1er Juillet 2025

UN SIÈCLE D’HISTOIRE DU CALVADOS Page 1

ST - JEAN - des - ESSARTIERS

Canton d'Aunay-sur-Odon 

Les habitants de la commune sont des Essartais, Essartaises

Historique : origine du nom de la commune : vient de (Essarter)  -  défrichement d'un terrain boisé avec brûlis des bois inutilisables et épandage des cendres en vue de cultures.    

 

Mai 1834   -   Cour d’Assises du Calvados.   -   Présidence de M. Regnaud, conseiller. Séance du lundi 9 mai 1834.

Pendant la nuit du 24 au 25 décembre 1833, on vola le coffre du sieur Jacques Lefortier, domestique du sieur Jacques Denise, cultivateur à Saint-Jean-des-Essartiers, arrondissement de Vire. Ce coffre, après quelques recherches, fut retrouvé dans un champ voisin, au fond d'un fossé plein d'eau. La serrure avait été brisée, et 30 fr. environ et une chemise y avaient été pris.

Le nommé Jean-Francois Marie, domestique à Anctoville, âgé de 23 ans, s'est reconnu coupable de ce vol, et il a été condamné à six ans de réclusion et à l'exposition. (Mémorial du Calvados)

 

Décembre 1844   -  Cour d’Assises du Calvados.  -   Le nommé Gournay, Jean-Jacques, de Torteval, a déjà comparu, une fois sur le banc des assises pour y répondre à une accusation de vol, le jury le renvoya absous, une seconde fois il a été condamné par le tribunal de Bayeux à 18 mois de prison. Gournay avait été au service des époux Moisson, a Saint-Jean-des-Essartiers. Un jour que Ies époux Moisson venaient de quitter leur domicile pour aller à Caumont, ils entrèrent dans une auberge pour se rafraîchir. Gournay, qui les avait vus se mettre à table, prend ses jambes à son cou et disparaît.

En rentrant chez eux, les époux Moisson, virent le carreau d'une fenêtre brisé et une armoire forcée, dans laquelle on avait dérobé 50 fr. Leurs soupçons se portèrent sur l'accusé que quelques personnes avaient vu dans la direction des époux Moisson. Et il arriva que les souliers de Gournay s'adaptèrent merveilleusement à des empreintes de pas reconnues auprès du domicile de Moisson.

L'accusé oppose un désaveu formel a toutes les parties de l'accusation.

Cependant le jury l'a déclaré coupable de vol avec escalade et effraction intérieure et extérieure, et la cour l'a condamné à sept ans de travaux forcés.  (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Septembre 1846   -   Nouvelles divers.   -   Le 16 juillet dernier, un vol de poules avait été commis dans la commune de Saint-Jean-des-Essartiers, au préjudice d'un sieur Achard et autres.

Le nommé Jean Marie auteur du vol de ces poules, qu'il avait exposées en vente sur le marché de Caumont, où il fut arrêté, a été condamné à la dernière audience correctionnelle, en 18 mois de prison. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Janvier 1862   -   Administration des Postes.   -   Les communes de Dampierre, la Ferrière-au-Doyen, les Loges et Saint-Jean-des-Essartiers, précédemment desservies par le bureau des postes de Mesnil-Auzouf, le seront, à l'avenir, par celui de Caumont-l'Eventé. ( L’Ordre et la Liberté )

 

Juillet 1864   -   Par arrêtés en date des 7 et 12 juillet.   -   M. le préfet du Calvados a nommé :

-        Maire de la commune de Longvillers, M. Lerichomme, adjoint, conseiller municipal, en remplacement de M. Labbé, non-acceptant.

-        Maire de la commune de Saint-Jean-des-Essartiers, M. Fortin (Jean), adjoint, conseiller municipal , en remplacement de M. Desrivières, démissionnaire.

-        Adjoint de la commune du Locheur, M. Gallot, conseiller municipal, en remplacement de M. Hubie, démissionnaire.

-        Adjoint de la commune de Saint-Jean-des-Essartiers, M. Lair, en remplacement de M. Fortin, nommé maire. (l’Ordre et la Liberté)

 

Juillet 1872   -  Les orages.   -  Les nombreux orages qui se sont déchaînés depuis quinze jours sur nôtre contrée ont fait de très grands dégâts.

La foudre est tombée sur plusieurs points, notamment dans les cantons de Condé, Saint-Pierre-sur-Dives, Aunay. A Saint-Germain-du-Crioult, elle est tombée sur la propriété de M. Olivier, où elle a tué trois moutons.

A Saint-Jean-des-Essartiers, canton d'Aunay, elle a mis le feu et consumé un corps de bâtiment à usage de grange et écurie, appartenant à M. Louis Fortin, propriétaire. La perte est évaluée à 9.285 fr. Tout était assuré.

A Saint-Pierre-sur-Dives, la foudre est tombée sur l’hôtel du Dauphin, rue de Falaise, elle a brisé plusieurs tuiles de la couverture et mis a nu le bois de charpente qui a pris feu aussitôt, quelques seaux d'eau ont suffi pour l'éteindre. Le fluide a démoli un peu du couronnement d'une des cheminées et brisé quelques vitres, dans une chambre, et, par un choc en retour, est allé briser une pierre de taille d'une cheminée eu face de l'hôtel, sur l'autre côté de la rue.

Ce qu'il y a de plus étonnant, c'est que la même détonation à produit à Berville, petite commune située à  4 kilomètres de Saint-Pierre une brèche au couronnement d'une des cheminées du presbytère, brisé des ardoises, pratiqué un large trou dans la couverture et cassé quelques carreaux de vitres dans une chambre, où on a perdu sa trace.

Samedi, le nommé Etienne Friley, journalier, âgé de 63 ans, domicilié à Sainte-Honorine-du-Fay, canton d'Évrecy, a été tué par la foudre, en se mettant à l'abri de l'orage sous un arbre.

 

Juin 1879   -  Secours et subventions.  -  Le gouvernement vient d'accorder 25 000 fr. pour achever les travaux d'assainissement de la Dives.   -   Des secours ont été accordés aux communes ci-après : Maisons, pour construction d'une école mixte, 600 fr.   -   Saint-Jean-des-Essartiers, pour restauration du presbytère, 600 fr.  -  Cesny-aux-Vignes, pour restauration de l’église, 500 fr.   -   Geffosses-Fontenay, pour acquisition d'un autel, 300 fr.   -   Saon, pour acquisition de mobilier à l'église, 300 fr.

 

Juillet 1879   -  Les pluies d’aujourd’hui et les pluies d’autrefois.  -  Dimanche dernier, on a lu dans toutes les églises une circulaire de Mgr  l'évêque de Bayeux ordonnant des prières publiques pour la cessation de la pluie. Il faut remonter à plus d'un siècle et demi, à 1725, pour trouver une année aussi pluvieuse que 1879.

En 1725, la pluie ne cessa de tomber trois mois durant, on fit également des prières publiques et on promena dans Paris la châsse de sainte Geneviève. La pluie cessa deux jours après.  Nous, sommes moins  heureux en 1879, car depuis que les prières publiques sont commencées, la pluie tombe de plus belle, sans aucun égard pour les circulaires et les prières épiscopales.

 

Juillet 1880  -  Un nouveau piége .  -  Le jour des élections, dans un des Saint-Jean de la Basse-Normandie, il est arrivé malheur à maître Zizi, père et maire de ses administrés. En glissant un bulletin, son doigt s'est trouvé pris dans le trou de l'urne électorale. Il avait beau tirer, le doigt s'étant gonflé, impossible de le dégager. On proposait d'ouvrir l'urne, mais Zizi s'y est opposé au nom de la loi qui défend de toucher à là boite du scrutin avant 6 heures du soir. Et, victime du devoir, il est resté ainsi, de deux à six, le doigt dans l'urne, qu'on ne désigne plus dans le pays que sous le nom de « piège électoral ».

 

Mai 1885  -  L'assassinat de Saint-Jean-des-Essartiers.  -  Nous avons parlé la semaine dernière de l'assassinat de Saint-Jean-les-Essartiers, où le sieur Anne, 32 ans, journalier, a été tué de deux coups de fusil dans un herbage. 

Les auteurs de ce crime sont les nommés Victor Marguerite, 37 ans, agent d'assurance, de réputation douteuse, qui a passé plusieurs fois en police correctionnelle et même en cour d'assise à Caen, où il a été acquitté.

Marguerite a eu pour complices les époux Lepoultier, petit propriétaires fort gênés, dont les immeubles viennent d'être saisis. Leur fille a passé en août dernier devant la cour d'assises de Caen, pour complicité de viol, et a été acquittée. Les Lepoultier et Marguerite se fréquentaient beaucoup. Ils étaient presque toujours ensemble. Le bruit public prétendait que la femme Lepoultier était la maîtresse de Marguerite, et que le mari ne l'ignorait pas. C'est à cause de cela, parait il, qu'a été organisé contre eux le charivari dont ils se sont vengés en tuant le sieur Anne. Enfin, le dernier inculpé est un journalier de 20 ans, Léon Denise, véritable vaurien, condamné l'an dernier à la prison par le tribunal correctionnel de Vire, pour coups à un marchand de statuettes en plâtre.

 

Mai 1885  -  L’Assassinat.  -  Nous avons parlé, la semaine dernière, de l'assassinat de Saint-Jean-des-Essartiers, où le sieur Anne, 32 ans, journalier, a été tué de deux coups de fusil dans un herbage. Les auteurs de ce crime sont les nommés : Victor Marguerite, 37 ans, agent d'assurance, de réputation douteuse, qui a passé plusieurs fois en police correctionnelle et même en  cour d'assises à Caen, où il à été acquitté. Marguerite a eu pour complices  les époux Lepoultier, petits propriétaires fort génés, dont les immeubles viennent d’être saisis. Leur fille a passé en août dernier devant la cour d'assises de Cean, pour complicité de viol, et a été acquittée, Les Lepoultier et Marguerite se fréquentaient beaucoup. Ils étaient presque toujours ensemble.  Le bruit public prétendait que la femme Lepoultier était la maîtresse de Marguerite, et que le mari ne l'ignorait pas. C'est à cause de cela, paraît-il, qui a été organisé contre eux le charivari dont ils se sont vengés en tuant le sieur Anne. Enfin, le dernier inculpé est un journalier de 20 ans, Léon Denise, véritable vaurien, condamner l’an dernier à la prison par le tribunal correctionnel de Vire, pour coups à un marchand de statuettes en plâtre.  

 

Janvier 1891  -  Un tonneau de cidre en guigné.  -  Pierre Barbe , propriétaire à Saint-Jean-des-Essartiers, avait vendu un tonneau de cidre à un débitant d'Évrecy. Mais, tout en buvant pour faire le marché, il avait oublié de demander le nom de son acheteur. Vite, il prend sa jument, l'attelle à sa carriole pour courir aux informations. Mais, pendant qu'il allume sa lanterne, la jument s'échappe on ne sait dans quelle direction. Tous les gens de la maison se mettent en campagne pour la retrouver. 

Peine inutile ! Pas de jument. Le matin, elle se retrouve, au village de Canteloup , tout près de la maison de son propriétaire. Le lendemain, on se mit en devoir de charger le tonneau de cidre pour le conduire à Évrecy.

Le neveu de Barbe était arrivé avec ses deux chevaux pour aider à en faire le transport, et les deux chevaux s'échappent. Après bien des recherches, on finit par les retrouver à Saint-Pierre-du-Fresne. Agacé par tous ces contre-temps, Pierre Barbe décida de remettre la livraison de son tonneau de cidre à des temps meilleurs,    après le dégel.  

 

Juillet 1900  -  Mort en demandant l'aumône.  -  Arthur Vavasseur, 59 ans, né à Falaise, raccommodeur de faïence, demandait la charité au presbytère de St-Jean-des-Essartiers, canton d'Aunay-sur-Odon, quand, tout à coup, il s'affaissa sur la chaussée. Peu d'instants après, il rendait le dernier soupir. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1903    -   L'escroquerie au prêt hypothécaire.  -  Joseph Barbey, aujourd'hui âgé de 35 ans, né à Saint-Côme-de-Fresné, canton de Ryes, après être resté près de neuf ans clerc de notaire à Crépon, monta un cabinet d'agent d'affaires.

N'ayant pas réussi, il fut déclaré en faillite en 1898. Peu de temps après, il trouvait une place de clerc de notaire à Saint-Martin-des-Besaces, arrondissement de Vire, où il resta peu de temps. Pour la seconde fois, il monta un cabinet d'affaires d'où il annonça, dans les journaux du pays d'Auge, qu'il avait des fonds à placer sur hypothèque. Après s'être fait verser des provisions variant de 40 à 60 fr., il ne répondait plus à ses malheureuses dupes.

Mais, ayant réclamé au sieur Denise, demeurant à St-Jean-des-Essartiers, 325 fr. pour frais d'enregistrement d'un acte qu'il conserva chez lui, ainsi que la somme versée par le sieur Denise pour être placée sur hypothèque, le parquet de Vire fit arrêter Barbey, qui a été condamné à huit mois de prison. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1904  -   Double chute.  -  A Saint-Jean-des-Essartiers, canton d'Aunay, le sieur Eugène Aubert, 25 ans, charpentier à St-Martin-des-Besaces, et Alfred Briard, 24 ans, soldat au 74e de ligne, à Rouen, en permission chez ses parents, travaillaient à une maison en construction. Comme ils se tenaient tous deux sur une planche placée à 8 mètres du sol, cette planche se rompit et ils furent précipités dans le vide.

Aubert eut de sérieuses contusions et des douleurs internes ; Briard resta évanoui, perdant beaucoup de sang et ayant les deux poignets brisés. On craint des complications. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mars 1915  -  Les braves.  -  M. Joseph Paulin, employé au service vicinal de Vire, parti comme sergent, a été promu adjudant et décoré de la médaille militaire ; M. Paul Challes, de Littry, adjudant au groupe cycliste à la 1er division de cavalerie, a été décoré de la médaille militaire.

Ont été cités à l'ordre du jour : Guillaume Leconquérant, de Pont-l'Evêque, soldat au 119e  ; Arnaud Leforestier, de St-Jean-des-Essartiers ; le caporal Théophile Paris, de Condé-sur-Noireau  ; Courceaux et Heublanc, soldats au 319e.

 

Avril  1919    -     Rejet de demandes de concessions de mines.   -   Par décret en date da 11 avril 1919, est rejetés les demandes de MM. Jean et Georges Hersent et Jules Drouet, Pierre Saint-Léger, en concession de mines de fer sur les territoires des communes de Jurques, Saint-Pierre-de-Fresne, La Ferrlère-au-Doyen, les Loges, Cahagnes. Saint-Jean-des-Essartiers, Dampierre, St-Ouen-des-Besaces, Brémoy, arrondissement de Vire, département du Calvados. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mars 1924  -  Incendie.  -  Le 12 mars, un incendie s'est déclaré dans un corps de bâtiment à usage de maison d’habitation et de hangar appartenant à M. Delphin Anthelme, âgé de 60 ans, propriétaire en la commune de Saint-Jean-des-Essartiers, village de Canteloup.
Malgré tous les secours qui furent apportés par tous les gens du village. Le feu ne peu être conjuré et en quelques heures, le bâtiment fut entièrement détruit, Les dégâts sont évalués a 80.000 francs environ.

 

Octobre 1936  -   Un fraudeur arrêté.  -  Entre Saint-Jean-des-Essartiers et Saint-Pierre-de-Fresne, près de Vire, les gendarmes ont arrêté un fraudeur, Emile Lebourgeois, cinquante-sept ans, bouilleur ambulant, à Saint-Jean-des-Essartiers, qui avait caché sous une couverture dans la voiture attelée qu'il conduisait, deux bonbonnes de 20 et 15 litres d'eau-de-vie. Il tenta de renverser ses bonbonnes, mais il en fut empêché. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Février 1939   -   On liquide à bon marché les gares du Calvados.   -  Le Conseil général du Calvados, par les soins de sa commission départementale, a fait procéder ces derniers temps, par adjudication, devant des notaires, à des ventes des gares de l'ancien réseau du chemin de fer du Calvados.

Jusqu'à présent, ces ventes ont produit la somme de 264 350 fr., et le détail s'établit de la façon suivante : Falaise-État, 51 .300 fr. : Falaise-route de Caen, 10 600 fr. ; Urville, 4 200 fr. ; Saint-Germain-le-Vassy, 14 800 fr. ; Fontaine-le-Pin, 4 500 fr. ; Gouvix, 4 500 fr. ; Ifs, 5 000 fr. ; Villers-Canivet, 4 300 fr. ;  Saint-Martin-de-Fontenay, 4 000 fr. ; Balleroy-Bourg, 6 000 fr. ; Balleroy-Pont, 7 000 fr. ; Saint-Loup-Hors, 10 100 francs ; Subies, 5 500 fr. ; Noron, 7 700 fr. ; Le Tronquay, 3 600 fr. ; Castillon, 5 000 fr. ; Planquery, 7 100 fr. ; Sully, 10 000 fr.; Commes, 10 500 fr. ; St-Vigor, 20 300 fr. ; Graye-sur-Mer, 24 000 fr. ; St-Jean-des-Essartiers, 7 000 fr. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Juin 1947  -    Un gamin qui promet.    Une fillette de 9 ans, demeurant à Saint-Jean-les-Essartiers, regagnait la domicile de ses parents quand elle fut abordée par un individu qui l’entraîna dans un herbage et se livra sur elle à des actes répréhensibles.

Les gendarmes ont retrouvé le satyre, un nommé L…… R……, 18 ans, qui a passé des aveux. Il a été écroué à la prison de Vire. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Juin 1947  -    6 juin, férié.    Le 6 juin a été officiellement déclaré jour férié pour les administrations publiques et les écoles du Calvados. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1949   -   Le Calvados à l'honneur.   -   Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération.

Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme.

Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division.

Arrondissement de Vire. 

Canton d'Aunay-sur-Odon : Aunay-sur-Odon(A) ; La Bigne (R) ; Cahagnes (D) ; La Ferrière-au-Doyen (R) ; Jurques (R) ; Les Loges (D) ; Ondefontaine (D) ; Le Plessis-Grimoult (R) ; Saint-Georges-d'Aunay (R) ; Saint-Jean-des-Essartiers (R) ; Saint-Pierre-du-Fresne (R). (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Mars 1949   -   Qui a empoisonné le chien ?   -   M. Victor Plessis, manœuvre, demeurant à Saint-Jean-des-Essartiers, à porte plainte pour empoisonnement de son chien d'une valeur de 10 000 francs. Près du corps de l'animal, M. Plessis a trouvé un morceau de pain sur lequel était étendue de la mort-aux-rats.

Ses soupçons se portent sur un voisin qui se défend d'être l'auteur de toute malveillance. (Source  : Le Bonhomme Libre)

SAINT-JEAN-des-ESSARTIERS (Calvados) -  Le Château et l'Étang

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