15 Mai 2025 |
UN
SIÈCLE D’HISTOIRE DU CALVADOS |
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VALSEMÉ |
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Canton de Cambremer |
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Un nommé Louis-Richard Gastinet, garçon meunier à Valsenay, accusé d'un vol dans les champs, été, dans la même audience, condamné à 5 années de réclusion et aux peines accessoires. (Le Pilote du Calvados)
Novembre
1831 -
Cour d'Assises du Calvados.
- Un
vol de blé fut commis dans la nuit du 15 ou du 16 mai chez le sieur
Thouret, propriétaire à Valsemey. Dans la journée on aperçut un sac
de blé dans un fossé, à peu de distance du domicile d'un nommé
Pierre Couraye, qui habitait la même commune, ce blé fut reconnu pour
celui du sieur Thouret. Des
gendarmes furent prévenus et se cachèrent dans la haie voisine,
pensant bien que l'auteur ou les auteurs de vol viendraient pendant la
nuit chercher le sac. En
effet deux individus vinrent s'assurer que le blé était resté dans le
fossé et allaient s'éloigner quand Couraye aperçut un des gendarmes.
Celui-ci courut sur lui et le força de s'arrêter, les autres gendarmes
accoururent el s'emparèrent de cet individu, qui nia toute
participation au vol, et qui depuis s'est tenu dans le même système. La
défense présentait un système tendant à établir que Couraye aurait
pu avoir l'intention de s'approprier le sac de blé qui était dans le
fossé, sans avoir en rien participé comme auteur ou complice au vol
qui avait pu en être fait chez le sieur Thouret. Le
président des assises pour prévenir le résultat de ce système qui,
admis par le jury, eût entrainé l'acquittement de Couraye, a posé
comme résultant des débats la question de savoir si Couraye n'avait
pas au moins agi comme complice du vol, encore bien que l'auteur
principal fût inconnu. Cette seconde question résolue affirmativement
a entraîné coutre Couraye une condamnation en 7 années de travaux
forcés. Il est à noter que depuis longtemps des vols semblables à la soustraction actuelle étaient commis chez le sieur Thouret. (Le Pilote du Calvados)
Décembre 1831 - Cour d’Assises du Calvados. - Présidence de M. Allard, Conseiller. Séances des 29 et 30 novembre. Le sieur Quetel, cultivateur à Valsemey, était occupé dans les champs, le 28 août dernier, quand on vint lui dire qu'un individu avait été vu cherchant à ouvrir les contrevents de sa maison. Il y courut avec quelques personnes et on se saisit d'un individu qui fut trouvé saisi d'une somme d'environ 50 francs, d'une montre et d'une bague en argent que reconnu le sieur Quetel et que le voleur avoua avoir pris dans la maison, après avoir forcé avec un instrument en fer, la porte d'une armoire dans laquelle il avait trouvé la clef d'une boîte où ces objets étaient renfermés. Le voleur, qui était âgé de 28 ans, déclara se nommer Louis Révérend, être charpentier, né à Lyon et n'avoir aucun domicile. L'information a fait depuis reconnaître en lui un nommé Crépin, forçat libéré qui ne changeait de nom que pour se soustraire à la rigueur de la peine qui le menaçait, vu l'état de récidive. Aux débats il n'a pu nier ni le vol ni son véritable nom, et déclaré coupable du vol avec les circonstances aggravantes de maison habitée, d'escalade et d'effraction, il a été condamné aux travaux forces à perpétuité. (Le Pilote du Calvados)
Septembre
1864 -
Réunions de communes.
- Le
Conseil émet l'avis que le hameau de la Groudière soit distrait de la
commune de la Vacquerie pour être réuni à la - Commune de la Chapelle-Hainfray. - Le Conseil est d'avis qu'il y a lieu de réunir la commune de la Chapelle-Hainfray à celle de Valsemé. (l’Ordre et la Liberté) Juillet 1865 - Par décret impérial du 17 juin. - La commune de la Chapelle-Hainfray, canton de Cambremer, arrondissement de Pont-l'Evêque, est réunie à la commune de Valsemé, même canton. (l’Ordre et la Liberté)
Novembre
1877
-
Incendie.
-
Un
incendie accidentel a éclate le 25 au matin dans la commune de Valsemé,
canton de Cambremer, et a consumé entièrement une maison servant à
usage d'habitation, appartenant à M. Olivier Lullé.
Mars 1892 - Vol de 700 fr. - L'autre dimanche, à Valsemé, on a volé 700 fr. au sieur Élie Héroult, cultivateur. Les auteurs de ce vol connaissaient bien la maison, car rien n'a été entendu. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1895 - Attentat à la
pudeur. -
Une enquête se poursuit à Valsemè au sujet d'un
attentât à la pudeur commis sur la petite Marguerite Lecable, 10 ans,
par un nommé Lemoine, 18 ans, de Saint-Etienne-la-Thillaye. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Janvier
1896 - Petit
mystère. -
Dernièrement, des cris au secours ! à l'assassin !
retentissaient dans une maison de Valsemé où la paix devrait toujours
régner. La victime a porté plainte aux autorités. A-t-elle été
transmise à qui de droit ?
Février 1897 - Prêtre attaqué. - Dimanche soir, vers onze heures et demie, le sieur Henri Maris, brigadier au 11e d'artillerie, à Versailles, en permission chez son père à Valsemé, rencontrant le curé de Valsemé, M. l'abbé Oscar Boucher, lui a porté un coup de poing à l'arcade sourcilière, il l'a légèrement blessé. L'agresseur est en fuite. (Source : Le Bonhomme Normand)
Février 1897 - Attendons. - Le brigadier-trompette d'artillerie Claris, auteur de l'agression contre le curé de Valsemé, a été interrogé à son régiment, à Versailles. A l'entendre, le curé,, n'aurait reçu que ce qu'il méritait en raison de ses agissements. Attendons que l'enquête qui est ouverte soit terminée. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril
1897 -
Affaire pas claire.
-
Henri Maris,
brigadier-trompette d'artillerie, était venu en permission. Sur la
route, vers minuit, il rencontra le curé de Valsemé qui venait de bien
dîner.
Maris lui porta un coup de sabre qui atteignit le dessus de l’œil
gauche et l'épaule droite. Poursuivi devant le tribunal de Pont-l’Evêque,
Maris avait fait
citer plusieurs témoins pour établir qu'il n'aurait jamais commis cet
acte de violence, si le curé de Valsemé ne s’était pas, autrefois,
mal comporté vis-à-vis de lui. Le tribunal n'a pas voulu les entendre.
Me Chéron, défenseur, a énergiquement protesté. En effet, pourquoi
empêcher ces témoins de déposer, si le curé de Valsemé n'avait rien
à se reprocher ? Maris a été condamné à deux mois de prison, mais
avec application
de la loi Bérenger. (Source :
Le Bonhomme
Décembre
1899 -
Même causes, même différents.
- Un soir, Auguste Calbrie, tourneur sur bois à
Valsemé, en arrivant chez son beau-père, trouva sa femme en entretien
plus qu'intime avec Constant Deliquaire, 35 ans. Celui-ci
se sauva dans l'escalier. Le mari courut après, mais il battit bientôt
en retraite, menacé par un vieux canon de fusil que lui flanqua à la
tête Deliquaire, qui prit la fuite en laissant sa casquette sur les
lieux. Aussi
est-ce en vain qu'il a essayé de soutenir que ce n'était pas lui que
Calbrie avait trouvé avec sa femme. Le pauvre mari a eu un bon mot à
l'audience : « On craint Deliquaire plus qu'on ne l'aime ». Excepté
sa femme, cependant. Deliquaire
a été condamné à six jours de prison par le tribunal de
Pont-l'Evêque, mais pour coups seulement au sieur Calbrie, car celui-ci
a retiré sa plainte en adultère, ce qui prouve qu'il tient plus à sa
tête qu'à son honneur.
(Source : Le Bonhomme
Normand)
Mars
1900 - La rage. -
Un chien atteint de
la rage, appartenant au
sieur Richer, charcutier à Beuvron, a quitté le domicile de son
maître et, de Beuvron à Valsemé où il a été tué, il a mordu plus
de 20 chiens ; 17 ont été abattus. (Source :
Le Bonhomme
Normand)
Juillet 1900 - Incendies. - D'une maison d'habitation au sieur Leconte et d'une autre au sieur Dupont, à St-Marc-d'Ouilly. Pertes pour le sieur Leconte, 2 600 fr. ; pour le sieur Dupont, 3 000 francs. — D'un bâtiment au sieur Gilet, à Livarot. Pertes, 1000 fr. Assuré. — D'un bâtiment à usage de boulangerie et bouillerie exploité par les époux Chrétien, à Beaumont-en-Auge. Pertes pour ce dernier, 500 fr. ; pour le propriétaire, 800 fr. Assurés. — A Valsemé, d'un bâtiment d'exploitation occupé précédemment par le sieur Hérout, à Aunebault. — D'un bâtiment au sieur Lair, du Mesnil-Simon. Assuré. - — De 25 ares de bois à la dame Cousssin, à Saint-Germain-le-Vasson. (Source : Le Bonhomme Normand)
Août 1900 - Une jeune incendiaire. - Deux incendies se sont déclarés à deux jours d'intervalle, à Valsemé, près Pont-1'Evèque, et ont consumé un pressoir appartenant aux sieur Rouelle, Hommet et Lemaître, et un bâtiment au sieur Lecable. Certains indices laissèrent supposer que ces incendies étaient dus à la malveillance. On soupçonna la jeune Trouvé, 13 ans, née à Pont-l'Evêque et servante depuis un mois chez le sieur Lecable. Interrogée,
elle à reconnu avoir allumé les deux incendies, mais n'a pu dire dans
quel but. Elle a été arrêtée. (Source
: Le Bonhomme Normand)
Novembre
1900 - Incendiaire de 13 ans.
- Louise
Trouvé, âgée de 13 ans, servante à Valsemé, près Pont-l'Evêque, a
mis le feu à deux reprises différentes dans les immeubles
de ses maîtres, les époux Lecable, elle a aussi mis le feu
à d'autres immeubles pour avoir le « plaisir de voir brûler des
maisons ».
Comme
on le voit, cette fillette a de qui
tenir. Elle a été envoyée dans une maison de correction jusqu'à 20
ans. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1901 - Absence remarquée. - A Valsemé, canton de Cambremer, a eu lieu l'inhumation de M. Jules Dossin, premier conseiller municipal. Une nombreuse assistance suivait le cercueil, on a beaucoup remarqué l'absence du maire. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril
1903 - Enfant brûlé.
- Pendant
une courte absence de la dame Dubosq, demeurant à Valsemé, canton de
Cambremer, son jeune enfant, Émile,
2 ans, a pris sur un buffet, dans la cuisine, un petit bidon d'essence
minérale dont il jeta le contenu dans le foyer. Le feu se communiqua
aussitôt aux vêtements de l'enfant, quand la mère rentra, elle le trouva
couvert de flammes. Malgré tous les soins, il a succombé.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1903 - Mauvaise mère. - La femme Levavasseur, ménagère à Valsemé, aurait abandonné son enfant en bas âge. La gendarmerie de Pont-l’Évêque procède à une enquête. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mars 1917 - N’accueillez pas les déserteurs. - La gendarmerie de Pont-l'Evêque recherchait un déserteur nommé Sandret, lorsqu'elle apprit qu'un jeune homme inconnu dans la contrée et portant des lunettes noires travaillait alternativement chez Mme Lemoine, à Clarbec, et Marguerite, à Valsemé. Les gendarmes se rendirent chez Mme Lemoine et lui demandèrent des renseignements sur l'identité du nommé Lecarpentier, nom auquel étaient adressées les correspondances de l'inconnu. Aussitôt, le petit domestique, René Mézeray, 13 ans, disparaissait et se sauvait à travers champs. Mais il fut vite arrêté par les gendarmes en surveillance près de la maison et, pressé de questions, il finit par avouer que Lecarpentier et Sandret, qu'il allait prévenir, ne faisaient qu'un. Ce dernier fut arrêté peu après. Les deux cultivatrices prétendent qu'elles ne connaissaient pas Sandret et ignoraient sa situation irrégulière.
Juin
1917 - Un drame de l'alcoolisme.
- Un drame terrible vient de se dérouler près de Pont
l'évêque, a Valsemé. Renvoyé
dans ses foyers comme père de huit enfants, le sieur Delarue,
journalier, 41 ans, paresseux, ivrogne et violent, mal considéré,
maltraitait quotidiennement sa femme, 37 ans, originaire de La Chapelle
Yvon, travailleuse et bien estimée. Étant ivre, comme à son habitude,
Delarue eut, sans motif, une discussion avec sa femme et en présence de
plusieurs de
ses enfants, lui porta
un coup de couteau à la gorge avec une telle violence qu'il lui trancha
la carotide. La malheureuse égorgée perdant son sang à flots, tenta
de fuir dans la cour où elle tomba râlant. Le
mari, effrayé de son acte, prit une longe et alla se pendre a un
pommier, à 150 mètres de la maison. Les plus jeunes des petits
orphelins ont été recueillis par la municipalité.
Juillet 1919 - Citation. - M. Henri Bossey, de Valsemé. maréchal des logis d'artillerie, a été cité à l'ordre du régiment : « Blessé au début de la campagne, s'est fait particulièrement remarquer comme agent de liaison pendant les opérations de la 1er armée américaine en Woëvre et à Verdun (septembre et octobre 1918) en assurant jour et nuit un service extrêmement pénible et souvent périlleux.
Janvier
1920 -
Accident de bicyclette.
- Le
fils Hagron, dont les parents sont fermiers à Reux, près Pont-l’Évêque,
est tombé de bicyclette en passant à Valsemé, et a été grièvement
blessé. M. Hagron, récemment démobilisé, avait été cité trois
fois à l'ordre du jour. (Source : Le Bonhomme Normand)
Février 1924 - Un désespéré. - Neurasthénique depuis longtemps et souffrant de violentes crises d'asthme, M. Hippolyte Routin, 76 ans, s'est tué dans son appartement. Il se coucha sur son lit, se plaça le canon de son fusil sous le menton, actionna la gâchette avec son pied et se fit ainsi sauter la cervelle.
Avril
1928 -
Le feu. -
Un incendie a détruit une
cave-pressoir à M. Roussel, propriétaire à Valsemé, canton de
Cambremer. On croit que le feu a été mis involontairement par un
ouvrier de M. Roussel, Pierre Baudel, sans domicile fixe, qui, ce
soir-là, s'était couché dans le bâtiment. Il a été réveillé,
vers 22 heures, par les flammes sortant de la paille de son lit de
fortune. N'ayant
pu éteindre le foyer, il a quitté la ferme sans rien dire et est allé
finir sa nuit dans un herbage où les gendarmes l'ont découvert.
Janvier 1936 - Une tornade à traversé le canton de Cambremer. - Lundi dernier, vers la fin de la matinée, une tornade traversa le nord du canton de Cambremer, sur une largeur de 200 mètres et une longueur de prés de 10 kilomètres, occasionnant de très graves dégâts aux communes de Rumesnil, Repentigny, Auvillars, Bonnebosq, Valsemé, Clarbec. Le sinistre ne dura guère plus d'une minute et dans son sillage déracina tous les arbres, arracha les toitures, culbuta les cheminées, à Repentigny, un pressoir fut complètement déporté et des murs presque neufs furent, en d'autres endroits sérieusement endommagés. M. Davoust, cultivateur à Auvillars, occupé sous son hangar, essaya de fuir, emporté par le vent, il réussit néanmoins à gagner un abri, mais il lui reste de ce cauchemar, l'illusion que dans sa course les pommiers de ses cours le poursuivaient. M. Lecomte, un voisin de M. Davoust rentrait, lui, dans sa cuisine. La bourrasque le prenant de dos, lui fit traverser la pièce. Dans
un vallon, au château de Criquebœuf, chênes, merisiers, pommiers sont
entassés dans un amas de broussaille impressionnant. Dès qu'ils en
furent avisés, M. le Sous-Préfet de Lisieux, accompagné de M.
Maurice, conseiller général du canton de Cambremer, se rendirent
sur les lieux. Il n'y a pas de victimes à déplorer, mai on estime à
plus de 2 000 (deux mille), le nombre de pommiers abattus et l'on semble
des dégâts à plus d'un million. Les cultivateurs sinistrés comptent
leurs pertes d'arbres en nombre de cordes. M.
Avril 1936 - Un camion détruit par incendie. La semaine dernière, vers 22 heures, un camion de l'entreprise Leproux, de Pont-l'Evêque, transportant une dizaine de bestiaux, a pris feu alors qu'il gravissait la cote de Bonnebosq à Valsemé. Dans
cet incendie, provoqué par un retour de flammes, le chauffeur, M.
Renault, a été brûlé à la main, deux bestiaux ont été atteints
assez gravement par les flammes et le camion a été
entièrement détruit. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Septembre 1938 - Retour de l'heure d'hiver. - Par suite du rétablissement, dans la nuit du 1er au 2 octobre 1938, de l'heure légale antérieure au 27 mars 1938, la journée du 1er octobre aura exceptionnellement une durée de 23 heures. A cet effet, les horloges du Chemin de fer seront retardées d'une heure, à l'expiration de la vingt-cinquième heure. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Octobre 1938 - Un père indigne se pend. - Le nommé Marcel Duquesne, 38 ans, s'est pendu à un arbre sur la route d'Annebault à Valseme. Père de huit enfants, Duquesne. qui est cantonnier, avait abusé de sa fille aînée âgée de 14 ans, à l'insu de la mère qui travaillait à Valsemé. Celle-ci
réussit cependant à connaître l'attitude coupable de son mari. Et
c'est à la suite des réflexions de Mme Duquesne à son époux coupable
sur sa, conduite ignoble, que ce dernier prit la résolution
désespérée. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Décembre
1938 -
Un vol audacieux. -
En plein jour, un
individu a pénétré dans les caves de M. Fouquerel, éloignées de la
maison d'habitation, et s'est emparé de deux cents litres de vieille
eau-de-vie de cidre. Le préjudice subi serait d'environ 5 000 francs. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Mars
1945 -
Violent incendie
dans une ferme. -
Le feu s’est déclaré, à Valsené ; dans un bâtiment à
usage d’étable, d’écurie et de tannerie dépendant de la ferme
appartenant à Mme Miocque et exploitée par M. Preisier. En dépit de
la rapide intervention des pompiers de Bonnebosq, le bâtiment, le
matériel qu’il contenait ainsi que 2 000 bottes de foin ont été la
proie des flammes. Les dégâts sont importants. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Juin
1947 -
Au feu ! –
Un incendie a ravagé, à Valsemé, une grange située dans un
herbage appartenant à M. Rémy Ridel, de Quétiéville, et loué à M.
Gustave Françoise. Soixante-quinze bottes de paille, une échelle et
des outils ont été la proie des flammes. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Mars 1949 - Le nouveau maire de Valsemé. - L'assemblée communale a désigné M. Roger Simon pour succéder à M. Émile Dubosq, décédé. Le nouveau maire a été remplacé dans les fonctions d'adjoint par M. Maurice Lecasble. (Source : Le Bonhomme Libre)
Août 1950 - Une chute mortelle. - Après avoir excursionné dans la région, deux cyclistes, M. et Mme Godard, regagnaient leur domicile aux Lilas (Seine) lorsque dans un virage de la côte de Valsemé, Mme Godard ayant perdu le contrôle de sa machine, est tombée brutalement sur le sol où elle resta sans connaissance. Conduite
à l'hôpital de Lisieux, la jeune femme qui était mère de deux
enfants en bas âge, a succombé à une fracture du crâne. (Le Bonhomme
Libre) |
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VALSEMÉ - L'Église |
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