Août
1842 - Nouvelles locales.
- Le
mot varech ou wrack, dans notre pays, ne désigne pas et n'a jamais
désigné une plante unique de la famille des algues : il signifie une
plante, une herbe quelconque que la mer jette sur ses bords, et jadis,
par extension, tous les débris qui échouaient sur les côtes. — Il
était synonyme d'épave.— De là les expressions tomber en wrack,
jeter en wrack, encore fort usitées aujourd'hui.
C'est
à tort que M. Pilet a dit que le varech avait autre fois sa
législation, mais que les lois qui régissent la matière sont tombées
en désuétude. Trois ou quatre condamnations ont frappé, cette année
même, en 1842, dans l'arrondissement de Caen, des individus qui y
avaient contrevenu.
Le
droit de recueillir le varech appartient au premier occupant, le droit
de récolter les algues qui croissent sur les roches et que sans doute,
par analogie, on appelle aussi varech, appartient généralement aux
communes sur le territoire desquelles il a poussé.
Au
moyen-âge il constituait un droit féodal. Nous voyons, en effet, par
une charte du XIIe siècle,
conservée aux archives de la préfecture du Calvados, que Richard-Cœur-de-Lion
donne aux moines de St-Etienne de Caen le port de Dives, avec un
chantier pour la construction des navires auquel il ajouta le droit de
wrack. L'abbesse de Sainte-Trinité de Caen jouissait aussi de ce droit
dans diverses paroisses du Cotentin, notamment dans celles de Saint-Vast,
de Quettehou et de Morsalines. Beaucoup d'autres seigneurs possédaient
de semblables privilèges, mais il est probable que les uns et les
autres de ces privilèges étaient plus ou moins restreints et que les
cultivateurs riverains en étaient quittes pour abandonner aux suzerains
les épaves proprement dites.
En
tout cas, si ces dîmes existèrent jamais, on ne les payait plus, bien
avant le XVIIe siècle,
car la Coutume de Normandie n'appelle droit de varech que le droit de
s'emparer des choses jetées par la mer à terre.
L'ordonnance
de la marine de 1681 organisa par son titre X du livre 4e, la
coupe du varech dans les paroisses situées sur les côtes.
Les
habitants des paroisses devaient s'assembler le premier dimanche du mois
de janvier de chaque année, pour régler les jours auxquels devait
commencer et finir la coupe des herbes marines croissant en mer à
l'endroit de leur territoire.
Les
habitants des communes d'Hermanville, Lion et ses hameaux, Luc, Langrune
et ses hameaux, Bernières, Courseulles, Arromanches, Tracy, Manvieux ,
Fontenailles, Longues, Marigny, Commes et ses hameaux, Port-en-Bessin,
Huppain, Villers, Ste-Honorine-des-Pertes, Colleville et St-Laurent,
pourront faire ladite coupe pendant trente jours, qui seront choisis
entre le troisième jour avant la pleine lune de mars, et le troisième
jour après la pleine lune d'avril. Ceux des communes de Vierville,
St-Pierre-du-Mont, Englesqueville et Grandcamp, pourront faire la coupe
des dites herbes, pendant trente jours. à compter du 1er du
15 mars jusqu'au 15 avril suivant.
-
Les conseils municipaux desdites communes, s'assembleront le 11
ventôse prochain, sur la convocation des maires, pour faire ledit
choix, auquel il sera procédé les années suivantes, à la session
fixée au i5 pluviôse par les lois du 28 pluviôse an VIII.
-
La coupe ou récolte desdites herbes sera faite à la main, avec
un couteau ou faucille. Il est défendu de la faire d'une autre
manière, et d'arracher lesdites herbes avec la main ou avec des
râteaux et autres instruments qui puissent les déraciner, la peine de
trois cents livres d'amende pour la première fois, et de peine
corporelle en cas de récidive.
-
Ceux qui ne seront point habitants des communes dénommées en
l'art. II, ne pourront y faire la coupe desdites herbes de Mer, pour
quelque cause et sous quelque prétexte que
ce puisse être, à peine de trois cents livres d'amende pour la
première fois, et de peine corporelle en en cas de récidive.
-
Il est également permis à toutes personnes de prendre
indifféremment, en tous temps et en tous lieux, lesdites herbes
détachées des rochers par l'agitation de la mer et jetées à la côte
par le flot, et de les transporter où bon leur semblera, soit pour
être employées à l'engrais des terres ou à faire de la soude. Il est
défendu de les y troubler ni inquiéter, quand bien même ceux qui
enlèveraient ces herbes les auraient prises sur d'autres territoires
que le leur, à peine contre les contrevenants , de cinquante livres
d'amende. (source : L’Indicateur
de Bayeux)
Mai
1843 -
Nouvelles locales. -
Le mauvais temps qui dure depuis un mois est préjudiciable aux
céréales ; déjà sur notre marché le blé a un peu renchéri et le
pain a subi une augmentation de 5 centimes par kilog. Il est vrai que
les blés des fortes terres ont gagné plus en herbe qu'en épi, en
plusieurs endroits ils sont déjà même couchés. Toutefois, il
suffirait de quelques jours de beau temps pour réparer le mal.
Les
foins auraient aussi besoin d'un temps sec ; dans beaucoup de prairies
ils jaunissent par le pied.
Les
colzas se présentent bien cependant, et tout annonce que cette denrée
aura une bonne année.
On
nous écrit du pays d'Auge que les pommiers offrent les plus belles
espérances ; il y a longtemps même qu'on n'avait cru à une récolte
aussi abondante ; déjà le cidre a subi une certaine baisse, et dans
nos faubourgs hors-barrière on le donne à 20 centimes le double-litre.
(Haro ) (source : L’Indicateur de Bayeux)
Mai
1843 -
Chronique des Assises.
- La 2e
session des assises du Calvados s'est ouverte, lundi 15 mai, sous la
présidence de M. Regnault. Les quatre premières audiences, dont nous
donnons l'analyse succincte, ont déjà offert un certain nombre
d'affaires concernant notre arrondissement. Après les préliminaires
d'usage, les débats ont commencé.
—
Godet est convenu dans l'instruction comme aux débats qu'il
avait, en passant par-dessus le mur de la cour de M. Jahiet,
propriétaire à Bayeux, volé des lapins et trois volailles. Ce crime
sera expié par deux ans de prison.
—
Merline a brisé la commode qui contenait les effets et le
pécule d'un sieur Lebrun, domestique à Vierville. Il a pour pénétrer
dans la boulangerie où était cette commode, escaladé une fenêtre et
brisé deux carreaux de vitre, tout cela pour s'emparer d'une modique
somme de 10 fr. 50 c.
Après
de nombreuses hésitations, Merline a fini par confesser sa faute. Il a
été condamné à trois ans d'emprisonnement. (source :
L’Indicateur de Bayeux)
Octobre
1843 -
Nouvelles locales. -
En Basse-Normandie, l'existence de phénomènes de la nature, que
depuis le commencement de l'automne ils se sont multipliés autour de
nous. Beaucoup d'arbres d'espèces diverses se sont parés d'un second
feuillage, et dans plusieurs communes du Pays-d'Auge, voire même sur la
route de Caen à Lisieux, on remarque en ce moment certains pommiers
tout couverts de fleurs parmi d'autres qui menacent de se rompre sous le
poids des fruits maintenant à peu près murs dont, par extraordinaire,
ils sont surchargés cette année jusqu'à l'extrémité des branches
les plus frêles et les plus délicates en apparence. (source :
L’Indicateur de Bayeux)
Octobre
1843 -
Nouvelles locales. -
Dernièrement un beau phoque poussé par la violence de la mer a
été trouvé échoué sur notre cote, par un douanier de Vierville.
(source : L’Indicateur de Bayeux)
Mars
1846 -
Nouvelles divers. -
M.
le ministre de l'intérieur, sur un projet rédigé par l'architecte de
Bayeux, vient d'accorder un secours de 340 francs à la commune de
Vierville, pour l'aider dans les réparations urgentes que réclame son
église, classée dans les monuments historiques. (source : L’Indicateur
de Bayeux)
Avril
1846 -
Nouvelles divers. - M.
le ministre de l'intérieur, sur un projet rédigé par l'architecte de
Bayeux, vient d'accorder un secours de 340 francs à la commune de
Vierville pour l'aider dans les réparations urgentes que réclame son
église, classée dans les monuments historiques. (source : L’Indicateur
de Bayeux)
Décembre
1846 -
Nouvelles locales. -
Jeudi dernier un cabriolet qui parcourait la route de
Vierville à Vouilly a été renversé violemment en passant sur un
mètre de galet. Un des voyageurs qu'il portait ayant voulu sauter, au
moment de l'accident, est tombé assez violemment pour se casser la
cuisse. (source : L’Indicateur de Bayeux)
Mai
1847 -
Nouvelles locales. -
Le sieur François
Gueret, maître de barque à Trouville, décoré de plusieurs médailles
pour des actes d'humanité accomplis à la mer, dans des circonstances
périlleuses était
depuis plusieurs années, porté au tableau d'honneur. Gueret vient de
recevoir la décoration de l'ordre royal de la légion d'honneur.
Ont
encore été décorés, dans la marine, dans le quartier de Cherbourg,
MM. Hennequin, sous-commissaire
de marine à St-Vaast-la-Hougue, Daviel, enseigne de vaisseau ; Foliot
de Vierville, sous commissaire en retrait. (source : L’Indicateur
de Bayeux)
Septembre
1851 -
La grande marée. -
Ainsi que nous l'avons annoncé déjà, il doit y avoir, le 26 de
ce mois, une marée qui dépassera même en hauteur celle du 19 mars
dernier, qui causa, on se le rappelle, quelques dommages sur la côte
d'Angleterre.
Le
phénomène de cette marée, la plus forte de l'année, est dû aux
circonstances astronomiques suivantes : le 26, le soleil et la lune
passeront, comme à toutes les nouvelles lunes, à peu près
simultanément au méridien, en outre, à cette date, la lune sera très
rapprochée de la terre, enfin, les ascensions droites et déclinaisons
des deux astres différant
fort peu, ils seront très rapprochés l'un de l'autre au moment du
passage au méridien, et, par suite, leurs attractions concorderont.
Dans
notre contrée, deux points surtout pourraient s'en ressentir : la
falaise de Vierville et les terrains, déjà envahis, qui se trouvent
entre Courseulles et Bernières. (source : L’Indicateur de
Bayeux)
Mai
1853 -
Cour d’Assises du Calvados.
- Session
du 2e trimestre de 1853. Présidence de M. le Conseiller
Courtoise.
Voici
d'abord la liste des jurés de l'arrondissement du Bayeux, appelés à
faire le service pendant la durée de cette session : Carité (Auguste),
propriétaire au Breuil ; Le Baron (Alfred-Charles), marchand de
nouveautés, à Baveux ; Tillard (Etienne), propriétaire à Sallen ; De
la Bove-Duvalbourg (Charles Eléonor), maire, à Bezeuville; Savary (Aymar-Aimé),
propriétaire, à Mosles.
Audience
du 16 mai —
La première affaire de la session est celle des nommés Baptiste
Marie dit Busquel, domestique, né à Asnières en 1826, et de
Louis-Ludovic-Alexaudre Catherine, journalier, né à Longueville en
1829, tous deux demeurant à Vierville, et accusés : 1° Marie, d'avoir,
à Vierville, en février et en mars 1853, volé du blé au préjudice
du sieur Lebrun, dont il était le domestique à gages. — 2°
Catherine, d'avoir procuré à Marie les moyens de commettre ces vols et
d'en avoir sciemment recelé les produits.
Déclarés
coupables, mais avec circonstances atténuantes, Marie et Catherine ne
sont punis que de deux ans d'emprisonnement.
Ministère
public. M. Champin, avocat-général. —
Défenseurs, pour Marie, Me Desgrois ; pour Catherine,
Me J. Bénard.
(Source : L’Indicateur de Bayeux)
Mai
1857 -
Nécrologie. -
La mort vient
d'enlever à la tendre affection de sa famille et aux sympathies de ses
nombreux amis, l'un de nos dignes et honorables concitoyens. M. Casimir
de Lépesse est décédé, mardi dernier, en son château de Vierville,
dans sa 69e année.
Ancien
capitaine d'infanterie, chevalier de la Légion d’Honneur, M. de
Lépesse avait pris une part active et distinguée aux dernières
guerres du premier Empire. Il avait quitté, jeune encore, la carrière
militaire pour se marier et pour se fixer dans notre contrée, où la
noblesse de ses sentiments et l'aménité de son caractère lui avaient
conquis l'affection et l'estime universelles.
Ses
obsèques ont eu lieu,
hier jeudi, en l'église de Vierville, au milieu d'une nombreuse
affluence de ses parents et de ses amis, venus de la ville et des
communes environnantes,
pour[1]payer à sa mémoire le suprême tribut de leurs profonds et
unanimes regrets. (Source :
L’Indicateur de Bayeux)
Février
1859 - Un événement malheureux.
- Le
23 janvier dernier, vers six heures du soir, il faisait un grand vent et
un temps très sombre, M. Voydis, brigadier des douanes à Vierville,
était alors de service sur la falaise de ce poste, en marchant, il
s'est malheureusement détourné de la route ordinaire et s'est
précipité du haut en bas de la falaise, à un endroit presque à pic,
de la hauteur d'environ quarante mètres et a tombé sur les pierres. Le
préposé Lelong, qui était de service avec lui, a été prévenir de
suite le poste, afin d'aller à sa recherche, et c'est son fils unique,
âgé d'environ 19 ans, préposé à demi-solde à ce même poste, qui
le premier a trouvé son père sans vie, la mort avait été
instantanée.
M.
Voydis emporte les regrets de tous ceux qui le connaissaient. (
Source : L’Indicateur de Bayeux)
Octobre
1859 -
La ligne télégraphique.
- Les
éludes pour l'établissement d'une ligne télégraphique sur notre
littoral avancent très activement. Cette ligne sera reliée aux villes
de l'intérieur du département par un embranchement partant de la
Pointe de la Percée, commune de Vierville, et passant par
Port-en-Bessin. On doit ensuite s'occuper de la construction d'une
seconde ligne partant de Caen pour aller à Ouistreham, ligne dont
l'utilité se fait de plus en plus sentir. ( L’Indicateur de Bayeux)
Janvier
1861 - Le temps. -
La gelée est
arrivée à temps pour nous préserver des inondations. Dans tous les
départements, le cours des rivières s'était enflé dans des
proportions menaçantes.
A
Paris, la Seine a acquis un niveau auquel elle ne s'était pas élevée,
assure-t on, depuis 1819. A cette époque et au moment des plus grandes
eaux, la Seine fut prise, et les promeneurs, traversant le fleuve sur
cette nappe unie de glace, purent se donner la satisfaction d'inscrire
leur nom au-dessus des arches du Port-Royal. ( L’Écho Honfleurais)
Juillet
1861 - Un accident de la route.
- Jeudi
dernier, à Vierville, un petit garçon de neuf ans et demi, nommé
Turgis, jouant sur la grande route, voulut passer devant un banneau que
conduisait un domestique de M. Ygouf, le sieur Tanquerel. Ce dernier ne
put arrêter son cheval assez promptement, l'enfant tomba et une des
roues lui passa sur les jambes.
Tous
les témoins de l'accident s'accordent à dire qu'il n'y avait nullement
de la faute du conducteur. ( L’Ordre et la Liberté )
Avril
1864 -
Nécrologie. -
Mercredi
dernier ont eu lieu les obsèques de M. l'abbé Voisin, curé de
Vierville, décédé à la suite d'une longue et cruelle maladie.
Une
foule immense accompagnait à sa dernière demeure le vénérable
ecclésiastique, dont la mort est un deuil pour tout le pays où il
était si bien apprécié. M.
l'abbé Voisin était âgé de 70 ans. (l’Ordre et la Liberté)
Décembre
1864 -
La poste. -
Par décision
du Conseil des postes, en date du 16 décembre, la distribution de
Formigny est transférée à Vierville-sur-Mer, à partir du 1er février
1865.
Par
arrêté du 24 décembre, M. le préfet du Calvados a nommé, en conséquence,
distributrice à Vierville-sur-Mer, Mlle Dumont, actuellement
distributrice à Formigny. (l’Ordre et la Liberté)
Mai
1873
-
Les Événements.
- Samedi soir,
M. THIERS a donné sa démission, de Président de la République
française. Il a été remplacé par le maréchal de Mac-Mahon, duc de
Magenta. Le maréchal-Président est âgé de 65 ans.
Juillet
1873
-
Mystère. - Un
nommé Langlois, âgé de 40 ans environ, demeurant à Russy, près
Bayeux, a eu la tête écrasée sous la roue de sa voiture à
Vierville-sur-Mer. Il a été transporté immédiatement dans une
maison ou, il a expiré peu d'instants après. On a pensé tout d'abord
que cette mort était purement accidentelle, mais maintenant on ne sait
que croire à ce sujet. Un cheval avait été volé dans la commune de
Russy. Les soupçons se portèrent sur Langlois, qui avait pu fournir
des explications satisfaisantes sur l’endroit où il était au moment
du vol. Un mandat d’amener avait été lancé contre lui, et lundi au
moment ou les gendarmes venaient pour l'arrêter à Russy, on leur
apprenait qu’on l'enterrait à Vierville. Cet homme était marié,
sans enfants. Une personne dit à la mère, que son fils était
soupçonné de ce vol, elle répondit : « J'aimais, mieux le
voir mort que de le savoir coupable ». Peu de temps après, on lui
annonçai
la mort de son fils.
Avril
1874
- Chien enragé. -
La semaine
dernière, le sieur Legalois, marchand à Vierville, canton de
Trévières, a fait abattre son chien présumé atteint d'hydrophobie.
Juillet
1874
-
Mort par imprudence. -
Le
sieur Constant Larue, cultivateur à Rubercy, canton de Trévières,
ayant eu l'imprudence d'aller se baigner à Vierville-sur-Mer, immédiatement
après avoir mangé, est tombé frappé mortellement d'une apoplexie
foudroyante, bien qu'il
n'eût encore de l'eau qu'aux reins.
Août
1874
- Mort subite. -
Dimanche, M.
Constant Jeanne, fermier à la Poterie, se rendit à Vierville-sur-Mer,
pour pécher de la crevette, M. Constant était bon nageur. Il eut
l'idée de prendre un bain avant de commencer à pêcher. Il y avait,
peu d'instants qu'il était dans l'eau, lorsqu'il parut perdre
connaissance. On le retira aussitôt, il était déjà mort. Il
avait été frappé d'une congestion cérébrale. C'est ce qui fut
constaté par le docteur James de Cerisy-la- Forêt, qui se trouvait sur
le littoral au moment de la mort. M. Constant
était âgé de 34 ans.
Juillet
1874
-
La canicule. - Le
24 juillet, a commencé la canicule, qui finira le 26 du mois prochain.
Beaucoup de personnes croient que ce temps correspond aux plus fortes
chaleurs de l’année. Nous en avons la preuve contraire cette année. |