15 Avril 2025 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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ST - MANVIEU - BOCAGE |
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Canton de Saint-Sever-Calvados |
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Il
parait que dans un moment où il était seul dans son usine, il avait
voulu visiter ou réparer quelque chose dans le mécanisme, sans avoir
pris toutes les précautions nécessaires pour en arrêter le
mouvement. (Le Pilote du
Calvados)
Août
1843 -
Nouvelles locales. -
On nous communique un remède aussi sûr que prompt contre la
brûlure. Nous croyons utile de le faire connaître à nos lecteurs. On
prend une pincée de pousses de jeunes buis que l'on pile avec trois
blancs de poireaux, et on y ajoute une cuillerée d'huile d'olive. On
renferme ensuite le tout dans un linge bien blanc et on l'applique sur
la partie brûlée. Plusieurs personnes qui ont fait l'essai de ce remède, en ont obtenu les plus prompts et les plus heureux résultats. (source : L’Indicateur de Bayeux)
Septembre
1843 -
Nouvelles locales. -
Vire. M. Dubosc,
vicaire de St-Manvieux, près Campeaux, arrondissement de Vire,
disparut, le 10 de ce mois, de ce village, après avoir chanté les
vêpres ; depuis ce temps, et malgré d'actives recherches, on n'avait
plus entendu parler de lui, lorsque jeudi dernier on aperçut un homme
debout dans la rivière : on reconnut bientôt que ce n'était qu'un
cadavre, celui du malheureux vicaire. Ses jambes étaient chaussées de
bottes et recouvertes d'un pantalon, tandis que sa soutane et son
chapeau, dans lequel, selon les uns, se trouvé un bréviaire, et un
chapelet ; selon les autres, au contraire, une montre en or et une
bourse, étaient cachés à quelque distance au bord de l'eau. On ignore les causes de cette mort qui ouvre le champ aux conjectures les plus diverses. (source : L’Indicateur de Bayeux)
Juillet 1852 - Les Orages. - Les derniers orages ont causé, dans une partie du département, de graves dommages aux récoltes. On cite comme ayant principalement souffert les communes suivantes : Valcongrain, Courvaudon , Cauvicourt, Saint-Sylvain, Saint-Germain-le-Vasson, Bretteville-le-Rabet, Villers-Canivet, Ussy , Meslay, Aubigny, Versainville, etc… A Vire, la foudre est tombée, dans la nuit de lundi à mardi, vers deux heures, en la commune de Saint-Manvieu, au village de Lerocher-Villedieu, et a mis le feu à un corps de bâtiment appartenant au sieur Jean-François Launay, de Sept-Frères, occupé par les sieurs Bouvy, cultivateur, et Quillard, sabotier. La
perte approximative causée par le feu du ciel est de 3 800 fr. pour le
propriétaire, 1 500 fr. pour le sieur Bouvy, et 215 fr. pour le sieur
Quillard. Rien n'était assuré. (source : L’Indicateur de
Bayeux)
Février
1868 -
Une inspection. -
Il sera procédé, à compter du 15 mars prochain, à
l'inspection de tous les chevaux, juments
et mulets de trait de l'armée en dépôt chez les cultivateurs.
Chaque
circonscription sera inspectée par un officier d'artillerie ou du train
des équipages militaires, assisté d'un vétérinaire ou d'un maréchal
ferrant. Les
cultivateurs seront prévenus par la gendarmerie, au moins quatre jours
à l'avance, du jour, de l'heure, de la localité où ils seront tenus
de présenter eux-mêmes les animaux. Les
animaux qui, pour cause de maladie, seul motif de dispense, ne seront
pas amenés aux lieux indiqués, seront visités sur place
par la gendarmerie.
Mai
1868 -
Le climat. -
L'élévation de la température qui n'a cessé de régner
pendant la majeure partie du mois qui se termine, est un événement
assez rare dans nos climats, où la chaleur n'atteint son maximum que
vers le mois de juillet. Voici
à cette occasion la nomenclature des plus fortes chaleurs observées
depuis un siècle et demi : En
1702, le thermomètre monta à 39 degrés centigrades au dessus
de zéro. En
1753 et 1793, à 38 degrés. En
1825, à 37 degrés. En
1800 et en 1830, à 36 degrés. La
moyenne de la chaleur des étés et de 30 degrés. Cette moyenne à
presque été atteinte dans la dernière quinzaine de mai 1868.
Septembre
1888 -
La foudre. - Le
tonnerre est tombé sur
la maison du sieur Victor
Néel, cultivateur à Saint-Manvieu, au village du Montmirel. Entré par
la cheminée, il est ressorti par un trou placé près de la
crémaillère. Deux poules ont été tuées. Mme Néel et son enfant de
trois mois ont été légèrement atteints.
Octobre
1888 -
Les machines à battre. -
Jeudi
soir, le nommé Despois, cultivateur à St-Manvieu, près Vire, voulant
faire glisser plus rapidement une botte de sarrasin dans le tambour
de la machine, a eu la main gauche broyée. Il a fallu amputer le bras.
Avril
1891 -
Mort accidentelle. -
La
semaine dernière, le nommé Houssin, domestique chez le sieur Legrix,
minotier à St-Manvieu, près St-Sever, revenait de Sourdeval avec sa
voiture chargée de grains. En tournant dans la cour du moulin, un
brancard le heurta si violemment que le malheureux tomba et une des
roues de la voiture lui passa sur le corps. Une heure après, il
expirait.
Octobre
1891 -
Découverte d’un cadavre.
-
Le cadavre du
sieur François Pascal, ouvrier carrier à Saint-Manvieu, près Vire, a
été trouvé dans un bois de St-Sever, dans un état de putréfaction
très avancé. Cet homme, qui avait disparu de son domicile depuis le 27
août dernier, s'est pendu. Il avait attaché la corde à une branche
d'arbre, mais
Mars
1893 -
Incendie. -
A St-Manvieu, près
St-Sever, incendie d'un
bâtiment à usage d'habitation et de magasin à fourrages appartenant
au sieur Lebouyier et à la veuve Bigot,
habité par les sieurs Anne et Lefranc, journaliers. Pertes, 8 100 fr.
(Source : Le Bonhomme
Normand)
Décembre
1893 -
Un nouvelle hercule.
-
L'Hercule
de l'antiquité, célèbre par ses douze travaux, a un émule : c'est le
secrétaire de la mairie de Saint-Manvieu, car il fait l'ouvrage des
douze conseillers municipaux de la commune, en rédigeant, avant les
séances, les délibérations que ces messieurs n'ont plus qu'à signer.
La commune va-t-elle élever une statue à cet Hercule moderne ?
(Source : Le Bonhomme
Normand)
Janvier
1901 - Accident mortel. -
Le sieur Lehoc a
été trouvé mort à Saint-Manvieu, près Saint-Sever. On suppose que
le malheureux s'est tué en tombant de sa voiture. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Septembre
1901 - Suicide. -
On a Trouvé pendu dans la grange du sieur Néel, cultivateur
à Saint-Manvieu, près Saint-Sever, chez lequel il avait demandé
l'hospitalité pour la nuit, le sieur François Souflais, 47 ans,
rémouleur, sans domicile. La misère a dû pousser ce malheureux à se
suicider. (Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre
1903 - Du danger se se lier trop facilement. - Un
sieur Victor Leplanquois, taupier à Saint-Manvieu, près Vire, s'était
rendu à une foire voisine pour vendre deux moutons. Il fut accosté par
un individu auquel il paya à boire et qui ne le quitta pas de la
journée. Le soir venu, l'inconnu proposa de reconduire Leplanqttois
chez lui, sous prétexte d'acheter plusieurs de ses moutons. Arrivé
près de Clinchamps, l'inconnu flanqua une poussée à Leplanquois, qui
tomba sur un tas de pierres ; puis, profitant de son étourdissement, il
lui enleva son porte-monnaie contenant 103 fr. et prit sa course du
côté de Vire. (Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre
1905 -
Saint-Manvieu-Bocage. -
Un
décret récent attribue à la commune de St-Manvieu (Calvados, canton
de St-Sever, arrondissement de Vire), le nom de 8t-Manvieu-Bocage.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1916 - Au champ d’honneur. - M. Ernest Fouquet, demeurant à Saint-Manvieu-Bocage, est tombé au champ d’honneur le 26 septembre 1915. Nos condoléances à la famille.
Mars
1917 -
Un mort inconnu. -
Un
individu, âgé d'une
cinquantaine d'années et paraissant déséquilibré, avait demandé
l'aumône chez M. Desmonts, propriétaire à Saint-Manvieu, canton
de Saint Sever. Le lendemain, on trouvait son cadavre dans un herbage
voisin. On croit qu'il a succombé à une affection cardiaque. On n'a pu
établir
Août 1921 - Dramatique suicide. - D'un caractère taciturne, en proie, depuis quelque temps, à la manie de la persécution, M, Albert Lepetit, 42 ans, propriétaire, vivait seul dans un immeuble, situé au milieu d'un plant à St-Manvieu-Bocage, canton de Tilly. Un soir un voisin, M. Hodey, se disposait à se coucher quand il vit la toiture de la maison de Lepetit en flammes. Il courut sur les lieux et appela le propriétaire, qui lui répondit de l'intérieur. « Oh ! oh ! ». M. Hodey défonça les contrevents à l'aide d'un madrier. Aussitôt Lepetit sortit par l'ouverture, et vint tomber aux pieds de son voisin. Il portait une large blessure à la gorge. M. Hodey plaça le blessé au pied d'un pommier et le quitta pour s'occuper de l'incendie qui menaçait de s'étendre jusque chez lui. Lorsqu'il, revint peu de temps après, Lepetit. avait disparu. Toutes les recherches faites pour le retrouver furent inutiles. Il est à croire que dans un accès de folie, Lepetit a mis le feu à sa maison et qu'il est allé mourir dans quelque coin. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1923 - Un demi fou. - Le village de Montmirel, en Saint-Manvieu est souvent le théâtre de scènes qui troublent la tranquillité de ses habitants et donnent à craindre ces derniers pour leur sécurité. Le fils M…. donne des signes d'aliénation mentale. Lorsqu'il a bu il devient dangereux et méchant, menaçant ses voisins de mettre le feu à leurs bâtiments. On craint toujours qu'il ne mette ses menaces à exécution et des démarche vont être faites pour, que le malheureux dément soit interné.
Novembre
1923 -
Exploits de deux jeunes employés de ferme. - Voici
dans quelles
circonstances fut commis au préjudice de la
dame veuve
Poupinel, le
vol d'eau-de-vie
et d'argent. Rentrée
chez elle,
la dame
Poupinel s'aperçut
immédiatement du
vol dont
elle était
victime. Aussitôt
prévenu, l'aspirant
officier, M.
Baratier, chef
des brigades
de gendarmerie
de
l'arrondissement de
Vire, envoya
pour enquêter
sur cette
affaire MM.
Letenneur
et Hergniaux,
gendarmes à
Vire, qui eurent
tôt fait
de découvrir
les coupables. Ceux-ci se déclarèrent d'abord innocents de l'inculpation qui pesait sur eux, mais habilement cuisinés ils finirent par avouer, après avoir toutefois déclaré que le sieur Jamet était au courant de leur vol. Jamet a été laissé en liberté provisoire.
Décembre
1937 - Un
nouveau circuit de poste automobile rurale. -
L'Administration
des P.T.T. mettra en service, au mois de mars 1938, dans la région
Vire-Saint-Sever, un circuit de Poste automobile rurale qui
desservira les communes ci-dessous : Saint-Martin-de-Tallevende ; St-Manvieu-Bocage ; Mesnil-Caussois ; Mesnil- Clinchamps ; Mesnil-Robert ; Campagnolles ; Coulonces, Maisoncelles-la-Jonrdan, Roullours, Vaudry. Des
postes de correspondants postaux et de distributeurs communaux seront
créés dans chacune des localités visitées. Les personnes résidant dans la partie agglomérée de la commune et désireuses de se voir confier l'un ou l'autre emploi, sont invitées à faire acte de candidature en adressant leur demande sur papier libre, à M. le Directeur des Postes, à Caen. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1938 -
Un
nouveau circuit de la poste automobile rurale.
- L'administration
des Postes informe les
habitants des communes ci-après : Mesnil-Benoît, St-Manvieu-Bocage, Mesnil-Caussois,
Mesnil-Clinchamps, Mesnil-Robert, qu'un circuit de poste automobile
rurale desservant leur localité sera mis en activité le 16 mars 1938. Les correspondances destinées à chacune de ces communes, devront, à partir du 15 mars, porter la mention : « par Vire P.A.R. » et non plus « par Saint-Sever » ou « par Landelles » comme actuellement. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Juillet
1938 -
Dans
un carré de choux le cadavre d’un nouveau-né.
- Depuis
le 4 juillet, M. Eugène Bréard, cultivateur à St-Manvieu-Bocage,
avait à son service une
servante nommée Suzanne Frémont, âgée de 22 ans, dont la mère
habite Beauficel (Manche). Vendredi,
M. Bréard alla au marché de Vire et laissa seule à la ferme sa bonne.
A son retour, vers 14 heures, sa domestique lui apparut, alors qu'elle
était dans le jardin, toute pâle
et pouvant à peine marcher. Il s'inquiéta mais, à toutes les
questions qui lui furent posées, elle répondit négativement. Ne
pouvant venir à bout de l'entêtement de la jeune bonne,
M. Bréard parla d'appeler un médecin de Vire. Alors, cette fois, la
domestique dit qu'elle allait se rendre à bicyclette chez sa mère.
M.
Bréard, qui se rendait parfaitement compte que sa bonne ne pouvait
faire à bicyclette le long trajet, résolut de la reconduire à
Beauficel en auto. Mais,
avant de partir, elle prit une bêche sous une remise et se rendit au
jardin légumier de son patron. M. Bréard fut de retour à la ferme
vers 20 heures, mais, intrigué par la visite qu'avait faite la
domestique au jardin légumier, il s'y rendit et vit, entre deux rangs
de choux, la terre remuée sur une longueur de 40 centimètres environ.
A une profondeur de 30 centimètres environ, il mit à découvert
le cadavre d’un nouveau-né.
Janvier
1939 -
La mère criminelle de Saint-Manvieu-Bocage est condamnée à 2
ans de prison - L'interrogatoire
de Suzanne Frémont a révélé l'indigence intellectuelle et morale de
la prévenue qui, malgré les efforts de son défenseur Me Préel. s'obstine à nier son crime. Les
témoignages des médecins sont pourtant formels. Une dizaine de
témoins sont entendus et tous les anciens patrons de l'accusée
affirment qu'elle ne fut jamais une fille de bonne
conduite, mais qu'elle travaillait dur et qu'elle était honnête. Habilement
défendue par Me Préel,
la fille Frémont a été condamnée
à deux ans de prison. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Avril
1941 -
Au feu ! - Samedi
dernier vers 18 h., Mme Veuve Houssin, de Saint-Manvieux-Bocage, se
trouvait dans son jardin, quand elle vit des flammes sortir de la maison
de son beau-frère, M. Émile Houssin, cultivateur. Les
pompiers de Vire furent aussitôt alertés et parvinrent à
maîtriser le feu. Néanmoins, les dégâts sont élevés. M. Houssin a
perdu tout son mobilier, et 80 000 francs en titres et billets de
banque. On ignore les causes de l'incendie.
Juillet
1941 -
Cinquantenaire
sacerdotal. -
Dimanche
29 Juin,
avait lieu
la cérémonie
de la
Communion
solennelle, prêchée
ainsi que
la retraite
préparatoire par
M. l'abbé
Le Thorel,
curé de
Coulonces. Avant
le
Salut, M.
l'abbé Porquet,
aumônier de
l'Institut St-Jean-Eudes
de Vire,
dit les
grandeurs
du Sacerdoce,
les bienfaits
du ministère
sacerdotal, évoquant
ces cinquante
années de
la vie
de M.
l'abbé Félix
Leconte, né
dans la
Manche, à
Guilberville, il
vint tout
jeune dans
le Calvados
à Pleines-Oeuvres.
Août
1945 - Plainte a
été portée. -
Par Mme Vve Roussin, cultivatrice à Roullours, pour vol d’une
bicyclette et d’un équipage moins le collier. Par
Mme Raymond Catherine, cultivatrice à Campagnolles, pour pillage de sa
maison pendant l’exode. Par
M. Marcel Durand, cultivateur à St-Manvieu-Bocage, pour vol d’un
harnais Par
M. Fernand Provost, agent des P.T.T. à Vaudry, pour détérioration d’un
câble téléphonique reliant St-Germain-de-Tallevende. Par M. André Marie, cultivateur à Ste-Marie-Lauront, pour vol de sa bicyclette. (Source : Le Bonhomme Libre)
Octobre 1948 - L'installation de M. le curé de Saint-Manvieu-Bocage. - C'est dans l'allégresse que la population de Saint-Manvieu a accueilli son nouveau curé M. l'abbé Giraud. Dans l'église joliment décorée, les cérémonies se déroulèrent sous la présidence de M. le chanoine Aubrée, curée-doyen de Notre-Dame de Vire. Au cours de la messe, M. le chanoine Paul, curé de Saint-Julien de Caen, fit un délicat éloge de son ancien vicaire. Lors du banquier qui suivit et auquel assistaient les membres du Conseil municipal, les représentants du Conseil paroissial de Saint-Julien de Caen, de la municipalité de Saint-Martin-de-Tallevende et du Comité des fêtes de Saint-Manvieu, M. de Petitville, Conseil Général du canton de Saint-Sever se fit l'interprète de tous auprès du nouveau pasteur. Une
foule aussi nombreuses que le matin assista au chant des vêpres suivis
d'une imposante procession durant laquelle furent bénis deux calvaires
restaurés. (Source : Le Bonhomme Libre)
Après
quatorze heures d'efforts, les pompiers de Vire, sous le commandement du
capitaine Stentelaire, ont réussi à circonscrire le fléau qui a
détruit deux granges et de charretteries, couvertes en chaume, 900
gerbes de blé, 800 d'avoine, 1 000 d'orge et 30 000 kilos de foin, une
machine à battre et du matériel divers. Les dégâts atteindraient 3
millions. (Source : Le Bonhomme Libre)
Novembre
1948 -
Y a des loups. -
Un chien errant a mis à mal dans un herbage, à
Saint-Manvieu-Bocage, deux moutons appartenant à M. Lucien Lefrançois
; des bêtes du troupeau de M. Renard ont subi le même sort.
(Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1949 -
Le Calvados à l'honneur.
- Enfin
! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un
nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir
discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours
des combats pour la libération. Voici
l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en
espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt
ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les
lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R
: régiment ; D : division. Arrondissement
de Caen
Canton de Tilly-sur-Seulles. - Tilly-sur-Seulles (D) ; Brouay (R) ; Cheux (R) ; Cristot D) ; Fontenay-le-Pesnel (D) ; Grainville-sur-Odon (D) ; Juvigny (R) ; Le Mesnil Patry (R) ; Mondrainville (R) ; Norrey-en-Bessin (R) ; Rots (R) ; Saint Manvieu (R) ; Saint-Vaast-sur-Seulles (R) ; Tessel (R) ; Vendes (R). (Source : Le Bonhomme Libre) |
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SAINT-MANVIEU (Calvados) - Vue du Bourg |
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