1er Juin 2025

EUN SYIELLE D'HISTOUÈRE D'CALVADOS   

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ST - MARTIN - de - FONTENAY

Canton de Bourguébus

Les habitants de la commune sont des Martifontains, Martifontaines


Mars 1832    -    Accidents.   -   Hier plusieurs accidents sont arrivés dans notre localité, un sieur François Binet, cultivateur à St-Martin-de-Fontenay, a été tué à la sortie du faubourg de Vaucelles, par sa voiture chargée de pierres, que conduisait son domestique. Un faux pas, au moment où, marchant près de cette voiture, il donnait un coup de fouet aux chevaux, l'a fait tomber sous la roue qui lui a écrasé toute la partie supérieure de la tête, depuis les yeux.

Un incendie a éclaté, vers le milieu de la journée, dans l'intérieur d'une maison, au hameau de la Maladrerie. La promptitude des secours a arrêté les progrès du feu, qui n'a dévoré qu'une partie de la toiture. Le dommage est, dit-on, peu considérable.

Enfin, un domestique qui s'amusait à des exercices d'équilibre et de voltige sur un cheval qu'il promenait au cours, a été renversé et dans sa chute s'est cassé une jambe. Un autre domestique d'une maison de notre ville, chez lequel se manifestèrent dans la journée d'hier des symptômes d'aliénation mentale, a trouvé pendant la nuit le moyen de se soustraire à la surveillance des personnes que l'on avait placées autour de lui, et a disparu de la maison en escaladant une muraille. Comme ce malheureux avait manifesté des idées de mort, on craint que, dans son délire, il n'ait mis un terme à ses jours. (Le Pilote du Calvados)

 

Juin 1833    -      Un incendie.   -   Dans la nuit de mardi à mercredi dernier, un factionnaire de la maison de Beaulieu apercut, du côté de Saint-Martin-de-Fontenay, une lueur qu'il prit pour l'indice d'un incendie. Quelques éclaireurs, suivis bientôt après, de deux pompes, se mirent en marche de notre ville vers cette direction, et trouvèrent qu'en effet le feu avait pris à la maison d'un cabaretier-boulanger de cette commune.

Un petite grange était consumé, la perte, au reste, a été très peu considérable. Le secours des pompes devenant dès lors inutile, elles ont été ramenées avant d'être parvenues sur les lieux. (Mémorial du Calvados)

 

Décembre 1833    -   Nomination et Apathie Électorale.      M. Duparc-Lemaître, maire de Saint-Martin-de-Fontenay, vient d'être nommé membre du conseil-d'arrondissement par le canton de Bourguébus.

Sur 54 électeurs portés sur la liste. 15 seulement ont pris part au scrutin. L'indifférence que les électeurs apportent en général dans le choix de leurs mandataires est véritablement affligeante. Comment se fait-il que le droit d'élection, si vivement réclamé, soit pour ainsi dire abandonné aussitôt qu'il est obtenu ?

Nous pourrions en donner plusieurs raisons, mais il suffit, quant à présent, de se borner à constater le fait. Que ce soit, au reste, lassitude, que ce soit apathie, le mal n'en est pas moins grand.

Les bons citoyens apprendront à leurs dépens que ce n'est pas sans danger qu'on abandonne les élections aux caprices d'une majorité qui distribue au hasard les suffrages, on les livre sans examen à quiconque se donne la peine de les solliciter. (Mémorial du Calvados)

 

Juin 1847   -  Nouvelles locales.   -  Dans les premiers jours de la semaine dernière, quatre poulains appartenant à M. Pagny, fermier à Saint-Martin-de-Fontenay, étaient à la pâture, attachés au piquet dans un champ de trèfle dépendant du village de Verrières.

Plusieurs essaims se précipitèrent sur les poulains et les piquèrent si violemment que deux en sont morts, les deux autres, dont les attaches étaient moins solides, échappèrent par la fuite à l'aiguillon de leurs ennemis, mais ils ont été très malades de leurs blessures.

Tous les propriétaires de ruches se sont cotisés amiablement pour payer le prix de ces poulains, et le sieur Pagny a reçu ainsi l'indemnité qui lui était due, la somme est d'environ douze cents francs.

Aujourd'hui, c'est un dommage appréciable et payable, mais de pauvres enfants, une pauvre femme malade pouvaient avoir le même sort ! (source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Août 1857   -  Le feu.  -  Mardi dernier, vers dix heures et demie du matin, un violent incendie a éclaté à la ferme de Beauvais, située à Saint-Martin-de-Fontenay, appartenant à M. Roger de Beauvoir, et exploitée par M. Fouques, Le feu s’est déclaré dans une grange où trois ouvriers faisaient fonctionner une mécanique à battre le grain ; en quelques instants il s'est communiqué à tous les bâtiments qui entourent la ferme.

Après trois heures de travail, on a pu se rendre maître du feu, qui n'a été complètement éteint qu'a six heures du soir. Tous les bâtiments de la ferme sont anéantis, excepté la maison d'habitation, une cave et une grange. La perte totale s'élève à 65 440 fr. dont environ 30 000 fr. pour les bâtiments. La perte du fermier est de 35 440 fr. Tout était assuré.

Les causes de ce sinistre sont inconnues : on suppose que des allumettes se sont enflammées sous le pied d'un ouvrier sans qu'on y ait pris garde. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Mars 1861   -   Par arrêtés préfectoraux sont nommés.   -   Maire de la commune de Saint-Martin-de-Fontenay, M. Renouf (Jean-Jacques), en remplacement de M. Leroux, démissionnaire.

-  Adjoint au maire de la commune de Biéville, M. Ruel (Jean-Magloire).

-  Instituteur public aux Oubeaux, M. Foucher, actuellement instituteur à Trois-Monts, en remplacement de M. Boudet, dont la démission est acceptée.

-  Institutrice suppléante de deuxième classe à Tracy-sur-Mer, Mlle Duret (Marie-Joséphine), pourvue du brevet de capacité, en remplacement de Mlle Salles, appelée à un autre poste. ( L’Ordre et la Liberté)

 

Mai 1861   -   Par arrêtés.   -    Par arrêtés de M. le préfet du Calvados, sont nommés : Maire de la commune d'Emiéville, M. Tribouillard (Henri), en remplacement de M. Boudier, décédé.

-  Maire de la commune de Saint-Martin-de-Fontenay, M. Cantel (Pierre-Victor), en remplacement de M. Moisson, démissionnaire. ( L’Ordre ela Liberté )

 

Août 1861   -   Un incendie.   -   Cette nuit, vers deux heures du matin, un incendie a éclaté en la commune de Saint-Martin-de-Fontenay et a réduit en cendres une maison et un grange appartenant au sieur Samson, boucher. La perte est considérable.

La cause de ce sinistre parait devoir être attribuée la malveillance. La justice informe. ( L’Ordre et la Liberté )

 

Mars 1869   -   Un accident.   -   Un grand malheur vient d'affliger la population de Saint-Martin-de-Fontenay.

Mardi, vers trois heures, une maison dans laquelle on démolissait un appartement, s'est écroulée. Après une heure d'efforts, les habitants ont retiré de dessous les pierres et les planches, le cadavre du sieur Jardin, ouvrier menuisier. Après deux heures de recherches, on a pas encore retrouvé le corps de la fille Langlois, qui était, dit-on, en train de se chauffer au moment du sinistre. Deux enfants réfugiés sous la table de la cuisine non eu aucun mal. Un ouvrier charpentier est resté suspendu à une filière, il est blessé à la tête. Jardin était âgé de 35 ans, il laisse une veuve et un enfant.   

 

Août 1869   -   Fait divers.   -  La chasse est à peine ouverte depuis trois jours, et déjà nous avons un accident à signaler. Lundi, M Rivière, cultivateur à Saint-Martin-de-Fontenay, chassait dans la plaine d'Ifs. Au moment où il tirait sur un lièvre son fusil a éclaté. M. Rivière a eu deux doigts de la main gauche abîmés.

Il est venu immédiatement à Caen. Les premiers soins lui ont été donnés à la pharmacie de M. Roger, rue de Vaucelles.   

 

Février 1872   -  Fait divers.   -  La Normandie a eu dimanche soir le spectacle d'une aurore boréale, ou pour dire plus exactement, d'une aurore polaire. A six heures, après avoir passé par leurs phases ordinaires de mobilité et d’éclat divers, deux colonnes éblouissantes, sillonnées de traits de feu jaune et pourpre, se sont réunies au zénith, pour y former une couronne, dont l’aspect a semblé donner raison à ceux qui soutiennent cette opinion, que ce météore est dû à la matière magnétique qui s’enflamme comme de la limaille de fer.

On eut dit qu'un obus gigantesque venait d’éclater à des espaces incommensurables, allait couvrir la terre de ses débris.

Puis les pluies du météore, obéissant au mouvement de rotation de l'atmosphère qui les entraînait prirent des nuances plus sombres, et finirent par disparaître, pour ne plus laisser dans le nord qu'un immense rideau de pourpre, qu'à minuit et demi, avait entièrement disparu.

Comme de juste, ce phénomène météorologue a donné lieu aux commentaires les  plus étranges, car une croyance populaire veut que le retour de ce, phénomène soit

l’annonce d'un événement important.

   -   C’est signe de mort, disaient les uns.

-   C'est signe de sang, c'est signe de revanche, disaient les autres.

A l'avenir de prononcer.

 

Février 1872   -  Fait divers.   -  Aux vols nombreux commis aux environs de Feuguerolles-sur-Orne, que nous avons signalés, nous devons ajouter les suivants :

A Étavaux, en plein jour, dans une maison habitée, on a volé une grande quantité de bouteilles de vin, avec une petite voiture attelée d'un âne.

A St-Martin-de-Fontenay, différents objets.

A Avenay, des poules.

A Feuguerolles, pendant la messe, une tentative de vol avec escalade et effraction a, été commise dans une maison habitée, cette tentative a été précédée et suivie de vol d'outils dans les carrières de la même commune.   

 

Octobre 1878   -  Secours aux communes.  -  Le Ministre de l'instruction publique a accordé les secours ci-après à des communes du département savoir : Saint-André-d'Hêbertot, 1 500 fr. pour travaux exécutés à l'église ; à Parfouru-l'Eclin, 400 fr., pour solde de la construction du presbytère ; à Saint-Martin-de-Fontenay 250 fr., pour l'acquisition d'objets mobiliers destinés à l'église ; à Montchauvet, 1 900 fr. pour construction d'une salle de classe.    

 

Avril 1879  -  Écoles de filles, répartition de secours.  - Le Conseil, conformément au rapport de M. le Préfet, répartit une somme de 2 500 fr. à prendre sur le crédit de 5 000 fr. inscrit au budget de 1879, pour établissement et entretien d'écoles de filles. Saint-Martin-de-Fontenay, 443 habitants, Mme Faucillon (Elisa), 20 élèves payantes, 4 gratuites ; 450 fr. de traitement en 1878 ; indemnité personnelle accordée 75 fr.    

 

Août 1880  -  Tentative d’assassinat.  -  Le nommé Paul Régal, maréchal à St-Martin-de-Fontenay, a frappé la semaine dernière sa femme de deux coups de couteau, dont un a percé le poumon. Il l'a ensuite enveloppée dans un drap et est allé boire au cabaret. La malheureuse femme a pu se traîner jusqu'à la fenêtre et appeler du secours. Ses blessures sont graves. Régal a été arrêté et conduit en prison.   

 

Août 1890  -  Suicide.  -   Jeudi, Louis-Edmond Berthaume, 22 ans, cavalier au 5e régiment de chasseurs à cheval, en congé de convalescence chez ses parents, à Saint-Martin-de-Fontenay, a été trouvé pendu dans un petit bois situé à Saint-Martin-de-Fontenay. Ce jeune soldat avait disparu de chez ses parents depuis le 6 juillet. Il avait à plusieurs  reprises manifesté des idées de suicide.   (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1892  -  Incendiaire par vengeance.  -  Mardi 15 courant, le sieur Vengeon, qui exploite une ferme à St-Martin-de-Fontenay, a renvoyé un de ses ouvriers, nommé Henri Bréhin, 36 ans, originaire de la Mayenne, parce qu'il était mécontent de son travail. Bréhin demanda alors au sieur Vengeon 10 fr. et un certificat. Celui-ci refusa. 

Bréhin se rendit à ce moment chez un débitant, où il acheta deux boîtes d'allumettes, il alla ensuite se coucher dans une meule de blé, puis, vers quatre heures, il y mit le feu ainsi qu'à deux autres. A la suite de ce crime, l'incendiaire s'est rendu à Caen. Il y a rencontré son maître qui venait déclarer à la gendarmerie, le sinistré dont il avait été victime et qui l'a fait arrêter. Bréhin a passé des aveux complets. La perte est évaluée a environ 13 000 fr., couverte en partie par une assurance. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1893  -  Incendie.  -  Pour se venger de son maître dont il croyait avoir à se plaindre, Henri Brehin, 36 ans, né à Chemière-le-Roy, arrondissement de Laval, que son inconduite et son mauvais esprit avaient fait congédier par M. Vengeon, entrepreneur à Allemagne, chez lequel il était domestique, voulut se venger. Il se rendit à Saint-Martin-de-Fontenay, dans la nuit du 15 au 16 novembre, et mit le feu à une meule de paille, feu qui se communiqua rapidement à deux autres meules disposées en rang près de la première. Tout a été détruit. Brehin a passé les aveux les plus complets. Déclaré coupable sans admission de circonstances atténuantes, il est condamné à 8 ans de travaux forcés. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Août 1895  -  Mérite agricole.  -  Sont décorés : MM. Barassin, cultivateur à St-Martin-de-Fontenay ; Fanet, cultivateur à Fontaine-Henry ; Gombault, aviculteur à Merville ; Gouye, maire de Canchy ; Henry, éleveur à Thaon ; Lepailleur, éleveur à Tessel-Bretteville ; Piel, horticulteur à Deauville, et Ricard, éleveur à Villerville. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Septembre 1895  -  Brutalités.  -  Le sieur Olivier Lubin, 54 ans, berger à St-Martin-de-Fontenay, allait faire boire ses moutons à un abreuvoir, lorsque Jean Basley, 55 ans, jardinier, voulut l'en empêcher. Lubin, ayant passé outre, fut brutalisé par Basley. Le fils de ce dernier, âgé de 20 ans, vint à l'aide de son père et frappa Lubin à coups de bêche, ainsi que sa femme qui était accourue au secours de son mari. L'état de Lubin est assez grave. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1895  -  Classe 1894.  -  Cette année, les conscrits de 1894 rejoindront directement et individuellement leur corps. Ils feront l'avance de leurs frais de route qui leur seront remboursés au régiment. Ceux qui seraient sans moyens recevront un mandat de l'intendance, avant le départ, sur la présentation d'un certificat du maire de leur domicile. Tout conscrit, pour un parcours de 1 à 25 kilomètres, aura droit à une indemnité fixe de 1 fr. 25. Au-dessus de 25 kilomètres, l'indemnité journalière sera accordée. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Mai 1898  -  A propos de Saints.  -   Les saints de glace, la terreur des horticulteurs, figurant au calendrier les 11, 12 et 13 mars, ne paraissent vouloir faire parler d'eux. Fin de la lune rousse, le 20 mai. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1898  -  Le lapin avait pourtant commencé.  -  Un midi que Joseph Basley, 34 ans, journalier à Saint-Martin-de-Fontenay, était en train de planter de la porette, il aperçut le lapin de sa voisine qui lui mangeait ses choux. Il le tua d'un coup de bêche. 

La voisine, une femme Lubin, cria : A l'assassin ! Sa fille et son gendre accoururent. Une mêlée générale se produisit et la dame Lubin reçut à la tète une pierre qui lui coupa une artère. Cette pierre avait été lancée par Basley qui a été poursuivi, et, bien que ce fût le lapin qui eût commencé, le tribunal de Caen a condamné Basley à huit jours de prison. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Juillet 1898  -  Pauvre fou.  –   On a interné, au Bon-Sauveur, à Caen. le sieur Pierre Lefrançois dit le Mangeur de vipères 50 ans, demeurant à Saint-Martin-de-Fontenay. L'infortuné, qui est un aliéné dangereux, parcourait la campagne en menaçant de mort toutes les personnes qu'il rencontrait. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1900   -   Victimes de la chaleur.  -  Le sieur Jean Quoidbach, 42 ans, journalier à Lisieux, déchargeait des wagons à la gare, quand il est tombé tout à coup frappé d’insolation. Transporté à l'hôpital, le malheureux y est mort Sans avoir repris connaissance.

— On a trouvé mort dans un champ, à St Martin-de-Fontenay, près Caen, un ouvrier qui avait été loué à Caen pour relever de l'avoine. Le malheureux avait succombé à une congestion déterminée par une insolation.

— La dame Verrier, née Clotilde Fieffey, 43 ans, journalière à Soignolles, près Bretteville-sur-Laize, travaillant à la moisson, s’est trouvée subitement indisposée par la chaleur et s'affaissa, sur le sol. Transportée chez elle, cette femme est morte le lendemain, elle laisse deux enfants.

— Le sieur Lecomte, 59 ans, couvreur à  Bayeux, qui partait, le matin, pour son travail, portant une échelle, est mort subitement, sur le boulevard Sadi-Carnot,   d'une congestion.  ( Le Bonhomme Normand )

 

Septembre 1900   -   La rage.  -   Un chien appartenant à Mme Viel, sage-femme à Saint-Martin-de-Fontenay, atteint de rage furieuse a mordu ses deux enfants, un petit garçon de 7 ans et une petite fille de 9 ans, qui ont été conduits a l'institut Pasteur. Ce chien qui a également mordu un grand nombre de chiens et de chats, s’est enfui et on a perdu sa trace. Les chiens mordus ont été immédiatement abattus. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1900   -   La rage.  -  Nous avons annoncé dans notre dernier numéro qu'un chien atteint de la rage, appartenant à la dame Viel, sage-femme à Saint-Martin-de-Fontenay, avait mordu ses deux jeunes enfants et s'était enfui du domicile de sa maîtresse. 

Cet animal a été retrouvé mort à Troismonts, sous un hangar dépendant de la ferme du sieur Dedouit. Les constatations faites par le vétérinaire établissent que le chien était atteint d'hydrophobie. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

1901 c'est ici

St MARTIN-DE-FONTENAY

 Route de Caen

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