminée et a rempli la chambre de la cultivatrice d'une vive lueur. C'est en vain que Mme Arjailliez essaya de se lever, elle avait reçu une forte commotion et, pendant une heure, elle ne put bouger. En outre, elle portait des brûlures superficielles sur tout le corps.

Par miracle, le feu n'a pas pris à la ferme. Mais du linge et des draperies ont été déchirés, ou percés comme par une vrille.

La maçonnerie de la cheminée et la toiture ont été disloquées, un plafond crevé, les portes ébranlées, des clous arrachés, la tapisserie des murs en morceaux, une suspension en nickel oxydée, et une glace déplacée, mais non brisée, dans son cadre décoré. Enfin, le fluide est sorti par la fenêtre, dont les carreaux ont eu tous un angle cassé.  

 

Juin 1928  -  Un nouvel exploit de pillards   Après effraction, des malfaiteurs se sont introduits dans la maison occupée, à Soulangy, par M. Bothelin, tué au cours des bombardements et ont dérobé 10 000 fr. de linge et de vêtements. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Juillet 1936  -  Un cadavre dans une maison en ruine.  -  Vers 15 heures, en allant voir si ses poules n'avaient pas pondu dans une maison en mines voisine de son domicile, M. Adolphe Gégan, adjoint au maire de Soulangy, a découvert sous un escalier le cadavre déjà décomposé d'une mendiante qui, environ tous les mois, traversait la localité. Il s'agit d'une sexagénaire, la femme Dumoulin, née Ernestine Levasseur, 69 ans, originaire de Saint-Sylvain. Le corps a été examiné par le docteur Le Breton, médecin légiste. La vieille femme a  succombé à une affection cardiaque et sa mort remonte à une douzaine de jours. 

La femme Dumoulin avait séjourné à l'hôpital de Falaise du 1er  au 19 mai dernier. Elle avait ensuite repris sa course vagabonde à travers la campagne. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Avril 1937  -  Toujours les incendies de récoltes.  -  Le 22 avril vers 15 h. 30, M. Gaucher, cultivateur à Soulangy, était occupé à ensemencer des pommes de terre dans un de ses champs, lorsqu'il vit des flammes jaillir d'une meule de paille de blé édifiée à proximité, appartenant à M. Robert Lefèvre, cultivateur à Soulangy, lieu dit « Le Cognet ». M. Gaucher prévint M. Lefèvre. Alertés, les pompiers de Soulangy et plusieurs personnes des environs accoururent, ils durent se contenter de protéger une autre meule, édifiée tout à côté de la  première. L'incendie a détruit ainsi environ 1000 bottes de paille, d'une valeur de 1 500 fr. 

Ce sinistre a certainement été provoqué volontairement et par un individu malveillant. De forts soupçons pèsent sur un ouvrier agricole. Celui-ci, interrogé, a nié les faits. Aucune preuve de sa culpabilité n'ayant pu être recueillie, il a été laissé en liberté. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Décembre 1938   -   Un chargement dangereux.   -   Un bizarre accident de la circulation s'est produit au lieu dit « Saint-Loup », dans les circonstances suivantes : Un autocar, conduit par le chauffeur Aimé Groult, roulait sur la route de Caen à Falaise, allant vers cette dernière ville, vers 18 heures.

En sens inverse venait un camion chargé de traverses de la maison Greffet, conduit par le chauffeur Gaston Dumont, demeurant à Falaise. Ce fut seulement lorsqu'il arriva à quelques mètres du camion que le chauffeur Groult, qui se guidait sur les feux de position, aperçut les traverses dépassant le cadre du véhicule.

Appuyer à droite, c'était le dérapage fatal du car chargé de voyageurs. Le conducteur tenta donc de passer.

Les traverses éraflèrent le car dont toutes les vitres d'un côté furent brisées ainsi que les supports.

Les débris des carreaux tombèrent sur les voyageurs dont plusieurs furent légèrement contusionnés.

Le plus sérieusement atteint fut M. Henri Lebarbé, demeurant à Falaise, qu'un minuscule éclat atteignit à l’œil. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Juillet 1939  -  Un garçonnet blesse son jeune frère d’un coup de faulx.  -   M. Lefèvre, ouvrier du bâtiment, travaillant à Falaise, avait chargé un journalier agricole de faucher un pré attenant à sa maison. Au cours de son travail, l'homme s'absenta, laissant sa faulx dans le pré. 

L'un des enfants Lefèvre s'empara de l'outil et se mit en devoir de montrer son savoir faire à son jeune frère, Guy, âgé de 6 ans, qui l'accompagnait. Il s'y prit si maladroitement que d'un coup de faulx, il sectionna les muscles d'une jambe de l'enfant.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Novembre 1946  -  Encore un !  -   Au cours d’une tournée, les gendarmes ont arrêté sur la route nationale, prés Soulangy, un prisonnier boche évadé de la ferme de M. Barbot, agriculteur à Potigny. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1947  -  Encore un cambriolage.     De retour d’une fête où elle s’était rendue, Mme Marthe Joinel, cultivatrice à Soulangy, a constaté que son habitation avait reçu la visite de cambrioleurs qui s’étaient introduits dans celle-ci en brisant un carreau. Une montre et des boutons de manchette en or, une bague en argent et divers autres objets avaient disparu d’une armoire où ils étaient déposés. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Juillet 1949   -   En feu !  -   Un incendie qui s'est déclaré sur la berne du chemin d'Epaney, à Soulangy, a gagné la haie vive formant clôture de l'herbage de M. Gérauld. Préjudice 12 000 francs. (Source  : Le Bonhomme Libre)  

 

Août 1949   -   Au feu !   -  Une grange a brulé dans la ferme, exploitée à Soulangy, par M. Louis Barré. On déplore la perte de 8 000 kilos de foin, 2 000 kilos de paille ainsi que du batiment appartenant à Mme Chevalier, de Pont-d’Ouilly.

-   Un sinistre qu’on croit provoqué par un court-circuit sur une ligne de courant-force a mis le feu à une charrette chargée de blé dans la cour de la ferme de M. Eugene Pagny, de Clécy. Le cheval attelé au vehicule a pu etre sauvé. ( Le Bonhomme Libre )

162.    Environs de Falaise   -   L'Église de SOULANGY

Commentaires et informations : Facebook - @