Septembre
1926 -
Un voyage mouvementé.
- L'autre
soir,
le mécanicien
du tramway
venant
de Caen,
et devant
arriver
à Falaise
vers
8 heures,
s'aperçut
en arrivant
à Potigny
que sa
machine
allait
manquer
d'eau,
on la
détacha
et elle
partit
se ravitailler
à la
prise
d'eau
de la
gare
de Villers-Canivet.
Mais
un malheur
n'arrive
jamais
seul,
la machine
haut-le-pied,
en arrivant
à la
courbe
très prononcée
qui se
trouve
à Ussy,
au croisement
de la
route
d'Harcourt,
sortit
des rails
et alla
donner
dans
le mur
de la
propriété
Decauville,
qui fut
complètement
démoli
sur une
grande
longueur,
la machine
calée
par l'obstacle
ne se
renversa
pas.
On demanda
du secours
à Caen
d'où
furent
envoyés
une équipe
et le
matériel
nécessaire
pour
remettre
la lourde
masse
sur rails.
Ce travail
fut difficile
et long
et ne
fut terminé
que vers
3 heures
du matin.
Dans
le tramway
en panne,
il y
avait
7 voyageurs
à destination
de Falaise,
le conducteur
du train
demanda
à un
mécanicien
d'Ussy
de ramener
les voyageurs
à Falaise,
arrivé
à Villers-Canivet,
une roue
de l'auto
se détacha
et celle-ci
fut à
son tour
en panne
et les
voyageurs
furent
bousculés,
mais
pas blessés.
Ils durent
finir
leur
chemin
à pied.
Parmi
eux était
le courrier-convoyeur
des postes,
M. Gaugain
qui dut
emprunter
une brouette
et pendant
six kilomètres
« convoyer »
ses colis
à bout
de bras.
Le
train
de secours
arriva
à Falaise
vers
4 heures
du matin
et les
habitants
des quartiers
traversés
par la
ligne
furent
réveillés,
car la
machine
sifflait
sans
discontinuer.
Le
matin,
la
machine
retourna
seule
à
Villers-Canivet
chercher
de
l'eau
pour
revenir
prendre
le
train
de
voyageurs,
il
y
a
bien
une
prise
d'eau
à
la
gare
du
Château,
mais
il
n'y
a
plus
d’appareils
de
pompage !
Décembre
1926 - Une mère
dénaturée.
—
La
gendarmerie de Potigny vient d'ouvrir une enquête à la suite de faits
graves dont a été victime une fillette de 11 ans, la petite Émilienne
Bellenger, demeurant chez sa mère, à Ussy.
Le
mari, Henri Bellenger, journalier, est séparé de sa femme depuis un an
environ. Le jugement lui donna la garde des deux
enfants aînés, mais
la jeune Émilienne fut laissée à sa mère. Celle-ci, qui avait
touché à la suite de la liquidation une vingtaine de mille francs,
dépensa rapidement cette somme en libations et en frivolités.
La
misère s'Installa au foyer, de telle sorte que bientôt se fut le plus
complet dénuement.
Il y a un mois le boulanger refusait tout crédit et la mère qui ne
travaille plus, nourrit sa fille de pommes ramassées sous
les arbres ou dans les haies.
Mourante de faim, l'enfant se plaignit aux voisins, qui lui donnèrent
à manger et avertirent le maire d'Ussy.
Le
Parquet fit ouvrir une enquête. L'enfant a déclaré aux gendarmes
qu'elle n'avait pas mangé de pain depuis un mois. Son état de
faiblesse était extrême. L'enfant va être confiée
a son père.
Janvier
1928 -
A propos de l’électrification.
-
Le
Conseil
municipal
d'Ussy
s'est
réuni
sous
la présidence
de M.
Dudemaine,
maire,
pour
examiner
la question
de l'électrification.
A la
suite
de la
discussion
qui a
eu lieu,
le Conseil
a voté
la délibération
suivante :
Le Conseil
municipal
renouvelle
la confiance
au président
du syndicat
intercommunal
d'électricité
d'Ussy
et lui
demande
instamment
de hâter
la reprise
des travaux
d'électricité
sur
le territoire
des communes
dudit
syndicat.
Cette
motion
a été
adoptée
par 10
voix
sur
11 votants.
Février
1928 - Mort de
congestion.
– M.
Léon
Quettier,
49
ans,
garde-champêtre
de
la
commune,
se rendit
l'autre
jour
chez
M.
Raymond
Girard,
à
la
ferme,
du
Pot,
pour
affaires
concernant
la
mairie.
M.
Quettier,
qui
était
grand
blessé
de
guerre,
paraissait
souffrant,
et
le
soir,
il
ne
rentra
pas
à son
domicile,
sa
femme
et
ses
enfants,
inquiets,
firent
des
recherches
et
ce n'est
que
deux
jours
après
que
le
fils,
Pierre
Quettier,
retrouva
le
cadavre
de
son
père
dans
un
fossé
de
la
route
d'Ussy
à
Saint-Germain-Langot,
à
400
mètres
de
la
ferme
du
Pot.
M.
Quettier
était
étendu
dans
le
fossé
profond
de
70
centimètres
et
ne portait
aucune
blessure.
La
mort
était
naturelle
et
paraissait
due
à
une
congestion.
M.
Quettier
était
garde-champêtre
d'Ussy
depuis
dix ans
et jouissait
de l'estime
générale.
Février
1931 -
Une affaire de lettres anonymes.
-
En novembre dernier, on découvrait dans la Laize le cadavre de
Mme Raphaël Leray dont le mari, contremaître pépiniériste, habite à
Ussy, canton de Falaise. On conclut à un accident mais, bientôt, des
bruits tendancieux circulèrent, certaines personnes allant même
jusqu'à insinuer que Mme
Leray pourrait bien avoir été tuée par son mari, puis jetée à
l'eau. Des lettres anonymes en ce sens furent envoyées au Parquet qui
ordonna une information contre les diffamateurs. L'enquête,
patiemment menée, réunit bientôt de graves présomptions contre
les époux Gaston Guérard, cultivateurs a Tournebu, canton de
Thury-Harcourt, dont l'écriture présente une étrange ressemblance
avec celle de la première lettre anonyme. Ce ménage fut impliqué, il
y a huit ans, dans une affaire de vols de bestiaux. Les résultats de
l'enquête ont été transmis au Parquet.
Avril
1932 -
Un comble ! -
Dernièrement,
les gendarmes de Potigny apprenaient qu'un garde-chasse, qui faisait
passer en correctionnelle les délinquants surpris par lui, opérait
pour son propre compte sur les chasses qu'il « gardait ».
C'est un nommé Vital Canu, garde-particulier des propriétés que Mme veuve
Cardon, de Falaise, possède à Ussy et à Bons-Tassilly.
Canu
a été surpris par les gendarmes comme il s'emparai d'un lapin
pris au collet et le cachait dans sa poche. Il prétend que ce n'est pas
lui qui avait posé l'engin prohibé. (Bonhomme Normand)
Mai
1932 - Mort
tragique. -
Dans la nuit de dimanche à lundi, une auto, dans laquelle se
trouvait M. Halbout, boulanger à Ussy, canton de Falaise, sa femme et
ses deux enfants, âgés de 9 ans et de 15 mois, s'est subitement
renversée sur le talus de la route de Pont-des-Vers, près d'Ussy,
après être passée sur deux tas de terre.
Les
occupants ont été plus ou moins contusionnés mais le plus jeune des
enfants n'a pu résister au choc reçu et est mort peu après son
arrivée chez ses parents. (Bonhomme Normand)
Juillet
1936 - Une
reine de l’agriculture a
été élue.
-
Mlle Madeleine Girard, d'Ussy, a été élue reine de
l'Agriculture, à l'occasion des grandes fêtes qui
auront lieu à Falaise le 26 juillet pour le centenaire de la Société
d'Agriculture de l'arrondissement de Falaise. Mlle Madeleine Barbot, de
Potigny, et Mlle Simone Denis, de Tournebu, ont été
élues demoiselles d'honneur.
Septembre
1936 - Les
désespérés.
-
Depuis
longtemps malade, un habitant d'Ussy, Fernand-Joseph Leplanquois, 59
ans, manifestait fréquemment l'intention de se donner la mort.
Un
jour, sa femme survint juste à point pour le retenir au moment où il
allait se jeter par la fenêtre de sa chambre. Hospitalisé à Falaise,
il sauta dans le vide d'une hauteur de cinq
mètres.
Sur ses instances, sa famille le ramena à Ussy, où il était l'objet
d'une surveillance constante de la part des siens.
Avant-hier,
profitant d'un moment où sa femme avait le dos tourné, Leplanquois
traversa vivement la cour devant sa maison, puis la route et alla se
jeter dans un puits presque à sec sis dans le bourg. Il ne se noya pas,
mais se fractura le crâne contre les parois.
Témoin
du geste, Mlle Yvonne Allo appela à l'aide. Avec beaucoup de peine et
à l'aide d'un grapin, MM. Masseron, Raduff et Langevin retirèrent du
puits, dont le fond était rempli de gaz délétères, le cadavre du
désespéré. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Septembre
1939 -
Un cheval s’emballe. –
M
Charles Marie, 52 ans, ouvrier agricole chez M. Lanse, à Ussy,
transportait de l'eau dans une barrique placée sur un chartil. Tout à
coup, la jument qu'il conduisait prit peur et s'emballa. M. Marie fut
projeté sur le sol, cependant que la barrique et l'attelage culbutaient
un peu plus loin.
Blessé
à la tête et souffrant de contusions multiples. M. Marie a été admis
à l'hôpital de Falaise. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1940 -
L’entr’aide aux mobilisés.
- Réuni
spécialement dans
ce but
le conseil municipal
d'Ussy a
décidé la
création d'un
Comité local
d'entr'aide aux
mobilisés
de la commune.
Il fait
appel
à toutes
les bonnes
volontés, particulièrement
celles des
dames
et jeunes
filles ayant
des loisirs.
Les
personnes
soucieuses de
s'intéresser
à cette
œuvre de
solidarité nationale
sont priées
de se
réunir la
mairie d'Ussy,
le dimanche
7 Janvier,
à 10
h. 30,
pour la
formation
du bureau.
A tous,
par avance
le conseil
dit Merci.
Septembre
1943 - Fait
divers. -
Samedi,
vers 13 h., un bâtiment de la ferme de M. André Levavasseur,
pépiniériste à Ussy, propriété de M. Alexandre Colombe, au bourg, a
été incendié.
Malgré
la prompte arrivée des pompiers de Potigny et les secours des voisins,
le bâtiment, renfermant 20 quintaux de paille et 6.000 bottes de foin,
a été entièrement détruit, mais
la maison d'habitation a pu être protégée. L'enquête a établi que
le feu avait été mis par deux enfants de 5 et 6 ans jouant avec une
allumette. Les dégâts, importants, sont assurés.
Février
1945
- Le rail
arrive !
- Où çà ?
Pas à Falaise pour le plus grand dommage des pépiniéristes d’Ussy
dont l’écoulement des produits se trouve ainsi rendu impossible et
qui, ne pouvant plus expédier les plants qu’on leur demande
cependant de tous les points de la France, se voient dans la pénible
obligation d’envisager le licenciement de leur
ouvriers.
Le
fait est d’autant plus grave que les pépinières d’Ussy fournissent
à l’Administration la majeure partie des jeunes arbres nécessaires
à nos forets domaniales et que leur mise en
sommeil risquerait de compromettre le plan de reboisement prévu pour l’après-guerre.
Le
Comité de Libération d’Ussy réclame de toute urgence la reprise du
trafic ferroviaire sur le tronçon Falaise-Morteaux-Couliboeuf. La
Société Nationale des Chemin de fer l’a belle
de justifier
le slogan qui s’étale sur les murs en lettres hautes d’un pied et
qui place, en l’espèce, au pied du mur : espérons qu’elle n’y
piétinera pas ! (Source
: Le Bonhomme Libre)
Juin
1945 -
Une histoire de revenants. -
Deux
jeunes gens, Louis Lenoirichal, 17 ans, de Ranchy, et Hubert Lefebvre,
19 ans, pépiniériste à Ussy, étaient allés coucher dans une maison
appartenant à M. Rivière, au lieu dit « Les Marais » Vers
2 h. 30, ils furent réveillés par des bruits insolites semblant
provenir du grenier. Ils visitèrent l’habitation,
n’y constatèrent rien d’anormal, et voulurent reprendre leur
sommeil interrompu, mais aussitôt des pierres tombèrent autour d’eux,
ils partirent alors non sans avoir, au préalable, fermé portes
et fenêtres. Lorsqu’ils s’y hasardèrent, vers 5 h. 50, celles-ci
étaient ouvertes et les pièces en désordre, le linge était
bouleversé et trois écheveaux de laine avaient disparu. Au pied d’un
mur, se trouvait une échelle. La gendarmerie est aux trousses des
revenants. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Mai
1946 -
Un cultivateur meurt tragiquement.
- Par
suite de l’éclatement d’un pneu, M. Bagnet-Dupot, d’Ussy, qui
conduisait un tracteur attelé d’une remorque, a été projeté sur le
sol et a eu la tête écrasé sous son véhicule. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Juin
1946 -
Un cultivateur se donne la mort.
- Alors
qu’il se trouvait chez sa mère, à Ussy, M. Raymond Levavaseur, 43
ans, cultivateur à Bons-Tassilly, a été découvert dans une
chambre, la gorge tranchée par un coup de rasoir. Le désespéré
devait se
marier prochainement. (Source : Le Bonhomme Libre)
Octobre
1946 -
Un boche à mettre au pas. -
Depuis
deux mois, M. Émile Colombe, pépiniériste à Ussy, avait à son
service un prisonnier allemand qui ne tarda pas à ne rien faire sinon
la mauvaise tête. Après avoir tenté de débaucher
ses camarades du voisinage, il a volé des planches et une bâche à son
patron qui l’a reconduit au camp de Fleury. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Novembre
1947 -
Une douche malodorante.
- La bonne entente
ne règne pas entre deux habitants d’Ussy, Mme Rohée, née Maufras,
69 ans, et sa voisine ,
Mme Mathieu,
son aînée de cinq ans. Comme celle-ci allait puiser de l’eau à une
fontaine à laquelle elle n’aurait pas droit, Mme Rohée lui a assené
quelques coups de balai. Deux jours après l’irascible dame a vidé le
contenu de son vase de nuit sur le dos de la septuagénaire qui n’en a
pas perdu une goutte. (Source : Le Bonhomme Libre)
Décembre
1947 -
La cambriole. -
Des inconnus ont pénétré par effraction
dans le garage de M. Halbout, mécanicien et maire de
Grainville-Langanerie. Ils ont emporté deux roues d’auto d’une
valeur de 50 000 francs.
Pour
la troisième fois des malfaiteurs se sont introduits chez Mme Augustine
Calbry, à Freney-le-Puceux, signalant leur dernier passage par le vol
de 250 kilos de pommes de terre.
Des
cambrioleurs ont fracturé le tiroir-caisse de la boucherie de M.
Pantin, à Ussy, faisant main basse sur un millier de francs. La maison
de M. Jules Manseron, cultivateur, a également reçu leur visite mais
ils n’ont pris qu’une louche en fer blanc.
(Source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1948 -
Pincé ! -
A la suite d’un audacieux cambriolage commis au camp
d'aviation d'Orly, la police a procédé, à Ussy, à l'arrestation de
l'un des malfaiteurs, Paul Leroy, comme il venait rendre visite à sa
mère, très honorablement connue.
Dans
les bagages de Leroy, les gendarmes ont découvert 65 000 francs en
billets de banque. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1948 -
Une vieille habitude.
- Un
prisonnier boche « transformé » Wilhelm Malkmann, a volé
à son patron, M . Guy Lamare, cultivateur à Ussy, deux litres et
demi de Calvados, des œufs et 4 kilos de haricots, qu'il se proposait
d'envoyer à sa famille en Allemagne. (Source : Le Bonhomme Libre)
Octobre
1948 -
Un beau coup de fusil.
- Chassant
à Ussy en compagnie de deux camarades, M. François James, commis
boulanger à Villy, crut
voir du gibier remuer dans un champ de betteraves, et fit feu,
abattant... un chat. La propriétaire de l'animal Mme Hie, cultivatrice,
estime que la bête valait 2 000 francs. (Source : Le Bonhomme
Libre)
Janvier
1949 -
Le Calvados à l'honneur.
- Enfin
! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un
nombre imposant de localités de notre département viennent
de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur
martyre au cours des combats pour la libération.
Voici
l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en
espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt
ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme.
Les
lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R
: régiment ; D : division.
Arrondissement
de Falaise.
Canton
de Falaise Nord
Bons-Tassilly
(R) ; Saint-Pierre-Canivet (R) ; Soumont-Saint-Quentin (D) Ussy
(R). (Source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1949 -
Trois communes à l'honneur.
-
M. Villatte, Secrétaire Général de la Préfecture du Calvados,
remettra dimanche 19 juin aux communes de Bon-Tassilly,
Soumont-Saint-Quentin et Ussy, la Croix de Guerre qui leur
a été discernée. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1949 -
A l'honneur. - Dimanche
dernier trois communes du Calvados martyr ont ajouté leurs noms au
livre d'or de la reconnaissance de la Nation. En présence de M.
Gervais, conseil général ; les localités d'Ussy,
Soumont-Saint-Quentin et Potigny ont reçu avec le cérémonial
traditionnel des mains de M. Villatte, secrétaire général de la
Préfecture, la Croix de Guerre que leur a méritée leurs souffrances
et leur héroïsme.
Les
cérémonies se déroulèrent devant les Monuments aux Morts et les
maires eurent l'honneur de recevoir des Croix de Guerre bien mérités
en présence des populations accourues.
La
clique d'Ouilly-le-Tesson et la société de musique « L'Espérance »,
de Soumont-Potigny prêtèrent leur concours aux cérémonies.
(Source : Le Bonhomme Libre)
Octobre
1949 -
Une hécatombe de moutons.
- Deux
chiens appartenant à M. Leboucq, cultivateur à Leffard, ont
déchiqueté à Ussy 10 moutons que M. Marie, de Bonnoeil, avait mis en
pension chez M. Lamare. Préjudice 106 000 francs.
( Le Bonhomme Libre )
Mai
1950 - Pour
fêter une Croix. -
Sur l'initiative du Syndicat Agricole d'Ussy, une trentaine de
personnes ont assisté à un vin d'honneur servi au restaurant Fourey au
cours duquel M. Marcel Cardon, le dévoué maire de la commune, a reçu
la croix du Mérite agricole des mains de M. Gervais, conseiller
général. (Le Bonhomme Libre)
Juillet
1950 -
La reconstruction des édifices publics à Ussy. -
Un arrêté a
déclaré d'utilité publique l'acquisition par la commune d'Ussy, soit
à l'amiable, soit par voie d'expropriation
d'un terrain nécessaire à la reconstruction des écoles-mairie.
(Le Bonhomme Libre)
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