1er Décembre 2024 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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TROIS - MONTS | ||
Canton d'Évrecy |
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Juin 1904 - Noces d’argent d’un curé. - Ces jours-ci, on fêtait les noces d'argent du curé de Troismonts, près Evrecy, uni à la paroisse depuis vingt-cinq ans. Un pain bénit plus que complet avait été offert. Par dessus le marché, le pâtissier avait ajouté une splendide brioche pour les filles de la paroisse. Une
commère, qui à la main un peu trop leste à saisir, s'est emparé de
la brioche et en a fait une en la portant au château. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Juillet
1912 - Les petits
bénéfices. - Jules François, 21 ans, grande valet
chez M. Wilfrid Férault, 61 ans, cultivateur, à Trois-mont, est
accusé par se dernier d'avoir arraché le crin de la queue de ses
chevaux, lui causant un préjudice qu'il évalue à 1000 francs. Me
Maurice Dupont, défenseur de M. François dit que le chiffre
d'évaluation est exagéré, et qu'en fait François n'apprit que pour
1,50 à 2 francs de poils à des chevaux qui les perdaient ayant
la gale. Me
Dupont insiste sur le fait que les grands valets, de par la coutume du
pays, ont droit aux raclures, aux peignures des chevaux qu'ils soignent
: c'est leur petit bénéfice. D'autre part, François, qui venait de la
Manche, a fait la toilette des percherons de M. Férault comme sans
doute, dit-il, on leur coupe les crins plus s'ils étaient des chevaux
de la Manche, où ras. Enfin l'avocat demande l'indulgence pour un jeune
homme qui va partir au régiment et qui n'a pas d'antécédents. Mais,
le tribunal, en raison de la gravité du préjudice, se montre sévère
et condamne François à quatre mois de prison avec sursis et 25 francs
d'amende.
Décembre 1917 - Essence pour les battages. - Les entrepreneurs et cultivateurs qui ne peuvent se procurer dans le commerce l'essence nécessaire à leurs battages, sont informés qu'il peut leur être délivré à la Direction des services agricoles, rue de Bernières, 16, un bon d'essence livrable de suite par la sous-intendance militaire de Caen.
Décembre 1917 - Battues de sangliers. - Dans la région de Trois-Monts, Tournay-sur-Odon, Fresney-le-Puceux et Sainte-Honorine-du-Fay, les gardes-chasse ont abattu sept sangliers dont cinq laies, depuis le commencement de décembre.
Janvier 1919 - Battues de sangliers. - Grâce à la vigilance des gardes de Fresney-le-Pucenx, Tournay-sur-Odon, Trois-Monts et Ste-Honorine-du-Fay, sept sangliers dont cinq laies, ont été abattus depuis le 1er décembre. Les
agriculteurs sauront gré à ces habiles chasseurs d'avoir débarrassé
la contrée. En leur nom, nous leur adressons toutes nos félicitations
pour cet heureux résultat. (
Janvier 1920 - Une enfant brûlée vive. - Mlle Blanche Marie, nourrice à Troismont était partie à Evrecy, laissant seuls à la maison ses deux nourrissons, deux enfants de l'Assistance publique, Andrée Lemarchand, 10 ans, et Arlette Zarbel, .. ans. Pendant son absence la petite Arlette, s'était approchée de la cheminée mit le feu à ses vêtements. Malgré
le soins apportés par les voisins accourus aux cris de la jeune
Lemarchand, le petite Arlette, qui avait été grièvement brûlée au
ventre, mourut peu après. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1921 -
Trois brutes. -
En sortant du café Dary à Troismonts, canton d'Évrecy, M.
Jules Pépin, charpentier en cette commune, fut assailli par trois
individus qui le frappèrent avec une telle brutalité qu'il lui
brisèrent la jambe. Les auteurs de cette agression ont pris la fuite.
Ils sont activement recherchés. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1923 - Un désespéré.
- M.
Adrien Auguste, journalier à Troismonts, canton d'Évrecy. s'est
suicidé en se tirant un coup de fusil sous la gorge. La mort a été
instantanée. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai
1925 -
Un père indigne.
- Les
gendarmes
de Saint-Pierre-sur-Dives
ont mis
en état
d'arrestation
le nommé
Joseph
Sénégal,
44 ans,
charpentier,
domicilié
à Troismonts,
lequel se
serait
rendu
coupable
d'actes
odieux
sur sa
propre
fille,
âgée
de 12
ans et
demi.
Novembre
1925 -
Le danger de l’essence.
-
Samedi dernier,
deux employés
de la
maison Angot,
place Malherbe
à Caen,
effectuaient une
livraison d'essence
chez Mme
Besnard, épicière
à Troismonts.
Celle-ci leur
demanda de
vider dans
un autre
récipient un
bidon dans
lequel se
trouvaient encore
une vingtaine
de litres
d'essence. Comme
il faisait
nuit, les
commis avaient
placé à
quelque distance
une lanterne.
Pour une cause
qui ne
put être
expliquée, une
étincelle communiqua
le feu
à l'immeuble.
En quelques
instants la
réserve de
l'épicerie était
la proie
des flammes.
Lorsque les
pompiers de
Thury-Harcourt arrivèrent
sur les
lieux, le
local et
les marchandises
étaient entièrement
consumées. Les dégâts s'élèvent à la somme de 50.000 francs.
Juin 1937 - Une rixe au village. – Une rixe a mis aux prises, au hameau de la Croix-Verte, d'une part, le nommé Émile Suzanne, 52 ans, journalier, d'autre part, son fils, Eugène, 26 ans et la maîtresse de ce dernier, Albertine Lacroix, 22 ans. Des camarades du fils Suzanne auraient également participé à la bagarre. Suzanne père prétend que son fils et sa compagne ont pénétré de vive force dans son habitation, où il refusait de mettre une chambre à leur disposition, l'ont assommé et dépouillé d'une somme de 35 fr.
Juin 1937 - Pour une chemise, il se pend. – L'autre soir, vers 20 heures 30, légèrement ivre, M. Eugène Huline, 25 ans, domestique au service d'un cultivateur de Troismonts, pénétrait chez sa mère, et demandait à cette dernière si elle lui avait acheté une chemise. Devant la réponse négative qui lui était faite, Huline était pris d'une violente colère, puis, brusquement, après avoir embrassé les siens, quittait la maison en disant qu'on ne le reverrait pas. Le lendemain, au matin, on le trouvait pendu à un poirier dans un champ voisin de la ferme de Lignerolles où il était employé. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Juin 1937 - Une rixe au village. - Une rixe a mis aux prises, au hameau de la Croix-Verte, d'une part, le nommé Emile Suzanne, 52 ans, journalier, d'autre part, son fils, Eugène, 26 ans et la maîtresse de ce dernier, Albertine Lacroix, 22 ans. Des camarades du fils Suzanne auraient également participé à la bagarre. Suzanne père prétend que son fils et sa compagne ont pénétré de vive force dans son habitation, où il refusait de mettre une chambre à leur disposition, l'ont assommé et dépouillé d'une somme de 35 fr. Suzanne Eugène affirme qu'il avait le droit de pénétrer dans la maison, puisqu'il l'aurait en partie payée, et que c'est lui qui a été frappé. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Août
1938 -
Le pacage des Animaux.
- Sur
la proposition de M. Michel, Le Conseil d'Arrondissement, Considérant
que : une sécheresse persistante sévit actuellement dans notre région
et que beaucoup de petites gens possédant une vache ou deux, vont être
obligés de les vendre faute de nourriture. Émet
le vœu : que les personnes qui ne possèdent qu'une vache ou deux,
soient autorisées, à titre exceptionnel, pendant les mois de Juillet,
Août et Septembre, et dans les endroits
non infectés par la fièvre aphteuse, à les garder sur les bermes des
routes nationales et les chemins de grande communication, étant
entendit que les dits animaux devront
être tenus à la corde. (Source :
Le Moniteur du Calvados) Août
1938 -
Exposition d'oiseaux.
- De
nombreuses personnes ayant regretté de ne pouvoir visiter les volières
de M. Jouanne, de Trois-Monts, lors de la fête de juillet, il a été
décidé d'organiser une nouvelle exposition, comme précédemment au
bénéfice de la cantine scolaire
de la commune. Cette
exposition est fixée aux 14 et 15 août, tout l'après-midi. Vingt
espèces de pigeons dont les romains. Canards mandarins et carolins. Six
espèces de faisans. Dix variétés de colombes. Perruches
ondulées et calopsites. Et tous les petits oiseaux de nos pays et
exotiques. C'est
à voir et même à revoir.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1939 -
Un garde particulier de Troismonts est arrêté.
- Il
y a quelques jours. Mme Louise Coisnard, 31 ans, femme d'un cantonnier
de Troismonts, entrait à Samedi,
à 18 heures, M. Guimbellot, juge d'instruction à Caen, se rendit à
Troismonts et entendit diverses personnes, parmi lesquelles le mari de
Mme Coisnard, et le nommé Fernand
Brice, garde particulier. Le mari affirme qu'il ignore totalement ce qui
s'est passé, mais Brice ne tarda pas à avouer certains faits. Les
magistrats firent deux perquisitions : l'une chez M. Coisnard, l'autre
chez M. Brice. Ils furent ainsi amenés à délivrer un mandat de
dépôt contre le garde particulier. Brice
a été immédiatement arrêté et transféré à Caen, où il a été
mis à la disposition du Parquet. Déjà, en mai 1937, une descente de
justice avait eu lieu, pour des faits identiques, et Brice avait été
soupçonné, mais on n'avait pu découvrir, alors aucune preuve de sa
culpabilité. Cette
affaire a fait grand bruit dans la région d'Évrecy, où Brice est bien
connu, peut-être trop même, car on affirme que Mme Coisnard n'avait
pas été la seule à avoir recours à ses mauvais offices. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1939 -
L’enquête sur la mort suspecte de Mme Cosnard.
- Une
nouvelle charge vient d'être relevée contre le garde particulier
Fernand Brice, arrêté à la suite du décès suspect de Mme
Cosnard, à l'hôpital de Caen, où elle avait été transportée
d'urgence. Au
cours de recherches effectuées par M. Concouron, chef de la brigade
d'Évrecy, on trouva dans un grenier d'une maison louée à Mme Brice,
mère de l'inculpé, un drap de lit ayant été lavé et sur lequel des
taches sanglantes étaient encore apparentes. Interrogée,
Mme Brice a reconnu qu'elle avait caché ce drap à l'instigation de M.
Cosnard et de son fils. De nouvelles perquisitions sont demeurées sans résultat. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1939 -
Autour de l’affaire de Troismonts.
- Enquêtant
au sujet de l'affaire d'avortements de Troismonts, les gendarmes
étaient amenés à interroger la mère de l'inculpé, et se rendaient
à son domicile. Ils y furent injuriés par le petit-fils de celle-ci,
Auguste Brice, 18 ans, journalier, qui invita sa grand'mère à se
refuser à leur répondre, les menaça, et voulut leur interdire
l'accès de la maison. Le jeune homme sera poursuivi. .
(Source
: Le Moniteur du Calvados)
Janvier 1939 - Le garde particulier Brice serait inculpé à nouveau pour une affaire ancienne. - Le garde particulier Brice, soupçonné d'être responsable de la mort de Mme Cosnard, à la suite de manœuvres abortives, a été interrogé par M. Guimbellot, juge d'instruction à Caen, qui a reçu dernièrement une déclaration contenant une accusation formelle. Brice,
qui a choisi comme avocat Me Tréhet,
va sans doute se voir à nouveau impliqué dans une affaire pour
laquelle, en 1935, il avait été inquiété, mais sans pouvoir être
Février 1939 - Les frères ennemis. - M. Eugène Suzanne, 28 ans, journalier à Ste-Honorine-du-Fay, a porté plainte contre son frère Albert, 25 ans. journalier à Troismonts. M. Eugène Suzanne a déclaré qu'il se rendait l'autre jour, à 18 h. 30, à l'usine électrique de Grimbosq pour y assurer le service de nuit. En arrivant au bourg de Troismonts, il fut interpellé par son frère Albert qui, s'avançant vers lui en brandissant son couteau ouvert, le frappa à l’aide de cette arme, lui occasionnant des blessures superficielles. Interrogé
par les gendarmes d'Évrecy, Albert Suzanne a nié les faits.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Juillet 1942 - Des vols. - Le 11 juin, deux jeunes automobilistes, stoppant près de Troismonts, s'emparaient d'un troupeau de 9 dindons et s'enfuyaient avec. La gendarmerie eut vite fait de découvrir le principal coupable, Désiré Lefebvre, 19 ans, ouvrier boulanger, rue de Falaise à Caen, ayant comme complice un jeune couple parisien. Celui-ci
se livrait par ailleurs à de vastes opérations de marché noir sur le
beurre et les vêtements. (Bonhomme Normand)
Août 1943 - Quartier St-Étienne. - Depuis le début du mois, 40 enfants du quartier St-Étienne passent leurs vacances au camp de repliement de Trois-Monts. Site merveilleux sur les bords de l'Orne, paysage de la Suisse normande, splendide propriété. Promenades dans les bois environnants, rallyes, bains fréquents, nourriture substantielle. Ils refont leurs forces dans la joie et la gaieté. Ils mettent de l'animation et de la joie dans le pays. Le 15 août, ils ont |préparé de beaux offices dont les paroissiens se souviendront.
Mars
1944 -
Actes
de banditisme.
Deux
agressions
terroristes
viennent
d'avoir
pour
théâtre
la petite
commune
de Trois
Monts..
-
La première
eut lieu
chez
Mme Férault,
cultivatrice.
Deux
jeunes
gens,
âgés
de 20
à 25
ans,
entrèrent
vers
22 h.
30 dans
la cuisine. Masqués
d'un
mouchoir,
portant
des lunettes
de motocycliste
et armés
de mitraillettes,
ils exigèrent
de l'argent
et se
firent
remettre
une somme
de 8.000
francs.
Chez
Mme Lefoulon,
également
cultivatrice,
deux
jeunes
gens
masqués
eux aussi
d'un
mouchoir
et porteurs
de revolvers
ont pénétré
dans
la chambre
du premier
étage,
vers
minuit,
en escaladant
la fenêtre
à l'aide
d'une
échelle.
Ils ont
fouillé
la pièce
de fond
en combles,
ainsi
que le
rez-de-chaussée,
mais
n'ont
rien
découvert.
En se retirant, l'un d'eux tira un coup de revolver à travers la porte. La gendarmerie d'Évrecy a ouvert une enquête.
Mars
1944 -
Fait divers. - A
Trois-Monts, des bandits de 20 à 30 ans, masqués, armés de
mitraillettes, ont fait éruptions à
22 h. 30 chez Mme Fêrault,
cultivatrice et se sont fait remettre 8.000 fr.
Septembre 1948 - L'arrestation d'un voleur d’auto. - A la suite d'une patiente enquête qui fait honneur à la perspicacité des gendarmes de la brigade Évrecy, ceux-ci ont appréhendé, à Trois-Monts, un certain Roger Pierre, dit « le Tatoué », 37 ans, qui jouit dans le pays d'une fâcheuse réputation et vit en compagnie de Denise Fauvel, femme Philippe, 36 ans, marchande de poisson. Bricoleur impénitent, Roger Pierre avait dérobé le 16 juillet dernier sur les Fossés Saint-Julien, à Caen, une voiture appartenant à M. Edmond Colin, maraîcher à Ranville, pour se procurer les pièces nécessaires à la réparation de son auto. Le
« mécanicien », déjà titulaire de 5 condamnations a été
garé à la prison de Caen. La femme Philippe sera poursuivie pour
complicité. (Source : Le Bonhomme Libre)
Octobre
1948 -
La mort qui rode. -
On
a découvert sur le bord de la route, près de la mairie de Troismonts,
le cadavre de M. Guillaume Ledortz, 70 ans. Un médecin mandé a conclu
à une mort par congestion. (Source : Le Bonhomme Libre)
Décembre 1948 - L'assurance paiera. - M. Maurice Roger, 34 ans, menuisier à Sainte-Honorine-du-Fay, revenait d’Ouffières à bicyclette. Comme il longeait un bois aux environs de Trois-Monts, il entendait un coup de fusil en même temps qu'il ressentait une douleur dans la nuque provoquée par un plomb qui avait traversé sa coiffure. Pénétrant
dans le bois, M. Maurice Roger se trouvait bientôt en présence de
trois chasseurs : MM. Marie, commerçant, à Trois-Monts, Estener, rue
de Bayeux à Caen et Gire, rue Saint-Pierre, même lieu. « Si vous
êtes blessé je suis assuré » aurait répondu M. Gire, d'après
des déclarations de la victime, en revendiquant la responsabilité de
l'accident. Muni d'un certificat médical, M. Maurice Roger, n'en a pas
moins porté plainte. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1949 -
Le Calvados à l'honneur.
- Enfin
! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un
nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir
discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours
des combats pour la libération. Voici
l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en
espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt
ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les
lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R
: régiment ; D : division. Arrondissement
de Caen
Canton d'Évrecy. - Évrecy (A) ; Amayé-sur-Orne (D) ; Avenay (D) ; Baron-sur-Odon (R) ; Bougy (R) ; Rully (R) ; La Caine (R) ; Curcy (R) ; Esquay-Notre-Dame (D) ; Éterville (D) ; Feuguerolles-sur-Orne (D) ; Fontaine-Étoupefour (R) ; Gavrus (R) ; Goupillières (R) ; Hamars (R) ; Maizet (R) ; Maltot (D) ; Montigny (R) ; Neuilly-Le-Malherbe (R) ; Ouffieres (R) ; Prèaux-Bocage (R) ; Sainte-Honorine-du-Fay (R) ; Saint-Martin-de-Sallen (R) ; Tourville-sur-Odon (R) ; Troismonts (R) ; Vacognes (R) ; Verson (R) ; Vieux (D). (Source : Le Bonhomme Libre) |
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TROIS-MONTS (Calvados) - L'Église |
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