1er Juillet 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS Page 4
ST-ANDRÉ  s/ ORNE

Canton de Bourguébus

Les habitants de la commune sont des  ...


Avril 1926  -  Une battue.  -  Au cours d'une battue, organisée par MM. de Lablé et Carteron, dans les bois de Saint-André, un gros sanglier a été abattu, ce qui porte à quatre le nombre d'animaux tués dans cette forêt depuis quelque temps.  

 

Juillet 1926  -  Émouvante cérémonie.  -  Une touchante cérémonie a eu lieu hier pour la remise des insignes de la Légion d'honneur à un grand blessé et aveugle de guerre, M. Albert Godefroy.

A 15 heures, au pied du monument aux morts, M. Leroy, le sympathique président des Invalides de la grande guerre, avec le cérémonial habituel, remit la croix au légionnaire puis, M. Olivier, maire de Saint-André, prononça un discours dans lequel il retraça la vie militaire glorieuse de M. Godefroy, qui est conseiller municipal de Saint-André.

M. Leroy, à son tour, relata la conduite héroïque de M. Godefroy, trois fois blessé, une première balle l'atteignit à la mâchoire, guéri, on le renvoie au front, une seconde fois il est blessé au même endroit on lui refait une mâchoire et il repart.

Le 9 mai 1918, un éclat lui crève l'œil droit à Thiescourt, 15 jours après, l'œil gauche est atteint à son tour et Godefroy est aveugle.

« La Légion d'honneur est venue enfin, dit M. Leroy, récompenser un vrai héros, un pur héros ».

Après la cérémonie un lunch fut servi à l'école.

 

Décembre 1926  -  Un grave accident à Étavaux.  -  Hier, vers 11 h. 30, un accident mortel s'est produit dans les carrières de Bretagne et de Normandie, à Étavaux. Un  ouvrier espagnol, Fernandez Rodriguez, 20 ans, travaillait près d'une tranchée haute de 30 mètres. Tout à coup, quelques pierres se détachèrent pour tomber près de l'endroit où se trouvait le carrier. Pris de peur et croyant à la menace d'un éboulement, Rodriguez s'éloigna avec précipitation. Au même moment, une rame de wagonnets descendait vers le fond de la carrière, le malheureux alla se jeter contre le dernier wagon. Le choc fut tel que l'ouvrier fut renvoyé contre la paroi de la carrière. On le releva inanimé, quelques temps après, il succombait à une fracture du  crâne.

 

Août 1927  -  Pirates d'eau douce.  -  Nous avons reçu cette lettre :     Mon cher Bonhomme. Vous parlez dans votre récent article, Au fil de l'eau, de la destruction du poisson par la dynamite, elle continue plus que jamais. Pas plus tard que mercredi dernier à Etavaux, près des marronniers du  « Vipicot », des individus et une femme, montés dans un bateau,  ravageaient l'Orne en lançant des cartouches de dynamite, détruisant ainsi des  centaines de poissons pour en ramasser quelques-uns. Comment de si abjectes attentats peuvent-ils  encore se produire ?

Où ces gens-là prennent-t-ils leur dynamite ? Les patrons et chefs d'ateliers de carrières ou de mines ne pourraient-ils pas surveiller un peu mieux leur provision d'explosifs et les gardes-pêches ne pourraient-ils pas se montrer de temps à autre sur les rives ? ...

Nous n'avons rien à ajouter aux réflexions judicieuses de notre correspondant.  La piraterie en rivière et une chose aussi méchante que bête et on se demande quand on s'occupera enfin de la réprimer sérieusement.  

 

Septembre 1928  -   Lelièvre battu et dépouillé du lièvre.  -  M. Arthur Lelièvre, 33 ans, demeurant à Saint-André-sur-Orne, a porté plainte contre Joseph Vasnier, 24 ans, fumiste à Caen, 71, rue Saint-Pierre, pour coups et blessures.
M. Lelièvre, qui accompagnait à la chasse son ami M. René Marie, portait la gibecière de ce dernier. M. Marie, voyant un lièvre déboucher à quelques mètres de lui, tira dessus
et l'animal roula à terre. Il le ramassa et le passa à M. Lelièvre pour le placer dans le carnier.  
Juste à ce moment se présentent deux chasseurs avec le fusil encore fumant. Il avait tiré sur le même lièvre et prétendait en être le propriétaire.
Des mots aigres-doux furent échangés, et M. Joseph Vasnier se précipita sur M. Lelièvre, lui porta plusieurs coups de poing qui l'envoyèrent rouler à terre et le dépouilla de son lièvre. La gendarmerie a ouvert une enquête pour trouver le véritable propriétaire du lièvre.

 

Mai 1929  -  On retire un cadavre de l'Orne.  -  On retiré de l'Orne, près du pont, à Saint-André-sur-Orne, le cadavre de M. Jean Delaunay, 43 ans, brocanteur, sans domicile fixe.

Le corps qui ne portait aucune trace de violences a été examiné par M. le docteur Boivin. On croit à un accident. 

 

 Novembre 1930 - Des visiteurs indésirables. - Plainte a été portée par M. Alfred Lefèvre, propriétaire, contre des inconnus qui, de nuit, se sont introduits dans la cour de son habitation. Ces mêmes individus auraient, l'autre matin, vers 11 heures, tenté de pénétrer chez lui sous le prétexte d'acheter des pommes. L'un deux aurait brutalisé une journalière, Mme Leroux, qui  refusait de lui servir le café.

 

Avril 1936  -  Une femme se jette dans l’Orne et se noie.  -  Hier, vers 3 heures du matin, Mme Désert, née Marie-Louise Lecadet, 46 ans, débitante au hameau d'Etavaux, s'est suicidée  en se jetant dans l'Orne. 

Son cadavre n'a pu encore être retrouvé. On ignore les motifs de cet acte de désespoir. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mars 1937  -  Abaissement du plan d’eau de l’Orne.  -  Les habitants des communes de Ouistreham, Sallenelles, Ranville, Bénouville, Blainville, Hérouville, Colombelles, Mondeville, Caen, Venoix, Fleury-sur-Ome, Louvigny, Maltot, St-André-sur-Orne, Feuguerolles-sur-Orne, Bully, May-sur Orne, sont informés qu'un abaissement du plan d'eau de l'Orne aura lieu du 25 mars inclus au 27 mars inclus pour permettre aux riverains d'exécuter les travaux nécessaires à leurs ouvrages établis en bordure de cette rivière. 

Si cette opération ne peut être effectuée par suite des circonstances atmosphériques elle sera reportée à la période s’étendant du 12 avril inclus au 14 avril inclus. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1937  -  Un cycliste est blessé.  -  M. Marcel Lequest, maître-d'hôtel, domicilié place Gambetta, à Caen, circulait en automobile sur la route de Caen à Thury-Harcourt, quand à la hauteur des Mines de Saint-André-sur-Orne, il heurta un cycliste, M. Adrien Fleuriot, 36 ans, domestique à Saint-Martin-de-Fontenay, qui fut dégagé de sous la voiture, avec des blessures légères aux mains et aux jambes, mais il se plaint de violentes douleurs internes et le docteur qui l'a examiné réserve son diagnostic. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1937  -  Une grève aux mines de Saint-André-sur-Orne.  -  Les 600 mineurs occupés aux mines de Saint-André se sont mis en grève vendredi et ont occupé les entrées des galeries et de l'exploitation où des piquets de grévistes ont été posés. 

Le motif de la grève est une demande de rajustement de salaires. On ne signale aucun incident.  (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Octobre 1937  -   La grève des mineurs de May-sur-Orne et de Saint-André est terminée.  -  A l'issue de la commission paritaire de vendredi, l'accord ayant pu se faire entre la direction et les mineurs de May-sur-Orne et de Saint-André, en grève depuis le 25 septembre dernier sur les propositions le réajustement de salaires, le travail a repris normalement hier matin, dans les mines.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Mars 1938   -   De nouveaux monuments historiques.   -   Des monuments viennent d'être classés dans diverses communes du Calvados. Ce sont, à Bernières-sur-Mer, les pavillons du  XVIIe  siècle du château ; à Saint-André-sur-Orne, le chœur de l'église ; à Sept-Vents, dans l'ancien prieuré bénédictin de Saint-Laurent, le retable de l'ancienne chapelle et une statue au-dessus de la porte d'entrée ; à Tierceville, dans l'église paroissiale, les fonts baptismaux ; à Longues-sur-Mer, dans l'église, une statue du XVIe siècle ; à Ver-sur-Mer, dans l'église, un bas-relief du XIVe siècle; à Fierville-les-Parcs, dans l'église, un retable et deux bois sculptés ; à Blainville, dans l'église, un retable et deux statues ; à Bénouville, dans l'église, le tabernacle ; à Vaux-sur-Seulles, dans l'église, une toile de Jean Restout.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1939   -   Les enfants martyres.   -   Sur plainte du Maire de Saint-André-sur-Orne, la gendarmerie enquête sur des mauvais traitements qu'aurait, fait subir au fils de sa maîtresse, un enfant de 11 ans, René Lepetit, un sujet portugais, Fernandez Fostino, 40 ans, ouvrier mineur.

Interrogé, le garçonnet a déclaré qu'il était très malheureux et qu'il voudrait bien aller chez quelqu'un qui ne le battrait pas... Il a ajouté que sa mère essayait bien de le défendre, mais que, terrorisée elle-même, elle n'y parvenait pas.

Les voisins affirment que le petit René est constamment victime de brutalités.   (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Juin 1939   -   Pris d'une congestion un jeune homme se noie dans l'Orne.  -   M. Marcel Delaunay, 18 ans, demeurant chez ses parents à Saint-André-sur-Orne, se baignait dans la rivière, entre 11 heures et midi, en compagnie de deux camarades. Au moment où il allait regagner la rive, ceux-ci l'entendirent pousser deux cris, puis le virent disparaître.

Ils allèrent aussitôt chercher une barque et ils réussirent, au bout de cinq minutes environ, à repêcher leur camarade. Des tractions lui furent aussitôt pratiquées par des assistante puis par le docteur Pinsard, arrivé ensuite sur les lieux et rejoint peu après par les pompiers, qui employé des ballons d'oxygène, pour tenter de ranimer le jeune homme, mais tous les soins furent inutiles.

Le noyé avait mangé le matin, vers 9 heures, et l'on croit qu'il a succombé à une congestion. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Juillet 1940  -  Plainte pour coups.  -  Mme Germaine Maresco, veuve Laurent, 44 ans, ménagère, demeurant à Saint-André-sur-Orne, a porté plainte, pour violences, contre M. Alexandre Julienne, 58 ans, cultivateur, même commune. M. Julienne nie et l'enquête continue.

 

Janvier 1941  -  Le Clos Saint-André.  -  Parmi les oeuvres d'assistance, il en est une dont nous parlons assez rarement et qui pourtant est digne d'un particulier intérêt. Nous avions été sollicité dernièrement de la signaler à nouveau et des circonstances impérieuses nous en avaient empêché : c'est l'ancien orphelinat de Missy, transféré maintenant au Clos de Saint-André-sur-Orne.

Sa fondatrice, Mlle Guérin, s'en occupe avec un dévouement inlassable mais sa tâche est lourde, ses responsabilités sont grandes et ses ressources sont très limitées. Elle reçoit des enfants de tout âge. On lui en apporte au berceau et elle les accepte quand même. Elle en a amené comme ça 70, Missy à Saint-André, dans une grande propriété qui s'est trouvée libre à propos. Elle se serait peut-être tirée d'affaire, mais voici que le Havre bombardé lui a fait parvenir le contingent d'un autre orphelinat du même genre, une cinquantaine de personnes,  enfants et maîtresse. Du coup, les affaires se compliquaient !...

Il y a maintenant un cent et demi de personnes à nourrir et à vêtir... de quoi perdre la tête... Mlle Guérin tient bon cependant, mais si on voulait lui aider, elle ne s'en plaindrait pas. On  manque un peu de tout, au Clos, vêtements, chaussures, literie, couvertures, médicaments etc..., et les petites n'ont pas de confiture pour mettre sur leur pain à la collation. Il a fallu aussi  abattre une avenue de platanes pour se chauffer. Au résumé, ce n'est pas tout à fait la détresse, mais cela pourrait y aboutir. Un coup de main à Mlle Guérin, s.v.p.

 

Septembre 1943    -   Fait divers.   -   Un train venant de Flers à Caen arrivait mardi soir vers 17 h. à 2 km. de St-André-sur-Orne, quand le convoi s'arrêta en rase campagne. Des voyageurs virent alors le mécanicien, M. Bayer, 25 ans, demeurant à Caen, se jeter sur le remblai et se tordre en proie à de graves brûlures.

En effet, le mécanicien venais d'être victime d'un terrible accident provoqué par l'éclatement d'un tube et avait reçu de graves blessures dues aux jets de vapeur. Néanmoins, M. Bayer,  faisant preuve d'un courage remarquable, avait, en dépit de ses atroces souffrances, réussi à arrêter son convoi, évitant aux voyageurs un accident certain. Après avoir reçu sur place les  premiers soins, M. Bayer a été déposé dans un wagon et ramené à Caen. Le vaillant cheminot mérite d'être félicité pour sa belle conduite.  

 

Juin 1946  -  Pour les orphelins du Clos Saint-Joseph.  -  Dimanche prochain, une grande kermesse réunira à St-André-sur-Orne tous les amis de l’Orphelinat du Clos Saint-Joseph. Comptoirs divers, attractions, buffet, pique-nique sur les bords de l’Orne. Service spécial d’autocars depuis la gare routière, avec arret route de Falaise, au Calvaire. Premier départ de  Caen à 13 h. 30, service continu d’allers et retours. ( Le Bonhomme Libre )

 

Novembre 1946  -  Le ravitaillement.  -   La distribution des nouvelles cartes d’alimentation se poursuivra dans l’ordre alphabétique et aux jours suivants : Vendredi 29 novembre, L ; Samedi 30 : M. N. ; lundi 2 décembre : O. P. Q. R ; mardi 3 : S. T ; mercredi 4 (matin seulement) : U. V. W. Y. Z ; jeudi 5 et vendredi 6 : retardataires. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Décembre 1946  -  Le Ministre de Suède à St-André.  -  M. Boheman, ministre de suède, qui était accompagné de M. Léonard Gille, conseiller général du canton de Bourguébus, et président de l’Association France-Suède, a été reçu par la municipalité et la population de St-André-sur-Orne. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Avril 1947  -  Un ouvrier se noie à St-André-sur-Orne.     En allant puiser de l’eau, M. Benjamin Mengader, 51 ans, menuisier à l’entreprise Durand est tombé dans la rivière et s’est noyé. Le cadavre du malheureux n’a pas été retrouvé. (Source  : Le Bonhomme Libre)  

 

Septembre 1947  -    Respect à l’autorité !    Étant intervenu pour mettre fin à une querelle survenue entre les habitants d’un même baraquement, les époux Leligne et Georges Dajgrosz, la garde-champêtre de Saint-André-sur-Orne, M. Louis Marguerite a été menacé de mort par ces derniers. Le couple irascible sera poursuivi. (Source  : Le Bonhomme Libre)  

 

Février 1948  -   La reconnaissance de nos industries sidérurgiques.   -  La Société des mines et de produits chimiques vient de remettre en exploitation le puits de St-André-sur-Orne.

Cette société exploitait, à dix kilomètres du port de Caen trois siéges d’extraction de minerai de fer : St-André, I'Orne et Urbain-le-Verrier, qui ont tous été sinistrés en 1944. Elle est en outre propriétaire de concessions à Bully et Maltot, qui constituent des réserves.

Le siège de l’Orne a été le premier remis en exploitation. Il assure une production annuelle de 250 000 tonnes. Le puits de St-André, qui vient de reprendre son activité, peut également assurer une production d'environ mille tonnes par jour, mais, pour sa première journée, il n'a produit que trois cents tonnes.

Il reste encore 250 mètres de hauteur d'eau dans le fond, dont on continue I'épuisement. L'extraction se fait donc à I'heure actuelle jusqu'à l'étage 200 par un puits à cages.

Les deux sièges de Saint-André et de l'Orne sont réunis à la rive gauche de l'Orne, où passe la voie ferrée de Caen à Laval, par des téléphériques.

Le siége d'Urbain-le-Verrier sera remis à son tour en exploitation dans le courant dans l'année.

Toutes les mines de fer du Calvados sont donc maintenant remises en exploitation, à I'exception du puits d’Urbain-le-Verrier et de ceux de Gouvix-Urville, qui appartiennent au même groupe que Soumont. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Avril 1948   -   V'la l'facteur !   -   Les gendarmes enquêtaient l'autre jour chez Mme Vallette, 51 ans, villa « les Roses » à Saint-André-sur-Orne, soupçonnée de se livrer au marché noir, ainsi que sa fille, une dame Longuet, demeurant à Lille et actuellement en vacances.

La dame Vallette protestait de leur innocence quand par malchance, une employée des PTT vint livrer et un colis.

Celui-ci renfermait deux kilos de café. La dame Vallette dut passé des aveux. Elle aurait reçu en un mois 10 kg de café vendu 7 à 800 francs le kilo et des bas nylon cédés à raison de 1 500 francs la paire.

Les délinquantes ont été gratifiées des contraventions d'usage. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Septembre 1950   -     Une délégation de la garde noire canadienne à St-André-sur-Orne.   -   Conduits par le Colonel de leur régiment, 9 officiers et 16 soldats de la Garde Noire du Canada, dont les effectifs sont recrutés parmi les Canadiens d'origine écossaise, assisteront le 2 octobre à l'inauguration d'une plaque commémorant le sacrifice de 600 des leurs tombés lors des combats de la Libération, et qui sera apposée sur le mur du clocher de l'église.

Deux services religieux seront célébrés par le pasteur protestant qui fut l'aumônier de ce corps d'élite et par M. l'abbé Jules, desservant de la paroisse.

Le détachement sera à Fleury le 1er octobre et se rendra en pèlerinage au cimetière de Cintheaux avant de regagner l'Amérique. (Le Bonhomme Libre)

 

Septembre 1950   -     La reconstruction à Saint-André-sur-Orne.   -   Par arrêté publié au Journal Officiel, il a été ordonné l'établissement d'un modificatif au projet de reconstruction de la Commune de Saint-André-sur-Orne (Calvados), qui portera sur les points suivants : Remaniement des aménagements intéressant l'îlot compris entre le C.D. Nº 89, le C.D. nº 233 et deux petites voies urbaines prévues, élargies à 6 mètres.

Modification du tracé du chemin départemental nº 89 de Cheux à Moult-Argences, dans la partie comprise entre le carrefour avec le chemin rural nº 2 et le carrefour avec la route nationale nº 162 de Caen à Angers.

Jusqu'à l'approbation de ce modificatif, les mesures de sauvegarde qui font l'objet des articles 23 à 28 de la loi d'urbanisme du 15 juin 1943, sont remises en vigueur sur les parties du territoire de la commune délimitées ci-dessus. (Le Bonhomme Libre)

451.  -  Route de SAINT-ANDRÉ-de-FONTENAY (Calvados)  E. F.

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