15 Juillet 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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QUETTEVILLE

Canton de Honfleur-Deauville

Les habitants de la commune sont des Quettevillais, Quettevillaises

Février 1901   -   Un mauvais moyen d’apaiser les querelles.   -   L'autre soir, on se querellait fort chez Louis Faine, 32 ans, fermier à Quetteville, prés Honfleur. Le motif, c'est  que l'enfant des époux Faine, qui sont en instance de divorce, a été confié à la garde de la femme Thomas, 38 ans. Cette dernière venait chercher du lait pour son nourrisson, et,  Faine étant absent, sa femme voulait reprendre l'enfant. 

Une discussion assez vive, à laquelle prenait part la bonne de la maison, Françoise Fercoq, 18 ans, s'engagea entre elles. Un voisin, Armand Potin, 41 ans, ennuyé d'entendre tout ce tapage,  accourut, et pour rétablir le calme, se mit à cogner avec vigueur sur tout le monde sans exception.

La querelle cessa, mais les personnes battues ont porté plainte. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1901   -   Écrasé par un train.  -  On a trouvé sur la voie du chemin de fer, entre Honfleur et Quetteville, le cadavre, affreusement mutilé, du sieur Edmond Lebrasseur, 32 ans, journalier dans cette dernière localité. Le malheureux, en suivant, le soir, la voie pour regagner plus rapidement son domicile, aura été surpris et écrasé par un train. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Octobre 1901   -   Menaces de mort.  -   Arthur Montier, 26 ans, berger, étant ivre, avait menacé d' « écarteler » le sieur Pierre Lefebvre, ouvrier charpentier, qui travaillait chez le sieur Famette, 68 ans, propriétaire à Quetteville, près Honfleur. Ce dernier, qui a porté plainte contre Montier, avait dû, pour le faire décamper, lui administrer une volée de coups de poing.  (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Octobre 1901   -   Les voleurs de vaches.   -   On a volé une vache de 300 francs au sieur Armand Rouval, cultivateur à Quetteville, près Honfleur. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Octobre 1901   -   Tamponné par un train.   Le sieur Leroux, résidant à Paris, ayant imprudemment traversé la voie, à la gare de Quetteville, près Honfleur, au moment où un train arrivait, a été tamponné par la locomotive et grièvement blessé. Il a été transporté dans sa famille, à Celly (Manche).  (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Février 1903   -   Une femme qui tente de tuer son amant.  -  Émile Lemarigny, 34 ans, journalier à Quetteville, près Honfleur, rentrant chez lui, trouva les sœurs Hélène et Louise Andrieu, journalières, en compagnie de Pauline Bannié, veuve Lancelin, 28 ans, avec laquelle il vit maritalement. Toutes trois étaient en train de boire du café. Lemarigny  congédia les filles Andrieu, et, trouvant qu'elles ne s'en allaient pas assez vite, il les reconduisit jusqu'à la barrière qui clôt sa propriété. Il revenait sur ses pas, lorsque, soudain, la femme Bannié tira sur lui un coup de fusil, qui, heureusement, ne l'atteignit pas.

Cependant, plusieurs grains de plomb s'étaient logés dans son gilet et plusieurs autres avaient troué sa casquette. La femme Lancelin a été arrêtée. (Source : Le Bonhomme  Normand)

 

Août 1903  -  Incendies.   -   D'un hangar attenant à la maison d'habitation du sieur Lebarbanchon, horticulteur à St-Jacques de Lisieux. Pertes assurées, 2 000 fr.

— A Vire, d'une maison appartenant à la dame veuve Poulain et habitée par le sieur Pierre Le Gouvello, représentant de commerce, et la demoiselle Elise Bidois, sans profession. Pertes pour la propriétaire, 17 800 fr. : pour le sieur Le Gouvello, 6 000 fr. ; pour la demoiselle Bidois, 5 000 fr. Tous trois assurés.

— D'un bâtiment à usage de cave et d'étable appartenant et exploité pas le sieur Eugène Grente, journalier à Quetteville. Un porc de lait a été brûlé. Pertes,  1 000 fr. Assuré pour 800 fr. seulement.

— De 6 000 bottes de foin dans un bâtiment à usage de grange appartenant au sieur Alphonse Margueritte, cultivateur à Lingèvres. Assuré. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1904  -   Mauvaise chute.    -   La dame Monnier, 38 ans, demeurant à la Rivière-St-Sauveur, près d'Honfleur, descendait de wagon à la station de Quetteville lorsqu'elle manqua le marche-pied et tomba si malheureusement qu'elle se cassa la jambe gauche au[1]dessus de la cheville. 

Les os traversaient le bas. Le chef de gare de Quetteville fit donner des soins à la blessée que le premier train remporta immédiatement chez elle. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1916  -  Le temps qu’il fait.  -  Inutile de parler de la chaleur, tout le monde la sent. Nous sommes dans la canicule, cela ne veut pas dire qu'il doit faire un temps de chien, mais tout bonnement que le soleil traverse en ce moment la constellation du Grand Chien dont Sirius (Invisible en ce moment, bien entendu) est l'étoile la plus brillante du ciel. Si la récolte des foins se  fait admirablement, les herbages et prairies commencent à souffrir de la sécheresse, car il n'a pas plu depuis près d'un mois. 

 

Août 1916  -  Un coup raté.  -  Un prisonnier boche s'était évadé de Quetteville, près Honfleur, avait fait cinquante kilomètres à pied et s'était réfugié à bord du navire norvégien  « Jerv », en  déchargement dans le port de Caen. Les officiers du navire le découvrirent. Le Boche se montra beau joueur et reconnut s'être évadé pour essayer de passer en Angleterre où pourtant il n'aurait  pas été plus en sûreté. On l'a interné au Château.  

 

Mai 1919  -  Le temps qu’il fait.   -  Une effroyable tempête a soufflé ses jours derniers, lacérant les premières feuilles et arrachant les premières fleures.

Malgré l'arrivée des hirondelles, le printemps ne peut se décider à faire son entrée. La végétation s'en trouve très retardée. Pourtant jamais une année d'abondance n'eût été aussi  nécessaire. Fort heureusement, jusqu'ici, rien n'est sérieusement compromis et il est toujours permis d'espérer. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juin 1919  -  Le temps qu’il fait.   -  Il ne faut jamais se plaindre que la mariée soit trop belle, dit-on, mais on peut parfois — comme en ce printemps — regretter que le temps demeure implacablement magnifique. La sécheresse devient inquiétante ; les céréales commence à en souffrir sérieusement.

II y a aussi des chenilles en quantité et on dit qu'en certains endroits les premières pommes n'ont pas noué. Saint-Médard, cette année, n'a rien voulu savoir et il a remisé son arrosoir. Il était vexé, sans doute, de voir sa tête tomber le jour de la Pentecôte et passer inaperçue.  (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juin  1919  -  Un gaillard pas commode.   -  U n jeune pêcheur de Honfleur, Georges Patin

17 ans, ayant été surpris en contravention, en gare de Quetteville, avait tenté de s'enfuir. Rejoint par le chef de train et un voyageur, il injuria et menaça ces deux personnes. On dut maîtriser Patin, devenu furieux, et l'enfermer dans un fourgon, où on le garda à vue jusqu'à son arrivée à Honfleur, où il fut remis aux gendarmes. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Janvier 1920  -  Le tunnel inondé   -   Pendant la nuit, un éboulement s'est produit à l'entrée du tunnel de Quetteville, du côté de Saint-André-d'Hébertot. L'eau s'écoulant vers Hébertot ayant envahi le tunnel, la circulation des trains a dû être suspendue et Honfleur s'est trouvé bloqué. La circulation est rétablie. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1920   -   La fin des maux.   -   A Quetteville, canton de Honfleur, une dame Lecarpentier s'est pendue dans son grenier. La désespérée avait tenté plusieurs fois déjà de se suicider. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Février 1921  -  Une porte de sortie.   -   La femme Hopsort, domestique chez Mme de Quetteville, propriétaire à Quetteville, canton d'Honfleur, a été trouvée, par sa maîtresse, baignant dans son sang au pied de son lit.

Elle avait, à l'aide d'un couteau, essayé de suicider en se coupant les veines des deux poignets. On se demande dans la contrée si cette tentative de suicide n'aurait pas quelque rapport avec une plainte pour vol, que cette femme avait portée contre la nommé Quéro, également domestique de Mme de Quetteville. 

On se souvient que Quéro, qui avait été arrêté et écroué à Pont-l’Évêque, a été presque immédiatement remis en liberté provisoire. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1921  -  Les désespérés.   -   M. Adrien Lebigre, 30 ans, journalier à Quetteville, canton d'Honfleur, s'est pendu dans l'herbage de son beau-père. M. Paul Lemire, propriétaire dans la commune. Lebigre avait déjà, à plusieurs reprises, manifesté l'intention de se suicider. 

— Fernand Gohier, 35 ans, journalier, rue du Vaugneux à Caen, conduit au violon pour ivresse, tenta de se suicider en se pendant avec sa chemise. Il en fut empêché par les agents qui le gardèrent à vue jusqu'à l'arrivée de sa concubine, avec laquelle il est reparti dès que son état d'ivresse fut dissipé.  

— M. Heuzé, 71 ans, propriétaire à Juvigny, canton de TilIy-sur-Seulles, s'est suicidé d'un coup de fusil dans la tête. L'enquête démontre que c'est à la suite d'une scène de ménage que M. Heuzé s'est donné la mort. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1922  -   Un désespéré.   -   Un employé du chemin de fer a découvert, sur la ligne de Quetteville à Honfleur, le cadavre de André Venezès, 60 ans, journalier à Fiquefleur-Equainville (Eure). Il avait eu le crâne écrasé par un train de marchandises. Quelques instant auparavant, il avait déclaré au maire de la commune qu'il avait l’intention d'en finir avec la vie. Il a mis son funeste projet à exécution. On ignore les causes de son suicide. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1922   -   Les satyres.   -   Georges Caillot, 20 ans, domestique à Quetteville, canton de Honfleur, a été arrêté pour excitation de mineures à la débauche et violences sur une fillette de 13 ans.

— Une plainte a été déposée par un père de famille de Littry, canton de BalIeroy, contre un cultivateur de la région, qu'il accuse d'avoir violé sa fillette, de 14 ans. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Mars 1923   -  Amitié touchante.   -   Louis Martin dit Billard, 45 ans, journalier à Quetteville, qui rentrait ivre de Honfleur, a roué de coups son amie, la femme Croisemarie. Après l'avoir tirée par les cheveux et jetée à terre, il l'a frappée à coups de pied. La malheureuse femme a également reçu de cette brute un coup de couteau au bras. Elle a été admise à l'hôpital de Honfleur. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1923   -   Entre père et fils.   -   Au cours d'une discussion dans un herbage où ils travaillaient ensemble, Léon Lecourt, 20 ans, journalier à Quetteville, canton d'Honfleur, a frappé brutalement son père, M. Georges Lecourt. Le soir, il a recommencé, le menaçant cette fois de son couteau. Le père a porté plainte. (Source : Le Bonhomme Normand)


Septembre 1928  -  Un horrible accident.  - Le nommé Louis Toutaine, 55 ans, propriétaire à Quetteville, a glissé et est tombé sur les rails au moment passait, entre le pont Saint-Martin et la borne kilométrique 222, le train arrivant à Honfleur à 8 heures 52.
Ce convoi, marchant à une moyenne de 60 kilomètres, il fut impossible au mécanicien de bloquer ses freins et la victime eut la tête complètement sectionnée par les roues de la rame de wagons. Une enquête est ouverte par la gendarmerie.

 

Juillet 1931   -  On découvre dans un herbage un cadavre de femme.  -   Dans un herbage du hameau de La Gohaigne, on a découvert un cadavre de femme, étrangère à la région, dans un état de décomposition complet.
Le docteur Jouin-Delamarc, de Beuzeville, qui l'a examiné, n'a pu se prononcer ni sur la date, ni sur les causes de la mort. L'autopsie a été ordonnée.  

 

Janvier 1939   -   Un ménage est dépouillé de ses économies.   -  Deux vieillards, âgés chacun de 74 ans, les époux Fricault, avaient institué, dans un caveau existant dans la  cave de leur  habitation, une cachette destinée à recevoir leurs économies.

Une somme de 7 900 francs, composée de billets de 500 et de 100 francs, et de pièces de 20 et 10 francs, avait été ainsi accumulée par les économes vieillards. Or, dans la nuit du 23 au 24  courant, l'argent a disparu.

Bien que les victimes du vol affirment avoir gardé pour elles seules le secret de leur cachette, il semble bien que le cambrioleur connaissait parfaitement la maison.

En effet, le voleur s'est introduit dans la cave en coupant, à l’aide d'une cisaille, le grillage obstruant le soupirail. Il prit ensuite la clé du caveau qui était accrochée dans la cave et s'empara du précieux butin.

La gendarmerie de Honfleur recherche activement l'auteur du vol.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Novembre 1945  -  Le Conseil général.   -  Le Conseil général du Calvados a tenu sa première session. Dans son discours d’ouverture, le président , M. Boivin-Champeaux, rappelant la tragique situation du Calvados dévasté ; 200 000 sinistrés sur une population de 400 000 âmes, 750 villages touchés, dont 450 totalement ou partiellement anéantis, 5 villes détruites sur six, un innombrable patrimoine d’architecture et d’art à jamais disparu, au total un dixième des construction de la France entière. (source : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1948  -   Une nouvelle agression dans la région de Honfleur .   -   Il était environ 23 h. l'autre nuit, lorsque Mme veuve poupon, 69 ans, cultivatrices à Quetteville, fut réveillé par des coups frappés à sa porte. Apeuré elle hésitait à ouvrir, mais les coups se firent plus pressant, « qui est là ? » dit elle. « Ouvrez, police ! » Mme Poupon se leva pour ouvrir. A ce moment elle se trouva en présence de trois individus qui, revolver au point pénétrèrent dans sa pièce après avoir fermé la porte à clé. « Nous venons chercher l’allemand que vous avez cacher, ou est il ? dit l’un d’eux » ; « Il n’y a pas d’allemand ici », répliqua-t-elle. Mais déjà les trois hommes visitaient des lieux fouillant partout, comme s'il s’agissait d’une véritable perquisition jusqu’à ce qu'ils aient découvert une somme de 26 000 francs cachés entre le sommier et le matelas.  « cet argent vous sera restituée si, vraiment, il n’y a pas d’allemand chez vous », dit celui qui paraissait être le chef, nous l’emportons.

Après quoi les individus disparurent non sans avoir recommandé à la fermière de verrouiller la porte. Naturellement, les 26 000 francs ne revinrent pas et Mme Poupon s'en fut à la gendarmerie raconter sa mésaventure.

Ce serait la troisième fois depuis juillet dernier qu’elle est victime de pareils faits et déjà, une certaine somme lui avait été soustraite en même temps que des draps.

Elle a pu donner quelques indications qui permettent aux enquêteurs de faire un rapprochement avec une affaire analogue survenu à Barneville-la-Bertrand, il y a deux semaines et dont la victime fut M. André Barbet, cultivateur audit lieu. Ce dernier avait en effet été assailli par trois individus armés et comme il cherchait à se défendre, l'un d'eux l'avait blessé à la cuisse d'un coup de revolver.  D'autre part un cycliste qui revenait de Trouville est arrivé à Villerville, M. Quéruel, éleveur à Pennedepie, avait lui aussi, était assailli quelques jours plus tard sur la route et roué de coups.

L’arrestation d’un nommé Pierre Rioux, 49 ans originaire de lambézénec (Finistère), surpris en flagrant délit de vol d'un colis à la gare de Mézidon, va-t-elle permettre de mettre la main sur les bandits qui assaillirent Mme poupon ? Rioux a tout au moins déjà avoué s’être emparé chez celle-ci en août dernier d'une somme de 20 000 francs. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Août 1948   -   Autour des vols de bestiaux.   -  Une nouvelle inculpation pèse sur Pierre Le Gall, de Quetteville, récemment arrêté pour vol de bestiaux au préjudice de M. Campion, maire Saint-Benoît-d’Herbertot. On le soupçonne en effet d'être également l'auteur du vol d'une vache appartenant à M. Alexandre Potier, d'Ablon, disparue d’un herbage de Quetteville dans la nuit du 22 au 23 juin dernier. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   Dans les choux.   -   Deux employés de la SNCF, à Mézidon, Émile Nerée, 26 ans, et Francis Rouvrais, 22 ans, ont été mis en état d'arrestation pour vol de légumes durant la nuit, dans un champ appartenant à M. Paul Hervieu, cultivateur à Quetteville. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Décembre 1948   -  Un mari brutal.   -  Mme Halby Augustine, 59 ans, demeurant à Quetteville, au lieu-dit « Le Vieux Bourdon » à porté plainte contre son mari Halby Auguste, 50 ans, qui la maltraite depuis plusieurs mois, surtout lorsqu'il est ivre.

Ce dernier a été particulièrement brutal le 12 décembre dernier et Mme Halby joint à sa plainte à certificat médical. Interrogé par les gendarmes, Halby a exprimé des regrets et donné comme excuse qu'ayant été grièvement blessé, il endure encore des souffrances qui le rendent parfois « nerveux ». (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1949   -   Le Calvados à l'honneur.   -   Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération.

Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme.

Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division.

Arrondissement de Lisieux.               

Canton de Honfleur : Honfleur (R) ; Cricquebœuf (R) ; Quetteville (R). (Source  : Le Bonhomme Libre) 

 

Avril 1949   -   Un incendie au Haras de Quetteville.  -   Un incendie s'est déclaré vers 2 h. du matin dans des écuries du haras du Mesnil-Cordelier, propriété de M. Céran-Maillard.

Les chevaux purent être sauvés en attendant l'arrivée des pompiers de Beuzeville et de Pont-l'Évêque qui se sont rendus maîtres du sinistre après une heure d'efforts.

Une auto évaluer à 500 000 francs a été la proie des flammes. Les dégâts causés au bâtiment s’élèvent à 400 000 francs. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1949   -   Un coup de fusille malheureux.   -    En permission à Quetteville, M. André Quesney, 27 ans, garde républicain, se promenait dans un jardin lorsque trois coups de feu furent tirés à proximité. Des plombs l'atteignirent lui tuméfiant l'œil gauche et lui cassant deux dents.

Les maladroits n'étaient autres que trois jeunes gens qui répondirent à ses observations par des injures. M. Quesney a porté plainte. ( Le Bonhomme Libre )

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