1828
- Soulangy (252 habitants) absorbe Saint-Loup-Canivet (107
habitants) au sud de son territoire.
Décembre
1832 -
Une centenaire. -
Ces jours
derniers, une femme nommée Marie-Madelaine Esnault, veuve Pitrou, est
morte à Soulangy, commune de notre arrondissement, âgée de cent
quatre ans. Elle a conservé sa raison et ses forces jusqu'à son
dernier jour. ( Journal
de Falaise )
Mars
1850 -
Cour d'Assises du Calvados.
-
Audience du 28 février.
—
Le 24 août dernier, Olivier, vieillard presque octogénaire, revenant
de Falaise à Bons, est accompagné de deux tailleurs de pierre qui,
près du pont de Soulangy, le renversent dans un fossé de la route et
lui prennent la bourse qu'il portait et dans laquelle il y avait environ
15 fr., son bissac et une bourriche. Ils ont été condamnés, l'un,
Louis Haie, à 3 ans d'emprisonnement ; Fournel, son complice, à 5 ans
de travaux forcés. (Source : Le Journal de Honfleur)
Janvier
1858 - On lit dans le Journal de Falaise.
-
Dans la nuit du 30 au 31 décembre dernier, des voleurs se sont
introduits dans les églises de Soulangy et de Potigny.
La
première de ces églises, celle de Soulangy, a eu le bonheur
d'échapper à toute spoliation, le desservant de cette commune
emportant chaque jour à son presbytère les vases sacrés et autres
objets précieux. Les malfaiteurs n'ont pu que fracturer les portes et
les fenêtres, que briser un buffet vide, entre les planches duquel on a
retrouvé la pointe d'un poignard, qui avait servi à l'ouvrir.
Il
n'en est pas de même à Potigny, là, les voleurs, après avoir, à
l'aide de soliveaux qu'ils avaient pris dans les environs, forcé
l'entrée de la sacristie, ont pénétré dans le lieu saint et
soustrait un calice dont la coupe était en argent. Le pied de ce calice
étant en cuivre, les malfaiteurs l'ont dédaigné, c'était une proie
indigne de leur cupidité. En conséquence, ils l'ont détachée de la
coupe, mis en morceaux, et jeté dans le jardin du presbytère.
Ils
allaient continuer leur œuvre de spoliation, lorsqu'ils ont entendu un
bruit produit par l'arrivée de M. le curé sur les lieux. Ce bruit les
a inquiétés, et ils ont immédiatement pris la fuite.
La
justice est à la recherche des coupables. (Source : L’Indicateur
de Bayeux)
Septembre
1860 - Par arrêtés de M. le préfet du Calvados, en date du 23
août :
-
M. Salandre, instituteur à Authie, est nommé instituteur à Soulangy.
-
M. Chapron, instituteur à Christot, passe à Authie.
-
M. Cauvin, instituteur à Anctoville, est chargé provisoirement de la
direction de l'école de Sainte Marguerite-des-Loges, en remplacement de
M. Sechel.
-
M. Hélie, élève-maître breveté, est nommé instituteur-suppléant
à Surrain, en remplacement de M. Ledot. (
L’Ordre et la Liberté)
Septembre
1861
-
Les nominations.
-
Par arrêté
préfectoral, ont été nommés :
-
Instituteur public à Soulangy, le sieur Lecoq,
instituteur à Bonnœil, en remplacement du sieur James.
-
Instituteur provisoire au Détroit, le sieur Anquetil,
actuellement instituteur à Fontenay-le-Pespel, en remplacement du sieur
Martin.
-
Instituteur public à Cambes, le sieur Villey, actuellement
instituteur à Saint-Paul-du-Vernay, en remplacement du sieur Deslandes.
( L’Ordre et la Liberté )
Septembre
1862 - Un accident. -
Le 19 de
ce mois, dit le Journal de Falaise, vers 3 heures du soir, le sieur
Jules Marie, domestique de M. Crespin, entrepreneur de bâtiments à
Falaise, est tombé, sur le territoire de Soulangy, sous les roues d'une
voiture qu'il conduisait. Cette voiture, lourdement chargée de pierre
de taille, a littéralement broyé le malheureux Marie, qui, transporté
à l'hospice de notre ville sur un brancard, y est mort ce matin.
Au
moment de l'accident, Marie était assis sur une civière placée devant
la roue gauche de sa voiture. C'est en voulant fouetter ses chevaux pour
les faire avancer qu'il a perdu l'équilibre et est tombé sur la route.
Marie
laisse une veuve et plusieurs enfants, dont la principale ressource
était son travail. (l’Ordre et la Liberté)
Février
1863 -
Un incendie. - Dans
la nuit du 25 au 26 janvier, une pauvre femme de 80 ans, Marie Coterel,
veuve Noblet, a été asphyxiée dans son domicile à Soulangy, sans que
l'on ait pu lui porter aucun secours, par la fumée d'un incendie
qu'elle avait elle-même involontairement allumé, en plaçant une
chaufferette dans son lit.
C'est
le 26, à 4 heures du matin, qu'elle a été trouvée sans vie. Le feu
n'avait consumé que quelques effets de literie non assurés et d'une
valeur d'environ 100 fr. (l’Ordre et la Liberté)
Août
1864 -
Par arrêté en date du 20 août.
-
M. le préfet du Calvados a nommé :
-
Maire de la commune de Soulangy, M. Corneville
(François-Alexandre), adjoint, en remplacement de M. de La Mondière,
démissionnaire.
-
Adjoint de la même commune, M. Fauvel (Jacques-Henri-Léonard),
conseiller municipal. (l’Ordre et la Liberté)
Septembre
1893 -
Maraudeurs mal reçus.
-
Pendant
plusieurs jours de suite, deux individus, rôdaient pendant la nuit
autour du château de St-Loup, commune de Soulangy. Dimanche, le
jardinier, sortant du château et traversant le parc, rencontra les deux
individus qui se dirigèrent sur lui, il se hâta de rentrer au
château.
Le
lendemain, même fait se produisit, mais cette fois le jeune Houssemaine,
17 ans, était armé, il cria : « Qui vive ? Arrêtez ou je fais
feu ». Les deux individus avançant quand même
sur le jardinier, celui-ci fit feu des deux coups de son fusil. Les deux
inconnus prirent la fuite, mais l'un d'eux a dû être atteint, car on a
trouvé du sang à l'endroit où ils se trouvaient
lorsqu'on a tiré sur eux. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Août
1901 - Accidents de voitures.
- Le
sieur Péronne, négociant en liquides à Vire, et son commis passaient
en voiture à Estry. Effrayé par une voiture de saltimbanques qui
stationnait aux abords du bourg, le cheval fit un brusque écart. Les
voyageurs furent précipités de la voiture. Le commis s'en est tiré
avec des contusions sans gravité. Quant à M. Péronne, il s'est cassé
un doigt et fracturé le poignet.
—
Le sieur Guelle, 25 ans, journalier à Saon, et la demoiselle Benoist,
18 ans, de Littry, devant se marier prochainement, étaient allés en
voiture chercher une horloge chez le sieur Leprieur, bijoutier à Cerisy.
Au retour, à un endroit où la route forme une courbe très prononcée,
une roue monta sur un petit talus, la voiture versa et les voyageurs
furent précipités à terre. Guelle et la demoiselle Benoist s'en
tirèrent avec quelques contusions, mais Leprieur eut la jambe cassée
au-dessus de la cheville. Les os avaient déchiré les chairs.
—
Edmond Raoul, 22 ans, domestique à Falaise, revenait de
St-Germain-le-Vasson, conduisant une voiture chargée de blé, à
Soulangy, un des chevaux prit peur et le jeune domestique tomba sous les
roues de la voiture. Il a eu une fracture de jambe et une fracture de
bras, avec de nombreuses contusions.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1903 - Accidents. -
Le sieur Etienne était occupé à
monter, à la gare de Ouistreham, un baril de ciment dans une voiture.
Celle-ci basculant soudain, le baril roula sur le malheureux qui tomba
sur le sol, assez grièvement blessé.
—
En passant sur un arbre, à Pertheville-Ners, près Falaise, le sieur
Azaël Poirier, journalier à St-Pierre-du-Bû, est tombé d'une façon
si malheureuse qu'il s'est rompu une jambe.
—
Le sieur Victor Vivien, domestique à Falaise, est tombé sous les roues
de sa voiture lourdement chargée. Il a eu de graves contusions à
l'aine et une fracture du fémur.
—
A Soulangy, près Falaise, le sieur Valentin, domestique chez M.
Lebailly, s'est fracturé l'épaule en voulant arrêter un cheval
emballé attelé à un banneau. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Novembre
1903 - L’hiver approche.
- De
nombreux vols d'oies sauvages sont passés très bas au-dessus de Caen,
en poussant des cris peu harmonieux. Ces oiseaux migrateurs changent de
climat : c'est assurément signe de froid prochain. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Novembre
1903 - Destruction des corbeaux.
- La
destruction, à l'aide d'un fusil, des corbeaux, corneilles et pigeons
ramiers est autorisée du 1er novembre au 30 juin, sans
permis. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre
1918 -
Découverte d’un cadavre.
- On
a découvert
dans le
ruisseau « Le
Cassis » le
cadavre
de la
femme Simon,
journalière chez
M. Lehongre,
à Soulangy,
qui
était couché
sur le
ventre dans
la direction
du courant,
la tête
dans la
vase. Cette
pauvre femme
ne jouissait
pas de
toutes ses
facultés.
Novembre
1922 -
Mérite agricole. - Mme
Letellier, cultivatrice à Soulangy a obtenu la croix du Mérite
agricole, accordée aux mères de familles nombreuses, cultivatrices ou
ouvrières agricoles, dont les enfants sont demeurés à la terre.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre
1922 -
Le feu. -
Après une
journée de battage de grains, le feu s'est déclaré dans la paille
fraîche, accumulée dans le grenier de Mme veuve Bisson, cultivatrice
à Soulangy, canton de Falaise. Les pertes sont estimées à 8 000
francs.
—
Une
voiture chargée de paille, à M. Deumesnil, propriétaire à
Bourguébus, a été brûlée. Les dégâts de 2 300 francs sont
couverts par une assurance. On ignore les causes de ce
sinistre. (Source : Le Bonhomme Normand)
Février
1923 -
Baptiseuses de lait. -
Deux cultivatrices de la région de
Falaise, sont poursuivies pour fraude sur le lait : Mme Eugénie
Laignel, femme Lefèvre, cultivatrice
à Soulangy, pour avoir écrémé son lait, est condamnée à 10 jours
de prison avec sursis et 500 fr. d'amende. Mme Marie-Louise Hudèche,
femme Boulais, cultivatrice
à Clécy, qui avait mouillé son lait à 18 %, est gratifiée de 8
jours de prison également avec sursis et 50 fr., plus, pour chacune
d'elle, l'affichage et l'insertion du jugement. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Septembre
1923 -
Procédés de chasse.
- M.
Bobot, cultivateur à Lougé-sur-Maire (Orne), faisait l'ouverture de la
chasse avec quelques amis. Ils se trouvaient dans un champ en bordure de
la route de Saint-Pierre-Canivet à Epaney, lorsqu'ils furent
rencontrés par M. Lenoir, 51 ans, journalier et garde-chasse à
Soulangy.
Le
garde s'avança vers M. Bobot et, le saisissant par la veste, lui
demanda son permis. M. Bobot refusa de le présenter et s'en alla
retrouver ses amis. Voyant cela, le garde épaula
son fusil et tira deux coups sur M. Bobot qui fut blessé à la jambe et
à la main. M. Lenoir a été arrêté pour tentative de meurtre et
emmené à Falaise. Par la suite, il a été remis en liberté
provisoire. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1925 -
Chasse interdite. -
Mottay Robert, 29 ans, ouvrier d'usine à Soulangy, a été
condamnée pour chasse en temps prohibé et destruction d'oiseaux
utiles, confiscation de la carabine, sous contrainte de 25 francs.
Janvier
1928 -
Le mauvais temps.
- Par
le vent
violent qui
souffle depuis
plusieurs
jours, des
toitures ont
été mises
à mal
entre Soulangy et
Saint-Pierre-Canivet,
un poteau
télégraphique
a été
abattu par
l'ouragan.
Janvier
1928 - Une
vache furieuse tue son maître.
- M.
Argaillez,
cultivateur
à Soulangy,
était
allé
samedi
dans
ses
herbages
visiter
ses
bestiaux
lorsqu'il
fut
attaqué
par
une
vache
devenue
soudain
furieuse.
Lancé
contre
un
mur
par
un
coup
de
corne
de
l'animal,
M.
Argaillez
fut
relevé
dans
état
pitoyable
et
transporté
dans
une
clinique
de
Caen
où
il
reçut
les
premiers
soins.
Ramené
ensuite
à son
domicile.
Il y
est décédé
des suites
de ces
blessures.
Juin
1928 -
Les méfaits de l'orage. -
On sait que des orages d'une rare violence se sont abattus la
semaine dernière sur la région, provoquant à certains endroits de
très sérieux dégâts. A Soulangy, canton de Falaise, la foudre
est tombée sur la ferme de Mme Arjailliez, est descendue par la
cheminée et a rempli la chambre de la cultivatrice d'une vive lueur.
C'est en vain que Mme Arjailliez essaya de se lever, elle avait reçu
une forte commotion et, pendant une heure, elle ne put bouger. En outre,
elle portait des brûlures superficielles sur tout le corps.
Par
miracle, le feu n'a pas pris à la ferme. Mais du linge et des draperies
ont été déchirés, ou percés comme par une vrille.
La
maçonnerie de la cheminée et la toiture ont été disloquées, un
plafond crevé, les portes ébranlées, des clous arrachés, la
tapisserie des murs en morceaux, une suspension en nickel oxydée, et
une glace déplacée, mais non brisée, dans son cadre décoré. Enfin,
le fluide est sorti par la fenêtre, dont les carreaux ont eu tous un
angle cassé.
Juin
1928 -
Un nouvel exploit de pillards Après
effraction, des malfaiteurs se sont introduits dans la maison occupée,
à Soulangy, par M. Bothelin, tué au cours des bombardements et ont
dérobé 10 000 fr. de linge et de vêtements. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Juillet
1936 - Un
cadavre dans une maison en ruine.
-
Vers 15 heures, en allant voir si ses poules n'avaient pas pondu
dans une maison en mines voisine de son domicile, M. Adolphe Gégan,
adjoint au maire de Soulangy, a découvert sous un escalier le cadavre
déjà décomposé d'une mendiante qui, environ tous les mois,
traversait la localité. Il s'agit d'une sexagénaire, la femme
Dumoulin, née Ernestine Levasseur, 69 ans, originaire de Saint-Sylvain.
Le corps a été examiné par le docteur Le Breton, médecin légiste.
La vieille femme a succombé à une affection cardiaque et sa mort
remonte à une douzaine de jours.
La
femme Dumoulin avait séjourné à l'hôpital de Falaise du 1er
au 19 mai dernier. Elle avait ensuite repris sa course vagabonde
à travers la campagne. (Source
: Le Moniteur du
Calvados)
Avril
1937 -
Toujours
les incendies de récoltes.
- Le
22 avril vers 15 h. 30, M. Gaucher, cultivateur à Soulangy, était
occupé à ensemencer des pommes de terre dans un de ses champs,
lorsqu'il vit des flammes jaillir d'une meule de paille de blé
édifiée à proximité, appartenant à M. Robert Lefèvre, cultivateur
à Soulangy, lieu dit « Le Cognet ». M. Gaucher prévint M. Lefèvre.
Alertés, les pompiers de Soulangy et plusieurs personnes des environs
accoururent, ils durent se contenter de protéger une autre meule,
édifiée tout à côté de la première. L'incendie a détruit
ainsi environ 1000 bottes de paille, d'une valeur de 1 500 fr.
Ce
sinistre a certainement été provoqué volontairement et par un
individu malveillant. De forts soupçons pèsent sur un ouvrier
agricole. Celui-ci, interrogé, a nié les faits. Aucune
preuve de sa culpabilité n'ayant pu être recueillie, il a été
laissé en liberté. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Décembre 1938 -
Un chargement dangereux.
- Un
bizarre accident de la circulation s'est produit au lieu dit «
Saint-Loup », dans les circonstances suivantes : Un autocar, conduit
par le chauffeur Aimé Groult, roulait sur la route de Caen à Falaise,
allant vers cette dernière ville, vers 18 heures.
En
sens inverse venait un camion chargé de traverses de la maison Greffet,
conduit par le chauffeur Gaston Dumont, demeurant à Falaise. Ce fut
seulement lorsqu'il arriva à quelques mètres du camion que le
chauffeur Groult, qui se guidait sur les feux de position, aperçut les
traverses dépassant le cadre du véhicule.
Appuyer
à droite, c'était le dérapage fatal du car chargé de voyageurs. Le
conducteur tenta donc de passer.
Les
traverses éraflèrent le car dont toutes les vitres d'un côté furent
brisées ainsi que les supports.
Les
débris des carreaux tombèrent sur les voyageurs dont plusieurs furent
légèrement contusionnés.
Le
plus sérieusement atteint fut M. Henri Lebarbé, demeurant à Falaise,
qu'un minuscule éclat atteignit à l’œil. (Source
: Le Moniteur du
Calvados)
Juillet
1939 -
Un garçonnet blesse son jeune frère d’un coup de faulx.
- M. Lefèvre, ouvrier du bâtiment, travaillant à Falaise,
avait chargé un journalier agricole de faucher un pré attenant à sa
maison. Au cours de son travail, l'homme s'absenta, laissant sa faulx
dans le pré.
L'un
des enfants Lefèvre s'empara de l'outil et se mit en devoir de montrer
son savoir faire à son jeune frère, Guy, âgé de 6 ans, qui
l'accompagnait. Il s'y prit si maladroitement que d'un coup de faulx, il
sectionna les muscles d'une jambe de l'enfant.
(Source : Le
Moniteur du Calvados)
Novembre
1946 -
Encore un ! -
Au
cours d’une tournée, les gendarmes ont arrêté sur la route
nationale, prés Soulangy, un prisonnier boche évadé de la ferme de M.
Barbot,
agriculteur à Potigny. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Janvier
1947 -
Encore un cambriolage. –
De
retour d’une fête où elle s’était rendue, Mme Marthe Joinel,
cultivatrice à Soulangy, a constaté que son habitation avait reçu la
visite de cambrioleurs qui s’étaient introduits dans celle-ci en
brisant un carreau. Une montre et des boutons de manchette en or, une
bague en argent et divers autres objets avaient disparu d’une armoire
où ils étaient déposés. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Juillet
1949 -
En feu ! -
Un incendie qui s'est déclaré sur la berne du chemin d'Epaney,
à Soulangy, a gagné la haie vive formant clôture de l'herbage de M.
Gérauld. Préjudice 12 000 francs. (Source : Le Bonhomme Libre)
Août
1949 -
Au feu ! - Une
grange a brulé dans la ferme, exploitée à Soulangy, par M. Louis
Barré. On déplore la perte de 8 000 kilos de foin, 2 000 kilos de
paille ainsi que du batiment appartenant à Mme Chevalier, de Pont-d’Ouilly.
- Un sinistre qu’on croit provoqué par un
court-circuit sur une ligne de courant-force a mis le feu à
une charrette chargée
de blé dans la cour de la ferme de M. Eugene Pagny, de Clécy. Le
cheval attelé au vehicule a pu etre sauvé. ( Le Bonhomme Libre
)
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