UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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St - SEVER - CALVADOS |
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Canton de Saint-Sever-Calvados |
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Août 1903 - Morts subites. - Une dame Bailleul, de St-Sever (Calvados), était venue l'autre dimanche, à Villedieu-les-Poêles (Manche), voir sa fille malade. Celle-ci se trouvant plus mal, sa mère courut chercher le médecin. Pendant qu'elle était avec le praticien au[1]près du lit de la malade, elle s'affaissa tout à coup, frappée d'une congestion et succomba. — En s'éveillant, le matin, le sieur Auguste Morière, demeurant à Condé-sur-Ifs, près Mézidon, a trouvé, morte près de lui, sa femme âgée de 66 ans. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juin
1904 -
Le feu.
- Au moment
où nous mettions sous presse, un incendie détruisait le magasin et les
marchandises de M. Catherine, négociant, place de la Halle-au-Beurre,
à Lisieux. Le
feu a pris dans la cave à de l'essence répandue à terre par un
employé qu'un autre employé éclairait. Pour passer les lances, on a
dû démolir les glaces du magasin ; des débris ont atteint à la tête
le jeune Désiré Nicolle, 18 ans, cousin de M. Catherine, qui a reçu
une blessure profonde au-dessus de l'œil gauche. On l'a transporté à
l'hôpital où son état, qui semblait grave, s'est amélioré depuis. Les
dégâts, importants, sont assurés. L'immeuble appartient à M.
Pouettre, ancien huissier à Caen. Déjà,
il y a six mois, les époux Catherine avaient failli être brûlés vifs
par l'explosion d'un baril de luciline et n'avaient échappé à la mort
qu'en se roulant, dans la boue, devant leur porte. —
A Saint-Sever, un autre grand incendie a détruit la maison occupée par
M. Voisin, marchand de nouveautés. Le feu a pris dans un tuyau de
fourneau. Il y a 30 000 fr. de dégâts, heureusement assurés. Pas
d'accident de personnes à déplorer.
(Source : Le
Bonhomme Normand)
Juillet 1904 - Chute mortelle. - Le sieur Daniel, 56 ans, maçon, veuf sans enfants, travaillait à une maison en construction à Saint-Sever, lorsqu'il tomba d'un échafaudage et se rompit la colonne vertébrale. Le malheureux Daniel a survécu jusqu'au lendemain. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1904 - Restitution forcée. - La dame Baron, couturière à Saint-Sever, employait comme ouvrière une femme Valentine Louvet, 21 ans, qui vint un matin lui rapporter de l'ouvrage. Profitant de l'absence de la domestique et la dame Baron étant sortie elle-même, l'ouvrière pénétra dans la chambre à coucher et s'empara d'une montre en or valant 125 fr., accrochée à un clou avec sa chaîne. Mme Baron, s'étant aperçue du vol, eut des soupçons et réclama sa montre à la femme Louvet qui, justement, la portait sur elle. Se voyant prise, la voleuse restitua le bijou, mais elle ne s'en vit pas moins dresser procès-verbal. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1904 -
Tontaine tonton ! -
Les
chasses à courre sont commencées. Dans la forêt de St-Sever,
l'équipage de M. Guillet a forcé trois grands cerfs dix cors.
Février
1908 - Violent incendie.
- Jeudi soir, le feu s'est déclaré dans un corps de bâtiment
situé à Saint-Sever village de Plate-Bourse, occupé par MM. Arthur
Blin, cantonnier ; Jules Martin, cultivateur, et appartenant à M.
Jean Lelheub, propriétaire. Tout le mobilier de M. Blin, a été la
proie des flammes. M. Martin a eu 3500 bottes de foin, 100 gluis, 100 bottes de paille, 80 bourrées et une échelle consumés. On a eu beaucoup de mal à sauver les trois vaches renfermées dans l'étable ; une d'elles a même été grièvement brûlée. On ignore les causes de cet incendie ; on suppose que le feu a pris naissance dans la grange de M. Martin. Une enquête est ouverte.
Décembre 1912 - Révolution - Nos pompiers n'ont pas l'esprit traditionaliste. Ils ne veulent plus de leur pittoresque uniforme 1830. C'est pourquoi les habitants sont en train de réorganiser sérieusement ce corps, et le maire, M. Lelièvre, fait appel à toutes les bonnes volontés.
Janvier 1913 - L'église. - Une grande partie de la toiture démolie par les précédents travaux est restée telle, éventrée par des échafaudages et laissant entrer l'eau à flots. Plus d'ouvriers ! Or, depuis deux ans, tous ceux auxquels il a été donné d'admirer ce bijou gothique ont multiplié les efforts pour aboutir ; prêtres, maire, préfet, particulièrement M. Robert Ruprich, architecte. Cette coupable lenteur administrative rendra nécessaires des réparations intérieures très coûteuses. La commune a payé 4 500 francs; c'est à l'État de réaliser ses engagements et de sauver cet intéressant monument historique, jusqu'alors en bon état. Les Saint-Séveriens ont fait l'impossible.
Juin 1913 - Grave accident. - Un grave accident est arrivé à Saint-Sever. la nommée Maria Transon, 22 ans, demeurant à la Guibellière, en passant sur la voie ferrée non loin du pont de Fosse, a été tamponnée par un train venant de Vire. Elle a eu l'avant-bras gauche broyé. Le train stoppa. la malheureuse fut transportée à l'hôpital de Vire où on pratiqua l'amputation. cette femme ne jouissait pas de toutes ses facultés et était sujette à de fréquentes crises d'épilepsie.
Janvier
1914 - État civil.
- Mouvement de la population en 1913 :
Naissances, 24 ; publications, 19 ; mariages, 7 ; transcription,
1 ; décès, 31.
Avril
1914 - Les monuments
historiques du Calvados. - Voici, d'après le officiel,
la liste des immeubles classés parmi les monuments historiques avant la
promulgation de la loi du 31 décembre
1913, pour le département du Calvados : Parfouru-l'Eclin,
Clocher et pignon oriental du chœur de l'église ; Rosel : Clocher de
l'église ; Rots : Église ; Rouvres : Église ; Rucqueville : Église ;
Ryes : Église ; Saint-André-d'Hébertot : Église,
façades, Douves et parterre du château ; Saint-Contest : Église ;
Saint-Gabriel : Restes du prieuré ; Saint-Hymer : Église ;
Saint-Loup-hors-Bayeux : Église ; Sainte-Marie-aux-Anglais
: Église ; Saint-Pierre-sur-Dives : Église, Salle
capitulaire, Halles ; Saint-Sever : Église ;
Saint-Vigor-le-Grand :
Février
1915
-
Révision de la classe 1916
- Canton
de Saint-Sever : Bons, 66 ; Ajournés ; 24 ;
Services auxiliaires, 1 ; Exempts, 6 ; Total 97.
Août 1915 - Les braves. - Ont été cités à l'ordre du jour : MM. Eugène Charpentier, soldat, Assiré, aide-major, Charles Deprun, René Capelle, Eugène Maréchal, caporal, Marcel Chéradame, Georges André, Max Man-Sang, Robert Poirson, caporal, Robert Desmouceaux, tous du 119e ; Louis de Petiville, de Saint-Sever.
Novembre 1915 - Croix de guerre. - M. Léon-Joseph Vaudry, boulanger à Saint-Sever, actuellement sergent à la 3e section des C.O.A., vient d’obtenir la Croix de guerre. Il avait été cité à l’ordre de la division pour s’être « fait remarquer par son dévouement en opérant le ravitaillement des dépôts de vivres dans les endroits les plus exposés. »
Janvier 1916 - Citation. - M. Isidore Lesénéchal, quincaillier à Saint-Sever, mobilisé sous-lieutenant, a été cité à l'ordre de la division pour avoir maintenu la confiance de ses hommes alors assaillis par un bombardement très violent d'obus asphyxiants.
Juin 1916 - Morts pour la France. - M. Jules Gaillard, soldat au ...e régiment territorial, a été tué le 7 avril 1916. M. Jules Solmier, fils de M. Solmier, propriétaire de l'Hôtel Moderne, soldat au ...e d'infanterie, est décédé à l'hôpital maritime de Brest, dans sa 20eme année.
Mai
1917
- Accident mortel. - M.
Jean-Marie Labotte, 19 ans, employé chez M. Molinié, de Saint-Sever,
revenait de Percy (Manche), avec un chargement d'eau-de-vie. Près de
Montbray, ses chevaux s'emballèrent. En vain Labotte essaya de
les maîtriser et il fut violemment projeté sur
la route. Malgré les soins empressés qui lui furent prodigués par des
témoins de l'accident, le malheureux charretier
succomba peu après.
Août 1917 - Derrière les grilles. - Une lectrice d'une petite ville du département, allant toucher son allocation, a été prise à partie par le percepteur qui, sans aménité, lui a réclamé les impôts, restés impayés, de sa mère qui est veuve, a eu un fils tué et a encore cinq fils et gendre sur le front. On nous demande ce que nous pensons de cela. Parbleu ! que le percepteur eût mieux fait de continuer à compter sa monnaie et à manipuler ses paperasses.
Août
1917 -
L’église s’adapte ! -
Les temps que nous
vivons ne permettent guère la minutie des anciennes observances
religieuses, aussi le Pape s'est-il décidé à les abolir en notable partie.
Désormais,
l'usage des oeufs, du laitage et de la graisse sont permis en tout
temps, même pendant le carême et les jours de jeune. On peut aussi
manger de
Août
1917 -
Les braves. -
Légion d’honneur. MM.
Charles Savary, de Grandcamp, capitaine au 239e, et
Alfred Fontaine, de
Saint-Sever, médecin-major, ont été nommés Chevaliers de la
Légion d’Honneur.
Mars 1919 - Les secours aux régions libérées. - La municipalité de Vire et les communes des cantons de Vire, Bény-Bocage et Saint-Sever. ont décidé de porter secours à une commune sinistrée du département du Nord. Neuville-Saint-Rémy. Plus de 2.500 francs de souscriptions ont été déjà recueillis.
Novembre 1920 - Visite indiscrète. - Dans la nuit, des malfaiteurs sont entrés, en descellant un carreau, dans la maison de M. Billés, receveur-buraliste et débitant de tabac à St-Sever. Après
avoir ouvert tous les tiroirs, ils se sont emparés d'une certaine
quantité de cigarettes, timbre-poste, etc…, le tout estimé 600
francs. Le tiroir-caisse a été retrouvé avec 3 centimes dedans
près du Pont de la Fosse. Une enquêté est ouverte.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier
1921 -
Noyade accidentelle. -
Mlle Léontine Auvray, 41 ans,
canton de Saint-Sever, est tombée accidentellement dans une mare
située dans un pré à 500 mètres de son domicile. Elle s’est
noyée. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril
1921 -
Vol sacrilège. -
Des
inconnus ont dans la matinée, a l'aide de fausses clefs ouvert un tronc
dans l'église de Saint-Sever et emporté le contenu, qui peut être évalué
à une douzaine de francs. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Juillet
1921 -
Incendie. -
Le feu s'est déclaré
dans le grenier à foin d'un bâtiment dit « Le Haras »,
appartenant à M. Salmon, propriétaire à St-Sever, et occupé par le
haras de St-Lô. Sept étalons qui se trouvaient dans l'écurie ont pu
être sauvés. Les dégâts évalués à 76 000 fr. sont assurés.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1921 -
Accident mortel. - Le jeune Eugène Trouverie se rendait à Courson avec
son patron, M. Lemonnier, charpentier à St-Sever et un ouvrier M.
Clément. Sur la route, les trois cycliste croisèrent un camion
automobile. Prés du véhicule, le jeune Trouverie tomba sur le côté
devant la roue du camion qui lui écrasa la tête. Le malheureux jeune
homme mourut sur le coup. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1921 -
De Byrrh en Byrrh. -
Un ouvrier terrassier travaillant sur la voie, Alcide Harmonic,
17 ans, à Vire, a été surpris sous la hall de la petite vitesse de la
gare
Mars
1922 -
Rencontre mortelle. -
M. Tichadou, 28 ans, vérificateur des contributions
indirectes, à Saint-Sever, rentrait de tournée à bicyclette,
lorsqu'il se heurta contre une voiture. Grièvement blessé à la tête.
M. Tichadou fut transporté à l'hôpital de Vire où il est mort le
lendemain sans avoir repris connaissance. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Mai 1922 - L’alcool tue toujours. - On a découvert, dans un fossé, au lieu dit « Les Carreaux », le cadavre d'Eugène Blin, bûcheron à St-Sever. Rencontré la veille en état d'ivresse, le bûcheron aura été frappé de congestion en rentrant chez lui. —
Encore une autre victime de l'alcool, Léon Lecordier, 53 ans,
journalier au Tourneur, canton de Bény-Bocage, a été trouvé mort
d'une congestion,
devant son domicile. C'était un alcoolique invétéré. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Octobre 1922 - Dans les vapeurs de l’ivresse - Un ouvrier de Saint-Sever, René Bécherel, 23 ans, passait le soir, dans le bourg du Gast. Il était complètement ivre et longeait la route, quand arriva une auto conduite par M. Saint-Bézard, 32 ans, chauffeur à l'entreprise Schnecberg. L'ivrogne se mit à gesticuler devant l'auto qui le renversa. Le chauffeur arrêta sa machine, releva Bécherel et le porta à son domicile où il le coucha. Ne voulant pas le laisser seul. M. Saint-Bézard s'installa sur un lit près de lui et s'endormit. Le
lendemain matin, à son réveil, il fut surpris de ne pas voir Bécherel
dans son lit. Il l'aperçut en chemise dans la cour, les pieds nus. Le
chauffeur l'obligea aussitôt à se recoucher, mais une heure après
Bécherel mourait, frappé de congestion. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Mars 1923 - Un solitaire forcé. - François Lelièvre, 25 ans, sans profession ni domicile fixe, vivait dans une cagna dans la forêt de St-Sever. Il subvenait à ses besoins au moyen des vols qu'il commettait journellement dans les fermes des environs. La
gendarmerie, ayant eu vent de sa retraite, s'est rendue en forêt et a
pu l'arrêter. Il a reconnu une partie des méfaits qui lui sont
reprochés. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mars 1923 - Accident d’auto. - Au passage à niveau de la ligne Paris-Granville, près la gare de St-Sever, un camion auto de M. Chauvière, négociant dans la commune, conduit par M. Fromentin, a eu son arrière défoncé par une locomotive haut-le-pied venant de Villedieu. Le
conducteur de l'auto projeté à terre a été blessé au genou. Les
dégâts sont importants. (Source : Le Bonhomme Normand)
Août 1924 - Le meeting d’aviation. - Plus de 20 000 personnes ont assisté hier au meeting d'aviation de Saint-Sever. L'aviateur émerveilla les spectateurs par ses acrobaties, ainsi du reste que MM. Robert, Bauller et la gracieuse parachutiste. Nous reparlerons demain de cette fête dont l'heure tardive nous interdit de rendre compte aujourd'hui en détail.
Mars
1925 -
Lâche agression.
- Le
6 courant,
M. Cousin,
au service
de M.
Lesénéchal, quincaillier
à Saint-Sever,
revenait
en camion
auto
de livrer
de la
marchandise
à Montabot.
Arrivé
à Courson,
il s'arrêta
quelque
peu pour
prendre
des nouvelles
de ses
parents
et
fit la
rencontre
d'un
nommé
Marie,
dit
« La
Jeunesse »,
originaire
de Le
Gast.
Après
avoir
échangé
quelques
paroles,
Marie
s'éloigna
et fut
rejoint
quelque
temps
après
au lieu
dit « La
Girardière »
par
M. Cousin.
Tout
à coup,
Marie
bondit
sur le
siège,
poussa
violemment
sur la
chaussée
le conducteur,
s'empara
du volant
et après
avoir
parcouru
quelques
mètres,
arrêta
le véhicule
pour
aller
rejoindre
sa victime
qu'il
menaça
de mort. Enfin, Marie remit en marche l'auto qu'il n'abandonna que quelques kilomètres plus loin pour prendre la fuite à travers champs. Enquête.
Mai 1925 - Pour un morceau de bois. - Le 14 avril, Despinito Désiré, sujet belge, charbonnier dans, la forêt de Saint-Sever, prit un morceau de bois dans la coupe de son camarade Piette Marcel, également sujet belge, mais sur les remontrances de celui-ci, Despinito se fâcha et frappa assez violemment Piette qui fit constater ses blessures par un médecin et porta plainte à la gendarmerie. Despinito a été condamné à 25 francs d'amende avec sursis.
Août
1925 -
Grande fête. - La
ville
de Saint-Sever
organise
pour
le
30 août
une grande
fête
dont
voici
le programme : A
8
heures,
distribution
de secours
aux indigents.
De 9
heures
à 10
heures,
opérations
des différents
jurys
du comice
agricole. Course
cyclistes
à 8
h. 30,
course
réservée
aux jeunes
gens
du canton. A
9 h.
30, course
de 4e
catégorie
et débutants,
pour
coureurs
du département
et cantons
limitrophes.
Engagements
cantonale
2 francs,
départementale
3 francs.
A
12 heures,
banquet
par souscription. A
15 heures,
place
de la
gare
rassemblement
du cortège,
grande
cavalcade. A
16
heures,
défilé
par les
rues
de la
ville
des chars,
de la
musique,
de la
Reine
et de
ses demoiselles
d'honneur,
De
18 heures
à minuit,
cinéma
moderne
à la
salle
des Fêtes. A
20 h.
30, concert
par la
musique
municipale,
illumination
générale,
retraite
aux flambeaux. A 22 heures, brillant feu d'artifice, bals de quartier.
Octobre
1925 -
Une locomotive culbute une voiture.
-
Le 3
octobre,
vers
16 h.,
M. Esnault
André,
âgé
de 19
ans,
se rendait
pour
dégager
des marchandises
à la
Petite
Vitesse
de la
gare
de St-Sever.
Il était
accompagné
du domestique
de ses
parents,
M. Launay
Emmanuel,
âgé
de 27
ans. Arrivé
au passage
à niveau
53, lieu-dit
« de
Courson »
le conducteur
engagea
son attelage
sur la
voie
quand
tout
à coup
la voiture
fut tamponnée,
renversée
et traînée
sur un
parcours
de 50
mètres
environ,
par une
locomotive
haut-le-pied.
Projetés
hors
du véhicule,
les deux
occupants
se firent
dans
leur
chute,
de graves
blessures.
La voiture
est hors
d'usage. D'après l'enquête, le passage de la machine haut-le-pied n'avait pas été signalé. |
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Dans la forêt de Saint-Sever - La décortication de tan |
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13. Saint-Sever - Route de Granville |
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