1er Juin 2025

EUN SYIELLE D'HISTOUÈRE D'CALVADOS    Page 1

VAUDELOGES

Canton de Saint-Pierre-sur-Dives

Les habitant de la commune sont des Vaudelogiens et les Vaudelogiennes.


Juin 1833    -      Par ordonnance royale du 18 mai dernier.   -   La commune d'Abbeville, arrondissement de Lisieux, est supprimée.

Les communes de Vaudeloges et de Réveillon, même arrondissement, sont réunies en une seule, dont le chef-lieu est fixé à Vaudeloges. Fera, en outre, partie de la nouvelle commune, la portion de territoire dépendant de l'ancienne commune d'Abbeville, située sur la rive gauche de l'Oudon.

La portion dépendant de l'ancienne commune d'Abbeville, située sur la rive droite de l'Oudon, fera partie de la commune d'Ammeville. (Mémorial du Calvados)

 

Janvier 1834    -   Nouvelles nominations et fusions de communes.   -   D'après un arrêté pris, en date du 7 janvier, par M. le préfet du Calvados, les nominations suivantes ont eu lieu dans l'arrondissement de Lisieux, M. Ribault a été nommé maire de la commune de Vaudeloge, à laquelle celle de Réveillon et moitié de la commune d'Abbeville viennent d'être réunies.

M. de Malherbe, qui était maire d'Abbeville, est devenu l'adjoint de Vaudeloge. M. Poret a été fait maire de Biéville, en remplacement de M. Thorel-Lacouture, démissionnaire. M. Decornière a été nommé adjoint de la même commune, en remplacement de M. Lerebours, démissionnaire. (Mémorial du Calvados)

 

Août 1854  -  Projet de réunion de la section de Réveillon, commune de Vaudeloge.  -  La proposition de distraire la section de Réveillon de la commune de Vaudeloges, pour la réunir à la commune de Tôtes, considérant que, dans sa session de 1853, le Conseil général, déjà saisi de cette demande, avait, par sa délibération, invité l'Administration à faire instruire un projet qui aurait pour résultat de partager la section de Réveillon entre les deux communes de Vaudeloges et de Tôtes. L'enquête n'a pas été suffisamment ouverte sur ce projet. 

Par ces motifs : Ajourne à statuer et invite M. le Préfet à faire étudier un projet de partage de la section de Réveillon et à le soumettre à la formalité des enquêtes, de manière que le Conseil général puisse prononcer en connaissance de cause dans la prochaine session.

 

Août 1860  -  Loueries.  -  Le Conseil général, a émis vœu de rendre obligatoires les livrets des domestiques qui s'occupent des travaux de l'agriculture, ou qui sont attachés à la personne et rende obligatoire l'inscription sur le livret du denier à Dieu au moment même de l'acceptation des conventions réciproques. Les vœux émis dans le but :

1° De ne pas créer de nouvelles loueries dans le département du Calvados.

2° De restreindre leur nombre, si c'est possible.

3° Que le denier à Dieu soit absolu et non conditionnel.

4° Que les époques des loueries soient toutes fixées après le 15 septembre. Considérant que l'époque et le nombre des loueries n'est pas du ressort de l'administration.

 

Août 1860  -  Kilométrage des lignes, poteaux indicateurs.  -  Les opérations ayant pour but le kilométrage complet des lignes et la pose des poteaux indicateurs au croisement en rase campagne des lignes vicinales, ainsi que des tableaux indicateurs dans les traverses bâties, sont à l'étude, inséparables les unes des autres, elles ne pourront être terminées que simultanément.

Les plans généraux de chaque ligne demandés aux agents-voyers me sont indispensables pour contrôler ce travail d'une manière efficace, ces plans vont être livrés dans un très-bref délai, ce travail si important, si utile en même temps, recevra avant la fin de l'année une exécution presque complète.

Novembre 1865   -   Par arrêtés.   -   M. le préfet du Calvados, en date des 2 et 4 novembre :

-       M. Fresnil (Paul-Constant), conseiller municipal, est nommé adjoint de la commune de Vaudeloges, en remplacement de M. Lebrun, démissionnaire.

-       M. Lefrère (Louis-Arsène), conseiller municipal, est nommé adjoint de la commune d'Auquinville, en remplacement de M. Caboulet, démissionnaire.

-       M. Dujardin (Victorin), conseiller municipal, est nommé adjoint de la commune de Rocquancourt, en remplacement de M. Lucas, démissionnaire.

-       M. Morel (Eugène), conseiller municipal, est nommé adjoint de la commune de Saint-Germain-du-Pert, en remplacement de M. Yger, décédé. (l’Ordre et la Liberté)

 

Novembre 1865   -   Un halo-lunaire.  -   Samedi soir, on a remarqué le phénomène assez rare d'un magnifique halo-lunaire. La lune était entourée d'un immense cercle ayant les couleurs de l'arc-en-ciel. Cela, disent certains pronostiqueurs, nous annonce de grandes pluies avec inondations. (l’Ordre et la Liberté)

 

Novembre 1866   -   La migration.   -   On ne se rappelle pas avoir vu passer dans notre pays, comme depuis ces jours derniers, autant d'oiseaux venant des contrées  septentrionales, surtout des cigognes, des grues et des hérons.

On doit voir là l'indice précurseur d'un hiver précoce et rigoureux.

 

Novembre 1866   -   Les étoiles filantes.   -   Les astronomes comptent sur de magnifiques pluies d'étoiles dans les nuits des 12 et 13 de ce mois.

A cette époque de l'année, on voit généralement un grand nombre d'étoiles filantes. Mais on ne verra pas, dit-on, avant la fin du siècle, un spectacle céleste aussi brillant que celui de cette année.

 

Novembre 1866   -   Un arrêté.   -   Par arrêté du 9 novembre, M. le Préfet a autorisé les instituteurs dont les noms suivent à ouvrir des cours d'adultes, le soir, dans leur commune respectives, à savoir : MM. Ballé, à Cléville ; Lecorbeiller, à Reviers ; Tostain, à Clarbec ; Delacour, à Vaudeloges ; Osmont, à Montbertrand.

 

Juillet 1867   -   Un don.   -   Son Excellence, le ministre de l'Instruction publique, vient d'accorder à la commune de Vaudeloges 60 volumes destinés à être placés dans la bibliothèque scolaire.  

 

Septembre 1867   -   La fête patronale.   -   A Vaudeloges, la fête patronale du pays a été célébrée dimanche dernier avec plus d'éclat et d'entrain que jamais.

La quête faite pendant la messe pour les pauvres, par la reine de la journée a été très fructueuse.

Selon un vieil et charmant usage du pays, la quêteuse procédait à l'église à sa délicate mission, escortée par trois bons gros paysans, dont deux armés de fusils et le troisième porteur d'un cierge.

Le soir le bal, n'a laissé a rien à désirer, pas même le baiser traditionnel, qu'à la fin de chaque danse, les cavaliers péchaient en guise de rafraîchissement sur les joues de leurs danseuses.

Tandis que l'on dansait ici, une scène  assez comique se passait un peu plus loin. Quatre disciples de Bacchus venaient, sans se donner le mot, s'échouer dans une mare située au  milieu de la cour du restaurant. On les en a retirés très sains, mais fort humides.  

 

Septembre 1869   -   Fait divers.   -   Un incendie accidentel a éclaté le 28 septembre dernier, vers 8 heures 1/2 du soir, au village de Réveillon, commune de Vaudeloges. Il a consumé un corps de bâtiments à usage de maison d'habitation, 350 bottes de foin, 50 hectolitres de pommes et de poires à cidre et divers objets, appartenant à MM. Onézime Laine, propriétaire, demeurant à Glos, près Lisieux, Frumence Peulevey, cultivateur, demeurant à Ammeville, Eugène Dauphin et Louis Lesourd, fermiers, occupant le bâtiment incendié.

La perle approximative est évaluée à 4.000 fr. Le bâtiment qui appartient à MM. Laîné et Dauphin est assuré, ainsi que le mobilier de M. Dauphin, mais le foin, les pommes et le mobilier des fermiers ne sont pas assurés.  

 

Avril 1879  -  Écoles de filles, répartition de secours.  - Le Conseil, conformément au rapport de M. le Préfet, répartit une somme de 2 500 fr. à prendre sur le crédit de 5 000 fr. inscrit au budget de 1879, pour établissement et entretien d'écoles de filles. 

Ce crédit, qui existe depuis longtemps, a toujours été employé en indemnités personnelles aux institutrices qui dirigent les écoles facultatives de filles, de manière à rapprocher le plus possible leurs émoluments de ceux déterminés par la loi pour les écoles obligatoires.  

Vaudeloges, 304 habitants, Mme Moulin (Emelie), sœur Saint-Etienne, 10 élèves payantes, 3 gratuites ; 475 fr. de traitement en 1878 ; indemnité personnelle accordée 20 fr.   Ressources insuffisantes.

 

Avril 1880  -  Le Parricide de Vaudeloges.  -  Samedi dernier, à Vaudeloges, canton de Saint-Pierre-sur-Dives, le nommé Aldric Châle, âgé de 17 ans, quittait son père, Jean-Médéric Châle, fermier, pour aller faire diverses commissions à Jort. Le soir arrivé, Aldric n'était pas encore revenu. Les deux autres enfants de Châle, qui sont en bas âge, manifestèrent le désir de se coucher. Châle et sa femme, qui est la belle-mère de ces enfants, convinrent de les mettre au lit avant de dîner, ce qui permettrait d'attendre le retour du fils aîné et de prendre le repas en commun. Pendant, que le père tenait le plus âgé sur ses genoux, il entendit bien un peu de bruit dans le jardin qui entoure la maison, mais il dit à sa femme qui lui en parla : « C'est probablement le fils qui rentre ». Et alors le premier entant étant couché, il donna le second à sa femme pour qu'elle le couchât également. C'est, à ce moment qu'un coup de fusil fut tiré à travers les carreaux de la cuisine. Châle, atteint dans le ventre, tomba sur le plancher. Aux cris de la femme, les voisins accoururent pour lui porter secours. Mais la blessure était mortelle et il a succombé dimanche.

Au moment où tout le monde était empressé autour de la victime, Aldric rentra et se chargea d'aller à Saint-Pierre-sur-Dives chercher un médecin et les gendarmes. Il prévint le médecin, mais nullement la gendarmerie.

Les soupçons ne se portèrent pas tout d'abord sur lui, mais, dans l'enquête, l'ambiguïté de ses réponses frappa la justice. Elle finit par lui faire avouer qu'il était l'auteur du crime. Il avait acheté à un sieur Lemonnier. de Vaudeloges, le fusil qui lui a servi à commettre le crime, et avait eu soin de l'essayer pour s'assurer de son bon état. Après le crime, il a jeté ce fusil dans une mare. Il en voulait, disait-il, à son  père de s'être remarié, et c'est pour cela qu'il l'a tué.

Aldric est un grand garçon, bien bâti, à l'air un peu sournois.  C'était, paraît-il, un travailleur. Châle père n'était âgé que de 42 ans, sa veuve, qui qui était sa seconde femme, en a 22. C'était un ménage fort uni. Ils faisaient bien leurs affaires et allaient prendre une ferme, plus importante.

L'autopsie de la victime a eu lieu mardi et Aldric a été confronté avec le cadavre de son-père. Il n'a manifesté, dit-on, nul repentir et est resté calme.  

 

Juillet 1880  -  Commutation de peine.  -  La peine de mort prononcée contre Chasles, le parricide de Vaudeloges, vient d'être commuée en travaux forcés à perpétuité.

 

Octobre 1880  -  Le parricide Chasles.  -  Chasles, le parricide de Vaudeloges, dont la condamnation à mort a été commuée en celle des travaux forcés, fait partie du dernier convoi de condamnés que le navire de l'État la « Loirs »  transporte en Nouvelle-Calédonie.  

 

Avril 1881  -  Le meurtre de Vaudeloges.  -  Depuis deux ans, la commune de Vaudeloges, canton de St-Pierre-sur-Dives se distingue par les crimes dont elle est le théâtre. L’an dernier, c'était le parricide Chasle qui était condamné à mort. Voici qu’un nouveau meurtre vient d'y être commis.

Au hameau de Neuvillette, Vive les époux Chevalier. Ce ménage était peu uni, souvent des discussions avaient lieu entre les époux au sujet d’une voisine, veuve Jehanne, dite Descours, chez laquelle le mari avait été en service et à laquelle la femme Chevalier avait de graves reproches à adresser. Dans le pays, la presque généralité des sympathies étaient  acquises à la femme Chevalier, dont la réputation et la conduite étaient meilleures que celle de la veuve Jehanne. La première avait doublement à souffrir de l'inconduite, des bravades de la seconde et des brutalités de son mari. Elle avait défendu à la veuve Jehanne de rentrer chez elle. Vendredi midi, voyant la veuve Jehanne reparaître dans sa cour, la femme Chevalier, exaspérée, ne put maîtriser sa colère, saisir le fusil et, volontairement ou non, en décharger les deux coups, fut pour elle l'affaire de quelques secondes, la veuve Jehanne ne fut atteinte qu'au second coup, et tomba foudroyée, le coup de feu avait porté de bas en haut dans un côté du cou et coupé une artère. La femme Jehanne laisse quatre enfants, dont deux en bas âge. La femme Chevallier a été arrêtée.  

 

Avril 1887  -  Recensement des chevaux.  -  Il sera procédé, du 15 mai au 13 juin 1887, à l'inspection et au classement : 1° de tous les chevaux et juments âgés de 6 ans et au-dessus, de tous les mulets et mules de 4 ans et au-dessus (l'âge se compte à partir du 1er janvier de l'année de la naissance) ; 2° des voitures attelées susceptibles d'être requises.

 

Avril 1887  -  A lire par les jeunes soldats.  -  La loi de 1872 dit que les jeunes gens, après avoir été examinés et entendus par le conseil de révision, peuvent faire connaître l'arme dans laquelle ils désirent être placés. Les commandants de recrutement ont reçu l’ordre de déposer dans les mairies les registres destinés à recevoir les demandes non formulées verbalement en séance.

 

Mai 1887  -  Sotte méchanceté.  -  Pendant les vacances de Pâques, les poules de l'instituteur de Vaudeloges ont été empoisonnées. Quatre sont mortes. 

Le même méchant avait déjà cherché à les empoisonner aux jours gras. Il résulte de l'examen de deux vétérinaires et de l'analyse d'un pharmacien que ces volailles ont été empoisonnées avec des pommes contenant de l'arsenic. On dit connaître l'auteur. Pourquoi ne pas le poursuivre ? 

 

Novembre 1888  -  Mort accidentelle.  -  Le jour Toussaint, la dame Granval, née Joséphine Dupont, 73 ans, propriétaire à Vaudeloges, était sortie pour aller chercher de l'eau à la mare qui se trouve dans sa cour. Son mari, ne la voyant pas revenir, alla voir ce qu'elle était devenue. Arrivé près de la mare, i! aperçut sa femme qui y était tombée. Les voisins accoururent, mais ne retirèrent qu'un cadavre.  

 

Janvier 1890  -  Incendie.  -  A Vaudeloges, un incendie accidentel a consumé en partie un magasin, appartenant au sieur Zéphir Debière, propriétaire, et une certaine quantité de marchandises au sieur Léon Morin, épicier et marchand de nouveautés à Notre-Dame-de-Fresnay.

 

Septembre 1891  Une vilaine surprise.  -  Un drame vient de mettre en émoi la commune de Vaudeloges. Vendredi matin, le sieur Grosset ayant aperçu sa femme en compagnie d'un sieur V.... a tiré un coup de fusil sur le couple. 

La femme Grosset a été gravement blessée et le médecin n'ose pas se prononcer.  V…..n'a pas été atteint. Grosset est arrêté. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Septembre 1891  -  Le drame de Vaudeloges.  -  Voici de nouveaux détails sur ce drame conjugal : le sieur Auguste Gosset, propriétaire à Vaudeloges, s'était aperçu, une fois déjà, que sa femme le trompait avec un fermier de la commune, nommé Désiré Verrier, 46 ans. Pour cette fois, le mari s'était montré bon enfant, se contentant de dire à sa femme : « Si je t'y reprends encore, tu verras, ça ne se passera pas comme ça ! »

Ces jours derniers, Gosset fut averti par des voisins que sa femme avait renoué ses relations avec son amant. Il surveilla les coupables en se postant derrière une haie, armé d'un fusil à deux coups. Un matin, il aperçut Verrier qui, à pas furtifs, s'approchait de sa maison, où il entra après avoir échangé un signal, et d'où il sortit presque aussitôt en compagnie de la femme Gosset. Puis le couple se dirigea dans un taillis, juste en face, où était caché le mari. C'est alors que celui-ci, sortant de sa cachette, s'avança jusqu'à une distance de douze mètres et coucha en joue l'amant de sa femme, mais ce dernier, qui avait vu le mouvement, se jeta vivement de côté et c'est la femme qui reçut toute la charge dans la tête et dans l'épaule. Verrier prit aussitôt la fuite, poursuivi par Gosset, qui voulait l'approcher encore de plus près pour ne pas le manquer de son deuxième coup. Mais, par bonheur pour le fuyard, son agresseur fit un faux pas et roula dans un fossé, ce qui lui permit de prendre de l'avance et d'arriver jusqu'à son domicile, où il s'enferma, heureux d'en être quitte pour une course forcée. Gosset, qui avait été écroué à la prison de Lisieux pendant l'enquête, a été mis en liberté sous caution. Quant à la femme Gosset, son état est grave. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Février 1892  -  Outrages à la pudeur.  -  On se rappelle que le sieur Grosset, cultivateur à Vaudeloges, surprit un soir sa femme avec un sieur Verrier et leur lira un coup de fusil qui atteignit légèrement la femme Grosset. Cité en cour d'assises, il fut acquitté. Verrier et la femme Grosset ont comparu en police à Lisieux, pour d'outrages publics à la pudeur. Ils ont eu chacun 6 mois, mais la femme Grosset a bénéficié de la loi Bérenger. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Juin 1892  -  Les voleurs de bestiaux.  -  La semaine dernière, le sieur Loreille, cultivateur à Vaudeloges, achetait, au marché de St-Pierre-sur-Dives, une petite génisse pour la somme de 43 fr. Il attacha l'animal à un anneau et s'en alla au marché aux volailles. Quand il revint, il ne trouva plus rien, un voleur avait pris la génisse. 

 — Nous avons signalé le vol d'un bœuf au sieur Loriot, boucher à Ussy. Le voleur est trouvé, c'est un nommé Alexandre Lebailly, qui est allé faire un voyage à Paris avec le produit du vol. Sachant qu'il était soupçonné, il est venu se mettre à la disposition de la justice. Lebailly parait avoir l'esprit dérangé.  (source, le Bonhomme Normand) 

 

Février 1893  -  Plus de modération.  -  Au dernier marché de Saint-Pierre-sur-Dives, une femme de Vaudeloges, qui était rentrée après l'heure dans la halle au beurre avec un pain de beurre qu'elle n'avait pas vendu, aurait, dit-on, été traitée avec la dernière brutalité par deux employés municipaux. Si le fait est exact, nous ne pouvons qu'engager ces employés à être plus modérés s'ils ne veulent pas faire abandonner le marché de Saint-Pierre-sur-Dives. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Juillet 1895  -  Fumeurs imprudents.  -  M. Maurice Dechauffour, entrepositaire à Douvres, voyageait dernièrement du côté de Vaudeloges. Par trois fois, il essaya d'allumer sa pipe et par trois fois, il jeta des allumettes-tisons qui mirent le feu aux herbes sèches et à une haie. Le feu fût aussitôt éteint, le sieur Dechauffour, menacé de poursuites consenti à donner 100 fr. au bureau de bienfaisance si l'affaire n'était pas poursuivie en justice. 

Les intéressés ne demandaient pas mieux, mais le parquet, ayant eu connaissance des faits, a poursuivi M. Dechauffour pour incendie par imprudence et l'a condamné à 50 fr. d'amende. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Janvier 1896  -   Est-ce un crime ?  -  Samedi, le sieur Busnel, 85 ans, propriétaire à Vaudeloges, a été trouvé mort dans sa maison. Le médecin, appelé à constater le décès, ayant refusé le permis d'inhumer, la gendarmerie a été prévenue. D'après certaines traces de violence relevées sur le cadavre, la mort serait due à un crime. Le parquet de Lisieux s'est rendu à Vaudeloges pour éclaircir ce mystère. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Janvier 1896  -  Les crimes dans l’Auge.    L'on n'a pas encore pu découvrir l'auteur du crime de St-Georges-en-Auge, dont nous avons donné les détails. Le ménage Auduc  vivant en mauvaise intelligence, les soupçons s'étaient tout d'abord portés sur le mari de la victime. Mais celui-ci, qui travaillé à St-Martin-de-Bienfaite, a pu fournir l'emploi de son temps, et ses déclarations ont été reconnues exactes... L'on suppose que la femme Auduc était couchée et que, appelée du dehors, elle aura ouvert la porte a son assassin, qui l'a frappée de deux coups de ciseau à froid. Le vol a été le mobile du crime. 

— Dans le même numéro, nous avons raconté l'assassinat commis à Vaudeloges sur la personne de M. Bunel, âgé de 85 ans. Voici comment le drame a pu être reconstitué.  Le vieillard, qui était alité, a été tiré brusquement de son sommeil. 

Une lutte a eu lieu entre lui et son agresseur qui lui a porté un coup dans le ventre. Les nombreuses tracés de coups relevées sur le corps de la victime en témoignent assez. L'autopsie a révélé que M. Bunel n'est pas mort des suites de ces blessures, le malheureux vieillard a succombé à la frayeur. L'argent de la victime a été retrouvé intact. On se perd en conjectures sur le mobile du crime. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Octobre 1897  -  Interdiction de Pêche.  -  En vue de protéger la reproduction du poisson, la pêche, du saumon est interdite du 30 septembre au 10 janvier, celle de la truite et de l'ombre-chevalier du 20 octobre au 31 janvier, et celle du lavaret, du 15 novembre au 31 décembre. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Octobre 1897  -  Commune maudite.  -  La femme Maria Ferret, née Debierre, épousait, il y a quelques années, et pour la troisième fois, son beau-frère. Son premier fut tué d'un coup de pied de cheval, son second fut écrasé sous un tonneau. La dame Ferret aurait pu s'en tenir là. Elle préféra en tâter encore. Son nouveau mari était un paresseux, un ivrogne et un brutal. N'y pouvant plus tenir, elle demanda son divorce et se retira chez son père, propriétaire à Vaudeloges, canton de St-Pierre-sur-Dives, avec ses deux filles de 12 à 14 ans. A plusieurs reprises, Ferret essaya de reprendre la vie commune avec sa femme qui allait bientôt hériter. Elle refusa toujours. Enfin, jeudi, il fit une dernière tentative. N'ayant pas plus de succès que les fois précédentes, il tira plusieurs coups de revolver sur sa femme et sur son beau-père. La femme fut blessée à la main, son père fut mortellement atteint, malgré les cris de sa fille, qui disait à son mari : « Tue-moi, mais ne lui fais pas de mal ». 

Son crime accompli, Ferret resta quelques instants à contempler son beau-père râlant, puis il se réfugia dans sa maison où il se tua en se tirant au cœur un coup de revolver. M. Debierre avait 74 ans, l'assassin était âgé de 38 ans. 

C'est, croyons-nous, le quatrième crime qui se commet à Vaudeloges depuis quelques années. Le dernier assassinat remonte au 17 janvier 1896. M. Busnel, vieillard de 85 ans, fut trouvé mort chez lui le matin. Le corps était couvert de graves contusions, mais l'autopsie montra que le vieillard était mort de peur. On n'avait rien volé. La lumière n'a jamais été faite sur cette mort mystérieuse. (source, le Bonhomme Normand)  

 

Janvier 1898  -  On y revient.  -  De nouveau on soupçonne Vacher, le tueur de vachers, d'avoir, il y a, deux ans, assassiné la dame Auduc, propriétaire à St-Georges, dans le pays d’Auge. Un autre crime, l'assassinat du sieur Bunel, propriétaire à Vaudeloges, commis vers la même époque, serait aussi mis sur le compte de Vacher. 

Toujours est-il que les auteurs de ces deux assassinats n'ont jamais été découverts. Vacher vient d'être transféré à Lyon pour être examiné par les médecins aliénistes. Il a fallu cinq gendarmes pour le ligoter. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Septembre 1898  -  Vol en plein jour.   -   Le sieur Auguste Guillemin, propriétaire à Notre-Dame-de-Fresnay, près Saint-Pierre-sur-Dives, s'apercevait depuis quelque temps que trois vaches qu'il avait dans un herbage, à Vaudeloges, ne fournissaient plus la même quantité de lait. Voulant en avoir le cœur net, il envova quelqu'un avec mission de surveiller.

La clef du mystère fut bientôt trouvée en la nommée Céline Burin, femme Bemabé, surprise en train de traire les vaches du sieur Guillemin, pendant que les domestiques de ce dernier étaient à déjeuner. (source, le Bonhomme Normand)   

 

Février 1899  -  Fillette brûlée vive.   -   Dimanche, la femme Debierre, 21 ans, demeurant à Vaudeloges, près Saint-Pierre-sur-Dives, qui est sourde et muette, avait laissé seuls à la maison son neveu Robert et sa petite fille Thérèse, 4 et 5 ans, les installant près du feu. Lorsqu'elle rentra, une heure après, elle trouva la fillette étendue au milieu de la pièce, entièrement nue et carbonisée. Une étincelle avait sans doute jailli, communiquant le feu aux vêtements de la pauvre enfant. (source, le Bonhomme Normand) 

 

Novembre 1899   -   Victimes du travail.   -  Le sieur Adolphe Lair, 50 ans, journalier à, Villy-Bocage, chargeait une voiture de chaux au four du sieur Madelaine, à Monts, près Villers, lorsqu'en passant sur un madrier, pour effectuer son travail, il est tombé d'une hauteur de 1 mètre 80. Relevé sans connaissance, le malheureux, qui dans sa chute s'était rompu la colonne vertébrale, a été transporté à la cantine du four à chaux où il est mort le lendemain. Lair laisse trois enfants ; il était veuf. 

— Le sieur Alfred Lemaitre, 30 ans environ, ouvrier maçon à Saint-Pierre-sur-Dives, est tombé du deuxième étage d'une maison où il travaillait, commune de Vaudeloges. On l'a relevé dans un état très grave. 

— Le sieur Victor Pagnant, 26 ans, serrurier chez son père, habitant rue St-Jean, à Bayeux, travaillait à une machine à percer, il a eu un doigt de la main droite écrasé. Il a été amputé. (source, le Bonhomme Normand)  

 

Février 1900   -   Une fillette brûlée vive.     Dimanche, la femme Debierre, 21 ans, demeurant à Vaudeloges, près Saint-Pierre-sur-Dives, qui est sourde et muette, avait laissé seuls à la maison son neveu Robert et sa petite fille Thérèse, 4 et 5 ans, les installant près du feu. Lorsqu'elle rentra, une heure après, elle trouva la fillette étendue an  milieu de la pièce, entièrement nue et carbonisée. 

Une étincelle avait sans doute jailli, communiquant le feu aux vêtements de la pauvre enfant. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Février 1900   -   Les charbons.     Les charbons de terre devenant de plus en plus rares, la hausse continue.

Au début de la guerre du Transvaal, le gouvernement anglais ayant accaparé les mines de Cardiff et de Newcastle qui alimentent notre littoral, les arrivages deviennent de plus en plus rares.

Par suite de l'affluence des demandes, les charbons français sont sur le point de devenir aussi rares que les charbons anglais. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1900   -   Distinctions honorifiques.     M. James, négociant à Caen et maire d'Allemagne, et M. Delacour, maire de Vaudeloges, sont nommés officiers d'académie.  (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Mai 1901   -   Corde de pendu en vente.   -   Pierre Guillot, 63 ans, habitant Vaudeloges, près Saint-Pierre-sur-Dives, était si misérable qu'il ne possédait même pas une corde pour se pendre. Un matin, il en prit une chez son voisin et se pendit avec.

Quand on dépendit Guillot, le propriétaire de la corde la réclama et la mit en vente par bouts. Il n'y en a pas eu pour les demandeurs, car, dans les campagnes surtout, on croit dur comme fer que la corde de pendu porte veine. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juin 1901  -  Il n'y a pas de petit profit  -   A Vaudeloges, près de Saint-Pierre-sur-Dives, un sexagénaire miséreux vole une corde pour se pendre. Le propriétaire de la corde réclame sa restitution et la débite en petits bouts pour la vendre. Car la corde de pendu porte bonheur...

 

Février 1903   -   Vol d’une jument.  -   Une jument de 700 fr. a été volée, la nuit, dans un herbage, au sieur Ernest Bunel, cultivateur à Vaudeloges, canton, de Saint-Pierre-sur-Dives. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1904  -   Médailles d’honneur   -   Des médailles et des diplômes d'honneur sont accordés aux cantonniers désignés ci-après : MM. Marie, cantonnier à Graye-sur-Mer ; Charlotte, à Tilly-sur-Seulles ; Hamel, à Évrecy ; Bouquerel, à Vaudeloges ; Hélaine, chef cantonnier à Creully ; Desdoits, à Mesnil-Durand ; Bonaventure, à St-Hymer ; Baillet, à la Folle ; Léonard, à Saint-Gabriel ; Hurel, à Basseneville ; Viel, à Biéville-sur-Orne ; Chesnais, à la Boissière ; Auvray, à Saint-Benoît-d'Hébertot ; Ybert, à Arganchy ; Letallier, à Morteaux-coulibœuf. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1904  -   La fraude.    -   Deux employés de la régie de Saint-Pierre-sur-Dives, accompagnés de deux gendarmes, ont surpris, le soir, à Vaudeloges, le nommé Charles Bouillard, cultivateur à Ussy, transportant en fraude 400 litres de vieille eau-de-vie de cidre. 

En arrêtant la voiture, un des employés est tombé dessous et s'est fait de légères contusions. Bouillard a refusé de dire où il avait pris le liquide, et, comme il n'a pu fournir de caution, il a été mis à la disposition du parquet. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Avril 1920  -   Un satyre.   -  Gustave Lefais, 22 ans, domestique à Vaudeloges, est poursuivi pour avoir violé une dame Binet, 60 ans, qu'il rencontra, en janvier dernier, sur la route de Mittois. Sa réputation est plutôt mauvaise. Cependant, pendant la guerre, Lefais s'est brillamment comporté devant l'ennemi et sa conduite, lui a valu la médaille militaire et la Croix de guerre. 

Reconnu coupable par le jury, Lefais a été condamné à trois ans de prison. —  Défenseur : Me  Aze. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Mai 1920  -  La fin des maux.   -   A Vaudeloges, canton de St-Pierre-sur-Dives, Mme Leprince, 53 ans, s'est pendue dans sa maison. Cette pauvre femme avait à sa charge son mari malade depuis dix-huit mois. Le ménage était à bout de ressources. On ne peut donc attribuer ce suicide qu'à la misère. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Mars 1921  -  Mortel accident de bicyclette .   -  Un cultivateur de Vaudeloges, canton de Saint-Pierre-sur-Dives, Alfred Aubin, 48 ans, se rendait à bicyclette au marché de Saint-Pierre. Il descendait la côte de Lieury à une vitesse exagérée. Arrivé au tournant de la route de Falaise, il rencontra la voiture de M. Leroux, son cousin, également cultivateur à Vaudeloges. Le malheureux cycliste ne put faire fonctionner ses freins et alla se jeter dans le timon où il se blessa mortellement.

Il fut transporté, aussitôt à l'hôpital de Falaise, mais il expira en cours de route, succombant à une hémorragie interne. Aubin était marié et père de plusieurs enfants. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1921  -   Trop parler nuit.   -  Le sieur Jules Hunoult, 31 ans, ouvrier agricole chez les époux Bernabé, à Vaudeloges, canton de St-Pierre-sur-Dives, vient d'être malgré ses dénégations condamné par le Tribunal de Lisieux, à 6 jours et 100 francs, pour chasse en temps prohibé.

Quatre témoins à décharge qu'il avait fait entendre son également condamnés pour faux témoignage en faveur de ce chasseur enragé : la dame Bernabé, sa patronne, à 2 mois et 100 fr : son fils, à 1 mois et 100 fr. : la fille Moreille et la veuve Roberge, de St-Pierre-sur-Dives, à chacune 50 fr.

Le sursis leur a été accordé, mais pour la prison seulement. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Janvier 1931   -   Une tentative de meurtre.   -   Dimanche soir, M. Raymond Lemoine, charpentier à Vaudeloges, canton de St-Pierre-sur-Dives, rentrait chez lui quand il entendit des cris provenant d'une maison contiguë à la sienne et habitée par les époux Strosse. Il s'y rendit et trouva la femme Strosse, 40 ans, frappant avec la dernière brutalité sur un voisin, M. Lemarchand, que Strosse maintenait à terre, en criant à sa femme : « Il faut qu'on le tue ». M. Lemoine réussit a retirer la victime des mains de ses bourreaux et prévint le maire.

Après les premiers soins, le blessé a été porté, dans un état grave à l'hôpital de St-Pierre-sur-Dives, tandis que les gendarmes arrêtaient les coupables. L'enfant des époux Strosse a été confié à une œuvre d'assistance.

D'après les déclarations de M. Lemarchand, c'est à la suite d'un vol par effraction, commis chez lui dans l'après-midi, qu'il s'était rendu chez Henri Strosse, 54 ans, journalier, qu'il soupçonnait d'en être l'auteur. Il affirme avoir reconnu, cuisant sur un poêle. un morceau de viande qui lui avait été dérobé. Il demanda des explications aux époux Strosse qui, pour toute réponse, se jetèrent sur lui.

Ces deux individus, de réputation déplorable et titulaires de plusieurs condamnations, reconnu avoir frappe leur voisin mais nient l'avoir volé. ( Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1936  -   On découvre le cadavre d’un homme.  -  Hier soir mardi, à 18 heures 30, a été découvert dans un chemin à la limite des communes de Vaudeloges et Barou, le cadavre de M. Georges Bonvoisin, 33 ans, domicilié à Vaudeloges. 

M. Bonvoisin (dont le corps a été trouvé par sa belle-mère) avait été tué d'un coup de fusil qui semble avoir été tiré à bout portant. La mort parait accidentelle.  Un médecin a été mandé et le Parquet s'est rendu sur les lieux. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Janvier 1940  -  Vol de bois.  -   Mme Louis Desnos, âgée de 43 ans, cultivatrice, demeurant à Vaudeloges, s'étant rendue dans un champ lui appartenant et situé sur le territoire de la commune de Montpinçon, s'aperçut de la disparition de deux stères de bois et de 28 fagots.

Elle a porté plainte à la gendarmerie de Saint-Pierre-sur-Dives, en indiquant que le préjudice qu'elle subissait s'élevait à 150 francs environ. Une enquête est ouvert et une piste est actuellement suivie qui pourrait bien amener l'arrestation des voleurs.

 

Novembre 1949   -   Des souvenirs compromettants.   -   Au cours d'une enquête, les gendarmes de Morteaux-Coulibœuf, ont découvert, au domicile de René Dufour, 50 ans, couvreur, demeurant au lieu-dit « Le Reveillon », commune de Vaudeloges : 1 fusil de guerre anglais, chargé, 1 revolver modèle 1892, une boîte métallique contenant 56 cartouches à balle anglaises, 1 paquet de 48 cartouches de 9 mm., environ 2 kilos de poudre de guerre et deux rouleaux de cordon détonant.

Dufour déclare que le fusil lui a été donné par un soldat canadien. Le revolver fut rapporté d'Orient par lui, en 1920. Quant à la poudre et au cordon détonateur, il les récupéra lui-même.

Il gardait, dit-il, les armes comme souvenir et il comptait se servir la poudre et du cordon détonant pour fendre du bois. ( Le Bonhomme Libre )

 

Février 1950   -   Tout se retrouve.   -   L'été dernier, un inconnu, après avoir brisé un carreau, s'introduisait au domicile de M. Albert Besnard, à Vaudeloges, s'appropriant une somme de 1 000 francs et une veste.

La victime devait reconnaître son vêtement sur le dos d'un habitant de la commune. René Dufour. 50 ans, couvreur, qui prétendit d'abord l'avoir acheté au marché de Saint-Pierre-sur-Dives puis trouvé dans un chemin à proximité de l'habitation de M. Besnard.

Déféré au Parquet de Lisieux, Dufour a été écroué. ( Le Bonhomme Libre )

VAUDELOGES  -  Calvaire érigé par M. l'Abbé Chantreuil

Commentaires et informations : Facebook @