15 Septembre 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

 

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VIERVILLE s/ MER

Canton de Trevières

Les habitants de la commune sont des Viervillais, Viervillaises

Août 1842    -  Nouvelles locales.   -   Le mot varech ou wrack, dans notre pays, ne désigne pas et n'a jamais désigné une plante unique de la famille des algues : il signifie une plante, une herbe quelconque que la mer jette sur ses bords, et jadis, par extension, tous les débris qui échouaient sur les côtes. — Il était synonyme d'épave.— De là les expressions tomber en wrack, jeter en wrack, encore fort usitées aujourd'hui.

C'est à tort que M. Pilet a dit que le varech avait autre fois sa législation, mais que les lois qui régissent la matière sont tombées en désuétude. Trois ou quatre condamnations ont frappé, cette année même, en 1842, dans l'arrondissement de Caen, des individus qui y avaient contrevenu.

Le droit de recueillir le varech appartient au premier occupant, le droit de récolter les algues qui croissent sur les roches et que sans doute, par analogie, on appelle aussi varech, appartient généralement aux communes sur le territoire desquelles il a poussé.

Au moyen-âge il constituait un droit féodal. Nous voyons, en effet, par une charte du XIIe  siècle, conservée aux archives de la préfecture du Calvados, que Richard-Cœur-de-Lion donne aux moines de St-Etienne de Caen le port de Dives, avec un chantier pour la construction des navires auquel il ajouta le droit de wrack. L'abbesse de Sainte-Trinité de Caen jouissait aussi de ce droit dans diverses paroisses du Cotentin, notamment dans celles de Saint-Vast, de Quettehou et de Morsalines. Beaucoup d'autres seigneurs possédaient de semblables privilèges, mais il est probable que les uns et les autres de ces privilèges étaient plus ou moins restreints et que les cultivateurs riverains en étaient quittes pour abandonner aux suzerains les épaves proprement dites.

En tout cas, si ces dîmes existèrent jamais, on ne les payait plus, bien avant le XVIIe  siècle, car la Coutume de Normandie n'appelle droit de varech que le droit de s'emparer des choses jetées par la mer à terre.

L'ordonnance de la marine de 1681 organisa par son titre X du livre 4e, la coupe du varech dans les paroisses situées sur les côtes.

Les habitants des paroisses devaient s'assembler le premier dimanche du mois de janvier de chaque année, pour régler les jours auxquels devait commencer et finir la coupe des herbes marines croissant en mer à l'endroit de leur territoire.

Les habitants des communes d'Hermanville, Lion et ses hameaux, Luc, Langrune et ses hameaux, Bernières, Courseulles, Arromanches, Tracy, Manvieux , Fontenailles, Longues, Marigny, Commes et ses hameaux, Port-en-Bessin, Huppain, Villers, Ste-Honorine-des-Pertes, Colleville et St-Laurent, pourront faire ladite coupe pendant trente jours, qui seront choisis entre le troisième jour avant la pleine lune de mars, et le troisième jour après la pleine lune d'avril. Ceux des communes de Vierville, St-Pierre-du-Mont, Englesqueville et Grandcamp, pourront faire la coupe des dites herbes, pendant trente jours. à compter du 1er du 15 mars jusqu'au 15 avril suivant.

-  Les conseils municipaux desdites communes, s'assembleront le 11 ventôse prochain, sur la convocation des maires, pour faire ledit choix, auquel il sera procédé les années suivantes, à la session fixée au i5 pluviôse par les lois du 28 pluviôse an VIII.

-  La coupe ou récolte desdites herbes sera faite à la main, avec un couteau ou faucille. Il est défendu de la faire d'une autre manière, et d'arracher lesdites herbes avec la main ou avec des râteaux et autres instruments qui puissent les déraciner, la peine de trois cents livres d'amende pour la première fois, et de peine corporelle en cas de récidive.

-  Ceux qui ne seront point habitants des communes dénommées en l'art. II, ne pourront y faire la coupe desdites herbes de Mer, pour quelque cause et sous quelque prétexte que ce puisse être, à peine de trois cents livres d'amende pour la première fois, et de peine corporelle en en cas de récidive.

-  Il est également permis à toutes personnes de prendre indifféremment, en tous temps et en tous lieux, lesdites herbes détachées des rochers par l'agitation de la mer et jetées à la côte par le flot, et de les transporter où bon leur semblera, soit pour être employées à l'engrais des terres ou à faire de la soude. Il est défendu de les y troubler ni inquiéter, quand bien même ceux qui enlèveraient ces herbes les auraient prises sur d'autres territoires que le leur, à peine contre les contrevenants , de cinquante livres d'amende.  (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mai 1843   -  Nouvelles locales.   -   Le mauvais temps qui dure depuis un mois est préjudiciable aux céréales ; déjà sur notre marché le blé a un peu renchéri et le pain a subi une augmentation de 5 centimes par kilog. Il est vrai que les blés des fortes terres ont gagné plus en herbe qu'en épi, en plusieurs endroits ils sont déjà même couchés. Toutefois, il suffirait de quelques jours de beau temps pour réparer le mal.

Les foins auraient aussi besoin d'un temps sec ; dans beaucoup de prairies ils jaunissent par le pied.

Les colzas se présentent bien cependant, et tout annonce que cette denrée aura une bonne année.

On nous écrit du pays d'Auge que les pommiers offrent les plus belles espérances ; il y a longtemps même qu'on n'avait cru à une récolte aussi abondante ; déjà le cidre a subi une certaine baisse, et dans nos faubourgs hors-barrière on le donne à 20 centimes le double-litre. (Haro ) (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mai 1843   -  Chronique des Assises.   -   La 2e session des assises du Calvados s'est ouverte, lundi 15 mai, sous la présidence de M. Regnault. Les quatre premières audiences, dont nous donnons l'analyse succincte, ont déjà offert un certain nombre d'affaires concernant notre arrondissement. Après les préliminaires d'usage, les débats ont  commencé.

  Godet est convenu dans l'instruction comme aux débats qu'il avait, en passant par-dessus le mur de la cour de M. Jahiet, propriétaire à Bayeux, volé des lapins et trois volailles. Ce crime sera expié par deux ans de prison.

  Merline a brisé la commode qui contenait les effets et le pécule d'un sieur Lebrun, domestique à Vierville. Il a pour pénétrer dans la boulangerie où était cette commode, escaladé une fenêtre et brisé deux carreaux de vitre, tout cela pour s'emparer d'une modique somme de 10 fr. 50 c.

Après de nombreuses hésitations, Merline a fini par confesser sa faute. Il a été condamné à trois ans d'emprisonnement. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Octobre 1843   -  Nouvelles locales.   -   En Basse-Normandie, l'existence de phénomènes de la nature, que depuis le commencement de l'automne ils se sont multipliés autour de nous. Beaucoup d'arbres d'espèces diverses se sont parés d'un second feuillage, et dans plusieurs communes du Pays-d'Auge, voire même sur la route de Caen à Lisieux, on remarque en ce moment certains pommiers tout couverts de fleurs parmi d'autres qui menacent de se rompre sous le poids des fruits maintenant à peu près murs dont, par extraordinaire, ils sont surchargés cette année jusqu'à l'extrémité des branches les plus frêles et les plus délicates en apparence. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Octobre 1843  -  Nouvelles locales.   -   Dernièrement un beau phoque poussé par la violence de la mer a été trouvé échoué sur notre cote, par un douanier de Vierville. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mars 1846   -  Nouvelles divers.   -  M. le ministre de l'intérieur, sur un projet rédigé par l'architecte de Bayeux, vient d'accorder un secours de 340 francs à la commune de Vierville, pour l'aider dans les réparations urgentes que réclame son église, classée dans les monuments historiques. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Avril 1846   -  Nouvelles divers.   -   M. le ministre de l'intérieur, sur un projet rédigé par l'architecte de Bayeux, vient d'accorder un secours de 340 francs à la commune de  Vierville pour l'aider dans les réparations urgentes que réclame son église, classée dans les monuments historiques. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Décembre 1846   -  Nouvelles locales.   -   Jeudi dernier un cabriolet qui parcourait la route de Vierville à Vouilly a été renversé violemment en passant sur un mètre de galet. Un des voyageurs qu'il portait ayant voulu sauter, au moment de l'accident, est tombé assez violemment pour se casser la cuisse.  (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mai 1847   -  Nouvelles locales.   -   Le sieur François Gueret, maître de barque à Trouville, décoré de plusieurs médailles pour des actes d'humanité accomplis à la mer, dans des circonstances périlleuses était depuis plusieurs années, porté au tableau d'honneur. Gueret vient de recevoir la décoration de l'ordre royal de la légion d'honneur.

Ont encore été décorés, dans la marine, dans le quartier de Cherbourg, MM. Hennequin, sous-commissaire de marine à St-Vaast-la-Hougue, Daviel, enseigne de vaisseau ; Foliot de Vierville, sous commissaire en retrait. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Septembre 1851   -   La grande marée.   -   Ainsi que nous l'avons annoncé déjà, il doit y avoir, le 26 de ce mois, une marée qui dépassera même en hauteur celle du 19 mars dernier, qui causa, on se le rappelle, quelques dommages sur la côte d'Angleterre.

Le phénomène de cette marée, la plus forte de l'année, est dû aux circonstances astronomiques suivantes : le 26, le soleil et la lune passeront, comme à toutes les nouvelles lunes, à peu près simultanément au méridien, en outre, à cette date, la lune sera très rapprochée de la terre, enfin, les ascensions droites et déclinaisons des deux astres différant fort peu, ils seront très rapprochés l'un de l'autre au moment du passage au méridien, et, par suite, leurs attractions concorderont.

Dans notre contrée, deux points surtout pourraient s'en ressentir : la falaise de Vierville et les terrains, déjà envahis, qui se trouvent entre Courseulles et Bernières. (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mai 1853   -  Cour d’Assises du Calvados.  -  Session du 2e trimestre de 1853. Présidence de M. le Conseiller Courtoise.

Voici d'abord la liste des jurés de l'arrondissement du Bayeux, appelés à faire le service pendant la durée de cette session : Carité (Auguste), propriétaire au Breuil ; Le Baron (Alfred-Charles), marchand de nouveautés, à Baveux ; Tillard (Etienne), propriétaire à Sallen ; De la Bove-Duvalbourg (Charles Eléonor), maire, à Bezeuville; Savary (Aymar-Aimé), propriétaire, à Mosles.

Audience du 16 mai    La première affaire de la session est celle des nommés Baptiste Marie dit Busquel, domestique, né à Asnières en 1826, et de Louis-Ludovic-Alexaudre Catherine, journalier, né à Longueville en 1829, tous deux demeurant à Vierville, et accusés : 1° Marie, d'avoir, à Vierville, en février et en mars 1853, volé du blé au préjudice du sieur Lebrun, dont il était le domestique à gages.    2° Catherine, d'avoir procuré à Marie les moyens de commettre ces vols et d'en avoir sciemment recelé les produits.

Déclarés coupables, mais avec circonstances atténuantes, Marie et Catherine ne sont punis que de deux ans d'emprisonnement.

Ministère public. M. Champin, avocat-général. —  Défenseurs, pour Marie, Me Desgrois ; pour Catherine, Me  J. Bénard. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mai 1857   -   Nécrologie.  -   La mort vient d'enlever à la tendre affection de sa famille et aux sympathies de ses nombreux amis, l'un de nos dignes et honorables concitoyens. M. Casimir de Lépesse est décédé, mardi dernier, en son château de Vierville, dans sa 69e année.

Ancien capitaine d'infanterie, chevalier de la Légion d’Honneur, M. de Lépesse avait pris une part active et distinguée aux dernières guerres du premier Empire. Il avait quitté, jeune encore, la carrière militaire pour se marier et pour se fixer dans notre contrée, où la noblesse de ses sentiments et l'aménité de son caractère lui avaient conquis l'affection et l'estime universelles.

Ses obsèques ont eu lieu, hier jeudi, en l'église de Vierville, au milieu d'une nombreuse affluence de ses parents et de ses amis, venus de la ville et des communes environnantes, pour[1]payer à sa mémoire le suprême tribut de leurs profonds et unanimes regrets. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Février 1859   -  Un événement malheureux.   -   Le 23 janvier dernier, vers six heures du soir, il faisait un grand vent et un temps très sombre, M. Voydis, brigadier des douanes à Vierville, était alors de service sur la falaise de ce poste, en marchant, il s'est malheureusement détourné de la route ordinaire et s'est précipité du haut en bas de la falaise, à un endroit presque à pic, de la hauteur d'environ quarante mètres et a tombé sur les pierres. Le préposé Lelong, qui était de service avec lui, a été prévenir de suite le poste, afin d'aller à sa recherche, et c'est son fils unique, âgé d'environ 19 ans, préposé à demi-solde à ce même poste, qui le premier a trouvé son père sans vie, la mort avait été instantanée.

M. Voydis emporte les regrets de tous ceux qui le connaissaient. ( Source : L’Indicateur de Bayeux)           

 

 Octobre 1859   -   La ligne télégraphique.   -   Les éludes pour l'établissement d'une ligne télégraphique sur notre littoral avancent très activement. Cette ligne sera reliée aux villes de l'intérieur du département par un embranchement partant de la Pointe de la Percée, commune de Vierville, et passant par Port-en-Bessin. On doit ensuite s'occuper de la construction d'une seconde ligne partant de Caen pour aller à Ouistreham, ligne dont l'utilité se fait de plus en plus sentir. ( L’Indicateur de Bayeux)

 

Janvier 1861   -   Le temps.   -   La gelée est arrivée à temps pour nous préserver des inondations. Dans tous les départements, le cours des rivières s'était enflé dans des proportions menaçantes.

A Paris, la Seine a acquis un niveau auquel elle ne s'était pas élevée, assure-t on, depuis 1819. A cette époque et au moment des plus grandes eaux, la Seine fut prise, et les promeneurs, traversant le fleuve sur cette nappe unie de glace, purent se donner la satisfaction d'inscrire leur nom au-dessus des arches du Port-Royal. ( L’Écho Honfleurais)

 

Juillet 1861   -   Un accident de la route.   -   Jeudi dernier, à Vierville, un petit garçon de neuf ans et demi, nommé Turgis, jouant sur la grande route, voulut passer devant un banneau que conduisait un domestique de M. Ygouf, le sieur Tanquerel. Ce dernier ne put arrêter son cheval assez promptement, l'enfant tomba et une des roues lui passa sur les jambes.

Tous les témoins de l'accident s'accordent à dire qu'il n'y avait nullement de la faute du conducteur. ( L’Ordre et la Liberté )

 

Avril 1864   -   Nécrologie.   -   Mercredi dernier ont eu lieu les obsèques de M. l'abbé Voisin, curé de Vierville, décédé à la suite d'une longue et cruelle maladie.

Une foule immense accompagnait à sa dernière demeure le vénérable ecclésiastique, dont la mort est un deuil pour tout le pays où il était si bien apprécié.  M. l'abbé Voisin était âgé de 70 ans. (l’Ordre et la Liberté)

 

Décembre 1864   -   La poste.   -   Par décision du Conseil des postes, en date du 16 décembre, la distribution de Formigny est transférée à Vierville-sur-Mer, à partir du 1er février 1865.

Par arrêté du 24 décembre, M. le préfet du Calvados a nommé, en conséquence, distributrice à Vierville-sur-Mer, Mlle Dumont, actuellement distributrice à Formigny. (l’Ordre et la Liberté)

       

Mai 1873   -  Les Événements.   -   Samedi soir, M. THIERS a donné sa démission, de Président de la République française. Il a été remplacé par le maréchal de Mac-Mahon, duc de Magenta. Le maréchal-Président est âgé de 65 ans.

 

Juillet 1873   -  Mystère.   -   Un nommé Langlois, âgé de 40 ans environ, demeurant à Russy, près Bayeux, a eu la tête écrasée sous la roue de sa voiture à Vierville-sur-Mer. Il a été  transporté immédiatement dans une maison ou, il a expiré peu d'instants après. On a pensé tout d'abord que cette mort était purement accidentelle, mais maintenant on ne sait que croire à ce sujet. Un cheval avait été volé dans la commune de Russy. Les soupçons se portèrent sur Langlois, qui avait pu fournir des explications satisfaisantes sur l’endroit où il était au moment du vol. Un mandat d’amener avait été lancé contre lui, et lundi au moment ou les gendarmes venaient pour l'arrêter à Russy, on leur apprenait qu’on l'enterrait à Vierville. Cet homme était marié, sans enfants. Une personne dit à la mère, que son fils était soupçonné de ce vol, elle répondit : « J'aimais, mieux le voir mort que de le savoir coupable ». Peu de temps après, on lui annonçai la mort de son fils.

 

Avril 1874   -   Chien enragé.  -  La semaine dernière, le sieur Legalois, marchand à Vierville, canton de Trévières, a fait abattre son chien présumé atteint d'hydrophobie.

 

Juillet 1874   -   Mort par imprudence.  -  Le sieur Constant Larue, cultivateur à Rubercy, canton de Trévières, ayant eu l'imprudence d'aller se baigner à Vierville-sur-Mer, immédiatement après avoir mangé, est tombé frappé mortellement d'une apoplexie foudroyante, bien qu'il n'eût encore de l'eau qu'aux reins.

 

Août 1874   -   Mort subite.  -  Dimanche, M. Constant Jeanne, fermier à la Poterie, se rendit à Vierville-sur-Mer, pour pécher de la crevette, M. Constant était bon nageur. Il eut l'idée de prendre un bain avant de commencer à pêcher. Il y avait, peu d'instants qu'il était dans l'eau, lorsqu'il parut perdre connaissance. On le retira aussitôt, il était déjà mort. Il avait été  frappé d'une congestion cérébrale. C'est ce qui fut constaté par le docteur James de Cerisy-la- Forêt, qui se trouvait sur le littoral au moment de la mort. M. Constant  était âgé de 34 ans.

 

Juillet 1874   -   La canicule.  - Le 24 juillet, a commencé la canicule, qui finira le 26 du mois prochain. Beaucoup de personnes croient que ce temps correspond aux plus fortes chaleurs de l’année. Nous en avons la preuve contraire cette année.

91.  VIERVILLE-sur-MER  -  Au cours d'une marée d'équinoxe

La Mer à l'assaut de la Maison LE GALLOIS 

VIERVILLE-sur-MER  -  L'Église 

VIERVILLE-sur-MER   -   Le Haut de la Falaise. Poste d'observation des douaniers

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