Octobre
1926
- Et la lanterne. -
M.
Eugène Victoire,
journalier à Saint-Paul-du-Vernay,
a été
rencontré il
y a quelques
soirs par
les gendarmes
de Balleroy,
alors qu'il
circulait à
bicyclette
dépourvu de
lanterne. Cet
oubli lui
a valu
un procès-verbal.
Juillet
1929 -
Un gamin de sept ans brûle la maison de sa mère.
-
Un gamin de sept ans, le petit André Philippine, de
Saint-Paul-du-Vernay, profitant que sa mère était repartie à son
travail après leur avoir préparé leur dîner, est monté avec son
frère, âgé de 6 ans, au grenier situé sur la grange pour prendre un
jeune chat.
Pour
s'éclairer il avait pris une allumette qu'il jeta ensuite dans le foin.
Instantanément le feu envahit le grenier, brula le foin et la toiture
en chaume, même celle de la maison.
Mars
1930 -
Vol avec effraction. -
Brisant
le carreau d'un cabinet, un voleur pénétra en leur absence chez les
époux Yvon, journalier en cette commune. La maison a été
complètement bouleversée et une somme de huit francs dans un
porte-monnaie a disparu. Des traces de bicyclette ont été relevées
dans la cour. Une enquête est ouverte . (Source : L’Indicateur
de Bayeux)
Janvier
1932 -
A éclaircir. -
Dans la nuit, un incendie s'est déclaré à Saint-Paul-du-Vernay,
canton de Balleroy, dans le grenier d'une étable que M. Simon, greffier
de Paix à Bayeux, avait loué à Mme Veuve Dubosq, cultivatrice.
La toiture a été consumée ainsi que 800 bottes de foin, et deux
jeunes veaux brûlés vifs.
Les
pertes de Mme Dubosq s'élèvent à 3000 francs. On recherche un
domestique fortement soupçonné d'avoir mis le feu.
Janvier
1932 -
Un chemineau met le feu à une étable.
- Dans
la nuit du 18 au 19 décembre, le feu éclatait dans une étable, à
Saint-Paul-du-Vernay. Dés le début de l'enquête, il apparut aux
enquêteurs que la cause du sinistres était due à la malveillance. Les
soupçons se portèrent sur un individu, qui avait été vu roder la
veille au soir dans les environs.
L'enquête
permit de l'identifier. Il s'agirait de Larsonneur Désiré, sans
domicile fixe, né à Caumont-l'Eventé. Les recherches faites sur le
moment pour découvrir cet individu furent vaines.
La
gendarmerie de Caumont, apprenant que Larsonneur rôdait dans les
environs, put l'appréhender.
Larsonneur,
interrogé sur l'emploi de son temps dans la nuit du 18 au 19 décembre
1931, commença par essayer de se créer un alibi. Mais, confondu par
les enquêteurs, il se décida à faire les déclarations suivantes : Il
a prétendu qu'étant entré dans l'étable pour se reposer, il s'était
endormi après avoir allumé une cigarette et que, quelque temps après,
il avait été réveillé par l'odeur de la fumée. Aussitôt, il
s'aperçut que le feu était dans une botte de paille placée près de
lui. Et, malgré tous ses efforts pour l'éteindre, le feu prit,
rapidement des proportions telles qu'il ne put faire sortir les vaches
se trouvant dans l'étable.
Devant les conséquences de son acte involontaire, Larsonneur
prit la fuite dans la direction de Bayeux. Il a été laissé en
liberté. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1933 - Les routes peu sûres. -
L'autre dimanche, vers 21 h.,
un cycliste, M. Albert Marie, carriers à Saint-Paul-du-Vernay, rentrant
de Balleroy, par la route a buté, prés de Planquery, dans une corde
tendue en travers de la route et tenue par deux individus. M. Marie
tomba et fut aussitôt terrassé par un troisième larron. Fort
heureusement, l'arrivée d'une auto mit les agresseurs en fuite.
Le
même soir, à six kilomètres de là, sur la route de Planquery à
Cormolain, M. Alfred Aubraye, 22 ans, domestique chez M. Saint, a
été accosté par deux malfaiteurs, au lieu-dit Pont-Hébert, qui l'ont
fouillé et lui ont pris son porte-monnaie contenant 63 francs.
L'enquête
n'a pas encore donné de résultats, les plaintes étant parvenues trop
tardivement à la gendarmerie.
Février
1938 -
La Médaille de la famille française.
- La
médaille de la Famille Française est décernée, en témoignage de reconnaissance nationale,
aux
mères
de famille dont
les
noms suivent :
Médaille
d'or.—
Mmes Gérard Henri, à
Lisieux, 10 enfants ; Le Marois Paul, à Saint-Paul-du-Ve rnay,
13
enfants
; Vaquet
Maurice,
à
Bavent.
10
enfants.
Médaille
d'argent.
— Mmes Bertrand André, à Meslay, 8 enfants ; Blais Georges,
à
Epaney,
9
enfants ; Boillot Albert, à Lisieux, 8 enfants ; Chauvin Albert, à Grentheville, 8 enfants ; Dubosc Louis, à Courvaudon, 8 enfants ; Fabius Léon, à Saint-Himer, 8 enfants ; Grandin Marcel,
à
Lisieux,
8
enfants, Marie Aimé,
à
Vaux-sur-Aure, 8 enfants ; Marie Arsène, à Estry, 8 enfants ; Richard Louis, à Putôt-en-Bessin, 8 enfants ; Savary Maurice, à la Folie. 8 enfants. (source le M. du C)
Mars
1940 -
Elle
volait sa bienfaitrice.
-
Bien que
profitant des
largesses de
Mme veuve
Aubraye, route
de Balleroy,
qui lui
venait en
aide pour
adresser des
colis à son
mari mobilisé,
la femme
Lemagnan
Louis, née
Clémentine Martin,
20 ans,
demeurant au
même lieu,
n'a pas
hésité à
la voler
à plusieurs reprises.
Il
y
a quelque
temps, en
effet, à
la suite
d'une visite
de la
femme Lemagnan,
Mme Aubraye
constata la
disparition de
son porte-monnaie
contenant 70
francs et
d'un chapelet
de contenant
70 francs
et d'un
chapelet
de valeur.
Le porte-monnaie
fut retrouvé
dans un
herbage et
le chapelet
également mais
il était brisé.
Ces jours
derniers, Mme
Aubraye
avait déposé
sur la
table de
sa cuisine
un billet
de 1.000
fr. destiné
à payer des
acquisitions qu'elle
venait de
faire. Pendant
qu'elle se
rendait dans
une autre
pièce, la
porte de
la cuisine
étant demeurée
entr'ouverte, le
billet de
1.000 francs
disparut.
Devant
ce fait,
Mme Aubraye
avisa les
gendarmes de
Balleroy qui
procédèrent a
une enquête.
A la
suite de
diverses investigations,
ils acquirent
la certitude
que la
voleuse était
bien la
femme Lemagnan
et se
rendirent à son
domicile.
Ils la
trouvèrent au
milieu d'étoffes
et d'objets
divers qu'elle
était allé
acheter au
marché de
Bayeux. Questionnée
sur ses
ressources
et leur
utilisation, elle
s'embrouilla dans
ses comptes
et force
lui fut
bientôt d'avouer
qu'elle était
bien l'auteur
du vol.
Elle
avait écorché
le billet
de 1.000
francs, sur
lequel il
ne lui
restait plus
que 325
francs, qu'elle
restitua à Mme
Aubraye, ainsi
que ses
achats. Elle
sera néanmoins
poursuivie.
Février
1941 - Il était temps !
- A Saint-Paul-du-Vernay M. Camille Godefroy, 63 ans, ouvrier
agricole, s'était l'autre jour endormi devant sa cheminée. Il fut
soudain tiré de son
sommeil par une douleur aiguë. Le feu avait pris à sa manche.
Avant
que le vieillard ait pu éteindre les flammes, il avait été
grièvement brûlé. Un médecin appelé ordonna son transport à
l'hôpital de Bayeux.
Mai
1941
- Avis à la Population.
- La
Feldkommandantur du Calvados rappelle à la population que toute
personne découvrant soit sur la voie publique, soit dans une propriété
privée des objets ou imprimés suspects, tels, par exemple, que des
tracts jetés par avion, doit en faire la remise à l'autorité
militaire allemande la plus proche.
Août
1941
-
Fin solitaire.
- A
St-Paul-du-Vernav, M. Léonce Osmont, 73 ans, sans profession, vivait
depuis quelque
temps séparé de sa femme et habitait seul dans une bâtisse isolée.
Passant
l'autre jour près de celle-ci, la femme Osmont, surprise par des odeurs
putrides, entra et trouva sur le sol le cadavre de son mari en de
composition presque totale. Le
pauvre homme avait succombé des suites d'une longue
maladie.
Octobre
1942 -
Destruction des pigeons.
- Conformément
à l'ordre donné par les autorités allemandes, il est rappelé aux
propriétaires de pigeons que tous les pigeons de toutes espèces
(pigeons domestiques, pigeons d'agrément et pigeons voyageurs) doivent
être sacrifiés. Faute de déférer à cet ordre les possesseurs de
pigeons s'exposeraient à des sanctions très sévères.
Octobre
1942 -
Fait divers.
- Après effraction,
des voleurs sont entrés dans l'église de Saint-Paul-du-Vernay, ont
forcé les portes de quatre armoires et celle de deux tabernacles.
Entre
autres objets du culte, un calice et un ciboire ( préalablement vidé
de ses hosties) ont été emportés.
(Bonhomme Normand)
Avril
1943 - Un
incendie -
Un violent incendie s'est déclaré dans la forêt de
St-Paul-du-Vernay, en bordure de la route de Noron-la-Poterie et a
détruit une dizaine d’hectares
de taillis
appartenant à M. le duc d'Harcourt. Plusieurs heures d'efforts ont
été nécessaires aux pompier de Bayeux et de Balleroy pour
circonscrire le sinistre dont, on ignore les causes.
Juin
1943 -
Un drame du rail.
- Un tragique
accident, dû à l'imprudence de ses victimes, s'est produit l'autre
soir, près du passage à niveau de Ranchy sur la ligne
Paris-Cherbourg : Là, les requis de St-Paul-du-Vernay se trouvaient
rassemblés pour casser la croûte. Deux d'entre eux, Albert Duchemin,
22 ans et André Lemerre, 21 ans, s'étaient installés, le premier
assis sur un rail et le second debout entre les rails.
A
cet endroit, là visibilité est bonne jusqu'à 250 mètres, mais les
deux imprudents étaient occupés à regarder un train de marchandises
passant sur l'autre voie, quand survint,
à 100 kms à l'heure, un train venant de Cherbourg. Le chef du secteur
apercevant tout à coup le convoi voulut avertir les requis. Mais il
était trop tard ! M. Duchemin fut
happé par le chasse-pierres de la locomotive et projeté à 13 mètres,
et M. Lemerre
par le tablier de la machine et projeté à 31 mètres.
Les
deux malheureux furent tués sur le coup. Le mécanicien du convoi qui
s'était aperçu de l'accident et, avait signalé l'approche du train
par un coup de sifflet, arrêta celui-ci a 300 mètres plus loin.
Les corps furent portés à la morgue de Bayeux, tandis que les familles
étaient prévenues, avec tous les ménagements d'usage, du malheur qui
les frappait.
Janvier
1945 -
Mort tragique d’un journalier.
-
M.
Anne, journalier, à Saint-Paul-du-Vernay, conduisait une voiture
lorsque le cheval s’emballa. Il tenta de le maîtriser, mais
une secousse
le projeta hors du véhicule dont les roues lui passèrent sur le corps.
Relevé quelque temps plus tard, M. Anne put indiquer les circonstances
de l’accident, peu après, il succombait de ses blessures.
(source : Le Bonhomme Libre)
Août
1945 - De
fêtes en fêtes.
- De
grandes kermesses seront organisées au profit des prisonniers, dimanche
2 septembre, à Saint-Germain-du-Pert et à Vaux-sur-Aure. Le 9 septembre
se tiendra à Saint-Paul-du-Vernay, la
grande assemblée Saint-Georges, le même jour à Barbeville-Cussy,
courses de chevaux dotées de nombreux prix.
(source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1945 -
Automobilistes et motocyclistes attention !
-
Bon nombre d’automobilistes
persistent à utiliser leur véhicule les dimanches et fériés pour la
promenade. A l’heure où les services essentiels à la vie du pays
manquent de carburant, de tels faits ne peuvent être tolérés. La
suspension de l’autorisation de circuler ou la réquisition du
véhicule autorisé a déjà sanctionné ces infractions. Le préfet
rappelle que des sanctions sans appel continueront à être prise contre
les contrevenants. (source
: Le Bonhomme
Libre)
Juin
1945 -
Macabre découverte. -
En allant traire, Mme Pucel,
cultivatrice à Gérou, a découvert pendu a une branche de pommier, à
l’aide d’un fil électrique, le cadavre de M. André Mathieu, 27
ans, demeurant à Saint-Paul-du-Vernay.
(source
: Le Bonhomme Libre)
Septembre
1945 -
Imprudente jeunesse. -
Cinq
jeunes gens de St-Paul-du-Vernay : Jules Després, Émile Lénault
et les trois frères Holopherme, parcouraient les bois de la commune
pour récupérer de la poudre à munitions abandonnée. Au cours de ce
dangereux travail, l’éclatement d’un obus à ailettes que Lénault
manipulait avec des tenailles, a grièvement blessé Régis
Holopherme qui a été hospitalisé à Bayeux.
(source
: Le Bonhomme Libre)
Mai
1946 -
Crise municipale. -
Pour
protester contre l’impuissance des pouvoirs publics à approvisionner
en farine le boulanger de la commune,
prisonnier, rapatrié, alors
que ses confrères des environs continuent à servir leur clientèle, la
municipalité de Saint-Paul-du-Vernay à démissionné. (source
: Le Bonhomme Libre)
Août
1947 -
Déchiqueté par un engin de guerre.
–
A Nonant, un journalier originaire de Saint-Paul-du-Vernay, M.
Pierre Jeanne, 60 ans, qui brûlait des broussailles pour le
compte de M. Dastin, cultivateur, a été tué par l’explosion d’un
engin de guerre. Le corps du malheureux, horriblement mutilé, fut
découvert par les enfants Driaux qui s’empressèrent
d’aviser le maire de la commune. Les services de déminage se sont
rendus sur les lieux pour s’assurer qu’il n’existe pas d’autres
explosifs dans les parages. (source : Le Bonhomme Libre)
Août
1947 -
Le temps qu’il a fait. –
Voilà au moins des « postvisions » qui n’amèneront
aucun sourire sur les lèvres des habituels détracteurs de la
météorologie et que nous garantissons avec les savants observateurs de
la station de l’O.N.M. de Vire.
Le
Bocage n’a pas été épargné par la canicule. Durant la semaine
particulièrement chaude du
11 au 18 août, on a enregistré 28, 27, 32, 33, 34, 35, 30 et 31
degrés.
La
température 35° enregistrée la samedi 16 août constitue le record de
l’année. La hauteur de l’eau tombée au cours de l’orage de l’après-midi
de ce jour s’est élevée à 325 mm., la plus forte dose enregistrée
en 24 heures depuis le 1er février 1946, date de remise en
service de la station. (source : Le Bonhomme Libre)
Décembre
1947 -
Un beau tableau de chasse. -
Au cours d’une battue organisée dans les bois de
Saint-Paul-du-Vernay, six sangliers ont été abattus et quatre autres
mortellement blessés. Un solitaire de 300 kilos a été tué par M.
Maurice Jacqueline.
(source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1948
-
Deux accidents du travail.
-
M. Henri
Lebel, 54 ans, ouvrier agricole au service de M. Louis Lainé, à Cairon,
a été pris sous une benne contenant 1 m3 de
cailloux. Atteint de blessures assez sérieuse au front et d'une
fracture aux omoplates, le blessé a été transporté à l'hôpital de
Bayeux.
-
Un cultivateur de Saint-Paul-du-Vernay, M. Kerleaux, qui
travaillait autour d'une machine, a eu la première phalange de l'index
droit arrachée par une courroie. (Source : Le Bonhomme Libre)
Septembre
1948
-
Le meeting aérien de Saint-Paul-du-Vernay.
-
La fête d'aviation organisée dimanche à Saint-Paul-du-Vernay,
a remporté un succès qui aura sans doute dépassé les espérances de
son organisateur, M. le curé de la paroisse.
Rien
ne fut oublié, pas même le soleil. Aussi dès le matin y eut-il foule
sur le terrain d'aviation pour assister
à la messe en plein air célébrée avec le concours de « La
Patriote de Saint-Paul ».
L'après-midi,
près de 3 000 personnes stationnèrent aux abords de la piste de plus
d'un kilomètre où les appareils allaient prendre leur envol pour
donner à tire d’ailes de nombreux baptême de l'air. Jamais le
dévoué pasteur n'avait compté tant de néophytes.
Trois
Piper-Club, un Caudron C-128 et un Norécrin d'une valeur de 2 millions
et demi appartenant à M. Vauvrecy, minotier à Montigny, s'efforcèrent
de donner satisfaction à tous. Hélas, il fallut refuser du monde. Les
malchanceux oublièrent leur malheur en se divertissant à la kermesse
fort bien achalandé.
Le
colonel Livry-Level, député, avait tenu à présider cette journée.
On nota aussi la visite de M. Bazire, maire de Saint-Paul-du-Vernay et
de son collègue, M. Garnier, maire de Cahagnolles. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Février
1949
-
Une fillette tombe d'une carriole.
-
En compagnie
de sa fille, Colette, 5 ans, M. Malherbe, de Saint-Paul-du-Vernay,
circulait en voiture hippomobile. Le véhicule ayant versé par suite d’un
écart du cheval qui avait pris peur, les occupants ont été projetés
sur le sol.
M.
Malherbe est sorti indemne de l'accident et l'enfant atteinte de
diverses blessures a reçu à l'hôpital de Bayeux, les soins que
nécessitait son état. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1950 -
Taïaut, taïaut !
- Au
cours d'une battue organisée dans les bois de Saint-Paul-du-Vernay.
sous la direction de M. Kerlaux, président de la société de chasse,
avec le concours de la meute de M. Bordier, de Littry, et de M.
Lemière, lieutenant de louveterie Osmanville, les invités ont abattu 1
sanglier, 3 chevreuils et 1 renard. ( Le Bonhomme Libre )
Janvier
1950 -
Une vengeance qui tourne court.
- Georges
Bacon, 26 ans, de St-Paul-du-Vernay, avait porté plainte contre M.
André Pelletey, 29 ans, même lieu, qu'il rendait responsable d'un
accident dont il aurait été victime.
L'enquête
a établi que le plaignant avait fait une fausse déclaration aux
gendarmes pour nuire à M. Pelletey.
En
définitive c'est Bacon qui répondra du délit d'outrage à la
maréchaussée. ( Le Bonhomme Libre )
|