15 Décembre 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS Page 1
ST - ARNOULT

Canton de Trouville-sur-Mer

Les habitants de la commune sont des Arnulphiens, Arnulphiennes


Avril 1847   -  Nouvelles locales.  -  Jeudi dernier, le nommé Antoine Andro, originaire d'Auvergne, marchand à Saint-Desir-de-Lisieux, a été trouvé noyé dans la rivière de Touques, sur le territoire de la commune de Saint-Arnoult. Il avait les mains croisées et liées avec un mouchoir.

La justice s'est immédiatement rendue sur les lieux, et il résulte des renseignements, que nous avons obtenus, que la mort de cet homme est le résultat d'un suicide, dont on ignore la cause. ( source : Journal de Honfleur)

 

Avril 1854   -   Découverte d’un cadavre.   -   Le 14 avril, on a retiré de la Touques, sur le territoire de la commune de St-Arnoult, le cadavre d'un homme paraissant âgé de 30 ans environ. L'état de putréfaction dans lequel était le corps fait supposer que son séjour dans l'eau devait remonter au moins à deux ou à trois mois.

Cet individu n'a pas été reconnu, il avait au bras gauche un tatouage représentant une botte au-dessous de laquelle était écrit le nom de Duval. (source Le Journal de Honfleur)

 

Octobre 1867   -   Les présages de l'hiver.   -   Certains signes semblent présager que l'hiver qui arrive sera rigoureux. Le départ des hirondelles a été, cette année, plus précoce que d'habitude, et l'on a signalé de bonne heure des passages d'oiseaux émigrant du nord vers le sud.

Voici qu'on écrit de Clermont-Ferrand que jeudi dernier les habitants se montraient avec stupéfaction le sommet du Puy-de-Dôme couvert de neige, chose qui ne s'était pas vue, dans une saison aussi peu avancée, depuis un demi-siècle.

D'un autre côté, des télégrammes venus d'Amérique annoncent que la neige a déjà fait son apparition dans la partie occidentale de l'Etat de New-York.

Comme nous venons de traverser une période De quelques années pendant lesquelles la température de l'hiver n'a point été très basse, le calcul des probabilités nous interdit de compter sur le retour d'une pareille circonstance. En outre, la terre n'ayant pas reçu une grande quantité de chaleur, elle ne tardera pas à épuiser la quantité de calories qu'elle aura reçue si la provision recueillie dans l'été n'est point entretenue par un soleil d'hiver excessivement chaud.

Il a gelé, mercredi la nuit, dans la banlieue lyonnaise. La neige a fait son apparition sur les montagnes du haut Beaujolais et de l'Izeron.

 

Octobre 1867   -   La demande des fermiers.   -   Les fermiers qui avaient demandé des chevaux de l'artillerie pour le service agricole, ont été autorisés à venir les chercher. Cela a lieu tous les ans, et la nouvelle n'a d'importance que parce que l'on avait affirmé un moment qu'il n'en serait pas ainsi en 1867.

 

Mars 1868   -   Une circulaire.   -   M. le Préfet du Calvados vient d'adresser aux maires du département une circulaire relative à l'échenillage et au hannetonnage.

Quant aux hannetons, M. le Préfet dit qu'il insiste d'autant plus pour leur destruction que suivant les entomologistes, une reproduction exceptionnelle de ces redoutables coléoptères doit se manifester cette année.  

 

Juin 1869   -   Fait divers.   -  Le 25 juin, la veuve Gidquel, âgée de 55 ans, demeurant à Touques, a été trouvée morte dans un herbage, situé en la commune de Saint-Arnoult. L'examen du cadavre a fait  connaître que la mort de cette femme devait être le résultât d'une apoplexie pulmonaire.  

 

Janvier 1870   -   Le Canton.   -  Voici les noms des communes qui doivent faire partie du nouveau canton de Trouville, si l’enquête n'y apporte aucun changement. Il se composerait des communes de Trouville, Deauville, Villerville, Touques, Saint-Arnoult, Bénerville, Tourgéville, prises aux dépens du canton de Pont-l’Evêque, et des communes de Blonville et Vauville, détachées du canton de Dozulé. Sa population serait de 10.115 habitants.

Pour compenser la perte que subirait, le canton de Pont-1'Evêque, on lui attribuerait trois communes du canton de Blangy, Saint-Julien-sur-Calonne, Pierrefitte et le Vieux-Bourg, plus la commune de Glanville qu'on détacherait du canton de Dozulé.

Les cantons de Honfleur et de Cambremer resteraient tels qu'ils sont actuellement.

 

Février 1876   -  Morts par le froid.  -  La nommée Rose Mauger, âgée de 72 ans environ, de Biéville, a été trouvée mardi matin, en la commune de Cambes, au lieu dit la Croix-Cantée, étendue au bord d'un champ appartenant au sieur Lemarinier, cultivateur. D'après la constatation, cette fille est décédée d'une congestion occasionnée par le froid. 

— Mardi matin, le cadavre de la nommée Modeste-Victorine Levavasseur, 46 ans, journalière, sans domicile fixe, a été trouvé â côté d'une étable sise dans un herbage, sur le territoire de la commune de Saint-Arnoult, arrondissement de Pont-l’Evèque. Il résulte des renseignements que cette femme avait vainement demandé un gîte à Touques, la constatation a fait connaître que la mort avait été occasionnée par une congestion cérébrale, produite par le froid.  

 

Mars 1879   -  Suspension.  -  A la suite d'une altercation assez vive qui a eu lieu, à Tourgeville, entre M. le Sous-Préfet de Pont-l'Évêque et M. E. Simon, maire de Saint-Arnoult, celui-ci a été suspendu pour deux mois de ses fonctions de maire, « pour avoir manqué de respect au sous-préfet dans l'exercice de ses fonctions et revêtu de ses insignes. »  

 

Juillet 1881  -  Insolation.  -  Mardi, vers 5 heures du soir, le nommé Thomas Fosse, 77 ans, journalier à Bonneville-sur-Touques, qui était à faner dans un pré, situé dans la commune de Saint-Arnoult, est mort, subitement au milieu des personnes qui travaillaient avec lui. La levée et la constatation du cadavre ont fait reconnaître que cette mort était due à un cas d'insolation.  

 

Janvier 1887  -  Un coup de feu qui coûtera cher.  -  Mardi de la semaine dernière, la sieur Duplessis, adjoint au maire de Saint-Arnoult, chasseur passionné, croyant apercevoir un gibier à travers la haie du sieur Biais, en face chez lui, prit son fusil, tira et logea toute la charge dans le dos du sieur Biais, vieillard de 80 ans, qui était accroupi derrière la haie. Les  plombs n'ont, heureusement, pas  pénétré profondément. A la suite de l'enquête Duplessis, a été arrêté.  

 

Avril 1887  -  Suspension d’un adjoint.  -  Le sieur Duplessis, adjoint au maire de la commune de Saint-Arnoult, ayant été condamné à six jours, puis à quinze jours d'emprisonnement, pour coups et blessures, vient d'être suspendu de ses fonctions.

 

Avril 1887  -  Recensement des chevaux.  -  Il sera procédé, du 15 mai au 13 juin 1887, à l'inspection et au classement : 1° de tous les chevaux et juments âgés de 6 ans et au-dessus, de tous les mulets et mules de 4 ans et au-dessus (l'âge se compte à partir du 1er janvier de l'année de la naissance) ; 2° des voitures attelées susceptibles d'être requises.  

 

Avril 1887  -  A lire par les jeunes soldats.  -  La loi de 1872 dit que les jeunes gens, après avoir été examinés et entendus par le conseil de révision, peuvent faire connaître l'arme dans laquelle ils désirent être placés. Les commandants de recrutement ont reçu l’ordre de déposer dans les mairies les registres destinés à recevoir les demandes non formulées verbalement en séance.

 

Avril 1887  -  Révocation.  -  Le président de la République a révoqué le sieur Duplessis, adjoint au maire de Saint-Arnoult, dont un arrêté préfectoral a prononcé la suspension pour condamnation correctionnelle.

 

Juin 1889.   -   Une commune inquiète.   -   La commune de Saint-Arnoult, arrondissement de Pont-l'Évêque, est sous le coup d'une terreur bien légitime. Depuis six ans, trois crimes ont été commis à St-Arnoult : le premier, l'incendie par malveillance du pressoir de la dame Hugues Sorel ; le second, l'assassinat de la femme Massinot le 3 janvier 1885 ; et le troisième l'incendie de la maison de M. Fanet, le 9 mai dernier. Malgré les recherches, les coupables n'ont pas été découverts. (Bonhomme Normand)

 

Août 1894  -  Découvertes de cadavres.   -  A St-Arnoult, canton de Pont-l'Evêque, le corps du sieur Crenn, journalier, a été trouvé dans un ruisseau. Cette mort est accidentelle.

—  A St-Etienne-la-Tillaye, on a retiré d'un petit ruisseau le cadavre d'un individu connu sous le nom de Lagniel ou Daniel. Cet homme est âgé de 45 ans. L'accident est dû à l'état d'ivresse dans lequel il se trouvait et, d'après le certificat médical, une congestion s'est déclarée après la chute. 

(Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Avril 1900   -   Grave accident.  -   La dame Pouchard, cultivatrice à Saint-Arnoult, se rendait en voiture au marché de Trouville, accompagnée de son domestique, le sieur Chauvin, quand un motocycle, passant à toute vitesse, fit peur au cheval de la dame Pouchard et le fit emballer. 

L'animal, affolé, renversa la voiture, projetant à plusieurs mètres sur le sol le conducteur et sa maîtresse. Le domestique ne s'est fait que de légères contusions à un bras, quant à la dame Pouchard, elle tomba sur la tête, se blessant très grièvement. L'auteur de cet accident a continué sa route sans inquiétude. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Septembre 1903  -  Un bûcheron entreprenant.   -  On prétend que l'alcool affaiblit et que, si nous continuons à en abuser, la race s'éteindra.

Ce n'est pas l'avis du jeune Georges Durand, 20 ans, bûcheron à Touques, que la boisson rend, au contraire, des plus amoureux.

Un matin, il se présentait en conquérant chez la dame Fontaine, à la maisonnette du chemin de fer de Saint[1]Arnoult, et lui faisait aussitôt de touchantes avances.

La dame Fontaine y répondit par de plus touchantes encore : elle prit une canne plombée et commença à en administrer une raclée au bûcheron. Mais cette sévère correction ne fit qu'enflammer davantage Durand, qui renversa la dame, malgré sa résistance et les coups de pied désespérés qu'elle lui envoyait. Dans la lutte, Durand, eut même le bout du nez enlevé. Il lui en reste encore assez, cependant, pour l'allonger devant le tribunal de Pont-l’Évêque, qui l'a condamné à trois mois de prison et 16 fr. d'amende. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Octobre 1903  -   Dans les ruines.   -  La tolérance est la foi des incrédules. Les baigneurs parisiens qui, l'autre jour, visitaient les ruines de la chapelle de St-Arnoult, près Trouville, auraient dû se pénétrer de cette vérité.

On célébrait un office exceptionnel dans l'abbaye démantelée, lorsque ces visiteurs trop bruyants troublèrent les fidèles de leurs chants et de leurs cris. Un jeune homme  protesta et une bagarre s'en suivit. Maintenant, une autre version prétend qu'au contraire ce furent les touristes qui furent provoqués.

Il faudrait entendre les deux cloches. L'enquête commencée nous apprendra certainement la vérité.   (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1913  -  Délire alcoolique  -  Devenu comme fou a la suite de libations prolongées, le nommé Fleurimond, au service de M. Nouvellon, propriétaire, et s'appelant de son prénom Douche, en a pris une en se jetant dans une mare. Retiré par les gendarmes, il les insulta grossièrement, puis tenta de nouveau de refaire le plongeon. On dut l'emmener à Pont l'Évêque, ficelé dans une couverture ; il a été écroué.

 

Juin 1917  -  Les anglais à l’œuvre.  -  On installe, en ce moment, près de Trouville, sur le mont Canisy et sur le coteau de Saint-Arnoult, un camp destiné a recevoir 30 000 blessés anglais. On compte utiliser 500 prisonniers allemands pour la construction des baraquements, des routes et des ligues de raccordement du camp à la gare de Touques, qui sera gare régulatrice. Les blessés qui seront hospitalisés dans cette nouvelle formation sanitaire seront expédiés des bases de Rouen et du Havre, où les hôpitaux sont encombrés. Pour éviter un surcroît de trafic au réseau de l'État, le transport des blessés serait fait, paraît-il, par bateau.

 

Juin 1917  -  Le temps qu’il fait.  -  Pendant deux nuits consécutives, les éclairs, le tonnerre et la pluie ont fait rage. Ces grands bals d'eau ne valent pas une bonne petite pluie régulière, mais la végétation s'en trouve bien quand même. Souhaitons, cependant, que leur violence n'ait pas causé la chute prématurée des fleurs dont les arbres à fruits sont couverts.  

 

Septembre 1922   -   Enseveli vivant.   -   M. Joseph Couppey, ouvrier chez M. Viérard, entrepreneur de maçonnerie, à Trouville, travaillait à extraire de la pierre dans une carrière de Saint-Arnoult. Le terrain, détrempé par la pluie, s'est affaissé soudain, l'ensevelissant tout vivant. Les camarades de Couppey sont accourus à son secours et au bout de quelques minutes, ils parvenaient à le dégager. Il était trop lard, le malheureux était mort. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1937  -  Un bâtiment agricole est la proie des flammes.  -  Un violent incendie dont on ignore encore les causes, a éclaté dans la nuit, dans un bâtiment servant à la fois de grange et d'étable et dépendant de la propriété « La Verdure », à Saint-Arnoult, qui appartient à M. Louis, 4, rue des Panoramas, à Paris. 

Malgré les efforts des pompiers de Touques, appelés en hâte, l'immeuble a été complètement détruit avec tous les fourrages qu'il contenait. 

Quatre porcs et une certaine quantité de volailles qu'il abritait ont péri carbonisés. 

Les dégâts, assez importants, sont couverts par une assurance. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

 Juillet 1938   -      Vandalisme sacrilège.   -   Des inconnus se sont introduits dans la chapelle de Saint-Arnould dont la garde est confiée à Mme Meunier, et ont brisé un Christ. 

Des traces de pesées ont été relevées sur les portes de la chapelle. Le préjudice est estimé à 2 000 frs.  (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Janvier 1941   -   Dévoré par les rats.   -   Des jeunes gens ont découvert dans un grenier à foin de Saint-Arnoult, propriété de M. Georges Ledey, Vauville, le cadavre d'un individu à moitié dévoré par les rats. Quelques papiers demeurés intacts dans son portefeuille ont permis d'établir qu'il s'agissait d'un nommé Léon Auvray, 62 ans, né à Saint-Cormier-des-Landes (Orne), ancien garde particulier, qui avait travaillé quelque temps chez divers propriétaires de la région.

L'enquête a établi qu'il s'agissait d'une mort naturelle pouvant remonter à une quinzaine de jours.

 

Décembre 1941   -   Avis à la population.   -   Le chef des Services régionaux de transmission des troupes d'occupation a pris l'arrêté suivant : « Des aviateurs anglais lancent depuis quelque temps au-dessus des départements du Calvados, de l'Orne et de la Manche des pigeons-voyageurs et invitent la population française à renvoyer ces pigeons avec des nouvelles.

Nous espérons que la population française, songeant aux graves conséquences de son geste, ne se prêtera pas à cette manœuvre, mais livrera ces pigeons et tous leurs accessoires au bureau militaire allemand le plus proche ou à la mairie.

A l'avenir, toute personne qui livrera des pigeons-voyageurs ou le matériel servant à la transmission des nouvelles ou au lancement à terre du pigeon recevra une récompense par l'intermédiaire des Feldkommandanturs des départements du Calvados, de l'Orne et de la Manche.

Je compte sur la loyauté de la population et j'attends de toute personne qui découvrira des pigeons-voyageurs, etc., qu'elle les remette sans délai aux autorités allemandes ».

 

Janvier 1942   -   Tickets de sucre.   -   Les tickets spéciaux de sucre de 50 gr. du 4e trimestre 1941 (titre C. 185) ont leur validité prorogée jusqu'à nouvel ordre, et seront employés pour  les régimes concurremment avec les nouveaux tickets de 500 gr. du Premier trimestre 1942 (titre C. 205)

 

Janvier 1942   -   Les tickets de charcuterie.   -   Le Préfet a arrêté que les tickets BA et BB de la feuille de viande du mois de janvier 1942 auront chacune une valeur de 90 gr. Ils seront  utilisés en principe pour la charcuterie.

Les tickets-lettres, BC, BD et BE de cette même feuille sont provisoirement sans valeur.  

 

Mai 1942   -   Fait divers.   -   Deux abattoirs clandestins, qui alimentaient le marché noir sur une grande échelle, viennent d'être découvert à Saint-Arnoult, près de Deauville.

Maurice S....., 25 ans, boucher à Deauville et Lucien L......, 28 ans, cuisinier, ont été arrêtés malade, le chef de la bande, Pierre L....., 27 ans, chauffeur, a été laissé en liberté provisoire ainsi qu'un jeune complice de 15 ans. Plusieurs commerçants seront poursuivis.  

 

Avril 1947  -  Suprême hommage.    La médaille de bronze de la Reconnaissance française est décernée à titre posthume pour faits de résistance, à M. Chotard Louis, ancien conseiller municipal de Saint-Arnoult. (Source : Le Bonhomme Libre)  

 

Octobre 1947  -    Les risque du métier.  -   Au carrefour de la Mairie, à Saint-Arnoult, les gendarmes ont saisi 18 litres de crème et 3 kilogs de beurre que transportait un automobiliste, M. Roger Lazore, 40 ans, hôtelier à Trouville. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Juin 1950   -   De pis en pis.   -    Depuis plusieurs mois. M. Léon Thomas, cultivateur à Saint-Arnoult constatait que le  rendement laitier-beurrier de son exploitation était loin de répondre à l'importance de son cheptel. Ayant des doutes sur la probité de ses vachers, les époux Paillard, M. Thomas réussit enfin a surprendre la femme en flagrant délit de vol de crème.

L'enquête de la police de Trouville aurait établi que les indélicats domestiques s'étaient constitué avec le produit de leurs larcins deux livrets de caisse d'épargne de 200 000 frs chacun et acheté 270 000 frs de bons du Trésor. (Le Bonhomme Libre)

92      SAINT-ARNOULT.  -  Les Sources miraculeux

SAINT-ARNOULT.  -  Le Château de la Guerche

SAINT-ARNOULT.  -  Les Ruines

Environs de Trouville  -  SAINT-ARNOULT par Touques - Les Ruines de la Chapelle

SAINT-ARNOULT.  -  Château d'Estimauville

Environs de TROUVILLE   -   Ruines du Château de Lassay.

211   -   SAINT-ARNOULT. (Calvados)   -   Ruines de la Chapelle, XVe siècle

Environs de TROUVILLE (Calvados).   -   Ruines de la Chapelle de St-Arnoult

Il existe une piscine où l'on baigne les enfants pour guérison de plusieurs maladies

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