1er Décembre 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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VENDES

Canton de Tilly-sur-Seulles

Les habitants de la commune sont des Vendois, Vendoises

Décembre 1852   -  Assassinat.   -   Un cultivateur de la commune de Vendes, près Tilly-sur-Seulles, a été assassiné, dans la nuit de vendredi à samedi derniers, à l'aide d'un instrument contondant qui lui a broyé le crâne.

Le sieur Arsène Guillot, la malheureuse victime de ce crime, était généralement estimé dans la contrée. Il paraîtrait que l'assassinat aurait été commis par la femme même de Guillot, de complicité avec son amant, un plâtrier de la commune de Balleroy, marié lui-même et père de famille. Ce serait au moment où son mari allait partir avec sa charrette pour apporter des légumes à Bayeux, que sa femme, une lumière à la main, excitait l'assassin à l'assommer.

Après avoir consommé leur crime, les deux complices, voulant faire croire à un accident, placèrent le cadavre sur une brouetté pour le porter sur la route et lui placer sans doute la tête sous une des roues de sa voiture. Dérangés par la lumière d'une lanterne qui se dirigeait de leur coté, les deux misérables se retirèrent, en rentrant le cadavre dans la maison. La femme Guillot se coucha tranquillement, et son complice prit la fuite.

L'autorité judiciaire de Caen a commencé de suite une instruction qui se poursuit activement. La femme Guillot a été écrouée à la prison do Caen, il faut espérer que son co-inculpé ne tardera pas à l'y rejoindre.

P. S. Nous apprenons que l'individu soupçonné d'être le principal auteur de l'assassinat du malheureux Guillot a été arrêté à Balleroy. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Décembre 1852   -  l’assassinat de Vendes.   -   Ainsi, que nous l'avons dit, l'individu de Balleroy soupçonné d'être le principal auteur de l'assassinat du malheureux Guillot, à Vendes, a été mise en état d'arrestation. Il parait qu'il aurait fait des aveux complets.

Il a fallu, toute l'énergie des gendarmes et du maire de Tilly pour protéger la femme Guillot, lors de son passage en cette commune contre l'exaspération publique et l'horreur excitée par le forfait qui lui est imputé. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Janvier 1853   -  L’assassinat.   -   L'instruction de l'affaire d'assassinat dont la commune de Vendes a été tout récemment le théâtre, se poursuit avec activité. Il est probable que les accusés comparaîtront devant le jury du Calvados, à la session du 1er trimestre des assises de 1853. L'autopsie du cadavre du sieur Guillot, faite par les docteurs Lebidois et Lépée, a jeté un grand jour sur le rôle qu'auraient joué dans la préparation et l'exécution des individus aujourd'hui poursuivis par la justice. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mars 1853  -   Cour d’Assises du Calvados.   -   Présidence de M. le conseiller Lentaigne. Audience du 2 Mars.

Le nommé Clovis-Désiré Marie, peintre et la dame Guillot, demeurant tous deux à Balleroy, prévenus d'avoir de complicité, le 18 décembre dernier, à Vendes, commis, avec préméditation, un homicide volontaire sur la personne du sieur Arsène Guillot, ont été condamnés à la peine capitale, et la veuve Duvivier, gardienne de bestiaux, demeurant à Vendes, aux travaux forcés perpétuels, pour s'être aussi rendue complice de ce crime. Cette affaire a été la dernière de la session. (Source :  Le Journal de Honfleur)

 

Avril 1853   -  Nouvelles locales.   -   Ainsi que nous l’avons annoncé, il parait avéré que la veuve Guillot de Vendes, qui a acquis dans notre pays une triste célébrité par suite de sa condamnation à la peine de mort pour crime d'assassinat sur son mari, est enceinte de 4 mois.

Son exécution sera, en conséquence, ajournée jusqu'après son  accouchement. La veuve Duvivier, sa complice, condamnée à perpétuité est partie pour la maison centrale de Rennes. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Juin 1853  -   La peine de mort.   -   Les nommés Clovis-Désiré Marie, âgé de 33 ans, maçon, peintre et vitrier, demeurant à Balleroy, et la veuve Arsène Guillot, née Marie Françoise-Elisabeth Tribouillard, âgée de 42 ans, propriétaire, demeurant à Vendes, condamnés à mort, le 3 mars, par la cour d'assises du Calvados, comme coupables d'avoir, le 10 décembre dernier : Marie, commis, avec préméditation, un homicide volontaire sur le sieur Arsène Guillot, propriétaire à Vendes ; la veuve Guillot, assisté Marie dans ce crime, ont subi leur peine, à Caen, mardi dernier.

La femme Duvivier, née Victoire Hellouin, accusée d'avoir participé sciemment au même fait, ayant obtenu du jury des circonstance atténuantes, ne fut punie que de la peine des travaux forcés perpétuels, qu'elle subit maintenant à la maison centrale de Rennes. (Source :  Le Journal de Honfleur)

 

Décembre 1853   -   Nouvelles locales.   -   On lit dans le rapport de M. Bertrand, doyen de la Faculté des lettres :

Pour le baccalauréat, il y a eu, dans la dernière année scolaire, 264 examens, en y comprenant la session tenue à Rouen, où se sont présentés 38 candidats.

Dans ces 264 examens, 25 candidats ont figuré plusieurs fois, de sortes qu'il n'y a eu en réalité que 239 candidats, sur lesquels 115 ont été admis et 149 ajournés.

Un seul a obtenu la mention très-bien,  M. Guernier, élève du collège de Bayeux, et la mention bien a été accordée à MM. Huet, de Falaise, élève du collège de la même ville, et Cosne, de Vendes (Calvados), élève du lycée de Caen. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mai 1869   -  Les récoltes.   -   les blés croissent avec vigueur surprenante ; les seigles ne sont pas moins magnifiques, et donnent lieu à de grandes espérances.

Les semis de mars, que, dans un moment de terreur l'on avait généralement condamnés, sont bien levés et couvrent la terre d'une végétation qui fait prévoir un rendement.

Les pommiers et les poiriers couverts de fleurs, paraissent d'immenses bouquets, dont la transformation s'opère dans de bonnes conditions. Nos colzas ont beaucoup souffert des intempéries de mars.

Dans l'Eure, ils sont pour la plupart ravagés par les pucerons, et bon nombre de champs ont déjà été retournés.  

 

Octobre 1869   -   Fait divers.   -  Le 27 octobre dernier, vers six heures du soir, la femme Guérard, demeurant à Vendes, après avoir allumé du feu pour faire le repas de sa famille, s'absenta momentanément de son domicile, y laissant ses deux enfants, dont l'aîné était âgé de six ans et demi.

Presque aussitôt son départ, le nommé Pierre Lelantier, son voisin, fut attire par les cris redoublés des deux enfants, et en arrivant auprès d'eux, il trouva les vêtements de l'aîné tout enflammés. Malgré ses secours, cet enfant qui avait eu de fortes brûlures au dos, à la figure et sur la poitrine, est mort le lendemain à deux heures du matin.  

 

Septembre 1870   -  Les effets de la guerre.   -   On demande partout la prompte organisation de la garde nationale, et cependant dans certaines communes la chose se fait mollement. La commune de Vendes, canton de Tilly-sur-Seulles, est de ce nombre.

Dimanche, les miliciens vendois étaient convoqués, à l'issue des vêpres, sur la place du pays, en face de l'auberge qui en décore le centre.

Mais si peu avaient répondu à cet appel, que le sergent-major a dû renvoyer la réunion au dimanche suivant, en déclarant que les absents seraient passibles d'une amende de 1 fr., et 2 fr. en cas de récidive, et que cette somme serait mangée en compagnie.

Cette proclamation a été accueillie par les cris de  « Vive not’ sergent-mangeur ! »  

 

Avril 1879  -  Demande de subvention.  -  Le Conseil général, considérant que les demandes de subvention sur les fonds de l'État, pour travaux aux églises et aux presbytères, a été établi  conformément à l'article 2 de la loi du 10 août 1871, en tenant compte de l'urgence de ces travaux, ainsi que des charges et des ressources des communes. Prie M. le Ministre de vouloir bien accorder aux communes les subventions demandées pour travaux aux églises et aux presbytères, à Vendes, travaux à l'église. Montant de la dépense 9 360 fr. déficit : 1 210 fr.

 

Octobre 1881  -  Incendie.  -  Un incendie, dont la cause est inconnue, s'est déclaré dimanche dernier, dans la commune de Vendes. Le feu a pris vers 7 heures 1/2 du soir, sur la ferme de Mlle Faucon, occupée par M. Sanson. Il n'a pas tardé à prendre une extension inquiétante et à embraser des bâtiments à usage de grange, attenant à la maison manable. Les pompiers de Cheux sont arrivés à temps pour prévenir des désastres incalculables.  

 

Mai 1890  -  Incendie.  -  Incendie dans un bâtiment appartenant au sieur Richard Langlois, propriétaire à Vendes. Deux bâtiments, contenant de la paille, du foin, du bois et divers autres objets, ont été consumés. Perte approximative, 4 000 fr.  

 

Novembre 1893  -  Chronique judiciaire.  -   Arthur Eudine, 22 ans, ancien facteur à Tilly-sur-Seulles, abus de confiance de somme d'argent au préjudice du sieur Basley, et suppression de lettres, 2 mois et 5 ans d'interdiction. 

— Albert Girouard, 10 ans, et Jules-Alphonse Marin, 7 ans, écoliers à Vendes, attentat à la pudeur sur une petite fille de moins de 13 ans, remis à leurs parents. 

— Gustave Postel, 33 ans, journalier à Troarn, coups et blessures à la veuve Destigny, 6 jours de prison. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1894  -  Chronique judiciaire.  -  Désiré Huet, 25 ans, journalier à Vendes, vols de récoltes au préjudice des sieurs Picard et Després, 1 mois, 16 f. d’amende.

— Jean Gonflant, 65 ans, journalier à Coulombs, vol de douves et de fonds de tonneau au sieur Debieu, 1 mois de prison. 

— Édouard Laurier, 61 ans, journalier à Démouville, vol de paille au sieur Hamon, 6 jours de prison. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Mars 1897  -  Une histoire qui tourne au tragique.  Il y a quelque temps, M. Robillard, huissier à  Caen, se rendait à St-Waast, canton de Tilly, pour signifier à un sieur Morin, meunier, une demande en divorce au non de sa femme. A la vue de l'huissier, Morin, alla se jeter dans la rivière, sa mère l'y suivit pour le sauver. L’huissier à son tour se précipita héroïquement à l'eau et repêcha Morin auquel tout ruisselant d'eau, il signifia son exploit. M. Robillard en a été quitte pour un rhume de cerveau, mais le pauvre Morin ne s'en est pas tiré à si bon compte. Quelques jours après, il mourait des suites du refroidissement qu'il avait- attrapé dans l'eau. Après l'enterrement de l’infortuné Morin on est allé faire un charivari à Vendes, ou habite la femme Morin divorcée par la mort mais les gendarmes ont pris mal la chose et  ont fait des arrestations et dressé des procès-verbaux à plusieurs des charivariseurs. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1901   -   Jugement intéressant.  -   Ce qui suit intéresse particulièrement les communes ayant des infirmes parmi leurs habitants. Car, lorsqu'une commune place un incurable dans un hospice, elle prend par cela même, et malgré toutes conventions contraires, l'obligation, ou de payer la pension jusqu'au décès du malade ou de le faire retirer lorsqu'elle veut cesser la pension.

— La commune de Vendes, près Tilly-sur-Seulles, avait fait admettre une paralytique à l'hospice de Villers-Bocage moyennant une redevance annuelle complémentaire de 200 francs, le département donnant le surplus.

Mais, la paralytique n'en finissant pas de mourir, la commune de Vendes déclara, au bout de cinq ans, cesser ses paiements.

— « Enlevez votre infirme », lui dit alors l'hospice.

— « Elle y est bien, qu'elle y reste », répondit le chef de la municipalité de Vendes.

Deux ans après, la paralytique décédait et l'hospice réclamait 400 fr. à la commune de Vendes. Celle-ci refusa de délier les cordons de la bourse des contribuables. Le différend a été soumis au tribunal civil de Caen. Il vient de donner raison à l'hospice, malgré le soutien de la commune qui se croyait dégagée parce que, selon ses conventions, elle avait, au début d'une nouvelle période, prévenu l'hospice huit jours à l'avance, comme pour une servante à tout faire.  (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Novembre 1901    -   Morts accidentelles.  -  Le sieur Edmond Mallet, âgé de 33 ans, employé chez le sieur Laisné, entrepreneur de travaux à Caen, s'était rendu, dans la journée, à Cheux, pour livrer un chargement. Au retour, en montant la cote de Vendes, Mallet tomba à la renverse de sa voiture sur le sol et se brisa la colonne vertébrale. Relevé par des témoins de l'accident, Mallet est mort dans la nuit. Il laisse une veuve et un enfant.

— Le sieur Chesnel, 47 ans, était occupé à creuser un puits chez M. LepeItier, boulanger à Saint-Pierre-d'Entremont. Il venait de bourrer une mine et, après avoir allumé la mèche, il remontait à la surface lorsque, arrivé à environ trois mètres de l'orifice, la corde dont il se servait vint à se rompre, et le malheureux fut précipité dans le puits. Au même moment la mine faisait explosion.

Chesnel fut tué sur le coup, il avait le ventre ouvert. Chesnel, était né à Pierres (Calvados), marié et père de cinq enfants, et sa femme est prête d'accoucher du sixième.

— Le sieur Louis Julien, 44 ans, cultivateur à Saint-Martin-de-Mieux, a été trouvé sur la route de St-Pierre-sur-Dives le ventre troué d'un coup de pied du cheval qu'il conduisait. La mort a été instantanée. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Janvier 1914  -  Écrasé par un arbre.  -  M. Émile Anquetil qui travaillait à abattre des arbres chez un cultivateur de Vendes, a reçu un tronc tout entier sur le corps. Il a reçu une telle commotion cérébrale et des blessures si graves qu'il est mort à l'hôpital de Caen.

 

Octobre 1927  -  Drame de famille.  -  Tandis qu'une longue série de malheureux, presque tous poussés au crime par la intempérance, défilait devant les Assises du Calvados, un drame provoqué encore par l'alcool, se déroulait à Vendes, canton de Tilly-sur-Seulles où habitent les époux Eugène Thérin et leurs deux enfants. Ivrogne, brutal et de mauvaise réputation, le mari, journalier agricole, âgé de 29 ans, martyrisait sa femme qui, à plusieurs reprises, avait dû se réfugier chez une voisine, Mme Lepetit.

Dernièrement, à la suite d'une scène particulièrement violente, cette dernière allait à Bougy chercher le père de Mme Thérin, M. Léon Frilley, 55 ans, maçon. Au reproche du beau-père, le gendre répondit par des menaces puis, de plus en plus agressif, marchait sur M. Frilley. Pris de peur, celui -ci reculait mais, acculé contre une barrière, il sortait un revolver de sa musette et tirait deux coups sur son agresseur qui fut légèrement atteint à la cuisse et au ventre. Malgré cela, Thérin se ruait sur son beau-père, les deux hommes roulèrent à terre et, dans la bagarre, un troisième coup partit, effleurant le forcené à l'arcade sourcilière. Enfin maîtrisé, il était conduit à l'hôpital de Caen pour y être pansé.

Quant à M. Frilley qui a été arrêté, il ne saurai résulter pour lui aucune suite fâcheuse de cette affaire où il n'a fait que se défendre, il jouit d'ailleurs à Bougy, dont il fut maire, de la meilleure réputation.

 

Janvier 1930   -  Plainte.   -  Au sujet d'un vol, commis chez Mme Duval, à Noyers, les gendarmes ont appris qu'une personne d’Anctoville aurait acheté différents objets volés qui lui auraient été vendus par le nommé Louis Leblond, brocanteur à Vendes. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mars 1932   -   Et les mœurs ?   -   Georges Catherine, 29 ans, ouvrier de fromagerie, à Creully, vient d'être arrêté pour attentat à la pudeur sur une fillette de 12 ans.

- De même, Ernest Letellier, 20 ans, journalier à Vendes, canton de Tilly-sur-Seulles, vient d'être appréhendé pour tentative de viol, sous menace d'un couteau, sur Mlle Augustine Juin, 22 ans, à Lingèvres. (Bonhomme Normand)

 

Février 1937  - Un incendie suspect détruit trois meules et une batteuse.  -   Au cours de la nuit, un incendie a détruit, dans un champ situé en bordure du chemin de Tilly-sur-Seulles à Evrecy, trois tas de grain, deux représentant 125 gerbes, et le troisième en comportant 900, appartenant à M. Collard, cultivateur à Vendes. Une machine à battre, appartenant à un entrepreneur de la localité, M. Carini, a été également la proie des flammes. 

Le grain, représentant une valeur de 1 600 francs était assuré, de même que la machine pour laquelle M. Carini avait souscrit une police de 20 000 fr. 

Le sinistre paraît dû à la malveillance. La gendarmerie de Tilly-sur-Seulles a ouvert une enquête. En 1935, M. Carini avait déjà, perdu une batteuse dans un incendie. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1945  -  Un nouveau geste fraternel de nos amis méridionaux.    A la suite de la visite faite à Tilly-sur-Seulles et Vendes, une délégation de Condom (Gers), un wagon entier de vêtements, ustensiles de ménage, œufs, légumes, etc… a été envoyée aux deux localités sinistrées. MM. Leroux et de Longuemare, maires de Tilly et Vendes ont adressé à M. et Mme Fraysinier et M. Durieu, délégués de Condom, qui ont procédé à la distribution les remerciements de leurs administrés.  (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1949   -   Le Calvados à l'honneur.   -   Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération.

Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme.

Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division.

Arrondissement de Caen

Canton de Tilly-sur-Seulles.  -  Tilly-sur-Seulles (D) ; Brouay (R) ; Cheux (R) ; Cristot D) ; Fontenay-le-Pesnel (D) ; Grainville-sur-Odon (D) ; Juvigny (R) ; Le Mesnil Patry (R) ; Mondrainville (R) ; Norrey-en-Bessin (R) ; Rots (R) ; Saint Manvieu (R) ; Saint-Vaast-sur-Seulles (R) ; Tessel (R) ; Vendes (R). (Source  : Le Bonhomme Libre)

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