15 Janvier 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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Le GAST

Canton de Saint-Sever-Calvados

Les habitants de la commune Le Gast sont des Gatinais, Gatinaises


Mars 1901   -   Les danger des armes à feu.  -  Le sieur Constant Marin, 19 ans, demeurant chez son père, meunier au Gast, près Saint-Sever, s'était blessé grièvement à l'œil en déchargeant son fusil. Venu à Caen pour se Faire opérer, il a succombé au tétanos. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Juin 1903   -   Morts accidentelles.  -   On a repêché d'une mare, au Gast, près St-Sever, le cadavre de la nommée Rosalie Foucher, célibataire, 76 ans. On croit à un accident, car cette femme avait la vue très faible.

— Le sieur Benoît Corneville, 32 ans, journalier à Hermival-les-Vaux, près Lisieux, avait été blessé à une main d'un coup de fusil en tuant des rats. La blessure parut tout d'abord peu grave, mais, le tétanos s'étant déclaré, le malheureux est mort après d'atroces souffrances.

— Lundi après midi, une barque de pêche montée par les sieurs Derelle, Morin et Madrainville, revenant de Trouville où ils étaient allés vendre du poisson, a chaviré tout à coup à l'embouchure de la Dives. Derelle et Morin parvinrent à gagner la rive, mais Madrainville coula à pic. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juin 1903   -   Impôt sur le revenu.  -  Ce projet de loi a été déposé à la Chambre. Il se compose :

1° de la taxe personnelle portant sur le revenu provenant des loyers, des rentes, du commerce, du travail, des emplois et même des retraites.

2° de la taxe mobilière fixée d'après le loyer.

— En ce qui concerne l'impôt sur le revenu, c'est le contrôleur qui l'estimera à charge par lui de prouver l'existence du revenu indiqué.

Sont affranchis de l'impôt, ceux dont le revenu est inférieur à 500 fr., à 700 fr., à 900 fr., à 1 200 fr. et à 1 600 fr. selon l'importance de la population.

A Caen, les personnes ayant un revenu inférieur à 1 600 fr. seront exonérées de l'impôt. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1904  -   Suicides.   -    La dame Potel, 45 ans, journalière à Le Gast, près Saint-Sever, dont l'esprit était un peu dérangé, avait quitté sa maison l'après-midi. Ne la voyant pas rentrer, son mari la rechercha, et ce n'est que le lendemain soir qu'on la trouva pendue dans un bois à la Guérenterie (Manche). 

Personne au village le plus proche n'ayant voulu recevoir le corps de la malheureuse, on dut la transporter de nuit au domicile de son mari. 

— L'autre matin, dans la remise du sieur Rocher, cultivateur à Saint-Pierre-Azif, canton de Dozulé, on a trouvé pendue la veuve Céline Roussel, 50 ans, journalière. Cette  malheureuse avait déjà essayé de se détruire. Elle était restée dans la misère avec trois enfants et, il y a deux ans, un de ses fils s'était pendu aussi. Depuis cela, elle répétait souvent qu'elle mourrait de la même manière. 

— Un propriétaire de Bernières-sur-Mer, le sieur Haupois, 61 ans, s'est suicidé, lundi matin, en se tirant un coup de revolver dans la bouche. La balle, sortie par le crâne, a brisé un carreau et est allée se perdre dans le jardin. Cette mort est attribuée à des embarras financiers. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Novembre 1904   -   Les  vieux fusils.   -   On devrait toujours se méfier des fusils rouillés ou dont le canon est aminci par l'usage. Nous relations déjà, la semaine dernière, l'accident arrivé à un braconnier de St-Georges-d'Aunay. 

En voici deux autres cette semaine : Le sieur Villeroy, 29 ans, gardien d'herbages à Grandmesnil, canton de St-Pierre-sur-Dives, maniait un fusil chargé dont le canon, en éclatant, l'a blessé grièvement à la main gauche. 

 Au Gast, près Saint-Sever, le sieur Hervieu, marchand de granit, a fait éclater son fusil en tirant sur des corbeaux. Il a eu trois doigts de la main droite très abîmés. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juin 1908  -  Incendie.   -   Samedi dernier, vers 10 heures du soir, un incendie s'est déclaré dans un corps de bâtiment à usage de maison d'habitation, granges, étables et remises, situé à 100 mètres environ de toute habitation. Tout le mobilier et en résumé tout ce qui se trouvait à l'intérieur du domicile des locataires les époux Tétrel et Feuillet, a été complètement détruit. Un petit bâtiment à usage de cave, éloigné de 6 mètres environ, a été également détruit. 

Les dégâts, en partie couverts par une assurance, s'élèvent à environ 850 fr.  Le préjudice causé à la propriétaire, Mme Roger, est estimé à 3 200 francs et assuré pour 3 000 francs . (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Juin 1914   Incendie. -  Le 7 juin dernier, Mme Catherine Hervieu, propriétaire au bourg du Gast, ayant allumé un grand feu de bois sec s'absenta un quart d'heure environ. Pendant  ce laps de temps une étincelle communiqua le feu à un petit lit placé près de l'âtre. En rentrant, Mme Hervieu aperçut son lit qui flambait. Le feu prenant de l'extension,  gagna le plafond en bois. Grâce au secours des voisins, on put préserver les bâtiments contigus en jetant à terre la toiture de chaume qui commençait à brûler. La maison de Mme Hervieu, composée d'une ancienne cuisine à usage de chambre,  de débarras avec  grenier dessus, a été en partie détériorée. 

 

Décembre 1915  -  Enfant broyé dans un moulin.  -  Pendant une courte absence de Mme Marin, meunière au Gast, prés Saint-Sever, ses deux enfants, Raymond et Victor, 9 et 8 ans,  pénétrèrent dans le moulin, malgré sa défense. Le plus jeune, Victor, eut ses vêtements happés par une poulie et la tête projetée contre la pierre supportant l'arbre de couche. Quand on put dégager le pauvre petit, ce n'était plus qu'un cadavre.  

 

Juillet 1917  -  Mort pour la France. -  MM. Jean-baptiste Richard, Victor Villain, Léon Mauduit.

 

Avril 1919  -  Un violent incendie  -  Un incendie d'une très grande violence s'est déclaré la semaine dernière dans la maison habitée par M. Richard, 47 ans, cultivateur au Noir-Cheval, en la commune de Le Gast. L'incendie ne fut aperçu que vers 11 h. 30 par M. Barbot, 53 ans, cultivateur, aussitôt  l'alarme fut donnée mais en raison de la violence du vent, M. Barbot et quelques autres personnes ne purent arrêter l'incendie. Une armoire, trois chaises et quelques menus objets furent sauvés. L'habitation, dont la toiture était en paille, il se composait d'une cave, d'une cuisine, d'une étable, d'un grenier où se trouvaient 2.000 kilos de foin et d'une autre pièce abritant un pressoir et divers instruments aratoires, le tout fut détruit en deux heures. Au moment où sa maison était en flammes, M. Richard et son fils étaient aux champs ; M. Richard père, âgé de 85 ans. se trouvait dans un herbage assez éloigné du lieu du sinistre et c'est seulement vers 14 heures que M. Richard apprit que sa maison était brûlée.  

 

Décembre 1920  -  Explosion à retardement.   -  Deux ouvriers carriers au service de M. Rougereau, entrepreneur de granit à Le Gast, canton de St-Sever, les nommés Jules Tessier et Ricordeau avaient, afin de dégager un bloc de pierre, confectionné une mine avec de la poudre noire, au lieu de se produire normalement, l’explosion ne s’est faite qu'une heure et demie après, blessant assez grièvement M. Tessier. A la suite de la visite de l'ingénieur des mines sur les causes de cet accident, six infractions aux règlements ont été relevées contre l'entrepreneur. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Février 1921  -  Le feu.   -   Un incendie a détruit un pavillon à usage de maison d'habitation appartenant à M. Schneeber, propriétaire à Le Gast, canton de Saint-Sever. Le préjudice causé est estimé à 60 000 fr. qui sont couverts par une assurance. Cet incendie est dû, croit-on, à la malveillance. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Mai 1921  -  La guerre n’est pas finie.   -   Sur l'instigation d'un sieur Eugène Poulain, 45 ans, ouvrier granitier, le jeune Marie. dit « la Jeunesse », 16 ans, également granitier, a lancé une bombe dans la forge du chantier Schenneberg, à Le Gast, canton de Saint-Sever. Deux ouvriers étaient visés, mais tout particulièrement le père Fouquet. Heureusement aucun ne fut atteint.

A la suite de cet attentat qui pouvait avoir de graves conséquences, les deux individus ont été arrêtés. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1921  -   Le feu.   -   Un incendie dont les causes sont inconnues a éclaté dans un immeuble appartenant à Mme Vve Robine, hameau de la Tulière, à Le Gast, canton de St-Sever.

Préjudice 15 000 fr., couvert en partie seulement par une assurance.    (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1921  -   Coup de fusil dans la nuit.   -  Vers 10 heures du soir, plusieurs coups de feu ont été tirés près de la maison de M. Bertin, 51 ans garde de M. Pellerin, propriétaire à Le Gast, canton de Saint-Sever. Après les premières détonations, le garde chargea son revolver et se dissimulant le long d'une haie vint sur la route.

Là, il vit que ses agresseurs, étaient trois ou quatre et d'un d'eux disait « Il ne sortira pas ! » M. Bertin ayant, sans le vouloir, fait quelque bruit, un coup de fusil fut tiré dans sa direction, sans, heureusement l'atteindre. Il tira, a son tour, trois coups de feu en l'air. Aussitôt la bande prit la fuite.

Sur la route, le lendemain, Bertin a trouvé quatre culots de cartouche, ce qui permettra, nous l'espérons, de repérer les auteurs de cette tentative de meurtre. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1922   -  Le feu.   -   Un incendie, dont on ignore les causes, s'est déclaré dans une loge de charbonnier située dans le bois du Gast, et appartenant à M. Baloche. Préjudice, 1 500 fr. couverts aux deux-tiers par une assurance.

— Une meule de grain, à M. Sement, cultivateur à Laize-la-Ville, a été détruite par le feu. Une machine à battre, qui se trouvait à côté, a également été détruite. Dégâts : 11 000 fr. On attribue ce sinistre à l'imprudence d'un passant. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1923   -   Une désespéré.   -   Mme veuve Eude, 43 ans, cultivatrice au Gast, canton de Saint-Sever, qui était neurasthénique, a profité de l'absence de ses deux fils pour se pendre dans sa grange. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juin 1925  -  Tentative de meurtre.  -  La commune de Le Gast, située à 18 kilomètres de Vire, si renommée pour son beau granit bleu et la curiosité de sa pierre coupée et de son « Pain de sucre », a été le théâtre d'un drame.

Dans cette commune vivent au village de la Heunière, sur un lopin de terre d'une contenance de 25 vergées, les époux Harivel, le mari âgé de 54 ans, est ouvrier tailleur de pierre, employé à l'entreprise Rogereau, à Le Gast, la femme, née Rogerine Marie, âgée de 39 ans, originaire de Coulouvray-Boisbenatre s'occupe des travaux de la ferme. Ce ménage est loin de vivre en bonne intelligence et le drame qui s'est déroulé n'a nullement surpris le voisinage.

Une querelle pour un motif futile éclata lundi soir vers 15 heures entre les époux Harivel. Le mari, au comble de la colère, s'arma d'un fusil « Faucheux » et froidement il épaula son arme et, à 30 mètres environ, tira sur sa femme qui était en train de prendre son repas sous un pommier.

La malheureuse atteinte par la décharge fit quelques cents mètres et s'écroula dans un jardin potager d'où elle fut relevée quelque temps après par des voisins qui la transportèrent chez elle.

Pendant ce temps Harivel était allé se constituer prisonnier auprès du maire, M. Legoupil.

Le docteur Fontaine et la gendarmerie de Saint-Séver, prévenus, se rendirent sur les lieux du drame et tandis que les gendarmes se livraient à une première enquête, le docteur Fontaine retirait des chairs de la victime 58 plombs.

L'état de la femme Harivel, quoique grave, n'est pas désespéré. La rumeur publique est unanime a reconnaître en Harivel un homme travailleur, mais quelque peu sournois et aimant beaucoup à boire. Le Parquet s'est transporté sur les lieux.

 

Juillet 1932   -   Un mauvais mari.   -   Mme Eugène Festoc, 38 ans, cultivatrice au Gast, canton de St-Sever, mariée depuis 1920 et mère de 3 enfants, a porté plainte pour coups contre son mari. Depuis son mariage, elle subissait les mauvais traitements de Festoc mais, à la suite d'une scène particulièrement violente, elle dut se réfugier avec ses enfants, à la communauté de Blon, près Vire.

Le lendemain son mari, repentant, vint la chercher mais le calme ne dura pas longtemps et, de nouveau menacée de mort, la pauvre femme dut s'enfuir de nouveau. Les coups qu'elle a reçus ont été constatés par le docteur Fontaine, maire de St-Sever. (Bonhomme Normand)

 

Septembre 1936  -   Un cycliste gravement blessé.  -  M. Henri Huet, 35 ans, agent d'assurances à Saint-Michel-de-Montjoie, abordait en automobile, tenant le milieu de la route, le virage de la Vierge, territoire du Gast. 

A ce moment arrivait en sens inverse et tenant également le milieu de la route un cycliste nommé Théodore Lemonnier, 34 ans, cultivateur au Gast. 

Une collision se produisit et le cycliste, après avoir reçu les premier soins d'un médecin dut être transporté, à l'hôpital de Vire dans un état grave. (Source : Le Moniteur du Calvados)  

 

Novembre 1938   -  Des cambrioleurs opèrent au Gast.   -   M. Pierre Lory, 57 ans, retraité, demeurant à Paris, possède à la Tuandière, commune de Le Gast, deux petites habitations qui viennent d'être cambriolées.

En effet, M. Lory trouva les portes forcées et les carreaux brisés.

Pénétrant dans les appartements, il eut la désagréable surprise de constater que les meubles avaient été fouillés et que des vêtements, du linge, des objets divers, avaient disparu. Il estime à 5 000 francs le préjudice qui lui est est causé. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Juin 1939   -   Un chien décime des troupeaux.  -  M. Poirier René, 22 ans, cultivateur au Gast, avait mis au pacage deux brebis accompagnées de leurs agneaux, au nombre  de trois. Le soir, il trouva un de ses agneaux mort. La pauvre bête avait été éventrée.

M. Potel, son voisin, âgé de 69 ans, avait lui aussi, dans un champ, deux brebis et quatre agneaux, l'une des brebis a eu l'oreille arrachée et les agneaux ont été plus ou moins grièvement mordus. Le chien qui a détruit une des bêtes et a mutilé les autres, appartient à M. Le Bail Pierre, 40 ans, cultivateur à Saint-Michel-de-Montjoie.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1941   -  Avis à la Population.   -   La Feldkommandantur du Calvados rappelle à la population que toute personne découvrant soit sur la voie publique, soit dans une propriété privée des objets ou imprimés suspects, tels, par exemple, que des tracts jetés par avion, doit en faire la remise à  l'autorité militaire allemande la plus proche.

 

Juin 1941  -  Tragique fin de fête.  -   Étant allé voir des parents à Coulouvray (Manche), le dimanche 25 mai, M. Auguste Launay, 83 ans, rentier à Champ-du-Boûlt, rentrait chez lui ce soir-là quand, se trompant de route, il tomba dans une carrière désaffectée au lieu dit La Commune, en « Le Gast ». Son cadavre, le crâne brisé, ne devait être retrouvé que plusieurs  jours après.  

 

Janvier 1945  -  Au feu !  -  Un bâtiment loué à M. Guilement, village de la Brousse, à la Gast, et appartenant à M. Pellerin, de Paris, a été dévasté par un incendie. (Source : Le Bonhomme Libre) 

 

Juin 1945  -  Jeu dangereux.  -  Au Gast, un incendie, provoqué par la chute sur le toit de chaume d’une fusée tirée par Roger Coquelin, 34 ans, s’est déclaré dans l’habitation de M. Julien Marie, tailleur de pierres.

La maison a été détruite, le mobilier et un peu de linge ont pu être sauvés. L’auteur involontaire du sinistre sera poursuivi pour détention et usage de matériel de guerre.  (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Février 1946  -  Deux sinistres.  -  Au Gast, un incendie, qui débute par un feu de cheminée, a détruit un bâtiment long de 16 m. et large de 7, dépendant de la ferme de M. Henri Caruel. Les flammes après avoir consumé un plafond de bois, se communiquèrent au fourrage que contenait le local sinistré.

Au Château de Coulonces ou est cantonnée une section d’une Compagnie de Transmissions, un autre incendie a causé 15 000 fr. de dégâts. Il aurait été également provoqué  par un  feu de cheminée que l’on avait cru circonscrit et qui se ranima. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Juillet 1946  -  Une « sonnerie » mémorable.  -  Un carillon improvisé vers minuit les habitants du Gast. Cette fantaisie était l’œuvre de trois jeunes gens de la commune, Marcel Cousin, 20 ans, boulanger ; Désiré Bouton, 21 ans, carrier, et d’Ernest Poisnel, 20 ans, granitier à Couleuvray, qui accompagnés des nommés Allemand et Taillardan, avaient pénétré par effraction dans l’église.

Le lendemain, ce fut au tour des gendarmes à leur « sonner les cloches » avec les contraventions d’usage. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Juillet 1946  -  Sinistrés, attention !  -  C’est le 31 juillet prochain qu’expire le délai prévu pour le dépôt des déclarations de sinistrés concernent les dommages de guerre. Sauf en ce qui concerne les mobiliers familiaux et les personnes n’ayant pas la qualité de commerçant. Il est suffisant que ces déclarations contiennent des précisions sur l’identité du sinistre, la nature et l’emplacement du bien détruit ou endommagé et l’origine du sinistre. Le dossier complet ne sera exigé qu’ultérieurement.

Renseignements complémentaires dans les mairies ou les délégations départementales de la Reconstruction. (Source : Le Bonhomme Libre)

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